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(lillyana) maladies d'hiver.

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Lilly-Ann se retrouvait à la clinique, suite à une nuit très compliquée avec Benjamin. Celui-ci ne voulant pas manger, légèrement fiévreux et très somnolent. La pédiatre avait déjà fait de la prévention envers Lilly, si le bébé montrait de tels symptômes. Alors à 6h tapantes, elle se retrouvait à la clinique, en attendant de voir un médecin. Elle avait peur. Peur de ce qu'il pouvait avoir. Peur des conséquences. Mais surtout, peur de ne pas être venue à temps. Celui-ci somnolait durant l'attente. Pourtant, Lilly ne pouvait pas défaire son regard de son bébé. Toujours à l'affut de sa respiration. Des cernes sous les yeux, elle combattait sa fatigue. Elle vit au loin la machine à café, rêva d'en prendre un, mais n'avait même pas la force de s'y rendre. | #rplibre
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tw : femme battue, enfant battue, maltraitance.

La sonnerie retentit dans ma chambre. Je mets quelques secondes à ouvrir les yeux et, tentant de me sortir de ce merveilleux rêve, je décroche le téléphone qui ne s’arrête pas de sonner. Au bout, l’une de mes clientes. Il est cinq heures trente deux du matin lorsque j’entends sa voix paniquée. Elle a encore reçu les coups de son mari. Une fois de plus. Elle fait tout pour s’en sortir, pour se sortir de là. Mais cette fois-ci, en plus de porter des coups sur elle, leur fils de cinq ans a pris. Elle me répète qu’il n’a pas fait exprès mais qu’elle est juste partie. Son fils, une valise et un taxi. Et elle ne sait pas où aller. La clinique Rylon. Je vous y retrouve dans quelques minutes. Que je souffle en m’extirpant rapidement de mon lit. Une robe noire enfilée, une paire de talons hauts et je quitte mon appartement telle une tornade, un bruit monstre à chacun de mes pas. Le travail jusqu’à la clinique est rapide et je sais que nous pourrons faire examiner le petit rapidement. Elle, elle va encore le refuser. Ils sont rapidement pris en charge et moi, je reste dans la salle d’attente pour voir ce qu’il en est réellement. Travailler pour une fondation comme all for one n’est pas tous les jours faciles. Mes yeux balayent la salle et quand je vois l’entrain avec lequel la jeune femme de l’autre côté de la salle d’attente fixe la machine à café, je me rapproche d’elle et dis Vous en voulez un ? Il va toutes nous falloir de la caféine pour survivre. Tout va bien ? Quelques mots prononcés pour engager la conversation.
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Sans qu'elle ne s'y attende, Lilly entendit quelqu'un lui demander si elle en voulait un. Elle crut même, le temps d'une seconde, que c'était la machine à café qui lui avait posé la question. La fatigue... Elle revint à ses esprits, tourna la tête et vit à côté d'elle une jolie brune. Elle sourit, timidement, avant de répondre. "Euh ... oui je veux bien." Puis directement, elle chercha dans son sac de la monnaie afin de lui donner. Elle n'allait pas la laisser payer son café. Puis après avoir trouvé de la monnaie restante au fond de son sac, elle les lui tendit, tout en disant. "S'il y a, je veux bien un cappuccino..." Elle eut presque honte de lui demander cela. Qui était-elle pour demander à une autre personne un quelconque café ? Elle n'était pas mourante. Ouais mais elle avait plus de force. Et se demandait même si les médecins ne voudront pas l'ausculter aussi. Parce qu'en sortant de chez elle, elle s'était regardé dans le miroire, et avait vu un visage pâle. Très pâle. Elle avait pensé à se maquiller pour cacher toute cette fatigue, mais l'urgence de la situation avait fait qu'elle était arrivée à la clinique telle qu'elle.
