(kianny) the first cut is the deepest

nuit du vendredi 03 juin 2022 Tu avais rendez vous avec Manny ce soir. Il t'avait proposé de sortir avec lui, de passer une bonne soirée entre amis, entre pfo. Tu as couché une fois avec lui, mais tu n'es pas du genre à y repenser. C'est un ami pour toi. Tu n'as pas de problèmes avec ça, à être potes avec ceux avec qui tu couches. Tu devais y aller avec toi, mais voyant l'heure arriver, tu lui avais envoyé un message lui disant que tu le rejoindrais sur place. Encore trop de pages à lire avant que tu ne puisses sortir sereinement. Puis une fois terminée, tu mis un peu de temps à te préparer. Bien que tu adores rester dans ta chambre, en pyjama, une fois que tu sors, tu aimes te faire belle et pouvoir sentir tous les regards sur toi.
Une fois sur place, tu cherchais Manny du regard, et alors que tu le vis au milieu de la piste de danse, avec plusieurs filles collées à lui. Tu t'avanças, l'air très sûr de toi. Tu tapotas sur l'une des épaules des filles en question. Excusez moi, mais il est prit ce soir. Puis tu leurs fis un sourire des plus hypocrites, tout en avançant vers Mannie et venir l'embrasser à pleine bouche. Ta main sur son torse, tu le regardais et lui demandais Ca va bébé ? Oui tu aimais attiser cette haine des autres meufs, mais aussi casser les coups de Mannie. Parce que s'il t'avait proposé de l'accompagner c'était pour passer une soirée avec toi et non avec d'autres.

@S. Manny Ferrer

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Boston
03 06 2022

THE FIRST CUT
IS THE
DEEPEST

@Kiana Malacki

D’un mouvement sec, il replace le col de sa chemise, enjoué d’avance par la suite que promet cette soirée. Quand il passe la porte de son appartement, il se décide à ne pas sortir l’un de ses moyens de locomotions, choisissant d’y aller à pied comme option. De toutes les façons, l’Espagnol habitant en plein cœur de Boston, il se doit d’avouer que tous les bars huppés sont à proximité.

Quelques minutes de marche seulement avant qu’il ne se trouve face à la devanture de leur point de rendez-vous. Habitacle dans lequel il n’hésite pas à pénétrer. Si de prime abord il se dirige vers le comptoir afin de patienter, pour voir la demoiselle passer elle aussi les portes de l’entrée, le tout accompagné d’un cocktail bien dosé. Très vite, les choses prennent un autre chemin, et c’est sur la piste dedans que l’espagnol profite, entouré de ce que fait de mieux le genre féminin. Jusqu’à ce que cet aparté soit avorté par l’arrivée de la demoiselle avec laquelle il devait à l’origine passer la soirée. « Excusez moi, mais il est prit ce soir. » Elle envoie les autres paitre ailleurs, et ça arrache à Manny un air rieur. Indubitablement charmeur. Qui accueille Kiana entre ses bras, aussi facilement que ça. « Ca va bébé ? » Un mouvement de tête significatif, afin de répondre, ne pouvant traduire autre chose que du positif. Il est dans un bar, dans une bonne ambiance, et c’est avec une très belle femme qu’il danse. Pourtant, il ne peut se retenir d’être arrogant. « T’arrives en retard et tu te permets de jouer les possessives ? » Mais ça ne l’empêche pas, de laisser ses paumes glisser sur elle. De son dos jusqu’à ses reins, il impose sa présence d’une pression de ses mains. « J’aime bien. » qu’il lui souffle les lèvres proches de son oreille, dragueur invétéré qui n’a pas de pareil.

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Tu aurais pu sortir à l'heure prévue, et ne pas terminer ce que tu faisais. Mais en faisant cela, tu savais à l'avance que tu n'arriverais pas à profiter pleinement de la soirée. La tête trop dans ce que tu aurais du accomplir, mais que tu n'aurais pas fais. C'est pourquoi tu avais pris plutôt l'option d'arriver en retard. De toute façon, vous auriez toute la nuit, donc tu n'étais plus à une heure près. A peine sur place que tu vis l'attraction autour de Manny. Ce qui ne te surpris pas du tout, beau gosse comme il est. Puis, au fond, il est comme toi : à aimer être séduit et séduire. Ce n'est pas le genre de mec qui se serait mis dans son coin, à recaler les filles. Non, ça c'était ton rôle. Et en voyant leurs visages déçus, mais surtout pleines de jalousie, tu en savourais ce plaisir. Peut-être une prochaine fois les gonz. T'es à moi ce soir. Tu lui répondis, sans aucune gêne. Comme une évidence. Et ce soir, j'suis pas d'humeur à vouloir partager. Ton regard dans le sien, tu lui souriais, pour enfin le prendre par la main et l'amener vers le bar. Un peu plus à l'écart de tous ces danseurs, mais surtout, tu voulais prendre ta boisson, et commencer la soirée comme il le fallait. Tu prends quelque chose ? De son côté, elle commanda une coupe de champagne, pour ne pas changer. Ton regard sur lui, défilant sur tout son corps, tu lui demandas enfin C'est pour moi que tu t'es fais aussi beau ? Non parce qu'on ne sait jamais. Il aurait pu prévoir de voir quelqu'un d'autre après ...

