I don't like you → Nina.

Je commençais vraiment à m'énerver, juste la voir ça m'insupportais en fait. Je l'aimais pas et c'était comme ça, que ça lui plaise ou non et j'allais pas changer pour elle. Puis si elle avait pu aller toquer à une autre porte ça m'aurais éviter tout ça et j'aurai été tranquille. Je me demandais à quoi elle pensait en faisant cela, sachant que c'était bien écrit Blue-Ivy et Selena devant la chambre et Nina savait que je ne la portais pas du tout dans mon coeur, bien au contraire. Il te reviendra. J'suis quand même pas une voleuse. Enfin, toi tu crois bien que j'suis une voleuse d'hommes, mais tu te trompes. Sérieusement, fais moi pas chier... J'aime bien passer du temps avec lui, et il ne me trouve pas comme étant de la merde. Si c'est le cas, alors on verra à ce moment là. Et puis, ça te ferait baver, si c'était plus, ein? Fais moi pas chier, quoi... je me permettais de rire, comme si ces me fait pas chier me faisait peur. J'en tremblais même, non tout simplement pitoyable en fait. Je sais pas ce qui est la plus pitoyable, que tu te fasses avoir comme ça ou que tu crois me faire peur avec tes me fait pas chier, alors qu'au pire t'es juste en train d'me faire rire. Voyons chérie, te mesure pas à moi ça servirait à rien, t'es pas à la hauteur. je souriais pour la narguer. Nina allait péter un cable si j'avais un peu de chance.

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Bon, son dictionnaire, j'allais le lui foutre en plein visage, si elle continuait comme ça. Je n'étais pas quelqu'un de méchant, mais j'aimais pas quand on agissait comme ça avec moi. Je n'avais rien fait d'autre qu'être l'amie de son meilleur ami à elle, et la jalousie l'emportait probablement un peu trop parce qu'elle n'arrêtait pas de me lancer des piques comme ça pour me faire lâcher prise, me faire dégager et m'éliminer du «terrain.» Maintenant que j'avais le dictionnaire en main, je pouvais simplement partir si je voulais, mais je n'en fis rien, pour l'instant.

« Oh, mais j'essaie pas d'te faire rire. J'essaie simplement de te faire réaliser comment tu peux être idiote de m'insulter pour rien ainsi parce que tu piques une crise de jalousie. »

(Invité)

Je la regardais, et croisais les bras ensuite. Je commençais à en avoir assez d'elle, si elle continuait j'allais lui lancer la lampe de chevet à côté de moi en plein dans son visage. Oh, mais j'essaie pas d'te faire rire. J'essaie simplement de te faire réaliser comment tu peux être idiote de m'insulter pour rien ainsi parce que tu piques une crise de jalousie. d'accord, elle avait pas totalement tord hein. J'étais peut-être un peu jalouse, mais hors de question de l'avouer. Parce qu'en plus d'être moche, t'es conne ? J'en ai rien à faire de toi chérie, ainsi que de ta misérable vie. Qui pourrait être jalouse d'une fille comme toi ? Maintenant t'es mignonne mais tu dégages si tu veux pas avoir la marque de ma main dans ton si joli visage. j'avais été trop patiente avec elle, maintenant Nina était prévenue, elle m'avait vraiment gavée pour le coup.

(Invité)

Je respirai un bon coup. Je devais me calmer. C'était une obligation, là, sinon je finirais par lui sauter à gorge. Qu'elle m'insulte comme ça, ça va. Mais qu'elle dise que je me faisais avoir par son meilleur ami simplement parce qu'elle était jalouse me rendait hors de moi. Sincèrement, entre Cabots, je me disais que nous devions nous soutenir, nous rendre hommage entre nous, être là les unes pour les autres. Mais visiblement, il y en, comme Blue, qui ne souhaitait pas que ça se passe comme ça. Je pris une grande respiration.

