Be Strong - Charly

Sur un coup de tête, je suis monté dans mon jet en direction de Londres vendredi soir. Soenn a besoin de soutien. Et je suis là pour ça. Depuis qu'on est gosse, on se connaît. Sa mère je la connais. Je l'ai beaucoup moins vu quand elle est partie s'installer à Londres, mais j'en garde de bons souvenirs, donc c'est normal que je sois là pour elle mais aussi pour lui. En arrivant le samedi matin, je suis venu le prendre dans mes bras et il s'est effondré. Donc je me suis montré fort tout le weekend. Pour lui, pour sa soeur et surtout devant sa mère. Mais la voir comme ça, ça fait mal. Mais une fois à Boston, je sais que je vais pouvoir arrêter d'être fort. Et à peine le pied sur Boston que je prends la direction de chez Charleston. J'ai mangé et un peu dormis dans le jet. Mais j'ai aussi besoin de soutien, et instinctivement, je sais que Charlie va pouvoir m'apporter ça. Donc une fois devant sa porte, je toque. Je dois certainement avoir une sale tête, avec la fatigue. Mais je sais qu'avec lui, je vais retrouver le sourire. Je n'en doute pas un seul instant.

@Charleston Falls

(Invité)

@Zachary Koch depuis que tu savais que zachary était partit avec soenn pour des problèmes personnels, tu ne te sentais pas en pleine forme. le savoir mal en point s'avérait être bien plus difficile que ce que tu n'aurais imaginé et cela prouvait quelque chose. bien que tu faisais en sorte de ne pas laisser les sentiments se mêler à votre relation ambiguë, tu te rendis compte que c'était trop tard. tu l'avais compris dès lors où tu avais réalisé que ses émotions étaient unies aux tiennes. le jeu dangereux dans lequel vous vous étiez lancés était plus tendu que jamais mais tu n'avais pas envie de prendre la fuite. ça serait pourtant la solution la plus simple pour éviter de souffrir. le bloquer de partout et ne plus le revoir. mais tu étais incapable de faire ça. zachary t'était devenu comme vital et tu ne te voyais pas continuer ton bonhomme de chemin à boston sans lui. lorsqu'un toquement à la porte retentit, tu filas lui ouvrir, esquissant un pâle sourire en croisant ton regard. — voilà le londonien, souris-tu malicieusement, fermant la porte derrière lui. — viens là, dis-tu en lui tendant tes bras pour le prendre contre toi, lui déposant un tendre baiser sur la joue. — le retour s'est bien passé ? demandas-tu, caressant son dos de gestes de la main.

(Invité)

J'avoue que voir la mère de Soenn dans ce lit d'hôpital c'était dur. Mais je me suis montré fort pour elle, pour Soenn. Il s'est effonfré dans mes bras quand je suis arrivé. Le voir comme ça, c'est dur. Mais fallait que je reste fort pour qu'il puisse compter sur moi. Et donc forcément le fait de rentrer à Boston dimanche, je pense directement à Charlie et de l'envie que j'ai d'être à ses côtés. Je sais bien que je me suis fais avoir à mon propre jeu. Je sais que je tiens à lui. J'ai besoin de lui ce soir. J'ai besoin de ses bras. J'ai besoin de penser à autre chose qu'à ce weekend. Donc à peine attérit, je vais vers chez Charlie, avec mon sac du weekend. Je sonne à sa porte et je souris en le voyant m'ouvrir. Ca fait du bien de le voir. J'entre alors directement dans son appartement. Salut... Que je lui réponds alors que je le vois ouvrir ses bras pour pouvoir m'accueillir à l'intérieur. Je ne me prie pas et je viens m'y réfugier. Ca fait du bien. Je suis mort... J'ai pas beaucoup dormis ce weekend... J'ai fermé les yeux dans le jet sur le retour. J'ai réussis un peu à dormir. Après tout à Londres il n'est pas 21h, mais trois heures du matin. Mais qu'importe. J'ai besoin de lui, de ses bras. Merci Charlie... Ca me touche que tu sois là pour ça aussi. Oui pas que pour faire la fête comme au Spring Break, pas que pour coucher, pas que pour le sexe. Mais aussi pour les mauvais moments. J'avais envie d'être nul part ailleurs qu'ici avec toi... Que je finis par lui confier. Putain la phrase de lover que je te sors là. Que je dis en souriant amusé alors que je dépose un baiser sur ses lèvres.