Une fois que la jeune femme revint avec sa boisson, elle la prit dans ses mains et en but une légère gorgée. "Merci beaucoup." J'en avais vraiment besoin, mais cela elle évita de le dire. "Vous êtes ici pour vous ? ... ou votre enfant ?" Bien qu'elle ne voyait aucun enfant à ses côtés. Mais il pouvait être avec le papa... enfin, elle pensait à beaucoup de choses sans vraiment y penser. | @Adriana Escamilla
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Clairement pas réveillée, carrément fatiguée, je ne cherche pas à comprendre ce qu’il se passe avant de quitter mon appartement pour la clinique Rylon où j’ai donné rendez-vous à ma cliente. J’espère qu’elle sera vite soignée et prise en charge. Je ne sais pas si la clinique va vraiment pouvoir aider mais la seule chose dont je suis sûre c’est que l’anonymat de la victime sera respecté. Le propriétaire des lieux à un partenariat plus que solide avec la fondation et je sais que nous pouvons avoir confiance en lui et c’est le plus important. Assise en salle d’attente, mon regard croise celui d’une jeune femme et son langage corporel m’invite à aller la voir, discuter avec elle et peut-être l’aider sur quelque chose. Un café pour commencer. La monnaie en mains, le sourire toujours en place sur mes lèvres, je dis Pas de soucis, je vais vous chercher ça. Et même si les cafés dans ce genre de lieux sont très souvent infâmes, je me prends quelque chose et reviens rapidement auprès de la demoiselle. Je m’assieds à ses côtés, prenant cette place à laquelle elle ne m’a pas convié, et fais tourner la touillette dans mon gobelet beige. Sa question m’interpelle et je réponds rapidement. Non du tout, j’accompagne une cliente. Que je souffle rapidement. Cela veut tout et rien dire à la fois. Alors j’en profite pour demander Et vous, pour votre bout de chou ? Je tends le cou pour regarder ce petit bébé qui somnole dans les bras de sa maman. C’est assez clair que c’est le cas mais mettre des mots et intentions dans la bouche des gens n’a jamais été ma manière de faire. Tout va bien ? Empathe jusqu’au bout, je lui souris, comme si je savais qu’elle avait besoin de ça, de savoir qu’elle s’en sort à merveille et tout ce qui va avec. Un sourire d’un inconnu peut tout changer après tout…
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Lilly patientait. De toute façon elle ne pouvait faire que cela. Benjamin dans les bras, afin de l'avoir au plus proche d'elle, elle attendait qu'un médecin daigne enfin venir les voir. Evidemment, elle savait qu'il n'était pas une urgence vitale, mais tout de même. Cela faisait quand même quelques heures qu'elle attendait maintenant. Ou du moins, c'est l'impression qu'elle avait. Le regard dans le vide, pour ensuite se diriger vers la machine à café, elle entendit alors quelqu'un lui parler. Un miracle. Son souhait caféiné avait été entendu. Une fois le café dans une main, elle regarda la jeune femme. "Une cliente ?" Questionna-t-elle tout en fronçant des sourcils. Quelle genre de cliente ? Que pouvait-elle bien faire dans la vie pour devoir amener des clientes ici ? "C'est ça." Son regard se posa sur son bébé. "Il s'appelle Benjamin." Il pouvait paraitre très sage ainsi. Mais elle sentait que quelque chose n'allait pas, et qu'il était trop somnolent pour que ce soit normal. "Je sais pas trop. Je ne suis pas une experte, mais je sens que quelque chose ne va pas. Il dort trop et mange très peu. Et il respire d'une drôle de façon..." Elle avait en tête le diagnostic, mais sans un médecin, elle préférait ne pas mettre de mot dessus. | @Adriana Escamilla
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L’aller-retour à la machine à café fait, je m’installe à côté de la jolie brune et de son bébé, collé tout contre elle. Ma simplicité et sincérité lui font froncer les sourcils et c’est à ce moment que je me rends compte que j’en ai peut-être un peu trop dit sans le vouloir, sans m’en rendre vraiment compte. Je travaille dans une association qui propose de l’aide pour les femmes qui en ont besoin. Ce n’est pas totalement un mensonge quand on y pense. All for One est là pour les femmes, toutes les femmes mais aussi pour leurs droits, histoire qu’ils soient respectés. Sauf que cette cliente, c’est différent. C’est un peu plus compliqué. C’est