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Keep her by your side now (Victoria et William)

William Bennett

Âge : 35
Lieu de naissance : New-York, bien qu'ayant des origines albanaises
Quartier d'habitation / Colocation : Downtown Boston. Avec Erza
Situation sentimentale : Célibataire
Études / Métier : Enquêteur du FBI
Date d'inscription : 12/10/2021
Pseudo & Pronom(s) IRL : Lovecraft
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Faceclaim : Liam Hemsworth
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Infos ⊹ L'un des plus jeune et plus prometeur enquêteur du bureau du FBI à Boston. Spécialisé dans les crimes financiers et la corruption. Anciennement homme de famille, ce volet de sa vie s'écroule suite à son divorce. Il est maintenant rendu à mettre le feu à sa vie et à ses valeurs pour voir jusqu'où s'élèvera le brasier. De plus en plus addict au pouvoir, il joue maintenant un double jeu dangereux avec ceux que sa profession voudrait mettre derrière les barreaux.


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Février 1989 ⊹ Naissance à New-York. Sept 2007 ⊹ Accepté à Columbia en finance (New-York). Octobre 2012 ⊹ Engagé au FBI, section crimes financiers (New-York). Août 2014 ⊹ Il se marie avec sa fiancée, rencontrée à Columbia (New-York). Décembre 2018 ⊹ Il se divorce. Janvier 2019 ⊹ Obtient une promotion et est transferé à Boston. Février 2019 ⊹ Emménage avec sa soeur, Bisha (Boston). Octobre 2019 ⊹ Trouve son propre appartement (Boston).
Octobre 2021 ⊹ Retourne habiter avec Bisha (Boston).


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Warnings : WARNING // concernant (William) Langage occasionnellement abusif. Partage des vues politiques très à droite. Référence à la religion catholiqueTRIGGER // refuse de jouer ; L'extrême violence. Des actes sexuels explicites. Discutons-en au préalable.
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William Bennett
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t139889-william-bennett-liam-hemsworthFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t139928-william-bennett-let-s-play-the-game-shall-weComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t141523-the-hunger-in-my-soul-w-bennett

★Keep her by your side now★
w/ @Victoria Lahey
♪♫

« Au MGU, s’il vous plaît. Je vous donne le double si vous parvenez à battre votre propre record,» annonça-t-il au chauffeur de taxi alors qu’il lui tendait un billet de 100$ en prenant place sur le siège arrière, son carry on déposé juste à côté.

Le trajet de 12 minutes entre l’aéroport et l’hôpital lui sembla prendre une éternité. Ce qui était franchement paradoxal si on considérait qu’il n’avait pas adressé un mot à celle qui occupait toutes ses pensées depuis… pratiquement deux mois ?

Tout le long de son vol de retour de l’Europe, une idée fixe hantait son esprit : la rejoindre. Pour le meilleur ou pour le pire. Leurs retrouvailles à la St-Valentin avaient été si douces. Surgie de nulle part si ce n’était d’un passé qui lui était encore si précieux, Victoria avait fait voler en éclats toutes ses projections d’avenir. Bien malgré lui, il se retrouvait à nouveau écarteler par ce dilemme fondamental qu’il croyait avoir réglé pour de bon il y avait trois ans, au moment de son divorce : toutes ses ambitions valaient-elles ne serait-ce qu’une seule soirée au bras d’une femme dont le simple sourire suffisait à dissoudre le reste de l’univers dans son éclat ?

Tout allait si bien. À ses côtés, il retrouvait le bonheur d’être un William plus simple. Plus besoin de lutte à mort contre le monde entier pour prouver sa valeur : dans cette version 2.0 de leur premier baiser, il savait avoir remporté le vote du seul jury qui importait vraiment. Ils prirent leur temps, savourant chaque instant de l’opportunité que leur offrait la vie de se redécouvrir plus d’une décennie plus tard. Ils érigeaient le nouveau chapitre de leur histoire commune avec la précaution de qui sait manipuler quelque chose de rare et précieux. Sans tenter de reprendre immédiatement là où ils s’étaient arrêtés jadis et faire comme si rien ne s’était passé.

Jusqu’à ce que William ne disparaisse brusquement…

« Bonjour, hem… Jill,», s’annonça-t-il à l’infirmière en charge du poste d’accueil de l’urgence, après avoir lu son nom sur son name tag.

« J’aurais un immmmense à vous demander… Pensez-vous que vous pourriez, lorsque l’occasion se présentera et que ça ne causera pas de tort à qui que ce soit…laissez savoir à Victoria Lahey que William Bennett l’attend…. »

Il regarda autour de lui à la recherche d’un banc libre dans un coin un peu reculé, mais il réalisa rapidement que ce genre d’espace n’existait pas réellement dans un service d’urgence. À la recherche d’un plan B, il s’agrippa au premier panneau sur lequel son regard s’arrêta.

« …dans la salle d’attente de l’orthopédie ? Je me suis fait volé mon téléphone, je n’ai plus aucune façon de la rejoindre et ce serait vraiment important que je la revois…  Elle est paramedic, et passera probablement à quelques reprises si elle de service aujourd’hui… J’attendrai aussi longtemps qu’il le faudra…»

Il ne saurait jamais si c’était sa sincérité évidente, son petit bouquet de fleur ou l’espoir de jouer un petit rôle dans une histoire abracadabrante, mais Jill accepta de, peut-être, faire le message. Ce à quoi William répondit d’à peu près toutes les manières possibles d’exprimer sa gratitude.  

