mon monde est plus beau si tu en fais partie (maxime)

Hier soir, on a fait les folles avec Flora, l’hôtel étant au bord de cette piscine, on a bien profité de notre après-midi et de notre soirée. Ce matin, c’était une sorte de grasse matinée, enfin avec quelques heures de sommeil en plus qui ne m’ont pas fait de mal. Je m’étire, je pense à ma journée qui arrive, et je souris dès le réveil. Je te retrouve enfin, après ton accident, après des jours où on aurait dû passer cette journée ensemble sur Boston, vivre au grand jour. Je n’ai pas le mieux vécu ton accident en France, voulant être à tes côtés pour t’aider, être là pour prendre soin de toi. Sauf que tu m’as fait comprendre qu’il y avait déjà ta famille, et ta meilleure amie entre guillemets vu ce qu’elle représente pour toi, et que tu n’avais pas forcément besoin de moi. Une part de moi a eu du mal à encaisser ce genre de chose, mais je ne t’en tiens pas rigueur pour autant, tu était à l’hôpital, et c’est toi qui était mal en point, je n’ai pas à me plaindre de quoi que ce soit. Puis il y a eu notre appel, un moment rien qu’à nous, dépassant ce que je suis capable de faire. La confiance, c’est facile avec toi, alors je me suis laissée porter, puis le moyen était bon pour te changer les idées.
Aujourd’hui, c’est direction la piscine où j’étais la veille où on allait passer un bon moment ensemble. Bikini, simple paréo nouée autour de la taille, espadrilles compensées pour embellir la tenue, un chignon en guise de coiffure, je descend avec cinq minutes de retard à l’accueil de l’hôtel pour te retrouver. Un pincement au cœur quand je te vois avec ta béquille tout de même. « Je ne t’ai pas trop fait attendre ?» Je me rappelle de nos messages dans la matinée, et on peut dire que ça me fait doucement rire. Il faut dire que tu ne m’as pas aider pour que j’arrive à l’heure, et que juste cinq minutes de retard, ce n’est pas si mal finalement. « J'espère ne pas être punie trop longtemps pour mon retard. » Je m’approche, déposant un baiser à la commissure de tes lèvres. C'est une bonne façon de se faire pardonner. « ça va aller pour aller jusqu’à la piscine ? » Espérons vite qu’on trouve deux transats pour se poser, je ne voudrais pas que tu es à faire des kilomètres autour du point d’eau pour se poser.

Les échanges de messages avec Maxyne me fait rire. On se taquine bien évidemment. Je ne compte pas repartir dans ma chambre ce soir. Je sais que j'aurais pas envie de la laisser. On s'est pas vu depuis un moment. Avec mon prolongement en France et mon accident, on ne s'est pas vu. A part à travers nos téléphones où on a partagé un petit moment intime. C'était bien. Vraiment bien. Mais là ça sera encore mieux parce qu'on sera ensemble tous les deux. Je vais juste devoir faire attention à ma jambe. Mais ça va le faire. Je l'attends donc dans le hall de l'hôtel, assis sur un canapé pour éviter de trop fatiguer ma jambe. Le but est de profiter de cette journée, donc je vais éviter de me fatiguer inutilement. Je souris finalement en la voyant arriver vers moi. Je prends alors appui sur ma béquille pour pouvoir me lever. Un peu, heureusement j'ai pu m'asseoir. Que je dis en souriant amusé alors que je la vois se rapprocher de moi pour pouvoir déposer un baiser au bord de mes lèvres. Ca me plaît. Ca m'a manqué. Ce contact m'a manqué. Je suis content de la revoir. T'inquiète ça va aller, mais fait moi un calin avant. Que je dis en ouvrant mes bras pour pouvoir l'accueillir contre moi. Je souris à ce contact. Ca m'avait manqué, je dois bien l'avouer. Tu m'as manqué Maxyne.. On s'est retrouvé à travers une vidéo, mais ce n'est pas pareil.

