Leynrys ● Oh please, don't play that game with me.

Leyna avait envie de faire une petite balade en voiture, vu le soleil qui brillait en permanence depuis le début de la semaine elle trouvait que c'était bien de mise. En essayant de la démarrer, rien ne fonctionnait, puis elle finit par partir avec difficulté et en faisant une grosse fumée noire. Heureusement, le garage n'était pas loin, et elle ne tarderait pas à appeler les fabricants de cette magnifique voiture de luxe pour leur chanter une grosse poignée de bêtise, même pire. Franchement, ça coutait les yeux de la tête et au final elle ne l'avait même pas garder un mois ; la foutaise. Donc voilà, la Eliot arriva au garage qui n'était pas très loin d'Harvard, espérant y trouver des garagistes un minimum compétents qui ne réduirait pas sa voiture en bouilli quoi. Le gérant du garage regarda sa voiture et lui avoua qu'elle ne pourrait pas la récupérer avant le lendemain. Il rigolait ou quoi ? Qu'est-ce qu'elle allait faire pendant 2 jours sans voiture putain ! Oh les hommes tous des lâches.

ça faisait plusieurs années que j'avais débarqué là et j'avais pu aussi connaitre des gens. J'avais eu la grande chance de rencontrer ce gérant d'un des garages les plus réputés de la ville et après l'avoir convaincu de m'apprendre quelques trucs de plus que ce que mon père avait pu m'apprendre niveau voiture ou tout autre truc à moteur, j'avais pu être engagé dans le but de venir aider quand je pouvais, quand j'avais du temps libre et gagner de l'argent, histoire d'arrondir les fins de mois en plus de certains boulots dont je tairais la nature. Bref, encore en cet fin d'après-midi, je me trouvais au milieu de voiture, et cambouis,trafiquant un coup sur une voiture. J'étais en dessous de la caisse, faisant les derniers détails quand un de mes collègues travaillant sur le reste de la voiture au dessus, se baissa pour me souffler qu'une bombasse friquée venait d'entrer. Je terminais rapidement, bien décidée à profiter de la bombasse qui venait d'arriver. Je savais que mon collègue était loin d'avoir mauvais gout et même si j'aimais bien prendre mon temps dans mon boulot, je pouvais bien me presser un peu. Quelques minutes après, je me glissais en dehors du dessous de la voiture. J'avais le visage un peu crade mais c'était sexy et puis, je le suis toujours après tout par principe. Mon collègue me donnait sa main pour m'aider à me relever et me la montrait du regard. Quand je l'aperçus, je ne pus m’empêcher d'avoir un sourire limite carnassier. Je me suis ensuite avancé vers elle tandis que mon patron commençait à prendre les choses en main apparemment sur sa voiture. J'ai alors dit à ce cher bon vieux patron que je m'occupais de la jeune femme, il a ralé mais il m'a pas dit non et je me suis réellement plus rapproché d'elle. Bonjour ! Alors comme ça, on est pas foutu de pas péter sa bagnole à jeneveuxpassavoircombiendedollar ? Je lui faisais signe du regard de m'accompagner dans le bureau du fond où je m'empressais de sortir un papier d'accord de dépôt pour sa voiture et une potentielle facture tandis que je la regardais par intermittence en faisant la chose.

Leyna était vraiment en colère là, autant parce que sa voiture venait de la lâcher que parce qu'elle devrait maintenant attendre une longue journée ! C'était quoi ce garage à la con,il savait pas comprendre qu'elle avait absolument besoin de sa voiture aujourd'hui. En plus, elle était une cliente de renom, si le service ne lui plaisait pas ils ne risquaient plus d'avoir beaucoup de client éventuellement. En tout cas tant pis, ils ne pourraient pas compter sur le pourboire. Alors qu'elle s'apprêtait à téléphoner à quelqu'un pour la ramener, elle vit Emrys sortir de sous une voiture et s'approcher d'elle. Elle ne put s'empêcher de le trouver plutôt sexy, mais ça c'était exactement le genre de chose qu'elle n'avouerait jamais à voix haute car ce serait lui flatter l'égo et elle se le refusait. La jeune femme croisa donc les bras, avec un air un peu hautain, c'était vraiment là qu'il travaillait ? Dommage. Toi, ici ? En fait ça m'étonne pas, je veux dire faut bien que tu aies de quoi manger ce soir, et puis c'est pas comme si t'avais pas l'habitude de vivre dans la saleté. Elle leva les yeux au ciel, sérieusement il se prenait pour qui celui là ? Il n'avait aucunes raisons de se croire supérieur, elle le mènerait par le bout du nez si l'idée lui plaisait, parce qu'elle connaissait bien ce genre de mec au fond il ne voulait que son attention. Ce que ça faisait pitié !