Puis, il se dirigea avec son petit bagage à roulette vers la salle d’attente pratiquement déserte et s’installa sur l’un des petits bancs inconfortables, les fleurs achetées à l’arrache à son arrivée de l’aéroport déposées juste à côté de lui.

Et il attendit.

Encore, et encore.

Rongé par l’angoisse.

Animé par l’espoir.


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(William Bennett)


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Keep her by your side now (Victoria et William) Calend10 the 06.05.2022 Keep her by your side now (Victoria et William) Marker10 Massachussetts General Hospital. Cette garde est interminable, je vais aller me reposer un peu. Je souffle à Clary, avant de m’absenter de table pour rejoindre mon lit dans la salle de repos. Il y a eu peu d’interventions ces dernières dix-huit heures et si cela peut faire du bien, le temps semble également extrêmement long. Je peine à garder les paupières ouvertes, rongée par l’ennui, et choisit donc le repos, que je serai heureuse d’avoir volé demain. Il m’est toujours difficile de trouver le sommeil à la caserne mais cette nuit fait exception à la règle. Je sombre à la minute où ma tête touche l’oreiller et suis réveillée à deux reprises en sursaut par l’alarme qui fait appel aux pompiers, avant que la troisième nous soit destinée.
L’horloge indique quatre heures du matin lorsque je saute dans mes bottes pour courir jusqu’à l’ambulance, les paupières encore lourdes. Ma partenaire annonce qu’elle prend le volant cette fois et je ne cherche même pas à discuter car je vais pouvoir mettre le temps de la route au profit de mon réveil. Accompagnées de deux camions, nous arrivons sur les lieux de l’accident de voiture trois minutes plus tard, précédés de la police. C’est un carnage et le chef de bataillon nous annonce qu’ils vont devoir dégager les victimes avant que nous puissions faire quoi que ce soit. Sur le bas côté de la route, nous observons impuissantes et impatientes, avant d’enfin avoir le feu vert pour extirper la première victime de là. A l’arrière de l’ambulance, il me faut - comme toujours - me souvenir que la marge de manœuvre est limitée, malgré les connaissances qui sont les miennes. Ambulancière et non chirurgienne. On va le perdre. Je m'époumone pour que ma voix parvienne à la conductrice, juste au moment où le véhicule se met à l’arrêt et qu’elle me signale que nous sommes arrivées.
La victime n’est déjà plus la nôtre. Je dresse le bilan du premier constat fait dans l’ambulance aux urgentistes, qui le prennent en main et nous laisse à l’accueil pour la paperasse. Je pense qu’il s‘agit de la partie du métier qui me plait le moins ; celle de ne pas savoir. De commencer quelque chose, et puis remettre la vie des victimes à “plus compétent” que moi. Je m’occupe de la paperasse, tu nous ramènes un café ? Les rôles sont souvent inversés mais c’est toujours celle qui passe à l’arrière avec le blessé, lorsque c’est nécessaire, qui se charge ensuite de remplir le dossier. Clary disparaît et je soupire avant de me concentrer sur le rapport, que je remets ensuite à l'accueil, qui répète mon nom, les yeux sur ma signature. Je pense dans un premier temps qu’elle l’a entendu ici, de mes années passées à parcourir ces couloirs, mais il n’en est rien. Un certain William Barrett est passé, en fin d’après-midi. Il a demandé à ma collègue de vous informer qu’il vous attendait dans la salle d’attente en… orthopédie. J’en perds le souffle, à l’évocation de son prénom avant de plisser le front. Elle ne peut qu’avoir écorché son nom, parce que je ne vois pas quel autre William aurait pu demander après moi, même si le lieu est curieusement choisi. La caserne aurait été bien plus efficace, si tant est qu’il sache à laquelle je suis affiliée. Il ne doit plus y être vu l’heure. Mes yeux passent de son visage à l’horloge derrière elle, avant de hocher la tête pour approuver ses dires. 5H17. Merci. Vous pouvez signaler à ma collègue que j’en ai pour deux minutes ? Je vais utiliser les toilettes. Je ne sais pas pourquoi je lui mens, parce qu’au regardé appuyé qu’elle m’adresse, Tory a parfaitement compris que j’allais vérifier la fameuse salle d’attente, au cas où.
Les portes de l’ascenseur s’ouvrent au deuxième étage et deux couloirs plus tard, je le trouve, toujours là, peut-être assoupi. Il se tient de dos, ce qui me laisse encore l’opportunité de faire demi-tour mais j’ai besoin de réponses, même si le moment est très mal choisi. Au bruit de mes pas, il finit par se retourner alors que je l’observe en silence, trop occupée à assimiler sa présence pour pouvoir dire quoi que ce soit.
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Février 1989 ⊹ Naissance à New-York. Sept 2007 ⊹ Accepté à Columbia en finance (New-York). Octobre 2012 ⊹ Engagé au FBI, section crimes financiers (New-York). Août 2014 ⊹ Il se marie avec sa fiancée, rencontrée à Columbia (New-York). Décembre 2018 ⊹ Il se divorce. Janvier 2019 ⊹ Obtient une promotion et est transferé à Boston. Février 2019 ⊹ Emménage avec sa soeur, Bisha (Boston). Octobre 2019 ⊹ Trouve son propre appartement (Boston).
Octobre 2021 ⊹ Retourne habiter avec Bisha (Boston).