Je te retrouve alors que tu es assis sur un des canapés du hall d’entrée. Je m’en veux presque de t’avoir fait attendre, même si c’est un petit peu ta faute dans le fond. Je t’avais demandé de ne plus m’envoyer de messages pour avoir le temps de me préparer, et tu m’as taquiné, continué avec ses messages. Je ne cache pas que ça m’a fait rire, que je m’en suis amusée. On a une très bonne complicité que je n’ai avec aucun autre homme. Pas même avec mes frères. Des échanges de messages comme ça avec toi, j’en veux des centaines et des centaines toute ma vie. Je me permet de venir t’embrasser au coin des lèvres. Il se peut que ma famille soit dans le coin, mais on s’était dit qu’on arrêter de se cacher de nos familles, et surtout de la mienne. Puis j’aime ce contact. « Si tu insistes.» Je souris, et sans perdre un instant, je viens me loger entre tes bras, enroulant les miens autour de ta taille. Je ferme les yeux, respirant ton parfum. Dans ce petit être qu’est le mien, des images angoissantes que cet accident de voiture aurait pu être fatal me traverse. Un monde dans lequel tu n’es pas, n’existe pas. Pas dans le mien en tout cas. « Toi aussi tu m’as manqué. Tu ne réalises pas comme ça a été dur de ne pas venir te rejoindre.» Je te le redis, car je te l’ai déjà dit au téléphone, je veux juste que tu en prennes réellement conscience que j’ai dû prendre sur moi. Promis, après cette phrase, je ne dirai plus rien là dessus. « On y va ? » Je me pose à tes côtés, passant un bras autour de tes hanches. « Je t’autorise à me tenir à moi pour éviter plus d’effort.» Je ris, en prenant la direction des bassins d’eau. « On se pose autour des petits bassins, je ne voudrais pas que tu te noies en voulant mettre tes jambes dans l’eau. » De la taquinerie, encore et toujours. Prendre une Maxyne dans sa vie, c’est l’assurance d’avoir une vie où on ne s’ennuie pas.

Je suis de la retrouver. J'ai refusé qu'elle vienne me rejoindre en France, à l'hôpital, parce que ça n'aurait servis à rien. Mes parents étaient là. Cassiopée aussi l'était. Je voulais juste qu'elle aille au Summer Camp et qu'elle profite des premiers jours là bas. Je tentais de la rassurer comme je pouvais. Mais sa présence m'a quand même manqué. Son. contact m'a manqué donc forcément je réclame un calin. J'ouvre mes bras pour pouvoir la serrer contre moi. Ca fait un bien fou. Je la garde contre moi. Je profite de ce contact. Et je suis content de pouvoir faire ça ici. Sans avoir à se cacher. Marre de se cacher à nos familles, surtout à la sienne. Je sais Maxyne, mais c'était mieux ainsi... Je voulais pas que tu me vois comme ça à l'hôpital. Et puis j'étais bien entouré. J'ai aussi eu envie d'éviter tout problème entre elle et Cassiopée. Et puis maintenant que je suis au Summer Camp, on va pouvoir en profiter tous les deux pour se voir de temps en temps et profiter tous les deux. A ma béquille ça va pas être évident, mais je fais de mon mieux. T'inquiète avec la béquille ça va. Disons que je commence à m'y habituer. Et on commence par s'avancer vers la piscine doucement, à mon rythme. Va s'y fout toi de moi. En vrai la piscine y a rien de mieux pour rééduquer ma jambe. Que je lui réponds alors que je vois deux transats face aux escaliers de la piscine. Parfait. Je finis par m'asseoir dessus. J'en peux déjà plus de boiter comme ça. Que je dis en soupirant alors que je finis par retirer mon t-shirt. Je te mets de la crème, je voudrais pas que tu crâmes au soleil.