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@Zachary Koch c'était étrange de voir zachary comme ça. tu l'avais toujours connu avec son fidèle sourire rayonnant et son dynamisme inébranlable. là, il avait les traits du visage crispés, des cernes qui trahissaient sa fatigue et la mine totalement fermée. tu ressentis un pincement au cœur en le voyant dans un tel état. refermant la porte derrière lui, tu l'accueillis directement dans tes bras, le serrant fort. — on va se reposer ce soir, t'en fais pas, le rassuras-tu, lui caressant le dos d'un geste rassurant. — quand j'te disais que j'serai là dans les bons comme les mauvais moments, c'était la vérité, rigolas-tu doucement, te reculant légèrement pour caresser sa joue d'un regard compatissant. tu rias avec douceur à ses paroles, déposant tes lèvres contre les siennes pour échanger un tendre baiser. — t'es con, soupiras-tu d'un clin d'œil amusé. tu le pris par la main, le dirigeant jusqu'à la chambre. — mon objectif de ce soir, ça va être de t'apaiser, de te faire penser à autre chose, dis-tu en allumant la lampe de chevet sur la table de nuit. — prenez place sur ce magnifique lit king size, monsieur koch. vous avez gagné le droit à un massage de luxe réalisé par un professionnel venant tout droit d'australie, plaisantas-tu en faisant une courbette royale pour accentuer le tout.

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J'ai quand même réussis à fermer les yeux dans le jet. Ca m'a fait du bien, mais je n'avais pas tant dormis que ça durant le weekend. Je suis arrivé samedi matin à Londres, et la journée a été longue. Mais bon j'étais obligé d'être là pour mon meilleur ami. Et j'y retourne le weekend prochain. J'ai promis à Soenn, mais là j'ai besoin de légéreté et de tendresse. Je sais que j'aurais tout ça auprès de Charlie. Donc je souris quand il me prend dans ses bras. Je m'y sens bien et surtout ça fait du bien. Je sais... Mais merci. Ca me fait vraiment plaisir. Et ça me réconforte de savoir tout ça. Au moins je me dis que je ne fais pas tout ça pour rien. Depuis le Spring Break, je n'ai couché avec personne d'autre. Et ça ne me manque pas du tout. Je souris à son baiser, après ma phrase de lover comme je l'ai dis. Je le suis ensuite jusque dans sa chambre, pour pouvoir recevoir ce massage qu'il m'a promis par message. Oh la chance que j'ai. Le meilleur masseur venu tout droit d'Australie... Je souris en le regardant alors que je retire mon t-shirt pour pouvoir m'allonger sur le ventre sur son lit, prêt à recevoir mon massage. Promis je ne m'endors pas... Parce que j'ai envie de te faire un massage aussi après...

(Invité)

@Zachary Koch il était évident pour toi d'être présent dans les bons comme les mauvais moments. ton attachement pour zachary était si fort que tu te devais de le soutenir quoi qu'il arrive. son weekend n'avait pas été au top, tu pouvais le voir sur son visage aux traits crispés et fatigués. t'avais donc comme objectif de le faire lâcher prise, de lui permettre d'oublier ses tracas pour lui rappeler que tu étais là pour lui. tu le pris par la main, l'amenant jusqu'à ta chambre où tu allumas la lampe qui trônait sur la table de chevet. accentuant ton accent australien pour plaisanter, tu l'invitas à se mettre à l'aise et s'installer sur ton lit à l'immense matelas. — et sache que ce masseur australien n'a encore jamais massé personne aux états-unis, précisas-tu avec malice. — donc tu es sacrément chanceux, renchéris-tu d'un clin d'œil complice. tu le regardas retirer son tee-shirt et s'installer sur le ventre. tu récupéras l'huile massante dans ta salle de bain et tu le rejoignis sur le lit, te positionnant à califourchon sur ses fesses. — si t'es fatigué tu peux t'endormir, te prends pas la tête, le rassuras-tu en laissant l'huile couler le long de ses omoplates. — aïe, t'es tendu comme pas possible, fis-tu remarquer alors que tes mains massaient son dos. — j'vais te détendre bébé, promis-tu, déposant tes lèvres sur sa nuque, reprenant ton massage avec concentration.

