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Galio + Chapitre Un

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Les premiers rayons du soleil font leur apparition lorsque tu quittes la taverne. Tu plisses les yeux, rabattant ta capuche sur tes mèches éparpillées en quête d'une once d’obscurité. Tu as du mal à tenir sur tes pieds, corps qui tangue de gauche à droite tel un matelot sur son navire un soir de tempête. T’as perdu tes cigarettes, pareil pour ton briquet, la seule chose à laquelle tu puisses te raccrocher est cette foutue clôture en métal qui entoure l’édifice. Tu prends appuis sur tes avant-bras, visage incliné vers le sol. T’es à deux doigts de gerber. ‘’ Fait chier. ‘’ Mais c’est plus fort que toi, tu te mets à rire. Comme ça, pour aucune raison. ‘’ Siri, compose le numéro de Soraya. ‘’ Tu bafouilles quelques mots désordonnés en espérant que tout fonctionne, mais rien. ‘’ Saloperie. ‘’ Ta patience s'effrite et le manque de nicotine se fait sentir. La rue est déserte, tous tes potes t’ont abandonné et toi t’es là à chercher ton portable dans ce que tu crois être la poche de ton pantalon. Ça te prend une éternité avant de réaliser que ce jeans n’est pas le tien et lorsque tu lèves enfin les yeux tu remarques une silhouette familière. Les contours de son visage ne sont pas très nets, son nez semble beaucoup plus gros qu’à l’habitude, mais malgré l’illusion causée par l’alcool, tu as la certitude qu’il s’agit bel et bien de lui. ‘’ Gal?!?’’ Tu le dévisage, à la fois surpris et curieux de savoir ce qu’il fout dans la rue à cette heure.

@Galahad Jackson
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Soirée plus longue que prévu, parce que toi, tu voulais pas passer une nuit blanche, mais t’avais été entrainé par tes potes de promo pour fêter la fin de l’année. Une soirée bien arrosée pour eux, toi, tu restes toujours dans le contrôle, buvant bien plus de cocktail sans alcool que de spiritueux. Alors ouais, tu tiens la distance alors que tu les vois s’enivrer de plus en plus devant des yeux. T’aurais pu faire une exception, mais tu sais qu’avec eux une exception devient rapidement une habitude. Ils te reprochent ton sérieux, mais en même temps, ils sont ravis de toujours pouvoir compter sur toi quand il faut rentrer de soirée ou encore conduire quand la soirée est loin du centre ville. Puis toi, tu t’amuses même sans boire, tu collectionnes les dossiers sur eux sans qu’ils s’en rende compte. Puis lors de la soirée, ton regard l'a remarqué. Elio, celui qui est devenu ton ami par obligation. Tu l'observais discrètement, le voyant tout comme tes potes s’enfoncer dans la boisson. Comme toujours, tu vas aussi garder un œil sur lui, à distance.

La soirée se passe, tu t’amuses, t’auras de bonnes encores et tu pourras te moquer de tes potes demain, mais là t’as surtout besoin d’aller vider ta vessie. Tu t'éclipses alors pour aller te soulager. La fatigue commence à se faire sentir. Demain, t’iras probablement pas courir, tu resteras chez toi pour récupérer de ces conneries. Quelques minutes et tu ressors. Ton regard cherche tes potes, ils sont toujours là à faire les cons et draguer quelques minettes, certains sont déjà partit avec l’une ou l’autre demoiselles probablement tout autant alcoolisé qu’eux. Tu balaies la salle qui, tu le remarques enfin, c’est vidée petit à petit. Un absent se fait remarquer et pourtant avant de franchir la porte des toilettes, t’es certain qu’il était encore là. Tu t’approches de tes potes, vide ton verre dans lequel ils ont foutu de l’alcool pendant ton absence. Les salauds. Ça te brûle la gorge, mais tu le vides d’une traite. “J’ai une urgence. Rentrez bien.” Lances-tu alors que t’en entend l’un ou l’autre protester sur ton départ plus que soudain. Peut-être vont-ils croire que t’es partir à cause de la mauvaise blague qu’ils viennent de te faire.

