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JELENA Հ i don't believe that anybody feels the way i do.

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Jelena (6)
Today is gonna be the day that they're gonna throw it back to you
(...) I don't believe that anybody, feels the way I do about you now

Tes cours te prenaient tellement d'ailleurs quand tu revenais au campus, tes épaules te faisaient tellement mal à force de tenir des syllabus sans intérêt, tout ça pour ton père. Tes épaules flanchèrent arrivé à la sortie de ton dernier cours sur le droit constitutionnel. En première année, on vous offrait l'accès à différent choix et le tiens s'attardait seulement au droit fiscal, ton père t'avait pombé les oreilles avec ça. Et savoir que tu en n'avais pour plus de six ans dans le domaine, te donnait envie de te pendre. Tu te fatiguais. Jeno avait voulu te voir plus d'une fois et il te fallait tout le temps refusé à contre-coeur, l'université ne te donnait jamais de répit. Les cours t'ennuyaient et encore tu passais plus de temps sur les réseaux sociaux en classe qu'autre chose, il fallait seulement remercier le ciel de t'avoir donné un cerveau à mémoire absolue. Il te suffisait de voir quelques images, entendre des sons, des objets, voir des mouvements pour te rappeler d'un cours précédent. Mais, là, la seule image qui te revenait était seule de Jeno, il te caressait les cheveux, les lèvres et tu voulais tant l'embrasser, mais tu ne pouvais pas, car ce n'était qu'un rêve.Un drôle de rêve de jeune fille éperdument amoureuse. Tu avais reçu ce message de Jeno qui te disait de le rejoindre, alors tu t'en foutais d'aller en cours, ton coeur insistait pour y aller, même que tu n'avais pas hésité, à sortir d'Harvard pour courir vers le lieu de rencontre.

Le vent caressait tes cheveux ondulées, tu les avais même lavés la veille, ils devaient sentir ce parfum particulier qui t'appartenait tant. Tu t'avançais les mains chargées, ton sac de cours à ton épaule. Il faisait un peu frais et tu pouvais contempler la rivière, tu avais couru pour arriver là, et maintenant tu ralentissais et tu sortais ton miroir pour arranger tes lèvres ou même tes yeux, puis tu abandonnais, d'ailleurs, il t'avait déjà vu dans un sale état, lorsqu'il avait joué au chevalier, la dernière fois que tu étais allée au Lord Hobo. Tu voyais au loin, un jeune homme tiré sur une cigarette en laissant s'échapper une grosse fumée de sa bouche. Ses traits tu les connaissais tant, ses yeux bruns tout autant. Tu t'avançais tout doucement en faisant en sorte qu'il ne te voit pas...Ensuite en passant à côté de lui, tu te retournais en sa direction, derrière son dos, tu t'exclamais d'une grosse voix en le saisissant par l'arrière...MONSIEUR !!!! IL est interdit de fumer sur nos voies fluviales, veuillez éteindre votre cigarette s'il vous plait...Il faisait tard, mais tu ne pouvais t'empêcher de rire. Tu avais imité la voix énorme d'un policier en posant tes mains contre ta bouche. Ö, qu'il t'avais manqué, Carpenter...Il n y avait qu'avec lui que tu pouvais faire ce genre de conneries.






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Il leva les mains au ciel, il s'apprêtait à jouer à ton jeu et ça te faisait rire. Il s'adossait contre la rambarde et il levait les mains en l'air comme un voleur... Désolé madame l'agent .. c'est juste que ... j'suis canadien ...Tu pouffais de rire, qu'est-ce que le fait d'être Canadien avait avoir avec petite mise-en-scène ?... Il rigolait également et tous les deux vous étiez comme des gamins à rire sans vous arrêter pour des conneries. Quand t'étais avec lui, tu souriais et tu ne pouvais pas cacher ta bonne humeur. Il te faisait du bien, sa présence t'avait manquée. La vérité c'est que chaque manquement vous permettait de chercher à passer encore plus du temps ensemble...Je savais pas ... Monsieur ! C'est à cause de gens comme vous que le monde est en péril...que le réchauffement climatique...tu t'abandonnais à un discours sans fin, enveloppé d'une fausse ardeur et d'un regard étoilé...Mais, c'est lorsqu'il fit sa petite mascarade en te faisant la tête d'un enfant battu que tu renonçais à ton discours savant... Avec toi, il n'était pas ce Jeno que les gens connaissaient, il était bien plus que ça, bien plus qu'un simple Mather ou ce que ton père pouvait penser ou même ton grand-frère de lui...parce qu'il était ton Jeno. Il tendait une main vers toi pour que tu le rejoignes, tu t'approchas de lui en tapant pour le taquiner, son arrière-train...Vous êtes en état d'arrestation pour délit de séduction ...Tu vins placer une main contre son cou en disant ...et c'est aussi parce que vous être un ré-sortissant Canadien... Un instant, tu t'arrêtas de réfléchir ou peut-être même de respirer. Ca te manquait, IL te manquait ...Des journées sans lui, tu ne pouvais pas les vivre, tu t'avais même demandé comment tu avais fait tout ce temps pour vivre seule sa sa présence...Tu collas ta tête contre son torse, il était beaucoup plus grand que toi et même qu'avec tes grandes jambes, il devait te dépasser de plusieurs centimètre. Voilà ! C'est des détails comme ça qui te manquait. Ce n'était pas les cours dont tu avais tant besoin,...Emmène-moi chez toi...Il resserait son étreinte. Tu le regardais ensuite dans les yeux en passant tes bras au-dessus de ses épaules en soupirant, car il t'avait manqué énormément. Tu voulais revoir sa chambre, tu voulais qu'il te fasse rire, qu'il te fasse oublier les cours, car si tu pouvais, tu les aurais balancé dans l'eau...Tu voulais qu'il t'emmène parce que chez lui, c'était différent, y avait pas de gens pour vous dicter ce que vous deviez faire. Vous étiez maitre de vous-même.