« T'es encore plus pitoyable, si tu savais! Je t'ai rien fait, et tu me sautes direct au cou. T'as bouffé du boudin, ou quoi? Arrête de tout centrer sur toi. T'es pas pour surveiller les faits et gestes de ton meilleur ami. Il est majeur et vacciné, que je sache. Et il m'intéresse. C'est pas comme si j'allais le violer, le menacer de mort si on ne se voyait pas, quoi. J'aime bien passer du temps avec lui, c'est tout. Calme-toi, quoi! »

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(Invité)

J'avais pas peur de me battre, même mince comme j'étais et surtout pas avec Nina. Cette fille m'insupportait et ça ne faisait qu'empirer. J'adorais toutes les cabots, elles étaient mes soeurs pour moi, des filles sur qui je pouvais compter et qui pouvait compter sur moi, mais avec cette fille c'était totalement incompatible. Je voyais même pas ce qu'elle foutait chez les roses. T'es encore plus pitoyable, si tu savais! Je t'ai rien fait, et tu me sautes direct au cou. T'as bouffé du boudin, ou quoi? Arrête de tout centrer sur toi. T'es pas pour surveiller les faits et gestes de ton meilleur ami. Il est majeur et vacciné, que je sache. Et il m'intéresse. C'est pas comme si j'allais le violer, le menacer de mort si on ne se voyait pas, quoi. J'aime bien passer du temps avec lui, c'est tout. Calme-toi, quoi! je lui lançais un regard noir, c'est bon elle m'avait vraiment énervée là, et ça allait se finir en bagarre si ça continuait, je tenais quand même à éviter ça, pas chez les cabots quoi. Mais tu sais entre meilleurs amis on se dit tout.. Et pour tout te dire Marshall fait pas mal d'erreurs en ce moment, la preuve il a essayé de coucher avec moi alors qu'en tant normal il ne l'aurait pas fait. Tu peux le lui demander il ne saura pas nier.. Et le voir trainer avec toi me le prouve encore plus, il n'est pas lui-même. Autant j'adore toutes les autres cabots sans exception, mais toi pas du tout, d'ailleurs je sais même pas ce que tu fous ici ! lui dis-je toujours d'un ton froid et le regard tueur. Le pire c'est que je ne mentais pas dans tous mes derniers propos, c'était la vérité mais en réalité je ne savais pas si Marshall était intéressé par elle.

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J'avais quasiment le poing qui ne tenait pas le dictionnaire complètement serré de rage, mais je me retenais. J'avais beau ne pas être un garçon, j'étais capable de frapper lorsque l'envie me prenait. Très rare, mais aussi très possible. Un jour, elle allait bien me lâcher, oui, et arrêter de faire sa petite blonde hautaine et snob qui se la croyait d'ailleurs un peu trop. Une bonne grande respiration, les yeux fermés quelques secondes, je me réussit à me calmer finalement. Comme quand j'étais venue toquer à sa porte, je gardais le même avis : je ne la détestais pas. Mais elle, si. Je reculai d'un pas, non pas de peur bien sûr, mais pour lui montrer que j'allais bien partir.

« Si je suis chez les Cabots, c'est bien parce que je vous ressemble. Et sincèrement, contrairement à d'autres, je ne suis pas une fille de petite vertu. Oh, elles sont toutes mes soeurs aussi, tu sauras, ce qui fait que tu fais partie également de la famille. Maintenant, fais avec ou non, mais tu vas devoir m'endurer, parce que je ne compte pas arrêter de passer du temps avec Marshall parce que tu fais ta jalouse. »

(Invité)