Je relevais la tête, gardant pour moi la lueur de doute qu'elle pouvait provoquer en moi, le plus profondément possible, ne laissant que mon regard charmeur transparaitre. Je griffonnais les formalités avant de me stopper quand elle répondit à mes provocations. C'était assez habituel chez nous, en fait. On passait notre temps à se provoquer, à se dire des méchancetés, mais j'étais certain qu'elle me kiffait grave enfin non, j'avoue que sur le coup, j'y croyais pas du tout et qu'une partie de moi en avait pas envie de cette vieille nana toute pourave mais une autre ne dirait pas non pour aller foutre sa tête sous la jupette sexy. Elle jouait, elle aussi, sur ma pauvreté. Enfin bon, j'étais pas non plus malheureux mais je n'étais pas riche et j'avoue ne pas m'en cacher. J'étais déjà en froid avec mon père, j'allais pas en plus faire genre que j'étais friqué. Je la regardais se foutre de moi et j'éclatais de rire, le rire bien provoquant et je m'en foutiste comme j'aime si bien le faire car je sais que ça énerve même si on me fait croire que non. Je glissais directement les papiers dans son sens en lui indiquant les endroits où elle devait signer : Ici. Ici & une dernière ici ... Je me levais ensuite de ma chaise rapidement et en me dirigeant vers la porte du bureau, j'enlevais mon t-shirt de travaille, taché de cambouis ! Je laissais apparaitre mes muscles saillants, histoire de me la jouer mais je ne le montrais pas, je savais me la jouer naturelle aussi, juste histoire de la déstabiliser un peu. Bon, je vais peut-être faire chauffeur, si tu veux aujourd'hui ? Sauf si ma pauvreté te répugne de trop, évidemment ... Je sortais du bureau, faisant un signe de tete pour lui faire comprendre qu'elle pouvait sans peur me suivre en laissant les papiers sur le bureau et j'allais vers la petite salle des vestiaires. J'enlevais le reste de la tenue de travaille, laissant apparaitre mon jean et attrapant dans mon casier, un t-shirt propre et ma veste. Je l'arrangeais bien, remontant mon col et lançais un petit : Avoue t'aurai kiffé que j'ai rien sous le bas de combi' ... Accompagné d'un petit clin d’œil.