@S. Manny Ferrer

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Boston
03 06 2022

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@Kiana Malacki

Lui préciser qu’il aime bien, jouer au plus malin en laissant balader sur elle, ses mains. « T'es à moi ce soir. » Elle s’aventure à prononcer, et il lui en décline un sourire significatif, d’un Manny charmé. A elle, ce soir, mais pas pour l’éternité, car c’est à une autre que l’Espagnol est fiancé. « Et ce soir, j'suis pas d'humeur à vouloir partager. » C’est étrange qu’elle vienne souligner cette envie là, au moment où justement il ose songer à Valentina. Honnête dans l’âme, il se dit que c’est peut-être le moment de lui annoncer, le fait que partagé, c’est toujours qu’il l’est.

Seulement l’heure n’est pas à la discussion, et la demoiselle le traîne de l’autre côté pour qu’ils s’accoudent au bar, demande tandis qu’il laisse traîner sur elle, en réponse des siens, un lourd regard. « Tu prends quelque chose ? » Il approuve d’un mouvement de d’abord avant de ne suivre son idée, commander lui aussi une coupe de champagne, sans grande envie de rechercher plus longuement de quoi s’abreuver. « C'est pour moi que tu t'es fait aussi beau ? » Il en arque un sourcil à la question, avant d’en rire et de se transformer en éternel petit con. « Non, ça c’est mon charme naturel. » qu’il s’amuse à balancer, armé de son arrogance, elle aussi, naturelle. « Tu disais donc que j’étais à toi ? » dragueur, certes, mais qui adore savoir qu’il plaît. « Ce n’est pas un peu présomptueux ? » Indéniablement charmeur, qui se joue de l’orgueil de la demoiselle à ses côtés. « Je pourrais bien avoir envie d’une autre. » Et s’autoriser à laisser courir sur son épaules ses empreintes, en parfaite contradiction avec ce qu’il vient d’annoncer. Joueur invétéré.

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Tu étais enfin arrivée et tu ne perdais pas de temps pour marquer ton territoire. Et ce soir, ton territoire était Manny. Tu n'allais pas le lâcher aussi facilement. Il t'avait proposé de venir et ce n'était pas pour que tu le regardes se faire d'autres meufs.. A part si c'est pour en trouver une dans l'optique d'un plan à trois. Mhh, je vois. Que pouvais-tu dire d'autres ? Il avait raison. Il avait un charme naturel, pas besoin de se faire beau. Face à lui, tu le regardais et écoutais ce qu'il avait à te dire. Souriant face à ses paroles, tu tentais de cacher ta jalousie. Ce serait bête de laisser passer ça... Tu lui pris en même temps une de ses mains pour venir la déposer sur l'une de tes fesses. ... et ça. Tu guidas sa main, cette fois-ci, vers l'un de tes seins. Aucune gêne non. Il avait envie de jouer, très bien, tu étais prête à jouer.

@S. Manny Ferrer

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Boston
03 06 2022

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@Kiana Malacki

« Mhh, je vois. » L’espagnol, il en sourit de plus belle étant donné qu’elle ne le contredit pas. De toutes les façons, si elle essayait de le faire, le fait est qu’il ne la croirait pas. Parce qu’il est conscient de ce qu’il est. Des atouts qu’il possède et qu’il a su aiguiser au fil des années. Et quand il ose lui souffler qu’il pourrait très bien passer la nuit en compagnie d’une autre, il apprécie la façon dont elle sourit, à jouer à faire comme si elle n’éprouvait aucune jalousie. « Ce serait bête de laisser passer ça... » elle agrippe l’une des paumes de l’étudiant pour la glisser en toute impudeur sur son séant, ce qui le fait sourire grandement, « ... et ça. » la laissant faire lorsqu’elle amène la seconde main sur l’un de ses seins. Elle en oublie la bienséance, et même s’il lui plaît de se délecter des atouts de la femme qui se tient à ses côtés, les apparences, il apprécie les conserver. Alors en une dernière pression de ses empreintes sur le corps qui lui ai offert, il retire ses doigts, et souffle proche de l’oreille de la brune, « On ne t’a jamais dit qu’en public il faut savoir se tenir ? » Il est de ce genre, oui, à ne pas s’afficher au bras de ses conquêtes dans les lieux trop visités, surtout les boites de nuit étudiante où ils pourraient être pris en photo, c’est le genre de choses mal vue, chez les personnes déjà engagées, comme lui, fiancé.