à coup de renseignements sur les mesures d’éloignements et de foyers que je la renseigne et non pas comment ramasser un petit pactole en attaquant son patron en justice. Alors, c’est dans le flou que je reste, me concentrant sur la brune et son enfant. Son fils. Benjamin. Je les regarde l’un après l’autre et l’écoute. Il parait que les parents savent mieux que les médecins quand quelque chose ne va pas avec leur enfant. Que je souffle avec un sourire qui se veut rassurant mais pas forcément. Mes mots ne sont définitivement pas les mieux choisis pour ce moment. Elle est déjà clairement en panique et moi, je lui jure “si vous paniquez, il y a surement une bonne raison”. Ça fait longtemps que vous attendez ? Moi, je ne connais pas le tempérament de cet enfant alors je ne peux pas dire si cet état est normal ou non. Tout ce que je vois et ressens, c’est le stress de cette jeune maman. Vous avez l’air vraiment inquiète, vous avez fait des recherches sur internet ? Erreur de débutante, je le sais et elle le sait sûrement aussi.
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Le café en main, Lilly n'hésita pas à en demander plus à la jeune femme. Penser à autre chose ne pouvait que lui faire du bien. Arrêter de penser à l'état de son enfant le temps de quelques secondes. Arrêter de s'imaginer le pire. Se focaliser sur autre chose. Mais lorsqu'elle entendit sa réponse, elle eut un léger pincement au cœur. Pourquoi devait-elle tomber sur ce genre de personnes, maintenant ? Pourquoi pas avant ? Décidemment, elle avait l'impression que le passé viendrait toujours la hanter. Peu importe la façon. "C'est bien. On est beaucoup plus que ce que l'on peut imaginer." Et sans même s'en rendre compte, elle appréciait un peu trop la jeune femme. Trop de femmes en ont besoin, mais tellement peu de personnes qui les aident. Ou alors avait-elle cette impression car elle-même n'avait pas tenté plus que cela de demander de l'aide ? "Evidemment... vu qu'on est H24 avec eux." Cela ne faisait aucun doute pour Lilly que les parents étaient ceux qui connaissent le mieux leurs enfants et qui donc savent lorsqu'il y a quelque chose qui ne va pas. "Presque une heure je pense... Depuis que j'ai fais mon inscription quoi." Une infirmière était déjà venue voir le petit, mais maintenant ils attendaient le médecin. La partie la plus longue. "Non même pas. Je me rappelle tout simplement les symptomes que mon bébé m'a mentionné. Ceux qui font que l'on doit venir à l'hôpital..." Mais bon apparemment, ce n'était pas si grave étant donné qu'elle attendait toujours. | @Adriana Escamilla
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Je ne sais pas s’il y a des manières plus banales que cela de présenter mon métier. À vrai dire, les mots qui sortent de ma bouche ne veulent même rien dire mais c’est ceux que je souffle, souhaitant garder la réelle nature de mon métier assez floue, protégeant aussi mes clientes de cette manière. Mais quand j’entends le possessif qu’elle utilise, je sens un léger pincement à mon cœur. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre que la jeune maman aurait pu être à la place de celle que j’ai accompagnée aujourd’hui il y a quelques mois, années de cela. Mes yeux glissent sur son corps, un sourire toujours fixé sur le visage, comme pour l’examiner et reconnaître les signes d’abus. Rien n’a l’air d’être là, je crois. Et puisque je ne peux pas aller sur ce chemin sans qu’elle m’y invite, je continue la conversation, acquiesce et dit Alors ne lâchez rien avec le médecin. Pour vous et pour Benjamin. Parce que lui, il n’a que sa maman pour prendre soin de lui, pour le défendre. Et quand elle mentionne des symptômes, je souffle Alors, je ne suis pas médecin mais dites-moi voir tout ça. Parler à quelqu’un peut aider à rationaliser les choses des fois. Pas que je vous trouve irrationnelle hein. Mais ma mère pensait toujours que j’allais mourir au moindre bobo alors je comprends cela… Je ne l’ai jamais vécu et ne le vivrai peut-être jamais mais si je peux l’aider, c’est une bonne chose aussi. Je travaille pour l’association All for one, on a des fois des cours avec des nourrissons alors qui sait, j’ai peut-être une idée ou deux pour vous aider. Et le soulager lui, ce petit bambin au visage si fatigué.