Tu franchis la porte de sortie. L’air froid de la nuit te claque au visage. Violent. L’alcool tape dans ta tête soudainement. Tu portes ta main à ton front, la vue légèrement trouble. Le verre cul sec avec un alcool probablement fort dedans, c’était pas le meilleur plan de ta soirée. Tu secoues un peu la tête pour tenter de te remettre les idées en place, comme si ce geste allait changer quelque chose. Tu fais appelle à toute ta concentration. Regard qui part à gauche, puis à droite. T’es sûr qu’il peut pas être loin. Capuche sur la tête, à défaut de pouvoir le reconnaître par sa tête, tu reconnais ses vêtements. Il est là et pas dans la meilleure forme qui soit. Tu t’approches sans pour autant être discret, t’as pas envie de le faire sursauter et qu’il se casse la gueule juste devant toi. Tu l’écoutes demander à Siri de composer le numéro d’une fille que tu connais pas. Visiblement, il a pas dû te calculer de la soirée sinon il aurait peut-être demander à composer ton numéro ? En vrai, t’en sais rien.

T’arque un sourcil quand tu le sens te faire les poches. Incrédulité qui te prend alors qu’il finit par se relever un peu. Il te dévisage un instant avant de prononcer ton surnom. “Tu peux retirer ta main de ma poche ? Que je t’aide à rentrer.” Parce que t’as pas envie de lui faire mal, puis c’est pas non plus ton délire de te faire tripoter en plein milieu de la rue, surtout à l’aude où le soleil permet clairement de détailler vos visages. “T’as encore perdu ton téléphone ?” Le questionnes-tu alors en passant l’un de ses bras par-dessus tes épaules pour le soutenir. Tu marches probablement bien plus droit que lui et contrairement à lui, t’es plus lucide. Après il t’a quand même reconnu assez facilement, tout n’est donc pas encore perdu.
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Ta main s’attarde tandis que tes phalanges effilées s’enfoncent un peu plus dans le tissu. Tu détailles le muscles sous la pulpe de tes doigts, surpris de constater à quel point t’as gagné en masse durant ces quelques heures passées au bar. Corps beaucoup plus chaud et fort que le tien il faut bien l’avouer, la surprise n’en reste pas moindre lorsque tu constates que ce jeans ne t’appartient pas. ‘’ Gal?!? ‘’ Tu répètes son prénom une fois de plus histoire de te convaincre de sa présence, après quoi tu retires ta main à contre coeur. ‘’ J’ai pas besoin de ton aide. ‘’ Paroles fétiches d’un ivrogne fini. ‘’ Pourquoi t’es là? ‘’ Regard braqué sur lui, tu attends une réponse qui ne viendra sans doute jamais. Ce type n’est pas humain, toujours sur la retenue et coincé du cul. Comment deux individus à ce point opposés peuvent ils être amis? Tu chasses ces idées de ta tête, préférant sourire bêtement lorsqu’il fait passer ton bras autour de son cou. T’as du mal à mettre un pied devant l’autre, corps aussi désarticulé qu’une poupée de chiffon. ‘’ Quel téléphone? ‘’ Demandes tu avec un brin de retard sur la conversation. T’as le cœur au bord des lèvres et l’estomac dans les talons. T’es incapable de faire deux pas dans la même direction sans que ton corps réclame une pause. ‘’ T’as qu’à me porter sur ton dos… Ça ira plus vite. ‘’ Phrase à peine bouclée, ta tête bascule contre l’épaule du plus vieux. La tiédeur de sa peau appelle la chaleur de ton souffle qui, lui, vient mourir dans le creux de son cou. T’es bien là… juste comme ça. Quoi que… ‘’ T’as pas une cigarette? ‘’ Paupières closes, tu cherches désespérément à combler le manque de nicotine par la délicieuse odeur qui émane de sa peau.
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Tu le sens te palper les fesses au travers de ta poche. Sensation que tu ne trouverais pas des plus désagréable si bien entendu, vous n’étiez pas au milieu de la rue. L’excuse de l’absence de passant ne comptant pas pour toi, car tu connais le principe des petites commères qui sont à l'affût derrière leurs tentures. Si avant tu te permettais de faire un peu moins attention en vue de l’absence de ta famille en cette région, avec maintenant l'existence de ton demi-frère Perceval, c’est tout autre et t’espères sincèrement qu’aucun des amants que tu ais pu avoir n’ai de contact régulier avec lui. T’ignores sa vision sur la chose, tout comme tu ne sais pas encore si tu peux lui accorder ta confiance ou s’il attend la moindre occasion pour te descendre auprès de tes deux autres frères et ainsi, lui permettre de ne plus être la cible. Si depuis le temps tu connais bien les deux aînés, il en est totalement autre chose pour le nouvel arrivé dans la famille. Enfant bâtard qui peut-être en réalité ne fera jamais rien contre toi dans l’unique but de ne pas avoir tout les Jacksons contre sa personne.

