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hell on earth (manniana)

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djerba - 21 juillet - @S. Manny Ferrer Assise sur un transat au bord de la piscine, je profite d'un moment de calme - il est dix heures du matin, les étudiants dorment encore - pour travailler sur quelques dossiers importants. Ce n'est pas parce que je suis loin de Boston que j'abandonne mes clientes, loin de là même. Ici, je profite juste des moments comme ceux-là pour bosser et l'après-midi, je le passe à visiter et faire de nouvelles connaissances. Ça a très bien fonctionné pour le Mexique et c'est d'ailleurs pour cela que je réitère l'expérience ici, depuis le continent Africain. Stabilo en main, je surligne quelques éléments importants du dossier de rose et en jaune, ce sont les points à creuser que je distingue du reste. Minutieuse, la trousse ouverte entre mes jambes, je tourne les pages de mon fichier et relis plusieurs fois les mêmes lignes, les mêmes informations. Je veux être imprégnée, je veux pouvoir faire couler ce salopard et lui interdire de faire du mal à une autre femme. Passionné, prise par les informations, je ne fais pas attention lorsque l'espace autour de la piscine se remplit et que quelqu'un crie non loin de moi. Quand tout se met en place, un ballon m'atterrit en plein sur la poitrine et trempe mon dossier. Borrrrrr-del, putain, casse couilles. Il y a des tas d'insultes qui pourraient sortir de ma bouche mais c'est un peu moi qui enquiquine tout le monde à bosser au bord de la piscine. Par contre pour sur, les jeux de balles sont interdits dans cette piscine et je le sais, je m'en suis assurée avant de me poser. Mon dossier posé au soleil, j'attrape le ballon et me dirige vers la piscine, regardant les deux faiseurs de trouble C'est interdit de jouer à la balle ici, vous ne savez pas lire ? Le bikini blanc sur ma peau bronzé, la balle contre la hanche, je les jauge de là où je me trouve. On peut dire que je suis une mégère, ça me va totalement. C'est juste que la piscine calme n'est pas là pour faire ce genre de choses. Les gamins, c'est plus loin !
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21 07 2022
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De ce qu’il en sait, Valentina passe la journée à se faire masser en compagnie de deux filles de Boston qu’elle a retrouvé à l’occasion du Summer Camp, et l’espagnol ne mentira pas, c’est une chose qui lui convient, n’est-ce pas ? Non pas d’être seul comme un pauvre malheureux, mais faut dire que depuis quelques jours, jongler entre toutes ses prétendantes et la « vraie » femme de ses pensées, ça a été compliqué. Alors un jour de répit, à profiter – à faire le con – dessus, il ne va pas rechigner.

Alors à traîner dans le complexe hôtelier en cette matinée, il se trouve finalement un allié, un gosse d’une douzaine d’années armé d’un ballon qui se dirige vers l’espace dédié aux enfants, garderie réservée. A regarder l’entrée du côté piscine, les yeux gonflés par l’envie d’y aller. Grand seigneur, il va donc jusqu’à lui souffler « J’ai une meilleure idée. » que ce truc de gamins où ses parents veulent le voir s’amuser. Et l’embarquer avec lui avec une promesse de ne pas le kidnapper, juste une de s’amuser. Une fois dans la piscine tous les deux, ils abusent mais juste un peu. Se lancent le ballon, et rigolent comme deux cons.

Et comme personne ne leur dit rien, ils continuent, l’air de rien, jusqu’à ce que la balle, elle atterrisse sur quelqu’un. Il exulte un « Merde, » leur temps rien qu’à eux était donc trop beau pour être vrai, et pousse le vice jusqu’à vouloir crier un désolé, mais la silhouette qui se lève, il la reconnait – ouais reconnaitre les femmes ça fait partie de ses capacités – et cette femme là, c’est plutôt le mot sorcière qu’il faudrait utiliser afin de l’appeler. « C'est interdit de jouer à la balle ici, vous ne savez pas lire ? » En craquant un sourire, il n’est pas peu fier de sa solution, ce grand couillon, brassant l’air de ses bras en des gestes trop grands, comme pour arrêter la furie tant qu’il en a encore le temps, poussant à l’extrême son accent. « Moi espagnol, moi pas comprendre. » Une gueule d’ange, à s’y méprendre.

