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I paint the ceiling so that you know (tw)

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mardi 21 juillet, caesar's Année clôturée et la fatigue d'un avenir incertain, des heures passées à trouver ce maudit stage mais, enfin, la perspective d'une soirée agréable qui frappe à la porte. Besoin de le retrouver dans ces bras qui sont miens, le besoin de lui plaire, de lui faire plaisir. Doux son de ses phalanges contre la porte, je m'emballe à courir jusqu'à m'écraser sur la poignée.
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Dégaine inassortie, pas une matière qui correspond à une autre. Fringues destinées à tomber trop rapidement une fois cette porte passée, pourquoi prendre le temps de les sélectionner avec soin ? Une idée à la con, de la peinture, un tableau, peut être plusieurs. Ça sent le sol taché à tout jamais et des traces qui restent indélébiles sur votre peau indiscrète. Subtile intention dévoilée de peindre nu. Persuadé que les plus grands peintures aux esprits lunaires le font, non ? Tu passes cette porte, une main qui s’écrase grossière sur le cul de Caesar, claque à la volée, comme une habitude. Je veux peindre à poil ok, c’est pas pour que tu me sautes dessus sauvagement en moins de deux minutes. Tu ricanes. Après vingt minutes c’est bon.

@Caesar Falls
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mardi 21 juillet, caesar's "Genre c'est ma faute si t'es sexy à ce point ? Puis de toute façon, tu sais même pas ce que j'ai prévu exactement." Un air grognon et les sourcils qui se froncent. Pas trop longtemps au final parce que l'excitation reprend sa place. Coeur qui palpite bien vite et je vais jusqu'à sautiller dans la pièce derrière le salon. Celle dont la porte est toujours restée fermée en ta présence. "Tadaaaam !" Un bâche blanche sur le sol et deux chevalets l'un en face de l'autre.
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Tu sais pas ce qu’il a prévu, mais tu le connais. Comme l’évidence improbable de le connaître quasiment par cœur depuis le début. Sans jamais se poser de question, sans jamais douter un seul instant. Tu le connais, tu sais qu’il va finir par te sauter dessus, que ce brasier qui s’engouffre dans vos entrailles ne s’éteint pas quand vous êtes ensemble. Tu le suis dans l’autre pièce, ton corps passe la porte quand tes yeux se posent sur sa mise en place. Tu ricanes. Ha ouais, t’as tout prévu. Quelques pas pour atteindre les chevalets et tes phalanges extirpent les toiles de leur support pour les poser au sol. Si tu veux peindre avec ton cul c’est quand même mieux au sol non ? Tu commences à retirer ce t-shirt, tissu passé au-dessus de ton visage, jeté au sol. Tu sais qu’il existe des kit exprès que tu mets sur ton lit, peinture comestible et tout , toile souple et genre.. tu fais l’amour dessus et ça te fait un tableau.. d’amour ?


@Caesar Falls
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mardi 21 juillet, caesar's Des kits ? C'est si peu me connaitre Escamilla. Pourquoi acheter quand je peux le faire de mes propres mains ? Pourquoi pas y jeter un morceau de coeur avec quelques soupçons de colorant ? Les phalanges qui s'éprennent de quelques pots disposés sur le bureau de l'entrée de la salle pour que les doigts plongent avant d'atteindre mes lèvres. "Qui a dit que j'avais pas de peinture comestible ?" Lippes qui viennent attraper les tiennes mesquinement, sourire gravé quand je prends encore un malin plaisir à lécher tes pulpeuses. "Bon. Tu commences ?" T-shirt qui s'envole à l'autre bout de la salle pour s'écraser contre le mur.
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L’idée même de faire l’amour une drap étendue au sol, couvert de peinture, de créer une œuvre d’art subtilement incompréhensible, aguiches bien trop ton âme. Tu veux graver votre amour, graver votre passion sur le sol. Tu veux sortir l’anecdote de ce que ça représente quand des gens trop coincés du cul vont venir manger chez toi. Ses lèvres viennent t’embrasser, pleine de yaourt. Mine écœurée, bouche pâteuse. Bordel pourquoi t’as pris de la mangue ? Son t-shirt qui s’extirpe pour laisser découvrir un torse dévêtu. Ton regard qui s’abaisse sans discrétion. Ok… T’es inspiré par quoi ? Tes doigts plongent dans le le rouge, tu t’abaisses au sol.. une bite. C’est de l’art regarde ! Fais les poils.