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Depuis probablement au moins les 10 à 15 dernières années, William était atteint d’un syndrome bien de son époque : l’hyperactivité. Pas dans le sens purement médical du terme, mais bien occupationnel. Chaque instant de son existence se consacrait à l’accomplissement d’une tâche. D’un objectif. De quelque chose qui l’emmenait un pas plus loin.

Il n’y avait donc qu’un seul mot avec lequel il pouvait décrire les 857 dernières minutes : un purgatoire. L’antichambre de l’enfer.

Privé de téléphone, détruit il y a deux mois dans ce qui allait se révéler être le préambule d’une aventure qui allait tout gâcher, il se retrouvait assis sur une chaise en plastique rigide conçue par les plus retors des ostéopathes, à regarder les aiguilles de l’horloge tourner.

Lentement.

Si lentement…

La première heure se révéla un exercice méditatif intéressant. Il travailla mentalement son approche. Évalua le degré de mensonge auquel il aurait besoin de recourir pour reconstruire sa relation avec Victoria. Tenta d’estimer le degré de frustration de cette dernière, sur une échelle de ‘Son absence lui a fait réaliser qu’il était l’homme de sa vie ‘ à ‘Elle a appris une rare magie noire polynésienne pour maudire tous les Bennetts de l’univers’. Il passa une autre demi-heure à jongler avec la possibilité que sa disparation et son retour ne serait accueilli qu’avec une pure indifférence et se demanda s’il ne s’agirait pas d’un scénario pire qu’un l’émergence d’un forme orientale de voodoo.

Ceci marqua le début d’un long délire, gracieuseté de son imagination qui prenait l’autoroute de la catastrophe à vitesse grand ‘V’, propulsée par ses peurs et ses angoisses les plus profondes. Il n’osait même pas aller prendre l’air, de peur de manquer la courte fenêtre de disponibilité où, peut-être, une Victoria en furie ferait son apparition. Les choses se corsèrent lorsque sa vessie commença à lui faire savoir qu’elle n’avait rien à foutre de ses tribulations amoureuses. Il dût négocier avec un homme qui venait pour faire remplacer sa hanche pour trouver une solution. Il lui expliqua rapidement attendre la visite de la plus séduisante des femmes et lui fit promettre de la retenir si jamais il la voyait passer. À son retour de l’urinoir, il eut la très grande surprise de faire la rencontre d’une Patricia, d’une Jennifer et d’une Vivianne. À défaut de partager la même définition de ‘séduisante’ que William, le vieil homme manifestait toutefois un sacré dévouement.

Le honteux malentendu clarifié, William put reprendre ses scénarios apocalyptiques en paix. Après une très courte fabulation où il se dit que, peut-être, se lancerait-elle à son cou dans un geste aussi hollywoodien que charmant, il en était plutôt à une variante où elle le giflait avec générosité pour chaque journée passée sans nouvelles, une infirmière le prit pour un représentant pharmaceutique et lui dit que le médecin était prêt à le recevoir. Probablement à cause de son ‘carry on’ qui ne l’avait pas quitté depuis l’aéroport.  
 
Puis, tout devint horriblement silencieux lorsque le service ferma pour la soirée. Affamé, épuisé et poisseux de cette souillure si particulière aux vols d’avion, les heures suivantes s’étirèrent dans une espèce de délire à demi-réveillé. Jusqu’à ce que des bruits de pas, qui ne s’étaient plus fait entendre depuis plusieurs heures, le sortent de sa torpeur.

Était-ce possible que… ?

Il marqua quelques secondes d’hésitation avant de se lever doucement et de se retourner pour faire face à la matérialisation même de la Béatrice de Dante, venue pour le conduire hors de cet enfer.

Comme elle lui avait manqué.

Alors que son esprit un peu embrumé reprenait ses assises, il esquissa un bref sourire et fit un pas en avant. Avant de tout arrêter. Il avait beaucoup à expliquer avant de pouvoir se permettre de telles familiarités.

« Bonsoir, Victoria. Ou bon matin. Je ne sais plus trop. Si tu savais comme je suis content que tu aies eu mon message…Je me suis immédiatement rendu ici lorsque l’avion m’a ramené au pays. Ce n’était probablement pas l’idée du siècle, mais j’avais beaucoup de difficulté à penser clairement. »

Ça ne s’améliorait d’ailleurs toujours pas.

« Je ne veux pas te retenir trop longtemps, je sais que tu travailles… Mais je tenais absolument à ce que la première chose que je fasse en revenant à Boston soit de venir te dire à quel point, et je mets l’emphase sur le ‘à quel point’, je suis désolé de ne pas avoir pu te donner de nouvelles dernièrement. Peu importe les raisons, tu mérites mille fois mieux que ça… »

Il n’allait pas jouer à l’innocent ou prétendre que rien ne s’était passé et que leur idylle renaissante pouvait reprendre comme si de rien n’était. Il s’était éclipsé au pire des moments, alors que les promesses de bonheur bourgeonnaient sans être pleinement enracinées.

« Je comprendrais parfaitement que tu ne veuilles plus jamais entendre parler de moi… Mais si jamais tu te trouves un peu de temps, un jour, il n’y a rien au monde que j’aimerais mieux que de rattraper le temps perdu autour d’un café. »

Le moment de vérité allait bientôt sonner.