Leyna s'amusait inévitablement lorsqu'elle était en compagnie d'Emrys, ils se lançaient des vannes plus ou moins blessantes mais bien sur tout ça cachait une profonde attirance physique. Quoi que bon elle n'était pas vraiment certaine de réellement coucher avec lui un jour, tout simplement car elle savait qu'ensuite il continuerait à l'embêter mais alors là encore pire. C'était ce genre de type vraiment con tu vois. D'un autre côté, c'était plutôt sexy... Bref, elle le suivit jusqu'au petit bureau pour signer les papiers de formalités en signant aux endroits qu'il lui indiquait. Une fois terminé, elle ne tarda pas à sortir un désinfectant de son sac à main, pas question de tomber malade avec les microbes qui pouvaient se trouver sur ce crayon. Vous imaginez combien de mains ont passés ? Beurk ! Par la suite il se déplaça en enlevant son t-shirt de garagiste, oh putain le corps qu'il avait. Finalement ça avait quelque chose de bien être pauvre, ça forme des muscles de fou. Le beau Emrys la ramena à la réalité en lui proposant d'être son chauffeur, ce qu'elle allait bien sur accepter mais en le faisant un peu mariner quand même. J'ai pas tellement le choix alors... Comme il lui fit signe de le suivre, elle obéit en allant jusqu'à son vestiaire où il se changea. C'était à sa que ressemblais un vestiaire de garage ? Franchement, on était loin du luxe hein, en même temps ça n'avait rien de très étonnant non plus. Une fois prêt, il lui fit un commentaire qui la fit soupirer à nouveau. T'es dégoutant Emrys ! Et puis tu sais quoi ? Je vais bien m'arranger sans toi, bye. Elle se détourna, repartant vers la porte avec ses talons aiguilles qui résonnait un truc de fou à travers la pièce. Bien sur elle exagérait, ce n'était pas dégoutant du tout même qu'il avait raison à la limite, mais la brune n'allait quand même pas lui faire plaisir en lui avouant la vérité, c'était bien trop drôle de le narguer de la sorte.

Elle semblait vraiment vouloir m'emmerder mais néanmoins elle accepta rapidement ma proposition de faire son chauffeur. Après avoir bien admiré mon torse que j'avais précieusement révélé pour ces beaux yeux, Leyna semblait vouloir se la jouer sainte-nitouche niant toute envie de regarder mon corps de dieu grec ... Bien sur, elle soufflait et crachoter. Je savais très bien que je l'énervais mais j'aimais, oh combien, que ça marche. Elle était tellement ... sexy quand je l'énervais puis de toute manière, j'adorais simplement ça et en général, ça marchait clairement : elle en était la preuve. Je la regardais tenter de répondre à mes piques mais ce qu'elle ne savait pas, c'est que jouer avec ma pauvreté, ça ne marchait parce que j'avais déjà réussi à me blinder là-dessus depuis longtemps et pour cause. Je la regardais, les yeux brillants mais surtout, provocateur voir coquin. Elle me trouvait apparemment dégoutant pourtant son regard disait le contraire. Elle tourna les talons en m'annonçant que finalement, elle allait se débrouiller sans moi. Je la regardais se dandiner et s'éloigner puis j'attrapais rapidement mon sac et courrais vers la jeune fille. Ma moto - on ne remarquait même pas qu'elle était faite de pièces détachés trouvés à droite à gauche avec l'aide d'un précieux collègue- n'était pas loin alors j'attendais qu'elle soit presque sorti du garage, faisant sonner ses talons aiguilles, laissant pour le plaisir de mes yeux, ses fesses se balançaient au gré de ses pas. Je l'attrapais par le bras comme un enfant et me contentais de dire : Mimi cracra, je sais que tu veux monter sur ma bécane .... Grrr Grrr ! Je faisais un mouvement subjectif du bassin et l'attirais de force vers ma moto. Là, je savais qu'elle ne critiquerait pas ma moto car elle n'était pas moche du tout, ni débraillé, on n'avait fait du bon boulot, qu'elle le veuille ou non. Bon Allez, prends le casque, mets le ... les poupées ont la tête fragile et puis, je voudrais pas t'abimer ... Oui, Je me rendais compte que je venais de sortir le premier truc gentil depuis qu'elle était arrivée, enfin un compliment devait-elle se dire sauf si elle est conne et qu'elle comprends pas. Je me sentais, du coup, mal à l'aise mais comme j'étais déjà assis sur ma bécane et que j'attendais juste qu'elle se pose à son tour, elle ne pouvait pas voir mes yeux grands ouverts, choqué par ce que je venais de dire sans vraiment le vouloir. Quand elle fut installée, je repris la parole, me raclant la gorge comme pour repartir dans la normalité de notre relation ; Tu vas pouvoir réaliser ton rêve ... mettre tes bras autour de moi ... Allez accroche toi Carlson !