@Caesar Falls
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mardi 21 juin, caesar's Et pourquoi pas ? Pourquoi ne pas dessiner de nos corps nos besoins si charnel, pourquoi ne pas créer de nos doigts les interdits d'une société qui ne veut pas totalement de nous sans savoir encore qu'un mois plus tard, on sortira de derrière les barreaux pour juste un baiser. J'vole tes lèvres, j'rigole de tes remarques "Et je le fais comment le orange ?" J't'embrasse une fois de plus avant de retirer le haut le sourire coincé aux oreilles. J'vois tes mains déjà foncer dans le liquide un peu visqueux pour y dessiner ... Oui bingo, c'est de ça dont j'ai envie. Prépare toi à avoir les vêtements tachés quand je te balance une coupelle sur le torse que j'étale à peine au dessus de ton caleçon. Je te pousse jusqu'à ce que ton dos frappe le sol. Les mains pleines de vert menthe sur le drap qui en prend la forme. "Par ça..." que je te souffle les iris plongés dans les tiens. "J'suis inspiré par toi là ..."
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@Caesar Falls

Tes doigts qui glissent le long du papier, tentent d’étaler ce yaourt odeur pisse de chat pour dessiner ta bite. Gamin de douze ans dans un corps un peu plus grand. Tu te retrouves sur le dos, frisson qui parcours ta colonne quand ses doigts chlorophylles tracent des traits abstraits sur le bas de ton torse. Un instant sans parler, seulement écouter ses mots qui percutent tes pensées. Redressé sur tes coudes, le reste du corps toujours allongé au sol. Tu ricanes, cette fois. Ha non mais y’a malentendus, moi j’voulais juste dessiner une bite. Oui et non ? Ton visage de fige, on pourrait presque voir cette ampoule au-dessus de ton crâne. Ho putain j’ai une idée. On a qu’à faire des pochoirs avec la nôtre ? Ok, cette fois c’est réel, l’âge mental n’a jamais augmenté avec le temps.
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mardi 21 juin, caesar's Besoin irrémédiable de toi, te retrouver, parfois, toi, ton corps, ma possession, ce dont j'ai besoin pour survivre à une journée trop sainte. L'envie de s'amuser aussi sous des rires enfantins quand nos corps se plongent de couleurs ratées dans des yaourts trop frais. Tu ne grimaces pas, peut-être tentes-tu de paraître fort quand mes doigts, rafraichis par la pâte colorée, s'écrasent sur tes flancs. Pourtant, là, à quelques centimètres vers le bas, l'ogre grandit. Il prend de la place et sur mes lèvres, mes dents s'accrochent pour refreiner ce désir grandissant. "Je suis pour les pochoirs. Par contre, j'pensais que c'était pas une option ! Enlève moi ça." Mots strictes, ils sont mesquins quand ils sont dit de cette façon, entre des lèvres tirées en sourire. Les doigts s'accroche à ton dernier habit avant de le faire voler en l'air. "J'ai putain d'envie de toi Matian."
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@Caesar Falls

Dans ses yeux, tu as l’impression d’être tellement plus que ce que tu n’es vraiment. L’impression de compter d’être attirant, d’être bien plus que ce Matian qui voulait crever à coup d’un surplus de médicaments. Ton cœur vrillé avant, des les antres sombres, presque à l’agonies de savoir si un jour ou l’autre tu trouverais cette personne qui te fait sentir si mieux. Ses mains sont sur toi, peau contre peau, lubrifiant yaourt mangue par-dessus les cicatrices. Tu souris bêtement quand tes billes fixent les siennes, son visage, les traits de ses lèvres. Il te veut toi, uniquement toi. Tu te sens, si important, totalement nue dans du yaourt, une toile à même le sol. Tes phalanges s’aventurent dans ses cheveux, derrière une oreille, quand l’autre emprunte les chemins chaotiques sur le bas de son torse, cette peau fragile avant celle bien trop sensible. Caresses subtiles. Est-ce que tu te rends au moins compte de tout l’effet que t’as dans ma vie, hm ? Comme un murmure qui s’extirpe d’entre tes lèvres. Je suis pas sûr que tu saches à quel point.
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