Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityETHAN & JUNE ✰ When people run in circle it's very, very, mad world - Page 2
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ETHAN & JUNE ✰ When people run in circle it's very, very, mad world

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When people run in circle it's very, very, mad world... feat Ethan J. Barnes


Je me mis à rire lorsqu’il m’informa qu’il ne voulait peut être pas retourné à Paris, je comprenais qu’il avait envie de découvrir d’autres villes mais pour moi Paris avait été la plus jolie ville, celle dans laquelle j’avais grandit et où j’avais tout vécut. Je lui fis un petit sourire avant de répondre gentiment : « D’accord, il te faudrait un bon guide pour faire le tour de la France, il y a des villages sympas un peu partout ! ». Je lui fis un petit sourire lorsqu’il me dit qu’il me passait son numéro, c’était gentil de sa part, il avait déjà le mien je crois car je l’avais enregistré de force mais c’était mieux qu’il est le mien car malgré mes grands airs je n’irais pas de moi-même lui dire que je n’allais pas bien. C’est sûr que j’aurais besoin de quelqu’un le jour de l’opération mais ce n’était pas trop mon style d’aller le crier sur tout les toits et jouer les martyres. Je lui sortis alors mon téléphone pour qu’il y rentre son numéro en lui disant simplement : « Merci. ». Car il était bien évidant que c’était adorable de sa part de faire ça pour moi. J’écarquillais grand les yeux lorsqu’il me demanda comment était son enterrement, il se moquait de moi ou quoi ? Non, en fait je pense qu’il était sérieux mais un peu trop curieux…Malheureusement je n’allais guerre le renseigner car je ne connaissais pas tout ses amis. Je lui répondis alors : « Ben c’était très triste Ethan, tout le monde pleurait ! Il y avait une foule de filles, si ça peut te faire plaisir ! Ma seule amie présente était Elia qui était très triste comme le reste du groupe, il y avait aussi une eliot, une mather et une lowell mais à l’époque je ne les connaissais pas…C’était vraiment horrible… ». Rien que d’en parler ça me faisait des frissons, j’avais eu très mal ce jour là, sa mort avait toujours été un élément marquant dans ma vie. Je lui posai à mon tour une question qui me brûlait les lèvres mais à laquelle il n’avait toujours pas répondu : « Et toi qu’est ce qui c’est passé pour qu’on t’enterre ? ». Le silence était revenu dans ma petite chambre, je n’avais plus mon assurance habituelle et j’étais intimidé, je n’arrivais pas à savoir ce qu’il voulait et moi non plus. Il s’approchait de moi et commençait à jouer avec mes lèvres, oui, j’avais envie de l’embrasser je n’allais pas mentir, il m’attirait depuis longtemps. Alors que je m’apprêtais à connaitre le goût de ses lèvres il se stoppa net, me disant qu’il ne pouvait pas faire ça, que je méritais une belle histoire d’amour. Il avait raison et je le savais mais pour l’instant je me fichais de tout cela, je comprenais ses peurs, elles avaient été les miennes au départ…Je lui répondis alors : « Je comprends ce que tu veux dire Ethan, moi aussi je pensais cela, avant ma relation avec River j’avais couché avec deux garçons seulement dont j’avais été très amoureuse…Mais…Mais dans la vie les choses ne se passent pas toujours comme on veut ! ». Un nouveau sourire illumina mon visage, j’avais envie de le convaincre maintenant, nous étions trop bien parti et je sentais qu’il ne faudrait pas grand-chose pour le faire flancher. Un homme reste un homme. Je rajoutais quelques secondes plus tard : « C’est très bien de réfléchir, peu d’homme en sont capables…Mais…Parfois il faut se laisser aller Ethan…Penser au plaisir et c'est tout...». Je retirais alors mon t-shirt, j’avais je n’aurais pensé en l’enfilant ce matin que je l’enlèverais devant Ethan, celui que je pensais mort. J’avais eu la décence de ne pas enlever mon soutien gorge et c’était déjà pas mal, je m’approchais encore un peu plus de lui avant de l’embrasser dans le cou prenant sa main et de lui murmurer : « Laisse toi faire Barnes… ».