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Vos désirs sont des ordres... Toujours !...Il mettait fin à votre étreinte et tu te sentais parcouru de fourmilles dans tout le corps. T'avais peur au fond, de revoir sa chambre comme la dernière fois, dans un capharnaüm, comme s'il avait éperdument cherché ce qui avait toujours fait partie de son existence, comme-ci toute l'université était sous son influence et qu'ils avaient alors depuis longtemps connaissance de ses méfaits. T'avais peur de le voir se doper devant tes yeux. Tu ne voulais pas. Tu aurais même voulu qu'il arrête immédiatement, mais il était déjà atteint, la drogue avait une influence plus forte que tu n'en avais sur lui. Il l'a vendait, il l'a sniffait, il dormait au-dessus de cet héritage, ouai, parce que tu avais la trop grande assurance que sa soeur aussi devait être dans le même problème. Mais, alors tout te revenait en tête, ses coups de fatigue, ses yeux rouges de temps à outre...son air blasé et perdu. Il essayait de tenir le coup, mais l'alcool avait au fond, un mauvais effet sur lui. Et tu te demandais...tu te demandais si là, il y avait touché, s'il était atteint, s'il disait réellement ce qu'il pensait, s'il n'était pas sous cette influence néfaste parce que tu ne voudrais pas le voir ainsi...

Vous marchiez et il te semblait étrange, trop calme, trop pensif. Comme-ci le fait de retourner dans sa chambre le gênait tant que ça. Tu avais envie de le consoler, de lui dire que c'est bon, tu fermerais les yeux si il faut. Et s'il te fallait trébucher sur un paquet de marijuana, tu trouverais une solution pour le dépanner...aargh ! Mais, non, à quoi tu pensais ? Jeno se drogue..., tu ne savais vraiment pas comment réagir à ça, jamais tu n'avais eu affaire à ça.

Il s'arrête soudainement et il prend ton visage entre ses mains pour ensuite plaquer ses lèvres contre les tiennes, tu te laisses emporter par ses lèvres, son corps, tout son être t'obstinent, tout ton subconscient ne pense plus qu'à une chose,...il t'appartient, vous vous appartenez. Tu lui mords la lèvre inférieure en plaçant tes mains autour de son cou pour interrompre le baiser. Le temps s'était assombrit et une brise légère caressait vos joues...qu'est-ce qui te tracasse ? Disais-tu en plongeant ton regard amande dans le sien, tu sentais qu'il voulait te dire quelque chose alors tu le redirigeais en poussant son torse vers la rambarde, ...tu testais ses limites...Parce que je comptais...tu passais une main sur son torse...jouer à un jeu très intéressant. Tu rigolais ensuite en baladant un doigt sur sa chemise vers le bas de son ventre et en la retirant très vite...ça ne te dis pas ?...Tu voulais voir sa réaction, voir s'il pourrait résister à tes avances...Tu passais une main sous sa chemise en disant en venant chuchoter dans son oreille gauche ...alors, qu'est-ce qui nous freine d'aller vers ta chambre ?. Tu espérais qu'il ne puisse pas te dire qu'il y en avait une autre...une autre fille à laquelle il pensait. Non ! Ça te serrait impensable et tu serais la source des plaisanteries d'Elios, lui qui te trouve déjà si naïve et belliqueuse. Il avait même eu du mal à l'avouer, mais il trouvait que depuis que tu étais avec Jeno que tout semblait rose pour toi. Tu te collais contre Jeno...