D'un coup j'avais des envies de meurtres, et je pouvais dire que ça me ressemblait pas faire comme ça. D'habitude j'étais super souriante, joyeuse, gentille et polie avec les gens. Enfin avec ceux que j'aimais bien évidemment, le reste c'était même pas la peine d'en parler. Si je suis chez les Cabots, c'est bien parce que je vous ressemble. Et sincèrement, contrairement à d'autres, je ne suis pas une fille de petite vertu. Oh, elles sont toutes mes soeurs aussi, tu sauras, ce qui fait que tu fais partie également de la famille. Maintenant, fais avec ou non, mais tu vas devoir m'endurer, parce que je ne compte pas arrêter de passer du temps avec Marshall parce que tu fais ta jalouse. je levais un sourcil en me rapprochant d'elle, limite prête à lui mettre un coup de dictionnaire dans la tête. Toi t'es l'exception, je serai jamais ta soeur, qui voudrait l'être.. je m'en fiche de ce que tu fais, mais gare à ne pas trop jouer la grande avec moi, ça ce n'est rien comparé à ce que je ferai. je reculais et lui souriait faussement.

(Invité)

Je soupirai, maintenant complètement reculée de quelques centimètres. Je n'avais pas envie de me faire une ennemie, parce que je n'étais pas de ce genre là. Pourtant, je commençais de plus en plus à me convaincre que je ne pourrais pas la sentir bien longtemps. J'étais prête à faire un effort, mais pas dans le vide. Autrement dit, il fallait qu'elle y mette du sien aussi, sauf qu'elle ne semblait pas être en faveur de cette «solution». Elle me détestait carrément.

« Oula, comme j'ai peur. J'en tremble, je vais en pleurer même. Allez, c'est pas parce que t'es la co-capitaine des cheerleaders et que t'es blonde que t'es meilleure. Calme tes hormones de petite snob, non mais! Oh et...merci pour le dictionnaire! »

Je me reculai un peu plus, tenant le dictionnaire que je lui avais emprunté d'une main, et tournai les talons pour commencer à partir en direction de ma chambre.

(Invité)

Même si je souriais, au fond j'étais en train de bouillir. Oula, comme j'ai peur. J'en tremble, je vais en pleurer même. Allez, c'est pas parce que t'es la co-capitaine des cheerleaders et que t'es blonde que t'es meilleure. Calme tes hormones de petite snob, non mais! Oh et...merci pour le dictionnaire! je la regardais tourner les talons et s'en aller. J'arquais un sourcil et ne comptais pas la laisser partir comme ça. Je sortais de ma chambre et me mis en vitesse devant elle. J'ai bien voulu être gentille mais tu prends ça à la légère.. De un y'a aucun rapport avec mon post de co-capitaine ni de couleur de cheveux. Ensuite, tu connais Anastasiya? Avec sa bande elle en a fait virer plus d'un à Harvard, ou la vie des personnes est devenu un véritable cauchemar.. Bref, entre cousines on se ressemble énorement. je lui fis un clin d'oeil et regardai le dictionnaire avant de lui arracher des mains. Finalement je reprends mon dictionnaire, bonne chance pour en trouver un autre. je souriais en coin et rentrai dans ma chambre puis claquais la porte derrière moi. Ça s'était fait, je me remettais à étudier.

(Invité)

Elle était sérieuse là? Elle me détestait, m'insultait, et maintenant me menaçait? Pour qui se prenait-elle, cette fille? Qu'elle retourne à ses pompons de cheerleader et ses pirouettes de filles snob. Déjà qu'elle essayait de m'éloigner de Marshall alors que je n'en avais pas du tout envie, je n'acceptais pas le fait qu'elle essaie de me menacer de me faire disparaître d'Harvard. Oh que non! Pourtant, je restai devant elle, alors qu'elle m'arracha le dictionnaire des mains, et restai calme.

Je n'eus le temps de rien dire qu'elle se retournait et s'enfermait dans sa chambre d'un claquement puissant de porte. Maintenant, je devais me retrouver un dictionnaire. Si je n'en trouvais pas, je n'aurais qu'à utiliser Internet, finalement. Ça aurait peut-être été une meilleure idée dès le début..

(Invité)

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