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J'avais besoin de me retrouver, de tenter de nouveaux trucs, mais ce qu'il me manquait le plus c'était de la douceur. June semblait être capable de m'en offrir, elle me rassurait, elle était consciente qu'il n'y aurait rien de plus. Je réfléchissais encore à ce que je m'apprêtais à faire lorsqu'elle ôta son haut dévoilant sa poitrine généreuse. Elle s'approchait dangereusement de moi, je ne bougeais plus, j'étais totalement dépassé par les évènements. Était-ce encore un coup du destin pour me tester ? June avait glissé ses doigts entre les miens et m'embrassa dans le cou. Je levais la tête au ciel, les paupières closes, je me laissais totalement faire. Je n'avais encore une fois plus rien à perdre. Je ne trouvais plus les mots, je ne verbaliserais plus rien, j'agirais simplement. Ses lèvres effleuraient mon cou, me procurant des frissons le long de mon dos. J'empoignais alors son visage et embrasser sa bouche ardemment. Tout irait très vite, mon coeur s'accélérait, je rompais notre baiser et enlever mon tee shirt le jetant au loin. June était plaqué contre moi, j'étais contre le bureau, je retournais alors la situation, me plaçant entre ses jambes tout en la hissant sur le meuble.J'attrapais l'arrière de sa tête, tirant au passage ses cheveux, ça faisait un bout de temps que je n'avais pas couché, mes pulsions s'étaient éteintes au moment où j'avais perdu ma raison de vivre. June encercla ma taille de ses jambes, j'embrassais son cou et descendais sur sa poitrine tout en dégrafant mon jean. J'étais à présent à moitié nu, brûlant d'envie de passer aux choses sérieuses. Je retirais le pantalon de la jeune femme pour être carrément ex aequo. Je n'osais pas m'exprimer, si je commençais en plus à penser à ce que j'étais en train de faire j'aurais subitement honte. J'attrapais de nouveau la belle brune, mes mains sous ses fesses je l'accompagnais jusqu'au lit ou je l'a déposer délicatement. -Ne réfléchis pas Ethan, fonce- me répétais-je sans cesse. J'emballais June, glissant une main dans sa petite culotte et commençant de léger va-et-vient en elle sans la prévenir. Je me mordillais les lèvres à l'entendre gémir. Ça montait également en moi petit à petit, je commençais à me sentir à l'étroit dans mon boxer. La jeune femme avait dû lire dans mes pensées, ses mains se baladèrent sur mon dos avant de s'emparer du dernier bout de tissus qui me couvrait. Nos corps étaient emmêlés, je dévorais sa poitrine tout en l'excitant. La jolie brune avait réussi à se débarrasser de son soutien gorge, j'enlevais définitivement son ultime sous vêtement, plaquant mon membre dur sur son bas ventre. J'avais très envie de la pénétrer mais peur de le faire sans préservatif, nous avions tous les deux de mauvaises relations avec la fertilité. Pour la première fois après quelques minutes, j'osais ouvrir la bouche " T'as une capote ? " réussissais-je à demander malgré l'excitation qui m'envahissait. Il n'y avait aucune délicatesse dans ma façon de m'adresser à June, j'avais l'impression d'avoir enfiler la peau d'un pur animal avec pour seul but de soulager mon désir.
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When people run in circle it's very, very, mad world... feat Ethan J. Barnes


Je n’avais eu aucune réponse à toutes mes questions, peut être parce que le moment avait été mal choisit mais j’aurais voulu en savoir plus sur tout ce qui c’était passé, ce qu’il était devenu, je m’étais fait du souci pour lui parce qu’au fond de moi ce qu’il pouvait devenir m’importait. On dit toujours que c’est lorsque les gens disparaissent qu’on se rend compte de leur importance mais c’était certainement vrai car quand j’avais appris son décès j’avais été vraiment mal. Les divers évènements avaient fait par la suite que mon chagrin n’avait pas pu se dissiper, personne n’avait pu jamais comprendre ma peine à part ma meilleure Blueberry mais elle était en couple et tout se passait bien pour elle alors je ne voulais pas plomber l’ambiance avec mes histoires souvent tristes. Entre River, le bébé et la bombe à Harvard, j’avais vécut des moments plutôt difficiles et c’est peut être pour cela que j’avais dit à Ethan qu’il fallait profiter de la vie et ne pas se poser de questions. Même si au fond de moi je savais que ce n’était pas la bonne solution, c’était peut être Ethan qui avait la bonne solution, trouver quelqu’un avec qui je serais bien et dont je serais amoureuse mais toutes les personnes envers qui j’avais éprouvé des sentiments avaient finit par me trahir ou partir…Parfois je me disais que je n’étais peut être pas faite pour aimer, juste pour coucher avec des garçons. Même si ça n’avait jamais été mon genre de coucher avec des garçons comme ça et que ça m’était arrivé uniquement