@Victoria Lahey

(William Bennett)


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Keep her by your side now (Victoria et William) Calend10 the 06.05.2022 Keep her by your side now (Victoria et William) Marker10 Massachussetts General Hospital. Je ne sais pas pourquoi je me dois de vérifier qu’il n’est plus là, lorsqu’il est évident que William n’a pas attendu des heures durant dans une salle d’attente probablement fermée à présent. Et si par miracle il s’y trouve encore, ai-je envie de lui accorder cette petite victoire, celle de ne pas avoir attendu pour rien ? Pas un mot. Pas un message. Il m’a laissé pleine d’espoir, de doutes, qui ont rapidement été remplacés par l’inquiétude. Cette nuit était bercée de promesses silencieuses mais force est de constater que je n’ai fait que tirer des conclusions hâtives, comme toujours. Le fait de foncer tête baissée n’a malheureusement rien de nouveau.
Lorsque sa silhouette se dessine sous mes yeux fatigués, j’ignore si je dois lui sauter dans les bras et remercier tous les dieux qu’il ne lui soit rien arrivé, ou si je suis en droit de lui balancer l’une des chaises de la salle d’attente au visage. J’essaye déjà d’assimiler la scène, sa présence, et ne parviens pas à bouger d’un millimètre, pas même pour ouvrir les lèvres et lui faire savoir mon mécontentement. Lui, en revanche, prend la parole et je viens croiser les bras sous ma poitrine, comme si un geste aussi futile pouvait me protéger de la suite. De ses excuses - j’imagine - que je ne suis pas certaine de vouloir entendre. Malgré la colère, le sang qui vient taper contre mes tempes, j’essaye de m’accrocher à chacun de ses mots afin de comprendre. C’est la seule chose qui compte, pour l’instant. Je me moque bien de ses demi-excuses, de son grand acte si c’est censé en être un, j’aimerais savoir ce qui lui a donné envie de fuir sans un seul mot. On est d’accord. Je mérite mieux que ça. Ma voix est plus tranchante que je ne le voudrais. Je bouillonne intérieurement et me bats malgré cela contre l’envie d'avaler la distance qui nous sépare pour m’assurer que je ne rêve pas.
Pas un mot, Will. Tu sais combien de fois j’ai vérifié les registres des hôpitaux de la région ?  Parce que peu importe sa carrière, j’ai préféré pensé qu’il avait une raison plus grave, valide, pour ne rien me dire. Le pire est qu’à chaque fois qu’on m’a confirmé que personne n’avait été admis, sous ce nom ou inconnu au bataillon, j’ai été à la fois soulagée et complètement abattue. C’est tordu mais j’en suis venue à espérer qu’il se trouve sur un lit d’hôpital. Sauf qu’il marche, sans la moindre égratignure. Il est aussi beau que lorsqu’il m’a quitté. Si tu penses que m’attendre pendant douze heures sur mon lieu de travail va me faire oublier ces deux derniers mois, tu te trompes. Je lui annonce, sans la moindre agressivité dans la voix cette fois. Il faut juste qu’il l’entende, qu’il comprenne que je ne suis pas une adolescente qui se laisse avoir au premier geste romantique. De nouveau, je ne sais même pas si c’est censé en être un. Est-ce que la démarche est sincère ou est-ce une simple petite manipulation, supposée fonctionner ? Je suis contente de voir que tu vas bien. Je souffle, sincère. J’ai beau l’avoir pensé assez mal pour ne pas être en mesure de prendre son téléphone et appeler, je suis heureuse de constater qu’il n’en est rien.
Je dois y aller. Je termine à sept heures, si tu as deux heures de plus à tuer. Je ne peux pas me permettre de m’attarder, alors que Clary est certainement occupé à s’impatienter à l’accueil. Notre garde n’est pas encore finie et si je rêve de mon lit, j’ai bien plus besoin de réponse que de ce dernier. Je passe au D-Lice à la fin de chaque garde, c’est juste à côté du port. Je me mords l'intérieur de la joue et rassemble toute ma force pour tourner les talons et appeler l’ascenseur. Je sens ses yeux dans mon dos et mes nerfs se font sur le bouton, comme si cela pouvait accélérer son arrivée. Quand enfin les portes s’ouvrent, j’observe le reflet de William dans le miroir au fond de la cage et laisse celle-ci se refermer, sans lui. J’ai à peu près deux heures pour me préparer à cette conversation, ce qui me semble à la fois bien trop court et beaucoup trop long.
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Il avait consacré beaucoup de temps à s’imaginer comment Victoria avait vécu la chose. Bien entendu, il aurait mille fois mieux valu pour lui, et pour elle, qu’il investisse plutôt cette énergie en prévention et qu’il trouve une façon de lui faire parvenir un message. Les premières semaines de l’opération vraisemblablement clandestine à laquelle il s’était retrouvé mêlé bien malgré lui avaient été extrêmement intenses et chaotiques au possible. Cependant, malgré l’interdiction clairement établie d’entrer en contact avec qui que ce soit durant le processus, William était persuadé qu’il aurait pu trouver un moyen.

S’il ne s’était pas laissé aspirer corps et âme par la situation.

Dès que John, l’homme de la CIA à qui il devait son job, avait franchi le seuil de sa porte ce jour fatidique de mars pour lui demander son téléphone, il sût immédiatement ce qu’il allait devoir laisser derrière. Le prix à payer pour un pacte passé avec le diable -métaphoriquement parlant.  