Suite à ta proposition, et avec un petit laps de temps, le Calabrese retire sa main de ta poche. Laissant ainsi ton fessier tranquille, bien que laissant quand même un vide. Tu ne peux lui dire que tu as apprécié, même-si cela fut le cas. “Oui, c’est toujours moi, c’est pas parce que tu as retiré ta main de ma poche que c’est maintenant une autre personne à côté de toi.” Tu te permets un peu l’ironie parce qu’il te remballe tout aussi sec, refusant que tu l’aides, mais tu le sais toi qu’il va pas allez bien loin comme ça. Alors oui, tu t’imposes à lui, passant son bras sur ton épaule tout en répondant à sa question. “On fêtait nos résultats avec des potes.” Tu te retiens de lui dire que tu avais assez rapidement capter sa présence dans ce bar, parce que visiblement, en vue de sa double exclamation en te reconnaissant, tu te doutes bien que l’inverse ne fut pas le cas.

Tu tentes de le soutenir comme tu peux, mais c’est clairement pas facile à faire tant il titube. A ce rythme vous risquez de finir tous les deux étalés sur le sol parce qu’il t’aura fait un croche-pied involontairement. “Le tien, tu voulais appeler une certaine Soraya.” Tu te rends bien compte que ça va être une conversation de sourd à cause de tout l’alcool qu’il a ingurgité cette nuit. Tu pourrais le sermonner, lui faire la morale ou même lui en vouloir, mais depuis le temps que vous vous fréquentez tu sais bien que c’est peine perdu et encore plus quand il est dans cet état.

