« Un costume de coq… ? » répéta-t-il un peu ahuri, se demandant d’où diable lui venait l’idée, mais dans quel monde elle s’imaginait qu’il allait porter ça ? Dans des moments comme celui-ci, il remerciait le ciel que les rôles aient été inversés et qu’il ne soit plus à sa merci.
« Ok, ok, je suis prévenu. Du coup, je saurai vers qui me tourner si jamais j’ai besoin de garde du corps. »
Il en profita pour retourner ses pièces de viande, question de garder ses mains occupées. Même s’il en fallait beaucoup pour l’impressionner, il se garder néanmoins une petite gêne vu les circonstances. Il était, après tout, dans une villa presque abandonnée avec une jeune femme lui ayant donné rendez-vous pour produire du matériel qu’il estimait qui ne rendrait fière aucune mère. Il pouvait difficilement être plus loin de sa zone de confort, pour être honnête.
Et honnêtement, l’idée de passer une soirée seul-à-seul avec Lex ne lui avait jamais vraiment traversé l’esprit. Il y avait toujours une mouvance dans leurs rencontres. Un projet, un but, une destination. Alors que là, ils ne faisaient que profiter du temps qui passait ? Ce n’était absolument pas désagréable, mais cela changeait les balises de leur relation.
« Ils ont bien raison, alors. C’est fascinant cette volonté de globalisation culturelle, à tous vouloir écouter et voir les mêmes trucs juste parce que tous les autres l’ont vu, mais qu’en même temps, on a jamais créé autant de frontières ou érigés autant de barrière entre nous. Et par entre nous, je veux dire entre les gens, pas entre toi et moi. »
Parce que, curieusement, William ne s’était jamais vraiment senti aussi proche de la jeune femme. C’est qu’elle était attachante, la bougresse! Malgré ses idées farfelues.
« Tout l’été, ce palace pour toi toute seule ? Je comprends pourquoi tu voulais revenir à tout prix sur Boston. Je t’imagine cependant mal oisivement t’occuper du jardinage et de promener les chiens en te tournant les pouces… »
@Lex Reynolds
« Ok, ok, je suis prévenu. Du coup, je saurai vers qui me tourner si jamais j’ai besoin de garde du corps. »
Il en profita pour retourner ses pièces de viande, question de garder ses mains occupées. Même s’il en fallait beaucoup pour l’impressionner, il se garder néanmoins une petite gêne vu les circonstances. Il était, après tout, dans une villa presque abandonnée avec une jeune femme lui ayant donné rendez-vous pour produire du matériel qu’il estimait qui ne rendrait fière aucune mère. Il pouvait difficilement être plus loin de sa zone de confort, pour être honnête.
Et honnêtement, l’idée de passer une soirée seul-à-seul avec Lex ne lui avait jamais vraiment traversé l’esprit. Il y avait toujours une mouvance dans leurs rencontres. Un projet, un but, une destination. Alors que là, ils ne faisaient que profiter du temps qui passait ? Ce n’était absolument pas désagréable, mais cela changeait les balises de leur relation.
« Ils ont bien raison, alors. C’est fascinant cette volonté de globalisation culturelle, à tous vouloir écouter et voir les mêmes trucs juste parce que tous les autres l’ont vu, mais qu’en même temps, on a jamais créé autant de frontières ou érigés autant de barrière entre nous. Et par entre nous, je veux dire entre les gens, pas entre toi et moi. »
Parce que, curieusement, William ne s’était jamais vraiment senti aussi proche de la jeune femme. C’est qu’elle était attachante, la bougresse! Malgré ses idées farfelues.
« Tout l’été, ce palace pour toi toute seule ? Je comprends pourquoi tu voulais revenir à tout prix sur Boston. Je t’imagine cependant mal oisivement t’occuper du jardinage et de promener les chiens en te tournant les pouces… »
@Lex Reynolds
(William Bennett)
Power is a cruel Master
No light, no light in your bright blue eyes. I never knew daylight could be so violent. A revelation in the light of day. You can't choose what stays and what fades away