Je hausse les épaules une dernière fois quand tu me dis que c’était mieux pour que je ne te vois pas comme ça à l’hôpital. L’histoire de ma vie, qu’on pense à ma place. Cela fait partie des raisons de mon départ pour Londres après le baccalauréat. J’ai toujours pensé comme on a voulu que je pense, formaté depuis ma plus tendre enfance avec l’éducation que l’on a eu. Je ne crache pas sur le fait qu’on est eu une éducation plus que correcte, faisant de moi une jeune femme de principes et de valeurs. Néanmoins, je ne veux plus qu’on pense pour moi maintenant, je suis assez grande pour prendre mes propres décisions. Je ne veux plus en parler, et profiter de l’instant avec toi. L’accident aurait pu être plus dramatique, et on n’aurait très bien plus ne plus avoir de moment à nous. Direction le bord de la piscine, doucement, forcément avec ta béquille, on ne peut pas faire un marathon. Puis on a le temps de toute façon. « Me moquer ? Moi ? Jamais.» Je lève les deux mains en l’air, faussement innocente. « C’est vrai que la piscine, c’est l’idéal. Je savais bien que je pourrai être ton médecin à un moment ou un autre.» que je dis en rigolant alors qu’on finit par trouver des transats pour se poser, pile poil au bon endroit en plus. Je pose mes affaires, laissant l’essentiel dans mon sac, comme mon téléphone, me déconnectant totalement le temps où l’on sera ensemble. « ça va aller Max, promis. On va rester tranquille aujourd’hui. » ça me peine que de savoir que tu en marres, et si je pouvais prendre ta douleur, je la prendrai sans hésiter. Je me place dos à toi quand tu me proposes de mettre de la crème. « Je ne dis pas non, la peau blanche et le soleil d’ici ne fait pas bon ménage.» Je te tend le tube de crème avant de reprendre. « C’est toi le malade, et c’est moi qui est le droit à un massage.» Je ne refuse tout de même pas, avoir tes doigts qui se baladent sur ma peau, c’est toujours un moment de plaisir.

Déjà me retrouver dans ce lit d'hôpital c'était dur et j'avais pas envie de me montrer dans cet état là face à Maxyne c'est tout. Déjà l'être devant Cassiopée et devant mes parents c'était dur. Parce que j'étais loin d'être ce mec fort et dur que je suis d'habitude. Là c'était tout le contraire. Je voulais pas l'inquiéter encore plus. Je préfère qu'on se voit ici. Au Summer Camp. je ne suis pas au top de ma forme, mais je me sens quand même beaucoup mieux. J'ai le smile, je suis content d'être là. Mais c'est vrai que ma béquille commence sincèrement à m'énerver. Mais j'ai pas le choix. J'arrive à peine à plier ma jambe sans grimacer. Mais dans la piscine ça va me faire du bien. Tu vois je vais pouvoir me rééduquer tout en passant du temps avec toi. Que je lui réponds alors qu'on finit par trouver deux transats face à la piscine. Parfait. J'installe ma serviette comme je peux pour ensuite retirer simplement mon t-shirt et venir m'asseoir sur le transat. Je sais oui, mais j'ai hâte que ça aille mieux. J'aimerais que tout aille plus vite, mais malheureusement on ne décide pas. Je vais devoir prendre mon mal en patience. J'aimerais pouvoir visiter, faire la fête. Mais rien de tout ça. Enfin si faire la fête je peux, assis sur une chaise. Je lui dis de s'installer entre mes jambes pour que je puisse lui mettre un peu de crème dans le dos et surtout les épaules. Oui mais si je te mets pas de crème, tu vas souffrir. Que je dis en rigolant alors que je prends le tube de crème solaire pour ensuite mettre sur ses épaules et son dos et commencer à l'étaler, prenant le soin de couvrir chaque centimètre de sa peau. Va falloir faire la même chose avec moi hein. Mais je sais qu'elle va le faire. Bien que je ne crains pas le soleil. Merci à mes origines espagnoles.