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Quand on a des responsabilités, on ne peut pas tout abandonner à longueur d’années. Je me flagelle presque d’être en vacances ici mais si je n’avais pas vécu cet événement perturbant avec mon père le mois dernier, je ne crois pas que je serais là. J’ai pris cette décision en dernière minute, un peu à la va-vite parce que j’étouffais à Boston. On aurait dit un lion en cage et rien de bon ne sortait de tout cela. Aucune avancée sur mes dossiers, une prise de tête constante avec les gens qui m’entourent, je ne suis pas prête - ni faite - pour cela. Ici, c’est plus fluide, l’absence de pression y est pour beaucoup. De toute façon, je sais que l’association est entre de bonnes mains et que je n’ai aucun souci à me faire pour mes clientes. La relève est là - bien que ça m’agace un peu - je dois l’accepter et relâcher un peu toute cette pression que je m’inflige. Alors me voilà à Djerba, à profiter du soleil et en soutenant ceux restés à Boston. C’est la meilleure solution que j’ai trouvée pour passer les meilleures vacances qui soient. C’est sans compter l’incivilité des gens et le manque de respect de certains. Est-ce que c’est vraiment compliqué à lire, à comprendre ? Et le pictogramme, c’est trop compliqué à comprendre ? Que je lance en espagnol, langue natale que je ne pratique pas assez, on ne va pas se mentir. Et si j’avais le reflet du soleil jusque là, mes yeux arrivent à voir la silhouette de l’espagnol. Je soupire fortement et lâche un Ça ne m’étonne même pas. Un grand gamin, un grand con. Et moi, le ballon de plage toujours sous le bras, je rêve de le crever à coup de stylo. Le petit risquerait de chouiner, les parents de râler mais s’il y a bien une personne qui se battra pour le respect des règles, c’est bien moi. Tu t’adonnes dans le kidnapping maintenant ? Valentina ne semble pas avoir eu de gamins et vu l’âge de celui-là, je doute qu’il y ait un quelconque lien de parenté entre les deux nuisibles de mon adolescence.
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21 07 2022
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Lui, il se trouve plutôt malin, mais quand il voit l’expression de la latine qui se tient toujours plantée face à lui, il a cette sensation d’être le plus grand des crétins. Mais il faut noter que ça lui va. Une étiquette qui le force à sourire, il n’en démordra pas. « Et le pictogramme, c’est trop compliqué à comprendre ? » qu’elle balance dans la langue qu’ils partagent, lui arrachant un sursaut… Passablement pour la forme. Trop compliqué, trop compliqué, ce n’est pas jusque là qu’il irait, mais il se devrait d’avouer que les indications, il les a tout bonnement ignorées. « Ça ne m’étonne même pas. » Ah ! Elle le fait enfin, le lien. Ce n’est pas trop tôt. Alors que lui, en bon amoureux de la gent féminine, il l’a tout de suite reconnu, le grain de sa peau. Même s’il appartient à une sorcière. A la lisière d’utiliser le mot mégère. « Tu t’adonnes dans le kidnapping maintenant ? » Ca c’est de bonne guerre.

D’un regard il toise son coéquipier, complice de cette matinée. « Non, » il balance seulement, un peu plus fort que précédemment, des fois qu’ils soient entendus par des gens. Il ne manquerait plus qu’il soit accusé de quoi que ce soit dans ce style là. Kidnapping sur un curriculum vitae, on ne va pas se le cacher, c’est mauvais. « mon meilleur pote a décidé de passer son anniversaire en bonne compagnie, alors je compense. » Il se fait des amis. « et ma femme se fait masser, » avec Adrianna, il est toujours bon de citer Valentina. Montrer son intérêt pour la fiancée. « Le ballon, s’il te plaît ? » et bien sur, il le fait exprès, d’être poli à l’excès. Parce qu’il est convaincu que si elle le conserve plus longtemps elle risque de céder à son évidente envie de le crever.