Il semble réellement décidé à ne pas t’aider cette fois. Le poids de son corps qui te retombe dessus, son souffle chaud sur la peau de ton cou. Choque qui t’arrache un frisson. Sans l’odeur désagréable de tout l’alcool qu’il a pu consommer, tu aurais peut-être pu profiter de cet instant. Nouvelle question qui tombe. Bâton de nicotine qui lui manque. Tu soupires. “Quand on sera arrivé je t’en donnerais une. En attendant…” Tu le repousses alors un peu pour avoir plus d’aisance à te baisser. Une de tes mains se posant entre ses omoplates et l’autre passant derrière ses genoux. “On y va princesse.” Lances-tu alors en le soulevant soudainement comme l’on porterait une jeune mariée.
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Les banalités fusent comme toujours. Tu es un être de surface, incapable d’aller en profondeur, ni de tenir une conversation sérieuse. T’as pas envie de t’impliquer avec les gens, de souffrir à cause d’eux ou encore de devenir dépendant. Tu as déjà trop d’addictions à ton actif pour en ajouter une de plus au compteur. Ton espérance de vie diminue un peu plus chaque jour. Chaque cigarette que tu allumes est comme un clou de plus enfoncé dans ton cercueil. T’aime pas l’idée de crever avec des regrets ou encore de mourir en laissant des gens derrière toi. Tu ériges donc des murailles entre toi et le reste du monde. Tu vis, tu t’essouffles. Tu fais souffrir sans scrupule et plus souvent qu’autrement, tu sombres dans l’autodestruction. Ce soir ne fait pas exception à la règle. Fêter des résultats avec ses potes ? Sourcils arqués, tu hausse tout simplement les épaules, esquisse joueuse au coin des lèvres. ‘’ J’dois t’offrir mes félicitations ? ‘’ Tu pouffes de rire tout en lui tapotant l’épaule tel un père le ferait avec son fils. T’as pas envie de coopérer, du moins, ton propre corps s’y oppose. T’es léger comme une plume, mais ce soir t’as l’impression de peser une tonne. Le sol n’est pas droit, tu tangues et menace de t’écrouler à chacun des pas que tu fais. Gal est là, et il te soutient, mais parfois il a du mal. ‘’ Soraya? ‘’ Ta tête bascule dans le vide et tu te mets à rire. Qui c’est cette fille ? Est-ce un nom qu’il a inventé ? Une fille qu’il souhaite te refiler… Dans l’état actuel des choses, tu es bien mal placé pour satisfaire qui que ce soit, toi y compris. ‘’ Je ne la connais pas. ‘’ Mensonge. Tu la connais très bien. Quand bien même cette proximité avec le corps de ton sauveur te fait chavirer, t’arrive plus à rien. Tu proposes donc une balade à dos de cheval, mais à ta grande surprise, tu te retrouves perché dans les bras du prince charmant. Hilare, tu tentes tant bien que mal de t’accrocher à son cou, puis te calme instantanément lorsque le manque de nicotine se fait à nouveau sentir. ‘’ Alors dépêche toi de rentrer. ‘’ T’as besoin de ça pour vivre et ce malgré les recommandations du médecin, qui, chaque fois, te répète à quel point ton état se détériore dû à ta surconsommation de tabac. Désormais en sécurité et confortablement installé dans les bras de ton ami, tu couvres à la fois ton visage et tes mèches avant de venir déposer un chaste baiser sur sa pomme d’adam. C’est en quelque sorte ta façon de le remercier pour le moyen transport, mais le problème est que t’as pas envie de t’arrêter là. Tes lèvres s’aventurent au niveau de sa jugulaire, l’effleurent délicatement et discrètement pendant que tes phalanges, elles, caressent sa nuque et puis plus rien. T’as perdu tout contact avec la réalité. Ta tête tombe lourdement contre son torse tandis que ta prise autour de son cou se desserre. Ta respiration change si bien qu’on peut facilement percevoir une anomalie à chacune de tes inspirations, chose que tu parvenais à dissimuler jusqu’ici. Quoi qu’il en soit, il faudra attendre plusieurs minutes avant que tu ne recouvres tes esprits ou du moins, le peu qu’il en reste.
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Tu ne tiens pas rigueur de ses propos pouvant être perçu comme moqueur. Tu pourrais lui reprocher son attitude, lui faire comprendre que c’est quelque chose qui ne te plait guère, mais les conflits inutiles, tu détestes cela au plus au point. Et te prendre la tête avec un mec saoul, c’est comment dire, totalement futile. Une des plus grandes pertes de temps. Tout comme tu ne réagis pas à son geste. Un geste que ton père t’aurais fait s’il était encore là. Tu le sais qu’il aurait été fièr de toi et de ce que tu accomplis. Tu vas plus loin que tes aînés parce que tu veux prouver que tu vaux bien plus qu’eux. “Ouais, tu devrais.” Parce que tu pourrais très bien arrêter tes études maintenant et rentrer à Houston, après tout, tu viens d’obtenir ta maîtrise. Tu pourrais très bien te passer de faire le doctorat surtout en sachant qu’avec le décès de ton père, tu es maintenant à la tête d’une entreprise. Les études deviennent de ce fait superflues, mais tu tiens quand même à aller jusqu’au bout à ne pas céder à la facilité et puis, tu refuses toujours cette vérité où ton père n’est plus de ce monde. Tu le sais pourtant, tu as été à son enterrement, à la lecture de son testament même si tu évites de retourner sur Houston depuis, tu as quand même été passé les fêtes de fin d’années là-bas pour être avec ta mère, parce que tu te serais bien passé de tes frères.