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Elle est pas vraiment ...vraiment quoi ? tu insistes en le dévisageant amèrement, ça t'énerve, même que tu lèves les yeux vers le ciel en tapotant ton talon gauche au sol... rangée.. Il t'embrassait sur la joue, tu sentais qu'il ne voulait pas que tu viennes, tu le connaissais beaucoup trop pour savoir que jamais, il n'aurait envie de rater une telle occasion. T'avoir à lui tout seul, dans son lit... et là, il est en train de tout perdre, il refuse presque tes avances... il est en train de laisser filer l'occasion du siècle, sachant que tu es ce genre de fille qui préfèrent attendre, qui préfèrent se dire que tout sera bon, naturel, donc sans effort, le moment venu..., Pourquoi ? Pourquoi, il te lâche là ? Pour le bordel de sa chambre...A cause de ça, t'as l'impression que ton charme est sans effet...t'es gênée, énervée...Nan, ce n'est pas le Jeno que tu connais là. Le Jeno que tu connais, il est pervers, il est... J'vais être honnête. Tu poses une main sur ta hanche...va-y... soit 'honnête'..., tu mimes deux guillemets, parce que t'as attendu toute la sem pour le voir, toute la sem pour qu'il te serrre contre lui, qu'il t'embrasse que vous...fin, laisse tomber. J'ai laissé mes .. trucs ..Tu soupires, il insiste sur 'truc', et la conversation par sms te revient...voilà, c'est donc ça. Son trafic, sa merde de drogues qu'il vend dans tout l'unif. Tous les p'tits bourgeois la prenne, c'est juste pour s'amuser, pour faire genre, le type que t'aimes vend ça ! T'en sais rien de ce business, cette guerre de drogues qui tue, dans toute l'université, les dopes qui permettent à des élèves de se détendre avant les exams ou de genre mieux étudier, mieux se concentrer. Tu parles ! Beaucoup d'entre-eux attrapent un problème de tension, d'autres font une overdose, alors ouai ça t'inquiètes.... Tu commences à te dire que ça sera long, mais tu prends patience, parce que tu l'aimes, tu l'attendras, tu attendras qu'il se défasse de toutes ses conneries ... et je suis pas certain que ça te plaise, il murmurait gêné....Ouai, c'est sûr que j'suis pas chaude pour ce genre de truc...T'imagines on tombe à cause d'un sachet de Marijuana sur le sol, ou...je sais pas. Tu posais une main sous ton menton en faisant mine de réfléchir...

Tes cheveux s'envolaient, dire que tu t'étais mise sur ton trente-et-un, Sixtine, ta coloc', t'avais même conseillé de porter tes survêtements colorés et sexy, elle trouvait que ça s'accordait bien avec ta peau. Mais, à cause de cette drogue, t'avais l'impression de prendre la deuxième place, il avait un trafic, il était coincé dans son jeu...C'est bon on y va pas...tu boudais un peu en plaçant tes bras les uns sur les autres. Ton regard était troublé, vous étiez là pendant environ deux, trois minutes sans vous parler...et tu tentais de te remettre, de ce petit inconvénient, ça avait gâché ton envie de quoique ce soit...Tu passais ton petit doigt sur tes lèvres qui tremblaient... On peut aller chez toi plutôt ..Il te sourit...Ouai...Il se desserra ensuite de toi, pour prendre ta main et marcher en direction du campus...Ce serait peut-être mieux....non, mauvaise idée,... tu posais une main sur ton front...j'ai une colocataire et je ne crois pas que t'ai envie qu'on fasse chambre à trois, ouai...ça serait genre déroutant, ...Toi et ta colocataire, vous étiez dans la même chambre, cela faisait pas longtemps qu'elle était à Harvard et comme ta chambre était très grande grâce à tes conditions financières, vous aviez partagé la même chambre, avec deux lits très séparés...Mais, c'était marrant de l'avoir auprès de toi, la nuit , vous passiez vos heures éveilles, à parler garçons...notamment de Jeno. Tu le resserras contre toi, des larmes idiotes se pointaient sur le bord de tes paupières, t'étais un plus déçue qu'en colère.

