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(lillyana) maladies d'hiver.

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All For One, évidemment qu'elle connaissait. Gresham a été un grand donateur. Mais surtout, il lui avait proposé d'y aller pour avoir de l'aide. Chose qu'elle avait rejetée. Elle préférait y aller pour aider plutôt qu'être aidée. A l'heure d'aujourd'hui, bien qu'elle n'allait pas encore totalement bien, elle préférait aider les autres plutôt que continuer à s'apitoyer sur son sort. Elle sentait qu'elle avait besoin d'aider pour aller mieux. Seulement, elle n'avait pas le temps pour ça, entre les cours et Benjamin ... "Non, un rhume il ne serait pas comme ça." Elle en était certaine. D'ailleurs, rien que le fait que l'infirmière lui ait dit d'attendre qu'un médecin vienne la voir, lui prouvait qu'elle n'était pas venue pour rien. "Une bronchiolite. Il a plus ou moins tous les signes..." Ce qui l'ennuyait était de ne pas savoir comment il aurait pu l'attraper. Cela venait d'un peu de nul part. "Non pas vraiment." Avant d'expliquer, elle réfléchit quelques secondes, pour voir comment elle pouvait dire les choses sans avoir à dire qu'elle aurait pu avoir besoin de cette association elle-même. Bien qu'avec ses paroles précédentes, la jeune femme a très bien pu déjà le deviner. "Mon fiancé..." Elle fit une pause, avant de reprendre. "Enfin mon ex-fiancé..." Et c'est en disant cela qu'elle se rendit compte à quel point elle était encore attachée à lui. "... a été un grand donateur à l'ouverture de l'association. Je crois." Elle ne savait plus exactement quand il avait donné. Elle savait simplement qu'il avait donné de l'argent. "D'accord, cool." Répondit-elle à l'avocate. Ne sachant pas quoi dire de plus.| @Adriana Escamilla
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Assise à côté de la jeune maman, j’apprends à la connaître et tente de laisser mes facilités pour reconnaître les personnes dans le besoin de côté. Je vois bien qu’elle est ici pour son fils, le petit Benjamin, et non pas pour discuter avec n’importe qui. Je bois une gorgée de mon café tout en grimaçant - il est infâme et je vais avoir un trou à l’estomac - mais écoute chaque mot qu’elle prononce. Un bronchiolite ? Si c’est pris à temps par les bonnes personnes, il ne devrait pas y avoir de souci. Que je dis avec un sourire sur le visage, me voulant rassurante, n’ayant aucune idée si je dis vraie ou non. Quelqu’un va bientôt venir pour l’examiner. Je rajoute ces quelques mots en tentant de capter son regard. Cela devrait l’aider à se tempérer un peu. Des fois, ce que l’on cherche est simplement le soutien de quelqu’un, un regard qui nous dit qu’on ne rêve pas et que ça peut être ça, que nos intuitions sont les bonnes. L’acceptation d’autrui est si importante et c’est aussi beau que triste. Mais si elle a besoin de soutien, je serai là pour elle. Un sourire sur le visage je l’écoute, acquiesce et quand elle parle de son ex fiancé, j’arque un sourcil. Merde. Ce petit bout n’a pas de père parce qu’il a fait du mal à la femme la plus importante de sa vie ? Ou est-ce d’un commun accord ? La curiosité qui me titillait jusque là est clairement piquée à ce moment précis et mes yeux la détaillent encore plus. Seulement, tout se remet en place dans mon esprit. Oh, vous êtes l’ex fiancée de Gresham ? Forcément, je l’ai connu, j’ai entendu parler de lui et l’ai rencontré plusieurs fois dont cette fois à la soirée pour obtenir des dons pour l’ouverture de All For One. C’est effectivement l’un de nos plus grand donateur, si ce n’est le plus grand. Et je souris légèrement. Sans lui, on ne serait probablement pas là où on en est avec l’association. Le travail au quotidien est possible grâce à des dons comme le sien ou bien encore la vente d’une alliance dont Mme Marriott nous a fait don au début de l’histoire. Je sais que mon père pourrait nous donner de quoi développer encore plus toute l’association mais je refuse qu’un homme comme lui s’approche d’une association au rôle si important. Et lorsque sa réponse ne relance pas la conversation, je lui adresse un sourire, ne voulant pas trop aller sur ce plan. Ma cliente sort de la salle d’examen, serrant la main du médecin qui l’a accueilli avec son fils et je me relève rapidement. Je reviens. Que je dis à la jeune maman, prends la température avec ma cliente et lorsque je me retourne, Lilly-Ann n’est plus là. Vous allez chez votre soeur ? Que je demande à ma cliente et quand elle acquiesce, je souffle Je vais rester là, un peu. Une accolade échangée et me voilà seule en salle d’attente.
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Deux heures maintenant qu'elle était là, ou presque. Et ça commençait à faire long. Les bras de Lilly commençait à s'engourdir à garder bébé. Encore une fois, 'heureusement' qu'il était calme, sinon ça aurait été bien plus compliqué. Mais peut-être qu'ils l'auraient pris plus tôt. Et s'ils l'avaient oublié ? "Si ils se décident à venir nous voir un jour oui ..." Elle commençait réellement à perdre espoir. Avoir la jeune femme à ses côtés lui avait tout de même fait passé le temps sans qu'elle ne s'en rende compte, et ça c'était plutôt cool. Alors qu'elle pensait que la situation ne pouvait pas s'empirer, Adriana émit le prénom de Gresham, et Lilly-Ann sentit son cœur battre d'un coup. Non, décidemment, elle n'arrive pas à l'oublier. La preuve, à peine eut-elle dit son prénom qu'elle en avait envie de chialer. "Euh ... Oui ?" Elle ne savait pas qu'il avait pu parler d'elle. "Vous saviez qu'il était fiancé?" Ils avaient toujours été dans leur bulle. Elle ne s'était pas imaginé une seconde qu'il aurait pu parler d'elle, ou de son statut. Elle fut alors sauvée par le gong, car la jeune femme s'en alla pour aller voir, surement, sa cliente. Elle n'avait pas forcément envie de reparler de Gresham. La rupture ne passait pas encore. Puis à ce moment-là, on vint enfin la chercher. Elle soupira, enfin, et s'en alla. Ne sachant pas si elle allait revoir Adriana ou pas.