Leyna n'allait quand même pas lui faire plaisir en lui disant exactement ce qu'il voulait entendre, Emrys était un séducteur dans l'âme, ça se voyait à la façon dont il agissait car elle faisait exactement la même chose, ils avaient l'habitude d'avoir tout le monde à leurs pieds et comme entre eux ça ne marchait pas alors ils s'envoyaient sur les roses en s'embêtant. Pourtant voilà, il avait un corps de dieu, c'était une évidence certaine et si leur relation avait été différente elle l'aurait sans doute mis dans son lit depuis un moment. Seulement là, c'était tout aussi sexy ! Elle lui balança clairement qu'il était dégoutant puis parti vers la sortie, s'attendant bien à le voir lui courir après ce qui arriva très exactement. Ils étaient prévisibles, savaient très bien qu'un jour ou l'autre ils se retrouveraient à coucher ensemble, mais ils faisaient bien durer le moment. Emrys lui proposa donc de le suivre sur sa moto, en fait il la tira de force et elle ne put lui refuser ça cette fois. Même qu'il lui demanda de mettre le casque, pour ne pas qu'elle s'abime. Leyna fronça un sourcil immédiatement, croyant presque avoir mal entendu. Emrys Zacharias qui me dit un truc gentil, ça alors je croyais pas ça possible. Elle le taquinait à moitié puis réalisa qu'elle devrait s'installer derrière lui sur la moto et le serrer. Intéressant ! C'est plutôt toi qui sera heureux de sentir nos corps l'un contre l'autre. La jeune femme s'installa donc sur la moto une fois que le casque fut sur sa tête et elle passa ses bras autour de lui. Elle sentit comme un truc électrique passer dans son corps mais n'en laissa rien paraitre,c'était le plus proche contact qu'ils avaient eut.

Nous étions à présent prêt pour partir. Mais ça me perturbait, même si je déconnais, ça me plaisait de savoir qu'elle était là avec moi parce que faut le dire que physiquement, c'était vraiment une bombe quoi, elle me plaisait bien alors du coup, de la sentir comme ça, coller contre moi alors que je savais qu'une force en moi me retenait de me la faire pour Jasper, ça me rendait un peu fou et étrange. Je regardais le vague devant moi quand elle me rétorqua rapidement avec sa voix de peste que c'était plutôt moi qui devait être heureux d’être coller contre elle. Ainsi, je la sentis derrière moi, je sentis ses bras m'entourer et ses mains arrivaient devant moi, pas loin de mon bas ventre. Ce contact me fit un effet fou, un effet différent que d'autres contacts que j'avais pu avoir avec des filles et pourtant, je fais beaucoup de gymnastique horizontale, disons, que je ne manque pas d'en faire, mais là, ça m'avait fait un truc étrange. Enfin bon, je me raclais la gorge et fermais les yeux comme pour me concentrer sur mon cerveau et lui interdire de laisser mon petit oiseau montrer qu'elle me faisait un effet de malade. J'eus un moment d’arrêt, regardant ses mains et ses bras autour de moi, juste en baissant la tête, puis je démarrais la moto, levant le pied avant de lui dire un dernier mot : Allez Carlson, on y va ! D'une voix suave, sexy, limite excitante, je crois que ce serait bien le mot. Nous voilà parti ! Je sentais le vent fouetter mon visage. J'espérais ne pas croiser la police car j'avais pas mis de casque, mais bon, l'important était de protéger la poupée qui se trouvait derrière moi. A un feu rouge, au coin de la grande rue, je me suis légèrement retourné et je me suis étonné à vouloir être prévenant ; Huuum ... ça va, t'es pas trop mal installé ? Après avoir eu confirmation qu'elle allait bien, on put reprendre la route car le feu passait au vert. Nous nétions pas si loin de tout quand nous étions au garage et du coup, on arrivait rapidement dans le quartier de l'université. Je décidais de l'emmener au parc, je sentais que j'avais pas tant que ça envie de la quitter parce que bon, j'aimais bien l'embeter et je l'avouais, c'était sympathique de la regarder, de passer du temps avec elle ... A défaut de pas me la faire de peur que Jasper m'en veuille, je pouvais passer du temps avec elle, c'est pas comme si je risquais de tomber amoureux, non, non, je risquais rien, juste d'aller trop loin en la provoquant de trop. Je m’arrêtais donc non loin du parc, attachant par mesure de sécurité ma moto et l'aidant à descendre après être moi-même descendu en douceur. Je peux reprendre ceci ? Avais-je dit en montrant des yeux le casque. Je la sentais étonnée de ne pas etre au campus ou à la Eliot House alors je repris : J'ai trouvé con de ne pas venir se défouler ici ... j'ai vu que tu avais grandement envie de te défouler sur moi aujourd'hui et je dois dire que moi aussi ...