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Est-ce que ce moment à faire chier Manny ne reviendrait pas à me retrouver, à reprendre ce contrôle que je semble avoir perdu sur ma vie ? Je ne saurai trop dire. La seule chose dont je suis sûre c’est que là, face à lui, les pieds sur le carrelage qui entoure la piscine, le surplombant dans mon bikini, je me sens un peu plus forte que ce que je suis réellement. Je veux le mettre à plat, je veux lui faire comprendre que s’il y a des règles, ce n’est pas pour rien. Il me faut quelques secondes pour capter la gamin derrière lui, de l’autre côté de la piscine qui nous regarde avec ses yeux globuleux. Il les accumule. Il n’est pas là où il devrait être, il est avec un gamin qui n’est pas le sien, ça j’en suis sûre. Quand il répond par la négative, je ne peux m’empêcher de planter mon poing libre dans ma hanche. Vraiment ? Quel gamin sensé se barre avec un inconnu ? On l’a pas élevé ? Et si ses parents le cherchent ? Sait-il qu’il sera dans la merde et qu’ici, les kidnappeurs, on leur coupe pas que la tête ? La police a l’air de vite sauter sur les conclusions les plus folles qui existent alors je ne donne pas cher de sa peau s’il venait à se faire prendre la main dans le sac. Femme ? Ça y est, vous vous êtes passés la corde au cou ? L’intérêt est tout ce qu’il y a de plus inexistant mais j’aime savoir l’avancée de leur idylle pas si idyllique. Dire que je pensais les faire chier l’un avec l’autre mais qu’ils semblent conjuguer non sans mal. Deux chieurs ensemble, comment aurait-il pu en être autrement de toute façon ? Non. Que je réponds en plantant mes yeux dans ceux de Manny. Je ne lui rendrai pas le ballon. La piscine ne le permet pas et moi, je suis les règles. Sans compter que je vais devoir retourner travailler et je sais que s’ils sont toujours dans mon champ de vision, je ne vais pas m’arrêter une minute. Les fixer, les juger, attendre que le ballon me revienne entre les jambes pour le crever définitivement. Mon visage se redresse et je souris au gamin à côté de lui. Je voudrais la confirmation que tes parents sont d’accord de te laisser trainer avec cet homme. Un acquis de conscience. Je n’ai pas envie de me retrouver dans une drôle d’affaire. Le gamin acquiesce poliment et quand il sort de la piscine, je lui tends son ballon. Trouves toi des potes de ton âge Manny, tu fais flipper. Et pitié mais ça, je le garde pour moi, par pure politesse.
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21 07 2022
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Elle reste plantée là, mégère à le regarder. A faire comme si elle était réellement outrée. Agacée. Il est vrai que Manny ne parvient pas vraiment à le déterminer. Tout ce qu’il sait, l’espagnol, c’est qu’elle n’est pas d’humeur à rigoler. Et pourtant, peut-être que c’est un truc qu’elle apprécierait. La détente. Flash info, c’est à ça que servent les vacances. « Femme ? Ça y est, vous vous êtes passés la corde au cou ? » Non, mais il l’aime bien ce mot, c’est volontiers qu’il l’avoue. « Tu aurais reçu ton carton d’invitation. » Si jamais le mariage avait eu lieu ou avait une véritable datation.