En marchant des larmes coulaient, tu étais sensible des yeux, car à cause du vent, ceux-ci stimulaient des larmes qui ne semblaient pas vouloir s'arrêter en voyant que vous étiez rentré dans le campus de Harvard, ton coeur battait la chamade...on devrait peut-être...tu tentais de détacher ta main de la sienne, mais sans s'en rendre compte, il l'a serrait tellement dans la sienne...Je...tu tentais de trouver tes mots, mais il continuait d'avancer, alors tu le suivais...Vous ne saviez plus où aller...JENO !...Tu retirais ta main brutalement de la sienne avant de venir te placer en face de lui...en serrant tes poings...on peut attendre, ...ça peut attendre, j'attendrai...tu parlais tellement vite que les larmes coulaient...mais là dit-moi quels sont ses démons qui t'empêchent d'être bien ?...Dit les moi tous, avant que je ne le sache de quelqu'un d'autre...Parce que moi, j'ai besoin de toi totalement, pas de la drogue...j'en veux PAS ! Et je...je ne veux pas qu'elle prenne plus de place dans ta vie que moi...Tu t'énervais doucement sur lui. Et tu t'approchais ensuite...Marshall pense que je ne devrais pas être avec toi..., mais moi, je t'aime...alors, je peux attendre, autant de temps que tu veux pour que tu sois libéré d'elle...Tu caressais sa joue droite avec tes lèvres.






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Je suis désolé, je suis trop bête ..., il t'embrasse sur la joue, sans doute pour calmer tes larmes... Ne pleure pas s'il te plaît, ça me rend malade ..tu t'approches de lui pour poser ta tête contre son épaule... je déteste te voir pleurer, j'préférerais encore que tu t'énerves contre moi ... Tu ris un peu, c'est vrai que tu passes le plus clair de ton temps à t'énerver quand ça ne va pas, il a remarqué ton petit côté impulsif qui cache la peur...Ton sourire s'efface dans les plis de sa veste...Je te promets que je vais m'améliorer, même si ça demande du temps ...Tu relèves ton regard vers lui... pour que tu sois fière de moi, ok ?...tu hoches de la tête avec un petit sourire aux lèvres et là, il approche son front contre le tien et il perd le brun de ses yeux dans le bleu-vert de tes yeux. Tu tires un peu son col en voulant poser légèrement tes lèvres sur les siennes, mais tu te retiens en regardant timidement le sol...Tu passes pas après la drogue, d'accord ? ...Jeno...tu regardes le sol, parce que tu te rends compte que tu n'aimerais pas qu'il change à ne plus devenir ce qu'il est, le Jeno dont tu es tombée amoureuse. Ca te travaille, toi aussi, tu n'es pas parfaite et...tu deviens contradictoire...tu ne sais plus quoi faire, tu ne veux pas que Jeno perd complètement son essence à cause de toi, mais tu ne veux pas qu'il arrive quelque chose de pire à Jeno, la vie est tellement précieuse...J'ai peur de te perdre,... tu murmures doucement comme-ci les mots n'arrivaient plus à sortir et qu'il reste prisonnier du palet sur ta bouche...Alors viens avec moi...Où on va comme ça ?... Je ..quoi ?...demandais-tu les yeux exorbités,... je vais tout ranger, je te promets ... Jeno,...il s'inquiétait comme s'il avait peur en même temps, ...il s'en rendait pas compte du nombre de fois qu'il te promettait... je te jure que tu comptes plus...Jeno !...Je t'aime. Tu avais envie de l'interrompre, de le rassurer... Il déposait en tremblant ses lèvres contre les tiennes...et tu prolongeais le baiser quand il se mit à pleuvoir...tu sais que si tu me fais une promesse tu dois la tenir...Cette petite pluie printanière dégoulinait dans vos cheveux et tu regardais les alentours pour trouver un refuge...tu le pris ensuite par le pan de sa chemise en le tirant concerné vers l'entrée d'un immeuble, sans doute le sien ?...Tu l'attires avec toi en courant à l'intérieur et vous tombez sur le sol. Il fait tellement sombre, tu ne vois rien, mais tu perçois la respiration haletante de Jeno...et son visage près du tien, ton cœur s'accélère et tu rougis..., puis tu le repousses, parce que ça te gène...t'es lourd...idiot...tu ne voudrais pas qu'il arrive quelque chose sur le sol, pas de cette manière, c'est crade, c'est sombre, c'est triste. Tu te relèves en arrangeant ton manteau, et ta robe remonter jusqu'à la jarretière de tes collants...Viens...chuchotes-tu tout doucement...C'est au 7éme étage à gauche, la troisième porte en partant du fond...c'est ça ? Tu poses le paume de ta main sur ta bouche pour étouffer un rire en voyant sa tête, ...tu appuies sur le bouton de l'ascenseur en disant...ce n'est pas grave, si on doit tomber sur un sachet de ta Marie Jeanne, on tombera à deux...tu regardes devant toi en mordillant ta lèvre inférieure...et puis...je dois t'accepter comme tu es...je n'ai pas envie que tu deviennes l'ombre de toi même, mais je n'ai pas envie que tu perds ta nature...tu serres tes mains contre ta poitrine...viens avant que je ne changes d'avis, mon ventre gargouille... l'ascenseur s'ouvre et tu rentres à l'intérieur en t'adossant à la rampe, un petit sourire aux lèvres.





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