Ce qu’il n’avait pas anticipé, c’était à quel point il lui serait pénible de s’acquitter de cette dette…

Tous ces regrets, ce manque, ces doutes, ces remises en question de ses projets d’avenir, ne se matérialisèrent que trop tard. Une fois que l’adrénaline du bordel dans lequel on l’avait catapulté était redescendue. Une fois que le mal fut fait. Fidèle à ce qui devenait maintenant une habitude, il passa donc les semaines suivantes rongé par l’indécision quant à la meilleure approche pour tenter de réparer les pots cassés.

À s’imaginer comment Victoria avait vécu la chose, donc.  

Et rapidement, elle lui confirma ses pires craintes en lui mentionnant ses démarches auprès des hôpitaux du Massachussetts…

Parce que qu’elle autre raison valable aurait-il pu avoir de disparaître ainsi ?

Il baissa légèrement la tête pour accuser le coup tandis que son cœur manquait un ou deux battements, noyé par la honte d’avoir fait subir l’enfer à celle pour laquelle il le braverait. Tout en sachant pertinemment qu’à défaut d’autre chose, il se devait de garder l’échine suffisamment droite pour recevoir avec honneur et humilité tout le courroux amplement justifié de celle qui fut son premier amour. Tout en attendant silencieusement le coup de grâce, sachant pertinent que quoi qu’il puisse dire en retour serait une insulte supplémentaire face à son mutisme des derniers mois.

À sa plus grande surprise cependant, au lieu de se clore sur un fracassant adieu, leur conversation se termina plutôt sur une main tendue.

Estomaqué par la tournure des événements, il la regarda s’éloigner en silence, respectant son droit de choisir le moment et le lieu où elle souhaitait le revoir et n’osant pas prononcer une seule parole, de crainte de voir sa bonne fortune lui échapper. Il se contenta seulement d’un discret aurevoir de la main, lorsque leurs regards se croisèrent indirectement dans une réflexion.

**********

Une heure quarante-trois minutes plus tard, fraîchement lavé et vêtu, il prenait place à une petite table au D-Lice. Il ne pouvait pas se permettre d’être en retard à ce rendez-vous. L’espoir dans les talons, il avait choisi de s’y rendre les mains vides, sans artifices. La situation était beaucoup trop sérieuse pour un bouquet de fleurs de toute façon. Il commanda deux cafés : un maintenant, et un autre dès qu’on l’aurait rejoint à sa table. Ainsi que deux pâtisseries au coulis de framboise et cacao supposément intense. Des spécialités de l’endroit.

Le menton déposé dans la paume de sa main, il égrena les secondes en fixant le vide et en faisant tournoyer machinalement une cuillère dans sa tasse. Il n’arrivait pas à penser à autre chose que la conversation qui l’attendait. En ce moment précis, tout le reste lui semblait complètement dénué d’importance. Paradoxalement, il ne voulait pas non plus penser à cette conversation, de peur de la teinter de ses propres appréhensions.

La seule conclusion de ses ruminations fut de décider de l’accueillir d’un sobre « Hey…  », et probablement d’un sourire qu’il ne parviendrait pas à taire complètement suite à son arrivée.

Si tant est qu’elle choisisse de se présenter au D-Lice, bien entendu. Parce qu’après tout, le contexte se prêtait magnifiquement bien à un juste retour du pendule.



@Victoria Lahey
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Que vient-il de se passer ? Mon niveau de fatigue est-il bien plus élevé que je ne le pensais, au point d’imaginer un retour miracle de l’homme avec lequel, il y a encore quelques semaines, j’envisageais de faire un petit bout de route ? Dans un soupire, je me passe les mains frénétiquement sur le visage afin de me ressaisir puis j’observe mon reflet dans le miroir de l’ascenseur qui continue sa descente vers le sous-sol. Je fais peur à voir, entre le choc qui se lit sur mes traits et la fatigue de cette garde qui a creusé ces derniers. Les portes s’ouvrent finalement et je force un sourire en direction de ma partenaire qui me questionne du regard. Je t’expliquerai dans l’ambulance. Bien que je ne suis pas certaine qu’il y ait beaucoup à dire. Nous saluons l’hôtesse à l'accueil que je remercie pour l’information concernant la présence de William à l’étage, bien que je ne sache toujours pas quoi faire de cet élément, nous remballons le matériel avant de prendre à nouveau la direction de la caserne. J’ai beau être abasourdie, les mots coulent très (trop) facilement une fois dans l’habitacle, au point que Clary doit être heureuse de voir la caserne apparaître. Après un bref historique, je lui livre la moindre de mes pensées. Celles-ci partent dans tous les sens possible, j'oscille entre joie, colère, soulagement, tristesse et ignore sur lequel de ses sentiments je suis supposée me reposer afin de me protéger.
Dans l’espoir de ne plus obtenir d’appel jusqu’à la fin de notre garde, je me pose dans un lit mais ne parviens pas à fermer l'œil. Il y a cette petite voix qui me souffle que je ne suis pas en droit de la blâmer pour sa carrière, pour un choix qui n’en était sans doute pas un, mais je n’ai pas envie de l’écouter. Il n’est pas seulement question de le mettre sur le banc des accusés, de faire ou non le choix de pardonner, mais bien de savoir s’il s’agit de quelque chose que je suis prête à accepter au quotidien. Ce n’étaient que les premiers instants et je me suis déjà mise dans tous mes états alors qu’est ce qu’il en sera dans quelques mois, si je m’implique à cent-pour-cent dans cette relation ? Ce sera peut-être plus facile en étant préparée à l’éventualité de le voir disparaître, en sachant que notre relation n’est en rien responsable d’un départ soudain, mais j’en doute fortement. Ce n’est pas le genre d’absence à laquelle il est possible de s’habituer, car il y aura toujours l'inquiétude de ne jamais le voir revenir.