Là, tu ne sais même pas si tu dois rire de lui ou juste soupirer. Il te balance qu’il ne connaît pas de Soraya alors que visiblement la première personne qu’il voulait appeler, c’était elle. Peut-être sa copine ? Tu l’as jamais réellement vu en couple, mais peut-être que la demoiselle à su dompter ce célibataire endurci ? Enfin, tu sais très bien que tu ne dois pas tirer de conclusions hâtives, surtout avec lui. Peut-être est-ce tout simplement la fille qu’il a en vue pour le moment et qu’il galère à mettre dans son pieu. Mais pour séduire la demoiselle, ce n’est clairement pas la meilleure méthode.

Tu t’abaisses alors, pour le soulever ensuite tout aussi soudainement et le porter comme une princesse dont tu l’affubles d’ailleurs du surnom. Tu t’attends à le voir protester, mais il semble plutôt galérer à trouver une stabilité. “Accroche toi à moi.” Lui ordonne tu, parce que t’as pas envie de le voir tomber de tes bras et s’écraser la face la première sur le bitume. Ça serait extrêmement douloureux pour lui et absolument pas ravissant pendant quelque jours. Elio finit par se calmer, te demandant de rentrer plus vite. Comment lui dire que depuis le début, c’est lui qui ralentit la progression vers ton appartement ? Si t’étais tout seul, tu serais déjà probablement au fond de ton lit.