Dit comme ça, cela sonne bien à mon oreille. Tellement heureuse de pouvoir enfin me sentir utile à tes côtés. J’aime l’idée qu’on puisse allier les deux, améliorer ta santé, et qu’on passe du temps ensemble. Pendant un petit instant, mon regard se perd sur ton torse quand tu retires ton tee-shirt. Forcément, je profite de la vue que tu m’offres, la piscine, je l’ai déjà admiré la veille. Revenant à la réalité quand tu me parles de ta jambe. «Chaque chose en son temps, ça ira mieux, mais patience.» Plus facile à dire qu’à faire, j’en ai conscience bien que je n’ai jamais été à ta place. Je m’installe entre tes jambes, mes mains se posant de chaque côté de mon corps, me détendant en même temps que tu mets la crème solaire. « C’est adorable de vouloir prendre soin de moi.» J’en ris, bien que c’est un geste naturel chez toi. S’il y a bien une chose qui te défini, c’est ta gentillesse. Même s’il n’y a pas que ça. Les yeux fermés, j’aime sentir le contact de tes doigts qui glissent sur chaque parcelle de ma peau. Ce n’est que de la crème solaire, rien de sous-entendu, mais qui sont agréables tout de même. « Je ne vais pas m’en priver. » que dis-je avec toute la spontanéité qui me correspond. Je patiente que tu termines de mettre la crème dans mon dos avant de me lever pour me mettre derrière toi. « Comme si tu en avais besoin.» me penchant pour te dire cela, la tête dans ton cou, comme si je te murmurais un secret. Je ne peux m’empêcher de sourire en prenant le temps de te mettre la protection solaire, ton dos, remontant vers tes épaules. Bon d’accord, je vais jusqu’à passer au dessus des épaules pour aller jusqu’aux pectoraux, la poitrine collée à ton dos. Je ne suis pas forcément une séductrice, mais avec toi, les choses se font naturellement. « Monsieur est paré pour aller à l’eau je pense.» me stoppant dans mes mouvements. Je me sépare tout de même de ton corps pour finir de me mettre de la crème sur le reste des parties de mon corps, comme mes jambes, mon ventre, ou encore ma poitrine.

En réalité il n'y a rien de mieux que la piscine pour rééduquer ma jambe. Donc m'aider dans ma rééducation tout en passant un bon moment avec Maxyne, c'est juste parfait. Ca me plaît beaucoup. Mais j'ai hâte d'être libéré de ce mal de jambe. Parce que à part aller à la piscine, je suis capable de rien. Je ne peux rien faire. Je ne peux même pas visiter les lieux. Je sais oui, mais j'aimerais profiter du Summer Camp avec les visites. Et je ne peux pas. Je suis incapable de marcher plus de 30 minutes sans avoir mal. Et là chaleur ne m'aide pas forcément aussi. Je la laisse venir s'installer entre mes jambes alors que je m'occupe de lui mettre de la crème solaire dans le dos et évidemment j'en profite pour faire un mini massage aux épaules. Et une fois la crème étalé et son corps massé, à elle de s'occuper de moi. Je ne bouge pas et je la laisse venir s'installer derrière moi. Bah oui bronzé veut pas dire qu'il ne faut pas me protéger hein. Que je lui réponds en souriant amusé. J'ai de la chance à bronzer rrelativement vite et étant donné que je ne fais que ça depuis le début du Summer Camp, forcément j'ai pris de belles couleurs. Je la laisse alors s'occuper de mon dos et rapidement je sens ses mains passer devant, sur mes pectoraux alors que sa poitrine se colle à mon dos. Evidemment que ça me plaît. Go alors. Je prends un peu d'avance hein. Je souris amusé alors que je prends ma béquille et que je m'avance doucement vers les escaliers de la piscine. Je me tiens ensuite à la rampe pour pouvoir descendre quelques escaliers et ensuite m'y asseoir. Rien que ça c'est un effort. Voilà ma routine depuis que je suis ici.