Je sursaute lorsque Clary me pince le bras délicatement, surprise de constater que je me suis finalement assoupie dans le tourment de mes pensées. Même si je le sais (ou l’espère) à m’attendre au D-Lice, je m'octroie une douche rapide avant d’enfiler rapidement ma tenue de civile et me mettre un peu de mascara pour me donner un air un peu plus éveillé. Je promets à mon amie de tout lui raconter en détail à notre prochaine garde et prends le volant de ma voiture personnelle, direction le port de Boston. L’impression d’avoir un noeud à l’estomac est plus forte à chaque rue que je dépasse, jusqu’à me sentir nauséeuse lorsque je parque le véhicule devant le D-Lice.
Mes yeux le trouvent avant même de passer la porte et je me vois incapable de répondre à son sourire. Hey. Le sac à main posé sur une chaise vide, je prends place en face de lui et l’observe une petite seconde à peine avant de tendre le bras pour attraper la main dans laquelle repose toujours son menton. C’est plus fort que moi, mon corps réagit avant ma tête. Nos mains jointes tombent au centre de la table et je les fixe avant de relever les yeux vers lui. Je suis vraiment heureuse que tu ailles bien. Il me faut éclaircir ce point avant toute chose, car il s’agit de l’essentiel. Mes doigts lâchent leur emprise sur les siens pour aller s’enrouler autour de la tasse qu’on vient me poser sur la table et je souffle sur le café brûlant sans réussir à m’engager la première dans cette conversation.
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William Bennett

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Lieu de naissance : New-York, bien qu'ayant des origines albanaises
Quartier d'habitation / Colocation : Downtown Boston. Avec Erza
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Études / Métier : Enquêteur du FBI
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Infos ⊹ L'un des plus jeune et plus prometeur enquêteur du bureau du FBI à Boston. Spécialisé dans les crimes financiers et la corruption. Anciennement homme de famille, ce volet de sa vie s'écroule suite à son divorce. Il est maintenant rendu à mettre le feu à sa vie et à ses valeurs pour voir jusqu'où s'élèvera le brasier. De plus en plus addict au pouvoir, il joue maintenant un double jeu dangereux avec ceux que sa profession voudrait mettre derrière les barreaux.


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Février 1989 ⊹ Naissance à New-York. Sept 2007 ⊹ Accepté à Columbia en finance (New-York). Octobre 2012 ⊹ Engagé au FBI, section crimes financiers (New-York). Août 2014 ⊹ Il se marie avec sa fiancée, rencontrée à Columbia (New-York). Décembre 2018 ⊹ Il se divorce. Janvier 2019 ⊹ Obtient une promotion et est transferé à Boston. Février 2019 ⊹ Emménage avec sa soeur, Bisha (Boston). Octobre 2019 ⊹ Trouve son propre appartement (Boston).
Octobre 2021 ⊹ Retourne habiter avec Bisha (Boston).


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Warnings : WARNING // concernant (William) Langage occasionnellement abusif. Partage des vues politiques très à droite. Référence à la religion catholiqueTRIGGER // refuse de jouer ; L'extrême violence. Des actes sexuels explicites. Discutons-en au préalable.
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Dès qu’elle fit son apparition dans le restaurant, toutes ses appréhensions s’évanouirent. Pas parce qu’il croyait la victoire assurée, bien au contraire. Il ne s’agissait de toute façon pas d’une situation qui aurait de gagnants ou de perdants. Seulement deux êtres appréciant la compagnie l’un de l’autre qui tentaient de voir si leurs projections d’un futur peuvent, à nouveau, se concilier, pour donner vie à quelque chose de plus grand, de plus beau, de plus inspirant que leur quotidien isolé.

Non, ses craintes s’estompaient plutôt parce qu’il savait au fond de lui-même qu’il n’existait aucun endroit au monde où il aimerait mieux être qu’ici et maintenant, ce qui relevait du miracle pour l’ambitieux qu’il était. Cette réalisation lui emmena un profond sentiment de paix intérieure qui ne se retrouva qu’accentué lorsque Victoria prit sa main. Et tandis qu’elle fuyait son regard, visiblement aux prises avec des émotions contradictoires, lui ne quitta pas une seule seconde son visage des yeux.

« Tu sais, ça leur aura pris un certain temps à le reconnaître, et moi encore plus longtemps à l’admettre, mais j’ai atteint le stade où ma tête a plus de valeur que mes muscles… apparemment. Ça n’arrive pratiquement plus que je sois placé en situation dangereuse. »

Il savait que ça ne la convaincrait que moyennement. Il portait après tout cette vilaine cicatrice au bassin, souvenir d’une balle destinée à mettre fin à ses jours. Victoria l’avait découverte il y avait quelques mois à peine, puisqu’elle ne s’y trouvait pas lors de ses précédentes inspections, il y a de cela plus d’une décennie.