Tu le sens maintenant tactile, ses lèvres qui se perdent sur ta peau et ses doigts qui te frôlent. Tu pourrais trouver cela agréable, si c’était dans un autre contexte. “Hey, je suis pas Soraya.” Balances-tu alors pour tenter de calmer les affres qu’il te provoque. Sauf qu’il ne te répond pas. Silencieux, le corps maintenant détendu, tu pourrais croire qu’il dort si sa respiration n’était pas si étrange. “Elio ?” Dis-tu un peu plus fort en essayant de le secouer un peu sans risquer de le faire valser en bas de tes bras. T’avoues que là t’es inquiet et tu te demandes si ça serait pas mieux de le conduire à l’hôpital plutôt que dans ton appart. Enfin, t’attends surtout de voir s’il réagit, s’il est pas réellement tombé dans les vappes en te faisant une sorte de détresse respiratoire. Il t’en fait vraiment voir de toute les couleurs !
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Le doux mouvement de balancier, jumelé à la chaleur du corps de l’aîné créent une réaction instantanée. Tes paupières se ferment, ta respiration décline. Ton corps en entier se détend et très vite tu sombres dans un profond sommeil. S’agit-il de Morphée ou est-ce une réaction liée à ta surconsommation d’alcool ? Dieu seul le sait. Là où tu es, il n’y a absolument rien. Que du vide rempli par un silence de mort. Ton souffle déraille, ta respiration s'affole. Tes poumons partent en vrille et provoquent par la même occasion, une toux intermittente. Gale te secoue, tu ressens absolument tout, sans pourtant avoir envie de donner signe de vie. ‘’ Laisse-moi dormir. ‘’ Tu marmonnes ces quelques paroles tout en poussant un râle d’insatisfaction, puis ouvre brusquement les yeux en réalisant l’état de ta respiration. Quand tu es seul, tu te laisses aller, mais lorsque tu es accompagné, tu fais absolument tout pour dissimuler malaise et faiblesse. Loin de toi l’envie qu’on découvre ta maladie et qu’on te prenne en pitié, encore plus lorsqu’il est question d’un ami. Tu ne veux pas que le comportement des gens change vis-à-vis de toi. ‘’ Merde, j’ai dormi longtemps? ‘’ Tu te racles la gorge tout en laissant ta main libre venir se perdre dans tes mèches en bataille. ‘’ On est encore loin? ‘’ Ta voix n’est pas très nette, toujours handicapée par l’alcool, mais autant dire que tu prends du mieux. ‘’ Tu connais Soraya ? ‘’ Tu le fixes, sourcil arqué. Tu as peut-être rêvé, mais il te semble l’avoir entendu prononcer son nom un peu plus tôt. ‘’ C’est une copine dans mon cercle d’amis. ‘’ T’évite les détails croustillants, car ce n’est ni le moment ni l’endroit pour en parler. Qui plus est, tu ne lui dois rien à Gale. ‘’ Fuck mec, j’ai mal au crâne. ‘’ Tu tentes de faire diversion tout en restant fermement accroché au col de sa chemise.
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Tu sais pas ce que tu préférais, quand il laissait ses lèvres traîner sur ta peau en te prenant probablement pour une autre personne ou maintenant qu’il respire de façon plus qu’étrange. Respiration sifflante et bien loin d’être normal, loin d’un ronflement qui pourrait être désagréable. Tu t'inquiètes, le secoue un peu et il te répond. Gamin désireux de terminer sa petite sièste dans tes bras. De princesse, il est tombé à enfant, reste à savoir quel sobriquet il pourrait bien préférer entre les deux. Pourtant, il ne se rendort pas, malgré ses mots. Il te parle, te demande combien de temps il a bien pu dormir. “Quelques minutes tout au plus.” Parce que tu l’as réveillé rapidement à cause de sa respiration, que tu l’as secouée doucement et qu’il a réagit, donnant à ton cœur un malaise moins grave. Il va bien, c’est ce que tu tentes de te dire alors que tu sais clairement qu’il doit y avoir un truc derrière cette respiration. T’es pas con, mais tu veux pas crier au loup non plus surtout que tu le sens il veut pas en parler, il change de sujet, ne cesse de parler de tout ce qui peut bien lui traverser l’esprit. C’est limite à se demander comment il arrive à avoir autant de penser en vue de l’état dans lequel il se trouve. Toi t’es juste là à marcher et à le porter sans même avoir le temps de lui répondre. “On est plus très loin, alors rendors toi.” C’est plus simple que de gérer toutes tes questions qui vont dans tous bien que tu pourrais peut-être avoir des informations pour pouvoir l’ennuyer ensuite, mais t’es pas trop d’humeur à faire ta fouine merde comme ça. Il est tard ou bien tôt selon comment on se place et toi, t’as juste envie de retrouver ton lit et te libérer du poids de son corps à cet instant. Parce que faut le reconnaître, il pèse quand même son poids et si au fit’ tu t’entraines avec des poids équivalent voir même parfois supérieur, ils sont inertes et te font pas paniquer eux. Et encore heureux que t’habite dans le centre ville et dans un appartement avec ascenseur !