Puis finalement lui quémander le ballon. « Non. » D’une paume, il balaie ses traits. Cette femme, elle a été envoyée sur terre pour l’enquiquiner. Plus de doute à ce sujet. Mais voilà que lui vient l’idée de s’adresser au gamin. « Je voudrais la confirmation que tes parents sont d’accord de te laisser trainer avec cet homme. » Les yeux écarquillés, il la détaille dans son entièreté, il ne l’a pas volé, ce gosse. Il l’a emprunté. C’est une nuance. « Trouves toi des potes de ton âge Manny, tu fais flipper. » C’est dans l’eau qu’il tape pour démontrer son mécontentement. Se demandant si elle parle sérieusement. Parce qu’elle, elle n’a jamais joué avec des enfants ? Non, c’est probablement trop pour la rigide qu’elle est. Puis qu’on se le dise, un mec qui sait y faire avec les gamins, ça inspire les femmes jusqu’au petit matin.

Alors il fend l’eau, pour s’en arriver à hauteur des margelles, s’accroche à ces dernières, juste à côté de ses pieds, sur lesquels ses doigts imbibés se permettent de faire couler quelques gouttelettes afin d’encore plus l’agacer. Puis en relevant le bleu de ses yeux vers sa tête, il va souligner un fait, le ton bas, pour que l’échange ne reste qu’entre eux. « Et toi, tu devrais penser à te faire baiser. » Avant de se reculer et de fièrement l’asperger. « Clairement, ça te détendrait. » Si tant est qu’elle parvienne à se trouver quelqu’un qui veuille perdre son temps à essayer de lui faire du bien.

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Le ballon coincé sous le bras, je regarde le spectacle que Manny et son petit copain de la journée m’offrent. Il n’y a rien qui va là-dedans, absolument rien. C’est désolant, affligeant même et les interrogations quant à la capacité mentale et cérébrale de l’espagnol à juger ce qui est acceptable ou non sont de plus en plus fortes. Je me suis souvent dit qu’il n’avait pas grand chose dans la tête et là, je me rends compte que je n’avais pas tort. Si pour lui, rien n’est dangereux et grave, j’ai cet instinct maternel qui me fait paniquer pour les parents de ce gamin. Et s’ils le cherchent partout ? Bien entendu, il n’y a qu’un homme - immature en plus de tout - pour ne pas y penser. Préservez la planète et ne m’envoyez rien. Parce que tout ce qu’ils vont avoir c’est une jolie absence de réponses et un papier utilisé pour rien. S’il y a bien un lieu où je ne veux jamais me retrouver, c’est à une fête pour célébrer l’union de deux personnes que je déteste. Bon, le verbe est un peu fort mais pas tant que cela quand on y pense. Et puisque la discussion n’a pas vraiment vocation à évoluer, je porte mon attention sur l’enfant à ses côtés. Le ballon rendu, le gamin en direction du lieu où il est sensé se trouver, je ne peux que lever les yeux au ciel face à la réaction excessive de l’hispanique. Un vrai gamin. Plus aucun doute là-dessus. On pourrait retourner à nos activités respectives - le kidnapping et le travail - mais je le connais assez pour savoir qu’il n’en a pas fini, le colérique. Mon regard le suit et je l’écoute, les bras croisés sur ma poitrine, l’absence totale de sentiments et d’expression sur le visage. Tu veux te coller à la tâche ? Que je souffle alors qu’il