« Depuis que je suis sur Boston, je me porte volontaire pour les dossiers complexe et un peu casse-gueule. Parce qu’avant, je n’avais rien à perdre, que rien ni personne ne m’attendait ici et que quelqu’un devait bien s’occuper de ne pas les laisser gagner.  Ils avaient décliné ma candidature, à l’époque, me préférant un agent plus sénior. Il y a deux mois cependant, ce même agent plus sénior a donné sa démission sans préavis, et du coup, ils sont venus me récupérer à l’arrache pour tenter de sauver les pots cassés…On ne m’a pas laissé dire non. »

Les détails profitaient de beaucoup d’embellissement créatif, même si le fond demeurait. Cet épisode prenait après tout naissance non pas à Boston, mais bien à New-York alors même qu’il planifiait son mariage. Comme quoi ses difficultés à concilier ses ambitions personnelles avec ses espoirs amoureux ne dataient pas d’hier.

Et elles n’étaient manifestement pas prêtes de se terminer…



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Cette conversation me fait peur, tant pour son contenu que pour le niveau de fatigue avec lequel je vais devoir la soutenir. Il m’est bien plus facile de m’énerver, ou encore de fondre en larmes, lorsque je suis épuisée alors peut-être que la solution réfléchie aurait été de reporter cette rencontre à un autre jour. Ou juste à dans quelques heures, afin de nous attribuer à tous les deux quelques heures de sommeil bien méritée avant de, peut-être, discuter de notre avenir commun.
Il est cependant trop tard pour en venir à cette conclusion car mes pas me guident à l’intérieur du D-Lice et son regard accroche le mien avant qu’il ne me soit possible de faire demi-tour. Loin de là l’idée de le faire maintenant que le rendez-vous a été fixé et que nous sommes tous les deux sur place. Nos mains liées, je lui fais savoir mon soulagement alors qu’une petite voix me rappelle que je suis également en colère et surtout peinée que William m’aie laissée dans le plus grand mystère pendant plus de deux mois.
Un sourire forcé se dessine au coin de mes lèvres à ses mots, qui j’imagine sont supposés me rassurer. Je n’imagine pourtant pas de situation qui soit sans danger liée à sa carrière, je ne parviens donc pas à prendre cette information comme quelque chose d’acté pour le futur. Concentrée sur le café entre mes mains et les mots qui sortent de sa bouche, je ne peux que le fusiller du regard lorsque William mentionne le fait qu’il n’avait rien à perdre. Sa vie n’a donc aucune valeur, simplement parce que personne ne l’attendait à son retour ? Je pourrais être flattée qu’il parle au passé, comme si j’entrais à présent dans l'équation de ses choix de vie, mais je retiens surtout le pire. Je pense que, inconsciemment, je m’accroche à cette colère qui ne me quitte pas depuis qu’il m’est apparu quelques heures plus tôt parce que je refuse que la pilule passe aussi facilement. William Bennett va avoir besoin de bien plus qu’un café et quelques mots pour me faire oublier son absence, et la peur viscérale qui y est liée. Tu aurais dû me prévenir que ce genre de choses pouvaient arriver. Pas forcément la mission, mais le départ précipité sans un seul mot pour me faire savoir que ton corps n’est pas quelque part dans Charles River. J’ai toujours su qu’il y avait des risques liés à sa carrière et une possibilité pour qu’il quitte Boston pour plusieurs semaines mais nous n’en avons pas assez parlé pour que je puisse me préparer à cela. Le silence, le néant.
Je suis bien consciente que ce n'était pas totalement un choix de ta part, quand bien même tu t’es porté volontaire. Rappelons-le, malgré tout. C’était avant nous mais le fait est qu’il a signé, bien avant de disparaître, et savait donc que cela pouvait arriver. Je ne te reproche pas ta carrière et ce qui en découle mais je ne sais pas si je suis prête à ce que cela devienne mon quotidien. Dis-je d’une voix faible mais ferme. Je ne veux pas devenir l’une de ces femmes de soldats, qui ignorent si elles auront l’opportunité d’un jour serrer leur compagnon à nouveau dans leurs bras. Au moins ont-elle l'opportunité de dire au revoir, ce qui n’a pas été mon cas.
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William écouta sans broncher tandis que Victoria lui exposait, avec une délicatesse et une retenue fort louable compte-tenu des circonstances, sa perception des choses. Et elle avait raison sur toute la ligne, bien entendu. Malgré tout, et comme à chaque fois où il se retrouvait face à elle, il parvenait difficilement à choisir le cap entre ce qu’il croyait qu’elle avait besoin d’entendre, ce qu’il avait envie de lui dire… et la vérité.

« Je… tu as tout à fait raison. Je ne peux même pas m’imaginer dans quel état je me retrouverais si les rôles seraient inversés. J’aurais dû te prévenir que ce genre de chose pouvait se produire, et j’aurais dû te prévenir aussi rapidement que possible après mon départ que j’allais bien. Il n’y a aucun doute là-dessus. Je suis d’ailleurs ici uniquement pour m’en excuser sincèrement. »

Il poussa un bref soupir en regardant son café noir, rassemblant ses idées. Et son courage.

« Tu sais, Vic, je ne t’attendais pas. »

Il releva la tête vers elle.

« Je n’aime pas vraiment en parler, mais j’ai vécu très difficilement mon divorce. La seule chose qui faisait du sens pour moi durant … très longtemps… ça a été mon boulot. À un certain moment, pour réussir à avancer, j’ai dû me résoudre à accepter mon échec. Qu’au fond, je n’étais pas fait pour une vie à deux, mais que je pouvais quand même être utile autrement. »

Il esquissa un bref sourire sans joie.
« Ça a probablement l’air un peu con, mais c’est vraiment à partir de ce moment-là, quand je me suis dit, ‘Nope, Will, c’est fini pour toi ces histoires’, que j’ai réussi à reprendre le contrôle de ma vie. Ça ne me justifie aucunement, mais ça fait partie de qui je suis maintenant. »

« Il s’en est passé des choses, depuis New-York. Autant pour toi que pour moi. Je suis convaincu que nous avons tous les deux accumulés pas mal de bagages, et probablement un ou deux squelettes dans nos placards… D’ailleurs, un jour, il va falloir que tu me racontes ce que tu faisais réellement au Nirvana ce soir-là… »

Un bref sourire, sincère celui-ci, illumina brièvement son visage, avant d’immédiatement reprendre son sérieux.