parce que j’étais dévasté par le départ de River. Mais au lieu de réfléchir à tout ça je me laissais porter par le moment présent, j’avais dit à Ethan qu’il fallait se laisser faire alors je devais vraiment en faire autant. Je sentais en lui un peu de précipitation, de l’envie certainement, peut être qu’il n’avait pas couché avec une fille depuis longtemps car où il devait être les filles ne couraient peut être pas les coins de rues. Je le déshabillais alors, tentant d’embrasser chaque parcelle de sa peau pour y mettre un peu de douceur. D’accord on couchait sans véritable sentiment mais bon, ce n’était pas pour ça que je n’avais pas envie d’être douce envers lui. Une chose est sûre ce n’était pas son cas mais je peux comprendre, il devait avoir envie de passer aux choses sérieuses rapidement. Alors qu’il avait commencé de légers vas et viens en moi je passais ma main sur son sexe pour le caresser moi aussi, nous étions nu tout les deux et j’avais de plus en plus envie de lui. Il s’y prenait bien aussi et je sentais à la fois et l’excitation et le plaisir montait doucement en moi, j’aimais ça, je ne me privais pas pour émettre quelques gémissements de temps en temps…Je l’embrassait, aussi sensuellement que je pouvais, je profitais de ce moment, ce serait peut être le seul entre nous deux et je désirais Ethan depuis quelques temps alors je savais que ce plaisir serait éphémère. Il me demandait ensuite si j’avais de quoi me protéger, je lui fis mon grand sourire habituel avant de sortir un préservatif de la table de nuit. Ma mère était morte du sida alors j’avais appris à me protéger : « Oui, une seconde…» lui répondis-je gentiment. Je sentais un peu de gêne dans sa façon de parler, moi je n’étais pas vraiment gênée car j’en avais envie et j’en avais besoin. Dans une semaine je serais privée de sexe pour une longue durée alors autant en profiter pendant qu’il en était encore temps. Ouvrant le préservatif sans me poser davantage de question, je l’enfilais par la suite sur le membre d’Ethan ayant bien compris que les préliminaires ne dureraient pas longtemps et que je devrais être rapide si je souhaitais lui faire plaisir avant de passer à l’acte et que nos corps s’unissent. Je passais alors mes lèvres sur les siennes jusqu'à descendre sur son torse que je parsemais de baisers, je passais ensuite mes lèvres sur son entre jambe pour faire quelques vas et viens rapide avec ma bouche sur son membre. En général tous les garçons aimaient. Je continuais mes mouvements de vas et viens sachant que d’un moment à l’autre il voudrait continuer ce qu’on avait si bien commencé…
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Je n'étais plus le même, j'avais l'air fragile, insouciant. Je me laissais faire, j'avais l'impression d'avoir fumé un joint et d'être dans un état second, comme à l'époque où je n'étais qu'un gamin. La belle brune dévorait mon torse et s'occupa de mon sexe avec sa bouche, j'avais juste posé mes mains sur sa tete pour accompagner ses va-et vient. Bien évidemment que ça me procurait du plaisir, mais un plaisir purement physique. J'avais arrêté June momentanément et l'avait replacé sous mon corps. J'entrais alors en elle en gémissant, je m'enfonçais de plus en plus, mon pénis gonflait encore en elle. J'englobais un de ses seins d'une de mes mains avant de débuter mes longs va-et-vient, j'accélérais la cadence, fermant les yeux et levant la tête au ciel. J'arrivais... À cet instant, une image traversa mon esprit me figeant momentanément. " Arwen..." murmurais-je alors que j'étais entrain de coucher avec June. C'était sorti tout seul, j'ouvrais alors les yeux, choqué par ce que je venais de dire et vérifiant surtout si June avait entendu. Mon coeur battait extrêmement fort, c'était à la fois du à l'acte proprement dit mais aussi à la honte qui s'emparait de moi. Je n'allais pas m'arrêté maintenant, j'essayais de chasser ce visage angélique de mes pensées mais il revenait sans cesse. Nous avions fait l'amour que très rarement mais c'était à chaque fois intense et piquant. Je m'acharnais pratiquement sur le corps de la belle brune, de plus en plus fort, j'hurlais parfois des injures. J'étais agressif et meurtri, j'avais fermé les yeux si fort, qu'une larme coula le long de ma joue. J'allais jouir, oui j'y étais je relâchais subitement la pression je me laissais aller, me vidant en June aussi bien sur le plan physiologique que sentimental. J'avais mal, j'étais embarrassé. Je basculais aux côtés de l'étudiante, et finissais par craquer. Des larmes sortirent en masse de mes yeux, je ne m'arrêtais plus. Je lâchais enfin tout le chagrin que j'avais accumulé depuis que je l'avais croisé et que ce c'était mal terminé. J'étais loin d'être un homme solide, je n'étais au fond qu'un pauvre gars paumé.