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Je sais très bien que sa présence va me faire du bien. Soenn a pu compter sur moi tout le weekend. Et là j'ai aussi besoin de réconfort et c'est auprès de Charlie que j'ai envie d'être. Et je vais avoir le droit à un massage. Que demander de plus ? Han ouai la chance que j'ai... Mon masseur personnel. Que je lui réponds en souriant alors que je retire mon t.shirt pour pouvoir m'allonger sur le ventre sur son lit. Je crois que ça va me faire le plus grand bien de recevoir ce massage. Je le laisse s'installer sur moi et je soupire de soulagement lors que je sens l'huile de massage venir couler sur mon dos, suivis de ses mains. Ca fait du bien bébé... Ah mais pas qu'un peu. Je ferme les yeux pour pouvoir de ses mains sur mon corps. Ca fait un bien de fou. J'aime cette sensation. J'aime ça tout simplement. Entre tes mains et tes baisers, ça va me détendre oui. Je n'en doute pas une seule seconde. Ca va me faire le plus grand bien. Et donc dit moi... T'as fais quoi de ton weekend toi ? Qu'il me fasse juste penser à autre chose.

(Invité)

@Zachary Koch enduisant son dos dénudé d'huile massante, tu commenças à passer lentement tes mains sur sa peau. rien qu'au toucher, tu pouvais sentir qu'il était tendu. son weekend avait été compliqué, même plus que compliqué. ton objectif était donc de lui faire penser à autre chose, de sortir ce mauvais moment de son esprit. — qu'est-ce que j'ai fais ce weekend ... répétas-tu en réfléchissant. — j'ai bossé mes cours, lui dis-tu, te mettant à masser ses épaules que tu sentais particulièrement raides. — les examens de fin d'année approchent à grands pas. il s'agira de mes premiers exams à harvard donc je n'ai nullement envie de me planter, lui avouas-tu. t'étais un bosseur qui visait toujours le sommet. t'allais tout faire pour réussir brillamment les examens. t'allais même viser la première marche du podium pour être le meilleur de ta promo. — j'ai pas mal bouquiné pour me détendre aussi. tu lis un peu toi ? lui demandas-tu, descendant lentement tes mains le long de ses hanches. — et je suis allé à la salle de sport, pour muscler mon corps d'apollon, rigolas-tu.

(Invité)

Je m'allonge sur son lit torse nu et j'attends qu'il vienne me masser. Je le sens s'installer sur moi pour ensuite sentir l'huile massante sur mon dos. Je frissonne suite à la fraicheur de l'huile mais aussi en sentant ses mains commencer à me masser. Ca me fait directement du bien parce que je le sens appuyer bien là où je suis tendu. Je souffle de soulagement. Ca fait un bien fou. Ses mains sont sur mes épaules. C'est exactement là où je suis tendu. Ca faisait longtemps que je n'avais pas été tendu comme ça. Ouai je comprends... Mais je suis sûr tu vas gérer Charlie. T'es un bosseur. Tu bosses depuis notre retour du Spring Break. Mais je comprends son envie d'être premier. Ce sont ses premiers examens à Harvard. Donc je comprends. J'ai moi aussi envie d'être parmi les premiers. Je sais que j'en suis capable. C'est vraiment quelque chose qui m'attire, l'ingénierie informatique, donc je me donne à fond. Même si mon père me croit en gestion et management. Je suis pas trop du genre à lire, mais plutôt peaufiner des projets pour mes cours sur l'ordinateur. Que je lui réponds alors que mes yeux se ferment. Pas par fatigue, mais juste parce que je suis terriblement bien là. Ah oui ça j'aime bien... Et ça commence vraiment à se voir... J'aime beaucoup. Que je lui réponds finalement. Il faudra qu'on y retourne ensemble aussi, histoire que je te coache un peu, si tu veux. Que je lui propose.

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@Zachary Koch tu lui expliquas brièvement ce que tu avais fais pendant ton weekend. ça n'avait pas été la folie. un weekend classique, où tu avais fais du sport, tu t'étais promené, tu avais révisé tes cours ... le weekend typique d'un étudiant d'harvard. mais le simple fait de penser à autre chose permettait à zachary de s'évader, d'oublier son propre weekend qui avait été plus que compliqué. — merci, répondis-tu. — j'suis venu sur boston dans le but de faire des études parfaites, avec comme promesse de ne laisser personne devenir un frein dans mon parcours universitaire, lui expliquas-tu tout en continuant à lui masser doucement le dos. — et j'suis content de pouvoir profiter de mon temps libre, de te fréquenter et de te voir souvent, tout en réussissant mes études, conclus-tu d'un sourire satisfait. — la lecture, c'est vraiment important zach. faudrait que t'essayes. rien de mieux que de se mettre au lit après une longue journée, et bouquiner un bon livre, dis-tu, le sentant se détendre sous tes mains. — t'avoir en coach, j'pourrai pas, lui avouas-tu. — j'déteste mon coach parce qu'il m'fait suer. toi, j'veux bien que tu m'fasses suer mais juste dans un lit, le taquinas-tu, tes doigts frôlant délicatement sa nuque.

(Invité)

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