m’éclabousse. J’ai un léger mouvement de recul et secoue la tête rapidement, surprises et prête à déloger les gouttelettes qui viennent de se faire projeter sur mon visage. J’ai pas besoin de me faire baiser pour me détendre Ferrer. Et Dieu merci parce que sinon, je passerai les trois quart de mon temps à être tendue comme un string, ce qui n’est pas le cas. C’est juste qu’il fait ressortir absolument tous les mauvais points de ma personnalité. Je le déteste et il ne me porte pas dans son coeur. Rien de nouveau sous les étoiles en soit. Par contre, que tu disparaisses de mon champ de vision, ça, ça m’aiderait beaucoup. Et qu’il respecte les règles aussi, par la même occasion. En tout cas, si c’est comme ça que tu te détends, j’espère que tu te protèges parce que personne ne veut voir un mini Manolo pourrir la tranquillité des adultes dans quelques années. La cruauté des mots est prononcée mais c’est aussi la force qui est derrière. Pitié, pas de cadeaux empoisonnés à la planète, elle souffre assez comme ça.
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21 07 2022
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« Préservez la planète et ne m’envoyez rien. » Elle répond en rapport avec l’invitation, mais il est parfaitement conscient qu’ils vont l’inviter, après tout, sans elle, ils ne se seraient jamais rencontrés, alors c’est la moindre des choses que de lui réserver une place de choix pour qu’elle puisse assister à cette merveilleuse journée.
Et finalement, elle renvoie la balle à son copain du jour, si bien que lui s’approche et se permet d’observer de l’espagnole les atours. Il ne se fait pas prier pour lui balancer l’option qui prime dans le tumulte de ses pensées, un véritable cliché. « Tu veux te coller à la tâche ? » Et durant une seconde il en craque un sourire carnassier, parce qu’il se doit d’être honnête, l’idée n’est pas pour le déplaire, c’est vrai. Surtout si c’est pour la détendre, après tout, malgré les différences de caractère, et le fait qu’elle apprécie lui faire vivre un enfer, il est toujours d’accord pour aider. « J’ai pas besoin de me faire baiser pour me détendre Ferrer. » Peut-être pas « besoin » mais ça aide, il en est certain. « Par contre, que tu disparaisses de mon champ de vision, ça, ça m’aiderait beaucoup. » Oui, sauf qu’il aime beaucoup trop être en contradiction avec ses envies, le Manny. Bien au contraire, il s’envisage encore plus présent à ses côtés, intérieurement, ça le fait d’avance marrer. « En tout cas, si c’est comme ça que tu te détends, j’espère que tu te protèges parce que personne ne veut voir un mini Manolo pourrir la tranquillité des adultes dans quelques années. » Aïe. Touché. Cette fois, c’est une grimace qu’il lui fait, totalement incontrôlé. « Je suis trop jeune pour ça. » Un gosse qui en fait un, c’est une équation qui ne fonctionne pas. Mais pour la beauté de leur relation, il se propose au moment de s’assoir sur le rebord de la piscine après une pulsion de ses bras. « Mais si t’as envie que j’œuvre pour toi. » Après tout, elle lui avait bien proposé de se coller à la tâche. « Une pierre, deux coups. » La détente et l’enfant. Manny, il est comme ça, il s’offre généreusement.