J'avais aussitôt plaqué mes mains sur mes globes oculaires pour essayer de stopper cette hémorragie de liquide lacrymal. Quelle merde, pauvre June ! Je me sentais pitoyable, écoeurant, je n'avais qu'une envie : fuir. " Je suis désolé " je me levais précipitamment, j'avais titubé un peu avant de retrouver mes fringues dispersés aux quatre coins de la pièce. Je me rhabillais en vitesse, évitant un maximum la demoiselle. " Je suis vraiment, mais vraiment désolé, je file " je parlais dans ma barbe tout en finissant de boutonner mon jean. Enfin vêtu, je me dirigeais vers la porte et l'a claquer derrière moi avant de m'y adosser et de me laisser glisser le long pour finir à terre. " Quel con " chuchotais-je dans le creux de mes mains.
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J’avais arrêté de réfléchir me concentrant sur ce que j’étais entrain de faire avec Ethan. Je me sentais presque bien, profitant du moment présent, prenant du plaisir où il y en avait car je savais qu’après mon opération les choses seraient différentes…Peut être que cela me ferait enfin réfléchir, enfin je ne savais pas. Après avoir entamé des mouvements de vas et viens avec ma bouche, Ethan entrait en moi. Comme lui j’émis un long gémissement avant d’accompagner ses mouvements de vas et viens par des coups de hanches. Tout aurait pu continuer ainsi mais il prit la parole me stoppant complètement dans mon élan, il avait appelé son ex. Enfin je suppose que c’était elle, elle avait été à son enterrement et il m’avait parlé d’une fille avec qui il avait eu une histoire compliquée. Même si je n’avais pas une grande expérience sexuelle ce genre de chose ne m’était encore jamais arrivé. Je n’avais pas réagit pourtant ni dans mes gestes, ni dans ma parole mais mon regard c’était fait noire et fixant. Je n’avais pu contrôler cette partie de moi qui traduisait une sorte à la fois d’étonnement face à la situation mais aussi de haine car j’avais l’impression vraiment qu’il ne me respectait pas du tout. Je tentais de continuer comme si de rien n’était même si notre rapport était plus bestial qu’autre chose, je n’osais même plus le regarder, consciente que je lui avais lancé un regard assassin. Nous avions continués pourtant presque avec acharnement, à la fois pressé de terminer je pense mais aussi voulant satisfaire notre désir au plus vite. Quelques minutes plus tard et ayant atteint son plaisir maximum, Ethan s’allongea à côté de moi. Je repris mon souffle, même si cette activité m’avait donné du plaisir j’avais du mal à décolérer mais il se mit à pleurer…Il avait l’air de ne plus pouvoir s’arrêter, c’était souvent mon cas lorsque moi aussi je relâchais la pression. Mon regard s’assagit et mon visage retrouva son sourire habituelle, comme si rien n’était, comme si il ne c’était rien passé, comme si j’étais juste allongé avec mon ami alors qu’il pleurait. J’essayais de le prendre dans mes bras, ayant compris qu’il partirait dès qu’il en aurait l’occasion : « Ethan, ça va aller… ». Je n’étais pas très convaincante je m’en doutais, je frottais un peu son dos. Comment je pouvais être aussi gentille, délicate, douce et attentionné alors qu’au fond de moi j’étais blessé par son attitude. Je devais faire face c’est tout, je repris alors la voix la plus adorable du monde avant de reprendre : « Je n’ai rien entendu d’accord, c’était rien, pas grave… ». Même moi je me surprenais à être vraiment très gentille avec Ethan mais il me faisait de la peine. Il devait vraiment tenir à cette fille, elle avait de la chance qu’un homme pense à elle. Bon qu’il pense à elle quand il couche avec une autre ça par contre, c’était moins classe…Lorsqu’Ethan reprit ses affaires, j’essayais encore une fois d’être douce et agréable : « Comme tu veux, tu peux rester… Tu n'es pas très bien, un peu de compagnie te ferais du bien...». Mais bien sûr il était parti et je le comprenais aisément. Une fois qu’il eu franchit le mur de la porte toute la douceur et la gentillesse que je m’étais efforcé à mettre dans mes mots s'anéanti. Je mettais la musique à fond dans ma chambre tout simplement pour que personne ne m’entende pleurer à mon tour. Je me sentais pathétique en ce moment et ce qui c’était passé ne m’avait pas du tout donné confiance en moi, j’avais vraiment l’impression d’être devenue une pute sur laquelle tous les mecs passaient, c’était un jugement un peu précipité car j’avais couché avec 4 ou 5 garçons sans sentiments, je m’étais pas fait toute la ville non plus. J’avais vraiment l’impression d’être une moins que rien et mes larmes coulaient sur mon visage, seulement je pleurais toujours en silence pour que personne ne me voit.
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