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Il fallut qu'une autre jeune femme arrive pour calmer un peu Lilly. Le café, quoique très mauvais, lui fit du bien. Ainsi que parler aussi. Cela lui faisait passer le temps, et l'obligeait à ne pas trop penser à Benjamin. Certes, il dormait, mais elle s'inquiétait énormément pour lui. Sachant très bien que le fait qu'il dorme autant n'était pas censé être normal. "Je vais essayer oui." Parce que clairement, ce n'est pas le genre de femmes qui insiste ou sait tenir tête. Elle est plutôt du genre à hocher la tête et accepter ce qu'on lui dit. Après tout, les médecins savent ce qu'ils font non ? Qui est-elle pour remettre en question un diagnostic médical ? Seulement la maman ... "Alors il est très somnolent, il mange très peu et j'ai l'impression qu'il respire bizarrement." Et en disant cela, elle se rappelait encore une fois ce que lui avait indiqué le pédiatre. Elle n'était certes, pas médecin, mais elle avait une bonne mémoire et tous ces symptômes n'étaient pas passés inaperçus. "Ah je connais." Dit-elle au sujet de l'association. Gresham ayant soutenu financièrement l'association. Il lui en avait même parlé, en disant qu'elle pouvait y aller si jamais elle en ressentait le besoin. Elle avait pensé y aller, non pas pour elle, mais pour aider. | @Adriana Escamilla
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Réellement impliquée, je pose des questions à la jeune maman, prête à la rassurer si je le peux, si j’ai une quelconque idée de ce qu’il se passe. Je refuse de lui dire que tout va bien se passer si j’en ai pas la moindre idée. Par contre, essayer de lui apporter un peu de chaleur et de soutien, je n’hésiterai pas. Elle a l’air si perdue et ça me peine de m’en rendre compte si facilement. Avoir un enfant n’est pas chose facile et sa détresse m’interpelle. Je pourrais juste continuer mon chemin mais j’espère l’aider et rendre sa journée un peu plus facile. Un rhume ? Avec le temps qu’il fait, un coup de vent et c’est parti pour quelques jours. Que je dis, comme une façon de relativiser la chose. Mais le fait de ne pas trop manger n’a pas vraiment de liens avec un rhume. Sans compter que ce serait un peu trop facile et je ne pense pas qu’elle serait là si c’était le cas. Vous pensez à quoi, de votre côté ? Énoncer un diagnostic farfelu - je ne dis pas que le sien le sera - peut aider à se rendre compte de l’énormité de la chose. Et quand elle me dit qu’elle connaît la fondation de nom, je souris largement, heureuse de voir que l’initiative de Leandra touche autant de monde. Oh vraiment ? Vous êtes une des bénéficiaires ? Je ne connais malheureusement pas tout le monde bien que j’essaye de me renseigner un maximum sur nos bénéficiaires. Bon, ça dévoile un peu la nature de mon lien avec la jeune femme que j’ai amené ici mais ce n’est pas grave. Je suis l’une des avocates. Pas assistante sociale même si ma venue ici pourrait s’en rapprocher. On fait un peu de tout et c’est ce que j’aime dans ma fonction, je ne peux pas le nier.
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