« Dès que tu vas mieux, je te promet qu’on reviendra ici pour que tu puisses voir tout ce que tu n’as pas eu l’occasion de faire.» Ce n’est pas comme si toi, ou moi, on manquait d’argent pour aller et venir comme bon nous chante. L’avion n’est clairement pas une partie de plaisir pour moi, ma peur des immensités est un vrai supplice comme dans les trajets aériens. Je trouve tout de même de quoi me détendre, à coup anxiolytique, musiques, et par exemple à l’allée, j’ai eu Céleste qui s’amusait à m’envoyer des selfies grimace qui m’ont détendus. Je suis tout de même prête à me mettre dans le mal pour toi pour revenir ici avec plusieurs heures de vol entre Boston et l’Égypte. Je m’installe entre tes jambes pour une séance massage à la crème solaire, avant de faire de même avec toi. « Parle pour toi, même avec de la crème solaire, je passe du blanc au rouge, avant d’être un minimum bronzé.» Je n’ai pas la chance d’avoir tes origines, au contraire, les miennes viennent quasiment toute du nord de l’Europe. Hormis ma mère et ses origines italiennes, qu’elle ne semble pas m’avoir transmisse. Maintenant qu’on est près à s’exposer, c’est parti pour aller dans la piscine. « Je te dirai bien que le premier dans l’eau ‘sa mère est une grenouille’ mais ça ne serait pas du jeu pour toi.» que je dis en rigolant en avançant pour rejoindre la piscine en sautant dedans une fois proche du bord, te laissant le temps de t’installer sur les marches.  Il fait tellement chaud que c’est un plaisir d’être dans l’eau. Ça me fait de la peine de te voir comme ça, on sent que tu es lassé, que tu en as marre. Sauf que je n’ai pas envie que ça soit encore une journée monotone pour toi, à être là et regarder les autres. Je profite d’être face à toi un peu plus dans l’eau que toi pour avoir l’eau jusqu’aux hanches, je passe mes mains sous l’eau pour les ressortir rapidement afin de t’éclabousser. Je ris aux éclats devant ma bêtise. « C’est pas ma faute !» que je m’exclame faussement honteuse. Aujourd’hui, pas question que je te donne des raisons de t’apitoyer sur ton sort.

Fait. gaffe je vais te prendre aux mots hein. Que je dis en souriant amusé. Ca me fait plaisir qu'on ai réussis à garder cette complicité elle et moi. Malgré la distance qu'il y a pu avoir entre nous deux. Elle a Londres, moi ici à Boston. Quand on se voyait, c'était comme si on ne s'était jamais vraiment quitté en réalité. C'est aussi ça les belles amitiés. Pouvoir compter sur l'un et l'autre malgré la distance. Et maintenant qu'elle reste à Boston, on va pouvoir se voir encore plus souvent et partager des moments ensemble. Là j'en profite pour lui faire un petit massage tout en lui appliquant de la crème solaire. Ah bah écoute, pas de ma faute si j'ai hérité de mes origines espagnoles. Que je lui réponds en souriant. Ca me sourire. Parce que je sais qu'elle a tendance à attraper des coups de soleil, tout le contraire de moi. Moi je bronze directement. Les coups de soleil c'est plutôt rare. Enfin on finit par se lever pour pouvoir aller dans l'eau et je fais comme je peux avec ma béquille. En effet ça serait de la triche Lurton. Que je dis en rigolant alors que j'arrive finalement aux marches de la piscine. Maxyne est déjà dans l'eau et je la vois revenir vers moi, alors que je descends quelques marches pour ensuite m'asseoir dessus. Ca m'aide quand même à me rafraichir. Heureusement que je ne suis pas plâtré, sinon ça serait encore pire. Je la vois revenir vers moi et je rigole alors qu'elle décide de m'éclabousser. T'as de la chance que je sois à moitié handicapé. J'en rigole alors que je tente de me défendre en l'éclaboussant en retour. je ne peux rien faire de plus. Sinon je me serais jeté sur elle, pour la soulever et l'envoyer plus loin. Fait gaffe je vais monter sur ton dos et tu vas m'emmener nager. Je rigole rien qu'en imaginant la scène.