«… mais je me suis laissé emporter par ces moments passés avec toi. J’avais oublié ce que ça faisait… Il y avait tellement d’aventures que je voulais partager en ta compagnie, tellement de belles histoires que je voulais te raconter, je voulais tellement écouter le son de ta voix, que je n’ai tout simplement pas penser à déballer mon sac et à réfléchir à tout ce qui pourrait venir gâcher ça. »

Il marqua une pause, durant laquelle il s’égara dans ses yeux. Ces yeux qui le pleureraient, peut-être, s’il finissait effectivement dans la Charles River parce qu’il avait eu les yeux plus gros que le ventre. Ces yeux qui manquèrent le convaincre, par les fol espoirs qu’ils reflétaient, de tout avouer. Son manège financier visant à blanchir de l’argent, autant aux yeux du fisc que de la justice criminelle. Ses ententes avec diverses familles riches pour surveiller et protéger de la loi leurs descendants turbulents durant leurs études à Harvard. Son plan totalement en marge de la loi pour venger sa sœur du gang l’ayant kidnappée. Les extorsions. Ses trafics d’influence. Les amphétamines.

Mais, dénués de tous ses secrets, que lui resterait-il ?  


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Ses excuses ont plutôt l’effet inverse. Le fait de sous-entendre qu’il aurait dû - et donc, par définition, pu - me signaler qu’il allait bien me met hors de moi, même si je parviens à garder plus ou moins un masque. Mes traits se font plus durs mais je ne pipe mot, afin de le laisser aller à bout de ses “excuses”, ou plutôt de ses explications. Ces deux derniers mois auraient pu se dérouler tout autrement si seulement j’avais su qu’il allait bien et ce départ précipité n’était en rien lié à nous. Mon visage se ferme un peu plus lorsqu’il me dit que je suis arrivée un peu par surprise, ne parvenant pas à savoir s’il s’agit d’une bonne ou d’une mauvaise chose.
La tasse portée à mes lèvres, j’avale la gorgée de café aussi difficilement que ses mots. Mais j’écoute, silencieuse, en prenant soin de ne jamais venir l’interrompre afin de le laisser aller à bout de ses arguments. Je suis le fil de ses pensées sans même penser à lui couper la parole. Peut-être que je suis sincèrement trop fatiguée pour tenir cette conversation parce que plus je l'écoute, moins je suis en mesure de rassembler mes propres pensées afin de réagir en conséquence. Je dansais, je te l’ai dit. Dis-je d’un ton las, en levant les épaules. Le cœur n’est pourtant pas à la plaisanterie, je lui en voudrais presque d’oser venir placer un peu d’humour dans sa tirade et pourtant, il s’agit de la seule chose sur laquelle je me sens en mesure de réagir.
La cuillère à la main, je plonge dans la pâtisserie songeuse, et réfléchis sans être en mesure de savourer celle-ci. J’ai un nœud dans la gorge, à moins que ce soit dans l’estomac que celui-ci se trouve.
Je trouve ça profondément triste qu’à cet âge, tu te sois résolu à vivre une vie sans amour. Je connais moi-aussi le poids des échecs pour avoir essuyé un divorce et des fiançailles rompues à quelques jours du jour J, mais cela ne m’a jamais fait perdre espoir ou renoncer à l’amour. J’ai accepté la peine, la tristesse, sans fermer mon cœur. Je ne dis pas que c’est ce qu’il aurait dû faire, lui aussi, simplement que c’est dommage de ne vivre que pour sa carrière - et pourtant, j’ai beaucoup donné pour la mienne.
Je ne sais honnêtement pas quoi te dire. Je comprends d’une certaine façon… Et je n’ai pas du tout envie de le faire d’une autre. Je peux comprendre les blessures, le passé, et je ne te reproche pas le mode de vie que tu as choisis de vivre… Mais j’entends surtout que tu aurais pu me prévenir que tu allais bien et que tu as choisis de ne pas le faire. Ce n’est pas exactement ce qu’il a dit mais le fait qu’il aurait pu trouver un moyen et William n’avait même pas essayé. Je ne m’attendais pas à ça, à nous, plus que toi Will. Je souffle et nous désigne rapidement avant de venir placer mes doigts sur mes tempes, comme si ce simple geste pouvait m’aider à réfléchir. Je ne peux pas m’impliquer à moitié dans une relation… Ce n’est juste pas moi. Je suis all in, ou all out. Et j’ai besoin qu’il le comprenne, et qu’il fasse ce choix pour nous deux, avant que je m’investisse dans quoi que ce soit. William n’est pas un homme que j’ai envie de fréquenter lorsque nos agendas nous le permettent et qu’il m’est facile de perdre de vue pendant deux mois, pour reprendre là où nous nous sommes arrêtés lorsqu’il est en mesure de me revenir. Encore que, sur ce dernier point, je pourrais l’accepter à condition de savoir que retour il y aura.
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