Une fois la visite faite, ils préféraient garder le petit le temps d'une nuit pour surveillance. Son état n'était pas catastrophique mais ils ne voulaient pas prendre de risques et cela rassurait Lilly. Avant de le rejoindre dans la chambre qu'ils allaient occuper, elle revint dans la salle d'attente où elle vit Adriana. Elle sourit et avança vers elle. "Ils vont le garder le temps d'une nuit. Il va bien, mais ils préfèrent le surveiller quand même." Elle ne savait pas si elle était restée pour elle ou si sa cliente était toujours là, mais elle lui dit tout de même "Merci d'être restée."| @Adriana Escamilla
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Mes yeux sur la jeune maman, je ne peux m’empêcher de lui adresser un sourire. C’est ma façon de lui dire que je suis avec elle et que je la soutiendrai dans ce moment pas franchement rigolo. Je ne peux pas faire grande chose pour elle si ce n’est la soutenir et tenter de ne pas lui faire perdre espoir. Je sais que le centre fonctionne bien mais puisque chaque enfant à le droit à des soins poussés et personnels, ils peuvent vite être longs. C’est le risque quand il n’y a pas de rendez-vous et seulement un walk-in pour la journée. Ce n’est même pas premier arrivé, premier servi parce que l’urgence des cas est plus important que le reste. Des coups reçus face à une bronchite, il semble y avoir de l’urgence sur l’un et un peu moins sur l’autre mais des fois, c’est l’histoire de quelques minutes et l’injustice se fait ressentir. Mais oui. Sinon j’appellerai le gérant pour qu’il l’examine. Jude est l’ex de Leandra et je pense bien que s’il a oublié mon existence, mon statut le ramènera sur terre. Je n’en abuse pas mais si c’est trop long… Elle n’a pas à s’en faire, on va venir examiner son petit bout. Et quand on parle de l’association et de Gresham - l’un des plus gros donateurs - je sens que j’ai fait une boulette. Merde. Rapidement, il discutait pas mal avec la fondatrice. Et dans un lieu comme le nôtre, les oreilles traînent toujours. Ce n’est pas de l’indiscrétion ou même de la curiosité mal placée mais c’est juste que l’on peut entendre des choses qui nous feront réagir et proposer de l’aide. Il arrive que des femmes viennent pour se renseigner et c’est au détour de conversations complètement anodines avec notre équipe entraînée que nous détectons quelques points importants. Mon corps en direction de ma cliente, le ton rassuré, je la quitte pour attendre Lilly-Ann et son fils. Elle sort seule et c’est avec un sourire que je l’accueille. Je l’écoute et acquiesce. S’ils pensent que c’est le mieux, c’est ce qu’il faut. Elle qui avait peur qu’on ne la prenne pas au sérieux, elle l’a été et je n’en attendais pas moins de ce lieu. Mais de rien, c’est normal. Que je dis, ouvrant la bouche, prête à lui proposer de la raccompagner si elle le souhaitait. Seulement, je me doute bien qu’avec le petit ici, elle n’a aucune envie de quitter son chevet. Je ne vais pas tarder du coup. Que je souffle avec un sourire sur le visage. Vous avez besoin de quelque chose avant que j’y aille ? La demande est anodine, simple et cette main tendue, c’est toute mon histoire.
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Lilly était plutôt contente d'être tombée sur Adriana. Elle lui avait fait passé le temps, lui avait donné un café qui l'avait sauvé de sombrer dans un sommeil. Et elle sentait que cette rencontre pouvait durer sur le long terme. Non pas professionnellement parlant, elle n'avait pas besoin d'Adriana pour ça. Elle avait besoin d'amis et non de professionnels autour d'elle. Elle en a déjà eu assez à graviter autour d'elle. Maintenant, ce dont elle a besoin, c'est d'amis, avec qui sortir, parler et passer du bon temps. Revenir à une vie normale. Ou du moins tenter. Et alors qu'elle était partie voir le médecin, elle avait eu peur de ne plus revoir la jeune femme. Elle avait eu peur de la perdre de vue et de passer à côté d'une potentielle amitié. Bien qu'elle aurait su où aller si elle voulait la revoir, mais elle avait peur de passer pour une folle. Donc c'était avec soulagement qu'elle la vit, assise. Elle lui sourit. "C'est gentil, c'est bon." Elle avait confiance aux professionnelles. Elle lui tendit un bout de papier, où elle avait préalablement écrit son numéro, sachant qu'elle ne pourrait pas rester trop longtemps en sa présence. "Je veux bien que tu m'envoies un message plus tard." Elle la tutoya pour tenter de lui faire comprendre qu'elle souhaitait devenir son amie. Elle lui fit un signe de la main et s'en alla, attendant déjà un message de sa part. | @Adriana Escamilla

the end.
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