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Il y a bien trop de sentiments qui me traversent quand je vois le jeune homme et on ne va pas se mentir, il n’y en a aucun de positif. Je le déteste. Son regard arrogant, cet aura de supériorité qu’il dégage alors qu’il pourrait juste redescendre de son nuage. Il n’est pas au-dessus des lois et ne le sera jamais. Monsieur personne, clairement creepy, qui se prend pour le Dieu qu’il n’est pas. Fatiguant et désolant, voilà comment je le perçois, l’espagnol. Il paraît qu’à l’étranger, toutes les personnes d’une même nationalité sont censées s’aider, se soutenir et faire bloc mais avec lui, ça n’arrivera jamais. À moins que ce soit sur sa tombe, qu’on se retrouve. Et puisque je le maudis mais connais son côté enfantin et vengeur, je me refuse à lui tourner le dos pour retourner à mon transat et repartir dans mes travaux. Marcher en moonwalk n’est pas quelque chose que je connais alors je reste là, plantée devant lui, les bras croisés au niveau de la poitrine. Trop jeune ? T’as vingt-sept ans, pas dix-sept. Dans sa tête peut-être mais sur le papier, il a clairement l’âge d’avoir un gamin. Il y a tellement de monde qui a un enfant avant cet âge. Mais il n’est visiblement pas prêt et c’est donc quelques années de répit que nous avons tous devant nous. Amen ma soeur ! Et à sa proposition, je grimace. C’est une torsion de dégoût qui me prend de part en part. Attends, je reviens, je vais vomir. Que je dis avec un sourire pincé. Je lève les yeux au ciel et le regarde, toujours droite comme un piquet à côté de lui. Je passe mon tour. Je ne veux pas d’enfants, pour commencer et encore moins avec lui. J’ai pas besoin d’un enfant pour que ma vie ait un but. Que je dis, comme pour lui dire que cette partie, je la refuse catégoriquement et pour la proposition. Et je préfère encore mourir que de coucher avec toi Manny. Au moins les choses sont claires, nettes et précises. Un peu poussées, excessives même mais c’est la vérité. Valentina est au courant que tu proposes à des femmes de coucher avec ? Est-ce qu’elle t’exploite parce que sa carrière ne décolle pas comme elle le voudrait ? Cliges deux fois des yeux si tu es en danger. Faussement inquiète, je risque juste de le pousser avec mon pied dans la piscine pour le noyer et retourner à mes activités. Exploité ou pas, je n’en ai rien à faire. Au moins, c’est clair.
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21 07 2022
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Rien que sa posture transpire la frigidité. Ce n’est pas normal d’être aussi raide à trente balais. Alors oui, clairement, Manny, il le préfère, et de loin, son état d’esprit. « Trop jeune ? T’as vingt-sept ans, pas dix-sept. » Et puis ? Il doit vraiment lui expliquer que les hommes peuvent se reproduire même s’ils sont âgés ? Les cours d’éducation sexuelle, il veut bien les lui donner. Mais avant les cours, il se propose pour des travaux pratiques, parce qu’on apprend toujours mieux en le réalisant. Sauf qu’elle n'est pas coopérative, forcément. Elle se tord en une grimace, et l’espagnol, dans le fond, ça l’agace. « Attends, je reviens, je vais vomir. » Pourtant, il n’a encore rien mis dans sa bouche, mais ça pourrait venir. Suffit de demander, il n’aimerait pas qu’elle soit affamée. « Je passe mon tour. » Tandis que lui se retient pour lui souligner qu’elle ne le fera pas toujours. « J’ai pas besoin d’un enfant pour que ma vie ait un but. » Alors, ce n’est pas ce qu’il a dit, il ne l’a même pas sous-entendu, mais c’est elle qui semblait vouloir à tout prix se lancer dans cette cause perdue. « Et je préfère encore mourir que de coucher avec toi Manny. » Comme s’il avait la lèpre, il en secoue par la négativement, dépité, la tête. Se convainquant qu’elle ne sait juste pas ce qu’elle rate. Parce qu’avec Manny, au lit, c’est toujours l’éclate. Sauf qu’elle pointe à nouveau le doigt vers sa fiancée et qu’il reste silencieux face à cela. « Valentina est au courant que tu proposes à des femmes de coucher avec ? » Oui et non, mais ce ,’est pas avec elle qu’il compte en parler, il lui semble qu’elle est déjà bien placée sur la liste des gens se donnant le droit de le juger. « Est-ce qu’elle t’exploite parce que sa carrière ne décolle pas comme elle le voudrait ? » Les mâchoires serrées, tendu comme il ne l’est quasiment jamais. « Clignes deux fois des yeux si tu es en danger. » Saloperie…. Mais malgré tout, il se met à en rire, plutôt que de s’énerver, avec elle, il vaut mieux choisir l’option d’en plaisanter. Toujours assis à côté d’elle, il relève ses prunelles en hauteur afin de mieux la regarder, toujours autant pincée. « Je vais très bien, merci de t’en soucier. » il se permet de souligner, et se fait aventureux lorsque sa paume s’enroule autour de sa cheville sans aucune douceur, et demande, railleur. « T’as pas envie de te rafraîchir les idées ? » Il va t’apprendre à glaner que tu préfèrerais mourir plutôt que d’être, par lui, touchée.

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