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bargia ϟ don't know that you're toxic

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@Georgia Weasley  tu n’avais pas peur de l’issue que pourrait avoir ce petit jeu, tant qu’il durait. à vrai dire, tu n’avais jamais songé à cela et cela t’importait peu car tu aimais la sensation que ça te procurait, les montées de désir que tu pouvais ressentir à chaque fois sans toutefois y céder, cela était presque devenu ta drogue depuis ta rencontre avec gia. il fallait préciser que la jeune femme ne t’avait pas laissé indifférente bien sûr mais tu avais constaté qu’elle détenait le petit truc, la petite flamme que tu ne trouvais pas chez les autres. ou bien alors, tu faisais complètement fausse route et c’était la weasley qui la détenait depuis ce temps. cette flamme qui, ardente et durable, n’avait rien à envier à celle qui s’allumait lors des one shots, trop brève et expéditive. si la weasley partageait le même enthousiasme que toi, tu ne pris pas la peine de soulever sa remarque qui montrait à quel point elle avait raison, que ta présence tenait au fait que tu n’avais pas eu la patience nécessaire pour la revoir. mais l’admettre devant elle relevait du suicide, et le jeu perdrait toute sa saveur. les sous-entendus se suffisaient bien à eux-mêmes, pour comprendre les intentions de chacun. et l’allusion simple qu’elle était très tentée ou plutôt insatisfaite de ne pas suffisamment tout connaître de toi te poussa à jouer toujours plus avec elle. elle était ta toxine en ces instants et tu ne fis rien pour t’y dérober, avide de ce sentiment de toujours pousser plus, semblable à une quête inaccessible dont tu t'étais mis en tête comme celle du graal, en dépit de cette vague de désir qui te submergeait et qui rendaient les choses bien plus difficiles. une fois gia un peu plus dévêtue, tu l’avais poussée contre un mur, rageant de la voir presque t’échapper. évidemment que l’alcool te contrôlait à ce moment-là, à la fois envieux d’elle et d’une nouvelle bouteille. mais difficile de se concentrer sur ce nouveau défi lorsque son visage se retrouvait à quelques centimètres du tien, et que tu sentis tes membres t’abandonner presque, désireux de pouvoir goûter à ces lèvres pulpeuses qui commençaient à te faire de l’oeil. un sentiment excitant et terrifiant à la fois te parcourut l’échine, en percevant le trouble de gia qui avait été surprise à nouveau d’être bloquée. tu avais ce don là sur elle, une certaine emprise qui t’exaltait. — c’est l’alcool qui parle gia, économise ta salive tu veux bien. hors de question de lui laisser ce plaisir d’avoir raison, qu’elle était chiante au fond. tu ruminais et cela marchait à chaque fois pour calmer tes ardeurs, alors que tu la veux, elle. — tu as l’imagination fertile, weasley. elle pensa que tu craquerais dans les secondes ou minutes qui venaient. c'était le cas de le dire, tu en avais terriblement envie. de tes yeux rieurs, tu ne la quittas pas du regard. elle t’amusait mais ne voulait pas céder pour autant. — la bouteille puis tu peux m'obtenir moi, sinon tu n'auras rien. ne saute pas les étapes. il semblait clair qu’elle aussi te voulait puisqu’elle glissa délicatement sa cuisse entre tes jambes avant de saisir ta nuque, rapprochant inexorablement vos visages. son souffle balaya ta mâchoire et tu sentis le doux frémissement de ses lèvres sous ton oreille. tu te contins pour ne pas défaillir à cet instant, elle était vicieuse gia, mais tu comprenais aussi son envie, ses gestes étaient lents et faisaient vibrer à l’union toute cette tension sexuelle qui t’attirait vers elle. tant bien que mal, tu essayas de diriger tes pensées vers autre chose que les lèvres de gia contre ta peau mais tu préféras profiter du moment encore un peu, de cette position qui malgré tout te donna l’assurance de tenir debout. tu ne voulus qu’une seule chose : t’abandonner complètement à elle, lui laisser l’occasion de remporter le jeu ce soir, mais en l’espace d’une seconde, tu te rappelas ce que pourrait être le goût de défaite et ton indifférence revint aussitôt, réfrénant un peu la flamme du désir. — humm oui, je ne vais pas le nier, j’aime avant tout me distraire mais là j’aimerais bien boire avant de te laisser continuer de me goûter, si t’es d’accord ? est-ce que tu devenais chiant ? clairement et tu fis complètement abstraction de son avis, la prenant par la main, enjoué par cette tournure. tu l’embarquas donc à travers le bateau, légèrement ivre et emportant vos affaires, avant d’entrer au hasard dans ce qu’il semblerait être le fumoir, une petite pièce mais avec plus de chances pour vous de ne croiser personne. tu étudias rapidement des yeux la pièce, te mis à rire en repérant quelques bouteilles au-dessus d'un meuble mais un bruit te fit sursauter, sans réfléchir tu t’étalas au sol avant de te rendre compte que tu refaisais face au visage de gia. là tu sentis ton torse écraser le bout de ses seins et tu mordis ta lèvre inférieure, vous étiez trop proches. c'était ça être éméché, tu tombais sur des surprises là où tu t'y attendais le moins et celle-ci ne te déplaisait pas. putain.
