our first meeting
Après une bonne journée de cours, j’aimais bien me posé dans un bar pour décompresser. Comme à mon habitude, j’étais installé au bar avec un verre de whisky. Les serveuses étaient jolies à regarder en particulier une petite blonde. Puis, les mecs lourds ça n’en manquait pas ici. Justement, en parlant d’elle, je l’entendais répondre à un client qui tenait des propos déplacé envers elle. Y manquait plus que ça. Elle l’ignorait en beauté et allait lui servir ce qu’il demandait. J’étais peut être un don juan avec les filles, je ne leur manquais pas de respect comme le faisait ce mec. Il continuait en l’appelant poupée et en lui demandant s’il elle était libre après son service. Elle lui répondait qu’elle n’était pas intéresser. Plus ça allait et plus il continuait à jouer le lourdingue. Jusqu’à ce qu’il pose la main sur elle. Je me levais et allais faire face au mec. Je ne savais pas pourquoi j’avais réagit comme ça, surement mon côté gentleman. « T’es sourd ? Elle ta dit qu’elle n’était pas libre. » Déjà que j’étais sur les nerfs à cause de problèmes familiaux, il fallait pas qu’il me cherche. « De quoi tu te mèle toi. ». Je lui faisais face «Je me mêle de ce qui me regarde. Je n’aime pas les types dans ton genre qui joue les lourdingues et qui ameute tout le bar. Je suis venue pour me détendre et pas pour entendre ta voix qui est -surement en train de muer- me donner un mal de crâne. » Il allait se lever, lorsque je remarquais toutes les pintes de bière à sa table. « Je pense qu’un petit tour en voiture de flic te ferait plaisir ? Parce qu’à mon avis, tu n’as pas l’âge légal pour consommer et que ta carte est falsifié. Je connais un flic’ très sympa qui sera ravie de t’accueillir en attendant que tes parents arrivent. » Je lui faisais un sourire. Un sourire qui se voulait assez menaçant. En général, j’arrivais à régler les problèmes avec ce genre d’ados. « A moins que tu t’excuse et que tu sorte du bar. » Ce n’était pas un choix, mais plus un ordre. Bien sûr, je ne connaissais pas de flic, mais ce qu’il ignorait ne pouvait pas me faire du mal.
PS : j’ai rajouté deux phrases hein