Leyna s'installa confortablement derrière Emrys sur sa moto, malgré tout ce qu'elle pouvait bien dire pour l'embêter ce n'était pas du tout désagréable cette proximité entre eux, bien au contraire elle pourrait rester comme ça pendant des heures sans problèmes. Collée contre un garçon avec une telle carrure, qu'il soit pauvre ou non, ce n'était jamais quelque chose dont on se plaindrait. Elle pourrait même dire que le sentiment qu'elle ressentait à ce moment là était plutôt différent de ce qu'elle ressentait d'habitude, disons que ce n'était pas une attirance physique à proprement dit et c'était plutôt étrange. La jeune femme croyait que ça venait simplement du fait qu'ils se taquinaient, ne croyant pas réellement que ça puisse être autre chose. À un moment ils s'arrêtèrent à un intersection, le temps qu'il lui demande si tout allait bien ce qu'elle trouva adorable. Ça va... merci. Elle se surprit à lui faire un sourire sincère, presque gentil qu'elle ignorait s'il avait aperçu puisqu'ils repartirent aussitôt. La journée était tellement belle, le soleil était au rendez-vous, avec un peu de vent juste pour rendre le tout un peu plus agréable à vivre. En soit, Leyna ne remarqua pas la durée du trajet tellement elle était bien, limite elle aurait envie de faire ce genre de chose plus souvent. Elle et lui s'embêtait souvent, mais au fond ce n'était pas méchant,ils pourraient même éventuellement devenir amis ou même coucher ensemble s'il n'avait pas été le meilleur ami de Jasper. En tout cas, une fois arrivée elle lui fit un nouveau sourire plutôt sincère, sa devenait étrange là. Emrys lui demanda s'il pouvait lui reprendre le casque et elle lui tendit avant de répondre à la suite ; C'est un très bon endroit, tu as bien choisi...

Nous étions enfin arrivée à la destination choisi. Le parc était un lieu paisible et je crois que bizarrement, je n'avais pas seulement envie de rester avec elle pour l’embêter mais aussi tenter de la connaitre, mais mon envie de me protéger m’empêcher d’être totalement gentil, de baisser ma garde. Elle me rendit le casque, que je rangeais avant de me dire qu'elle trouvait que ce choix de lieu était très bon, et que j'avais bien choisi. Je lui souriais et commençais à avancer ; Ouais, je sais ... j'ai de très bon gout ! Je laissais apparaitre un sourire charmeur et vantard sur mon visage. Je ne pouvais pas m'en empêcher, j'étais comme ça et puis, c'est tout. Je continuais à marcher avec elle, pénétrant au cœur du parc. J'aimais les longues balades comme ça, tranquille et avec elle, je trouvais cela encore plus agréable. C'était extraordinaire comme je trouvais ça plaisant et totalement étrange voir déplacer. C'était comme si je voulais me la faire mais que y avait un truc en plus ; ça sentait juste mauvais enfin bon, je devais avoir des pensées déranges en ce moment, c'était tout ! Oui, oui, je voulais juste me la faire et je devais garder cette pensée pas de quelconque autre idée bizarre et illogique. Je secouais ma tête comme pour évacuer ses pensées et je repris : Alors sinon tes cours se passent bien, non ? Je manquais d'idée de conversation et j'avouais que je m'attendais a ce qu'elle parle aussi car sinon, ça allait servir à rien de passer du temps ensemble.