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don't know that you're toxic | 7 juillet 2022 w/ @Bastille Byers

Jusqu’où elle était prête à aller pour l’avoir ce type ? Et de toute façon, au fond, elle cherchait quoi ? A l’attraper, le posséder le temps d’un instant pour a nouveau le rendre aussi insignifiant que les autres ? Peut être bien. Elle avait peut être besoin de ressentir cette indifférence à son égard, de faire disparaître cette addiction qui lui ronge les entrailles quand elle le croise. Il ne faisait pas l’ombre d’un doute, une fois qu’il aurait craqué, elle n’en verrait plus l’intérêt. C’était son truc, ça. Jouer à outrance, rendre le monde autour d’elle plus intéressant en l’entraînant dans ses jeux aussi stupides et parfois malsains, histoire de rendre son quotidien plus intéressant.  Elle assume, sa vie est pas palpitante, à elle toute seule c’est pas le plus trépident. Un besoin d’ajouter une dose d’adrénaline, ce truc qui va la stimuler et lui donner l’impression qu’elle domine. C’est ça, Bastille. Il est ça, le choc d’adrénaline dont elle a besoin en ce moment, le petit jouet qui la fait sentir vivante. – J'peux te raconter tout ce que j’imagine, mais j’ai peur que ce soit un peu trop pour toi malheureusement, Il verrait que son imagination marchait parfaitement bien. Même si, qu’on se le dise, concernant ce qu’elle pouvait comprendre des intentions de Bastille, elle n’imaginait rien.  Il luttait et elle le savait, elle en jouait, parce que l’idée de le voir perdre à son propre jeu de celui qui craquerait en premier la rendait dingue. Complètement dingue. Ou c’était lui… Elle aurait pu rester longtemps comme ça pendue à lui, à lorgner sur ses lèvres sans s’autoriser à y toucher. Il ne semble pas abdiquer pour cette histoire de bouteille d’ailleurs. Indécise, elle connaît ses limites, ce serait la fameuse bouteille de trop et elle ne voulait pas subir ca. – Tu préfères craquer pour une meuf complètement ivre ? Ou tu t’assures que j’sois plus du tout dans le contrôle ?  Elle connaissait sûrement la réponse, mais à l’inverse, elle aurait été frustrée. Gagner en baissant la garde de l’autre, aucune satisfaction pour elle. Si elle devait l’avoir, elle le voulait en pleine conscience, qu’elle soit totale. – T’es a moitié a poil Byers, qui saute les étapes sérieux ? qu’elle rétorque d’une traite, le regardant de haut en bas. Même ses lèvres sur sa peau n’y change rien, il est borné, trop résistant, trop fort. Putin elle va l’admettre. Il est redoutable. Elle lâche sa tête en arrière en soupirant, presque agacée par ce besoin d’aller boire cette foutue bouteille. Il ne lui laisse de toute façon pas le choix, l’embarquant jusqu’à un endroit complètement vide, avec une vieille odeur de tabac froid. La brune se bouche vite le nez, dégoûtée par cette odeur qui lui prenait la tête. – Super, t’avais pas plus répugnant encore comme endroit ? C’est moi qui vais finir par te fausser compagnie, râle-t-elle alors qu’il avait l’air d’avoir repérer un truc intéressant. Sans qu’elle ne comprenne ce qu’il se passe, un bruit retentit avant qu’elle ne sente un poids s’écraser fortement sur elle. – Aïe !  Mais elle se tait de suite quand elle constate que son visage se trouve à quelques centimètres seulement de celui de Byers. Putin, qu’est-ce qu’il fou encore ? Tout ça pour l’étouffer dans un fumoir,   franchement ? – Si ton but c’était de me tuer Byers… fallait le dire tout de suite, j’étais pas dans la même optique, souffle-t-elle, plantant son regard dans le sien. – Me regarde pas comme ça… c’est trop tentant. Sa main se glisse sur son visage qu’elle vient approcher d’avantage, jusqu’à coller ses lèvres au coin des siennes. Putain, presque. Si près. Un baiser furtif, qu’elle stoppe de suite en le repoussant violemment pour se dégager de son emprise. – La bouteille Byers, arrête de chercher à brûler les étapes, qu’elle lâche un sourire en coin, consciente qu’il devait être frustré qu’elle n’ai pas craqué. Au fond elle l’était aussi, mais sa fierté l’emportait encore. Elle se prenait au jeu, tellement qu’elle serait capable de le planter ici, seul, avec sa bouteille qu’il avait tant désiré plutôt quelle.
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