Il vous faut encore quelques minutes pour finalement arriver dans la rue de ton appartement, et quelques-unes de plus pour être devant la porte d’entrée de l’immeuble. “Tu penses réussir à ouvrir la porte où je dois te déposer ?” Parce que tu sais déjà que tu risques de lui faire mal si tu tentes de le garder dans tes bras et d’ouvrir cette porte en même temps.
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Les mots se bousculent, il faut avouer que tu es beaucoup plus bavard lorsque tu es saoul. Après, t’as pas spécialement envie qu’il capte pour tes problèmes de santé donc tu parles pour éviter de t’endormir à nouveau. De son côté, l’aîné insiste pour que tu fermes les yeux, vœux qu’il n’est pas près de voir se réaliser. Tu parles sans doute trop pour lui, mais dans ta tête, tout passe du coq à l’âne sans aucune chronologie logique. Et puis vous arrivez finalement devant la porte de son appartement. Il commençait à être temps puis que le voyage t’as quelque peu éreinté. Le brun te pose une question et direct ton regard alterne entre la poignée de porte et les billes azurées de ton ami. Toi ? Ouvrir cette porte ? C’est une invitation à te péter la gueule c’est ça? Tu choisis donc l’option suivante. ‘’ Vas-y dépose moi. ‘’ Sans trop attendre, tu poses les pieds au sol, mais comme toujours, tes lacets sont défaits. À vouloir te la jouer safe pour une fois, le résultat est le même et tu trébuches, atterrissant directement contre le torse de Gale. ‘’ Oupss ? ‘’ Tu ris à gorge déployée sans doute trop fort au vue de l’heure avancée, mais ça ne t’empêche pas de t’accrocher à lui. Bras autour de sa nuque, doigts qui viennent se perdre dans les cheveux à la base de sa nuque, ton rire se dissipe peu à peu jusqu'à disparaître au moment où tes lèvres viennent caresser les siennes. Geste totalement spontané, pas calculé du tout. Une pulsion du moment, un appel du cœur auquel tu réponds sans trop réfléchir.
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Le choix semble un peu compliqué pour lui, ou peut-être qu’il ne comprend tout simplement pas tes mots. L’alcool fait réellement des ravages. Tu l’observes, son poids devenant pesant plus les secondes passent et il te répond enfin. Tu tentes de le déposer doucement, pour pas qu’il perdre l’équilibre, sauf que c'est peine perdu et il s’écrase contre toi. Tu poses tes mains sur sa taille pour le soutenir, pour le voir tomber à genoux, ignorant que c’est pas à cause d’une faiblesse dans ses jambes, mais à cause de ses lacets que vous vous retrouvez dans cette situation. Situation délicate quand on sait que vous êtes encore dans la rue, devant la porte de l’immeuble et qu’il fait un peu trop de bruit avec son rire. T’es pas sûr que ça va plaire à tes voisins ça.

Il se montre aventureux dans ta chevelure, te faisant baisser le regard vers lui pour tenter de comprendre ce qu’il peut bien se passer dans sa tête. Mais au moins, il se calme, ne laissant plus entendre son rire dans la rue qui redevient ainsi presque totalement silencieuse. Il vient alors quérir tes lèvres d’un baiser. Geste inattendu, déplaisant dans cette situation. Tes mains sur ses hanches affirment la prise et le repoussent alors. “Non, Elio.” Grognes tu. Tu n’es pas dégoûté par ce geste, juste tu montre jamais au grand jour ton attirance pour les hommes et il ne te viendrait jamais à l’idée d’en embrasser un dans la rue. Tu le fixes, la mâchoire serrée et tu jettes un oeil à gauche et puis à droite, espérant que personne n’ai remarqué ce qu’il venait de se passer entre lui et toi. Tu ouvres alors la porte, pour l'inviter à rentrer dans l’immeuble en le soutenant toujours par le bras. “Fais pas de bruit ici.” Un ordre qui tombe, t’es maintenant tendu à cause de son geste. Situation de merde. Il aurait pas plutôt pu faire ça une fois dans ton appartement ou même dans un contexte ou c’est pas l’alcool qui le fait se mouvoir ? Parce que t’es clairement pas du genre à profiter des effets de l’alcool pour te faire quelqu’un et encore moins un de tes potes.

T’appelle l'ascenseur, il est clairement hors de questions que vous montiez à pieds les étages avec lui dans cet état.

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