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Je pensais que le jeune homme était sur la même longueur d'onde que moi. Or, il semblerait que je me sois trompée, lorsque je le vis retirer ses mains de mon corps et me dire que je ne savais pas me tenir en public. Je le regardais, tentant de le comprendre. Est ce qu'il était sérieux, ou était-ce encore un jeu ? Fronçant des sourcils, je lui répondis Ca va Manny, personne ne fait attention à nous. Puis je me rapprochais de nouveau vers lui, positionnant mes mains autour de son cou, pour rapprocher ma bouche de son oreille et lui murmurer De quoi as-tu peur ? Puis pour terminer, je terminais par lui mordiller la lobe de son oreille.

@S. Manny Ferrer

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Boston
03 06 2022

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@Kiana Malacki

Même si elle fronce les sourcils, pour le coup, l’espagnol n’en démord pas. Les marques d’affection en public, telles que celles là… Ce n’est pas ce qu’il préfère, ce ne sont pas ses manières. La vie privée, il préfère quand elle le reste, à dire vrai. « Ca va Manny, personne ne fait attention à nous. » Certes, mais ça, il n’en est pas certain, et être acteur d’un spectacle qu’il n’a pas demandé, il n’est pas sur que cela lui plaît. Même s’il apprécie, quand elle revient à lui. Glissant ses phalanges dans son cou, ses lèvres jusqu’à son oreille, et soufflant avec cette sensualité qui la rend d’autant plus belle. « De quoi as-tu peur ? » Il en serre les mâchoires, tendu, en laissant trainer une paume sur la chute de reins de la demoiselle. « J’ai peur de rien. » Il assume le moindre de ses faits et gestes, ça c’est certain. « Mais je vais pas te baiser sur le comptoir. » Il a, tout de même, un peu plus de classe que ça. Bien plus, sauf que le préciser ne servirait probablement pas. Puis pour pallier le côté sec de ses paroles, de sa paume libre il va souligner l’arc de son visage, une tendresse pour que cette soirée ne se transforme pas en naufrage.

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Il semblerait que nous ne soyons pas sur la même longueur d'onde ce soir, Manny et moi. J'avais d'ailleurs du mal à le comprendre et le cerner. J'étais presque déçue d'être venue ici pour passer une soirée en sa compagnie. On aurait du rester chez nous. Ca a l'air de marcher plus facilement quand on est en privé. Je le regardais tout en l'écoutant, et juste de quoi le provoquer un peu je lui répondis. Pourtant il a l'air plutôt confortable ce comptoir. Et si ce n'était pas avec lui, ça serait avec un autre. J'étais prête à le laisser en plan, enfin non, il semblait que pas mal de femmes soient intéressées, il ne resterait pas seul. C'est peut-être même moi qui avait cassé ses plans. Alors que je le vis me caresser le visage, je le regardais et en eut marre de lui. Il semblait pas savoir ce qu'il voulait. Tu veux aller au calme ? Puis je lui pris sa main et pris la sortie de secours. Mettant une pierre entre la porte, pour ne pas qu'elle se referme totalement et nous laisse dehors. Ca va pas ? Lui demandais-je alors ? Tout en plongeant mon regard dans le sien.

@S. Manny Ferrer

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03 06 2022

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@Kiana Malacki

Il le sait pertinemment, il en est pleinement conscient, qu’il souffle le chaud et puis le froid. Qu’il annonce ne pas vouloir se donner en spectacle, mais qu’il caresse sa peau pour ne pas la blesser. Ce soir, il semblerait qu’il peine à jouer. « Pourtant il a l'air plutôt confortable ce comptoir. » Contrairement à la demoiselle, qui elle, est toujours partante à ce sujet. Mais étrangement, ça ne le fait rire que de moitié. Alors quand elle soupire, il comprend qu’il a possiblement trop poussé en termes de mauvaise humeur, lui qui est d’un naturel plutôt railleur… « Tu veux aller au calme ? » Il ne dirait pas non, à la vérité, comme ça il pourra lui souffler le pourquoi il prend la peine de choisir habituellement des endroits plus discrets afin de s’adonner à ses travers d’infidélités.

Alors parce qu’elle lui attrape la main avec fermeté, l’espagnol se laisse faire, traîné de force à l’extérieur, par la sortie de secours qu’elle ne ferme pas totalement. Puis l’accuse d’un ; « Ca va pas ? » La question est sincère, il l’entend dans le timbre de sa voix, elle veut réellement savoir ce qu’il se passe, alors parce qu’il n’est pas menteur, il ne se voit pas répondre autrement que par la vérité. Cette chose qu’il lui a volontairement caché. Un truc, un détail, pas si important, à dire vrai. « Si si, ça va. » qu’il balance, nerveux, il en viendrait presque à vouloir fumer, même s’il n’est pas atteint par ce péché. « C’est juste que, » amorce pour tenter de minimiser, « je suis fiancé. » alors il ne peut pas se permettre de s’amuser en public comme il le voudrait.

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