Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJELENA Հ i don't believe that anybody feels the way i do. - Page 2
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JELENA Հ i don't believe that anybody feels the way i do.

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Jelena (6)
Today is gonna be the day that they're gonna throw it back to you
(...) I don't believe that anybody, feels the way I do about you now


Il te saisit par la mâchoire entre ses doigts rigoureux. Ca l'amuse de te faire sentir pareille ? Puis, il rigole, il ne se retient pas...Mais qu'est-ce qui lui fait tant marrer ?...Quoi ! Pourquoi tu rigoles !...t'exclames-tu...Ca me rappelle tellement le soir où je t'ai rencontrée et que ...tu détournes ton regard du sien, ça te gêne ce genre de position complexe. Pour ne penser à rien, tu regardes le compteur de l'ascenseur...tu veux le regarder, jusqu'à ce que le numéro 'sept' s'affiche, puis vous êtes déjà à l'étage numéro six, et tu trembles . Tu as la chair de poule qui parcoure tout ton corps. O désir quand tu nous tiens ! ...t'arrivais même pas à marcher tu sais ..t'as des frissons, vous y êtes presque, t'arrives même pas à te concentrer sur ce qu'il te dit...ouai...ouai, j'm'en rappelles...tu passes une main derrière sa tête pour l'approcher près de ton front.... j'ai presque du te porter pour t'amener dans ma chambre....tu rétorques amusé...avoue que ça t'as plu, t'as pu poser tes mains sur mes belles fesses, grrrr...Tu fais semblant de vouloir mordre le bout de son nez puis tu chuchotes à son oreille....pour moi, c'est comme si c'était hier. Tu le resserrais encore très fort contre toi, comme-ci tu avais peur que ce ne soit qu'un rêve, un vulgaire rêve ou tu aurais besoin de te réveiller pour affronter la réalité...Comme quoi si tu t'étais pas endormie ..si je ne m'étais pas endormi, on n'aurait... on en serait peut-être pas là chuchota-il comme s'il voulait interrompre ce surplus de pensée en toi qui vagabonde dans ton esprit. Il passait ensuite sa bouche dans le creu de ton cou. Puis, il vint ensuite t'embrasser et il reposa ensuite ses lèvres sur ton épaule. Il pressait ton petit corps contre le sien, tu fermais les yeux, il ne savait vraiment pas ce qu'il te faisait.

Ça te brisait le coeur, tellement que tu en n'avais besoin...de lui. Tu étais sous son emprise. Tu ne pouvais plus t'échapper, tu ne pouvais plus jouer aussi longtemps au chat et à la souris. Tu penses et tu te dis qu'au fond, toi et lui vous faites la paire. S'il n'était pas là, tu serais au fond du gouffre, une p'tite idiote parmi d'autres, à chercher l'amour fou, un visage effacé parmi d'autres. Une fille perdue entre toutes, tu serais semblable à ce commun de mortelle.

Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent à son étage et il te prit par la main pour t'attirer dans le couloir. Il était pressé, comme s'il avait peur que ça n'arrive jamais. Comme-ci tout pouvait changer d'un moment à l'autre. Comme-ci tu pourrais changer d'avis. Une fois à la porte, il te plaquait violemment contre le mur, il venait ensuite emprisonner ton visage avec ses lèvres. Tu sentais son désir prendre l'emprise de son corps tout entier, son envie simultané d'aller plus loin, tu te laissais faire, en ouvrant tout de même sa veste qui le tenait tellement loin de toi, tu voulais sentir son corps chaud près du tien, sa respiration haletante dans ton cou. Et le désir se faisant de plus en plus insistant, il colla son torse contre ta poitrine, vous manquiez d'air à vous embrasser férocement que vous vous êtes arrêté au bout de quelques minutes, reprenant vos respirations. Tu levais ta tête vers le plafond, en passant nerveusement une main dans tes cheveux, il faisait de même, était-ce si gênant de s'avouer que vous en vouliez plus ? Que vous on n'aviez envie ?.... Attends-moi là un peu, je vais ranger....tu le retient par le bout de sa veste en lui chuchotant à l'oreille avant qu'il ne rentre...ne tarde pas. Il posa un dernier baiser sur tes lèvres, comme pour s'imprégner de toi, s'imprégner de l'empreinte de tes lèvres sur les siennes.

Il s'enfonça dans sa chambre en refermant la porte, tu soupirais légèrement en te laissant tomber contre le mur, tu fouillais ensuite dans ton sac pour éteindre ton iphone qui sonnait. Marshall ?...Sérieux...qu'est-ce qu'il me veut ?...Tu te mordillais la lèvre supérieure en réfléchissant. Avait-il encore des soucis ? Ou... peut-être voulait-il encore te parler de sa nouvelle 'conquête' ? Dans tous les cas ce n'était pas le moment de te déranger, surtout maintenant. Tu ne décrochas même pas, tu mis ton iphone en mode 'avion', comme cela tu étais sûr et certaine de ne rien recevoir de sa part et tu enfonças ton portable profondément dans ton sac. Tu n'eu même pas le temps de te relever qu'il avait déjà ouvert la porte. Le désir ? Tu inspiras un bon coup discrètement, tu stressais énormément, on n'aurait dit que tu passais un examen. Il prit ta main et tu t'enfonça dans sa chambre, il avait fermé les rideaux, le sol était propre, la petite chambre parfumé...vite fait, mais ça sentait bon. Les vêtements lancés quelque part dans sa penderie et tu ne tenais pas à savoir où ils se trouvaient, puis il n y avait aucune traces de drogues, de Marie Jeanne, Coraline et autres, rien. Il est fort ! Il referma la porte d'un coup de pied. Et il posa sa main sur ta taille, tout ça te donne des frissons dans le ventre. En fait, il sourit, il ne peut pas 'empêcher, au début il rigolait et là, ...fin, son humeur est changeante. Terriblement changeante et tu te sens tombée dans la gueule du loup. Toi, le petit chaperon rouge, tu voudrais tout arrêter, mais bizarrement, une autre partie de toi, beaucoup plus forte ne veut pas. Parce que tu l'aimes, voilà tout.

Babe...Viens par là, toi. Tu lui souris et il t'encercle de ses bras avant de te porter. Tu rigoles encore plus, car le contact contre la peau de ses bras te chatouille. Tu lui enlèves sa veste et tu ouvres les boutons de sa chemise. L'excitation te prend et tu l'embrasses encore avant de le diriger vers son lit, ce lit que tu connais si bien. Tu le repousses avant de monter à califourchon sur lui...c'est gênant,...dis-tu en posant ensuite ta tête contre son torse, mais en même temps, tu ne te reconnais plus, le désir t'envahit, tu passes tes deux mains le long de ses bras en faisant des vas et vient constant...tu l'embrasses ensuite et tu glisses ta main dans son entrejambes en caressant son pantalon. Tu ne parles plus, tu te laisses bercer par cet attrait qu'il y'a entre vous, ça te broie les tripes, c'est nouveau, différent...une chaleur que tu ne connais pas encore. Une provocation étrange, une réaction qui engendre des sensations nouvelles en toi. C'est ça l'amour ? Tu le laisses te débarrasser de ton manteau avant de diriger ta main vers la fermeture de son pantalon et de l'ouvrir tout doucement en le faisant descendre en dessous de ses genoux. Tu fermes les yeux, en réalisant que tu veux plus encore...que tu iras plus loin...cette fois. Et que tu ne seras plus la même à ton réveille.






credit to Kaiji on I love Harvard™

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