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@Gypsy Snyder
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tw : alcool, nudity, violences physiques, violences verbales.

dans tout c'bordel, t'arrives quand même à prendre un peu de temps pour la complimenter. à ta manière, certes. mais c'est mieux que rien non ? ya l'démon qui s'est emparé de ton être quelques minutes plus tôt dans ce bar. incontrôlable que t'es devenu durant l'espace d'un instant. c'est pas la première fois que ça arrive et ce sera sans doute pas la dernière. ya trop d'trucs qui se passent dans ta tête et pas que des bonnes choses faut l'admettre. encore moins quand t'es en compagnie de gypsy. on peut pas dire que vos rapports ont déjà été sains. et même avec la naissance de la petite, ça ne s'est pas arrangé. pourtant, chacun de votre côté vous essayez de faire des efforts pour elle. la perfection n'est pas pour vous, mais au moins, ya du mieux. t'acquiesces d'un signe de tête puis hausses les épaules — c'toi qui l'dis. elle se considère comme une meuf sans cerveau. soit. c'est pas du tout c'que tu penses. et puis, en ce qui vous concerne, ya trop d'choses qui se disent. ya la colère qui parle sans cesse. ne vous faisant surement pas dire les bons mots. vous n'avez jamais vraiment su vous exprimer à l'un et l'autre convenablement. à chaque fois, c'est dans l'agressivité. faut dire que vous avez tous les deux un putain de caractère. toujours compliqué l'échange dans ces cas là. toi et ta fierté mal placée. elle et sa manière de te faire sortir de tes gongs à chaque fois. tu comprends rapidement que tes mots sont souvent durs quand ton regard se pose de nouveau sur elle. mords l'intérieur de ta joue puis reporte ton regard sur le part brise — j'en ai marre que tu m'rabaisses à chaque fois quand il s'agit d'la petite. t'es pas le meilleur des pères, mais t'es pas le pire non plus. déjà que ta confiance en toi est quasi nulle, si en plus elle s'y met en te faisant comprendre qu'elle n'est pas tranquille quand la petite est avec toi, ou lorsqu'elle remet sans cesse ta parole en doute quand t'essayes de lui dire que t'as envie de faire des efforts. t'en dis rien sur l'instant, mais ça te blesses au plus profond d'toi même. elle sait pas comme sa confiance est importante pour toi et pourtant, toi t'as l'impression qu'elle te laisses la gosse par dépit. parce que t'es son père et pas parce qu'elle considère que sa gosse mérite de passer du temps avec toi. la frustration de lui dire tout ça te mets souvent dans une rage folle. elle sort de la caisse. tu réponds pas. déjà que t'es pas bavard de base. là, t'as encore moins envie de t'engager dans la discussion. elle a tord. ya pas de haine, de mépris. ya juste toi qui n'arrive pas à parler, à extérioriser tout l'mal qui a en toi sans te mettre en colère ou renvoyer chier ton monde. porte qui se referme, tu la regardes monter les marches jusqu'à l'entrée de son immeuble. puis, après de nombreuses secondes d'hésitations, tu sors de la voiture à ton tour, claquant la portière d'un coup sec. puis, d'un pas rapide, tu t'avances jusqu'à elle, arraches les clés de ses mains pour l'aider à ouvrir la porte à sa place. ça t'fais mal de la voir dans cet état à cause de toi. tu peux assumer beaucoup de choses, mais pas ça. il s'agit d'parfois de remettre en question. porte d'entrée ouverte, visage toujours aussi fermé, tu marmonnes — j'rentre avec toi. on va parler. j'peux pas te laisser comme ça. puis tu repasses d'un revers de main sur ta lèvre en sang — si t'as un truc pour ça aussi, j'dis pas non du coup. bon là n'est pas la priorité. mais si tu pouvais arrêter le sang couler, ce serait un truc casse couille en moins à gérer.
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@Alec Byers
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J’ai fait ça ? J’t’ai rabaissé ? C’était purement inconscient. Une manière de me venger de notre rupture. C’était pas ta faute, j’le sais. Nous étions deux. Toi et moi. Si on s’est aimé comme des fous, c’est que j’te faisais confiance. Mais j’sais pas pourquoi, mon instinct maternel me joue des tours. J’crois qu’il faut avoir donné la vie pour comprendre ce qu’une mère peut ressentir. T’as pas accouché, mais t’étais une partie du projet. J’dois piger ça, me le rentrer dans la tête. J’dois aussi faire le deuil du couple parental. Entre le ton qui s’est haussé et le geste de violence, j’ai craqué. Je n’ai pu garder mon aplomb, tout s’est effondré. J’ai baissé les armes, littéralement. Je fais toujours en sorte que tu ne voies que la femme libre et indépendante, mais faut croire que j’suis juste une gosse qui a une gosse. J’suis dépassée par ce gros n’importe quoi que j’traîne. J’ai l’esprit fragile. J’me fais honte, j’aimerais me tabasser. Clés ramassées, tu rappliques et prends le relai. Je te suis. Aucun mot. J’te laisse passer l’premier et dominer. J’veux plus lutter ce soir. J’suis épuisée. Les larmes ruissellent. Les sanglots sont ravalés. J’plonge dans le silence et grimpe les quelques marches conduisant à l’appartement. La porte déverrouillée par tes soins, j’rentre et dépose mon manteau sur le sofa usé. Rien n’est neuf ici, que de l’occasion. « J’dois avoir de l’alcool » Bien sûr que j’en ai, combien de soirées j’termine saoule. J’suis toujours rongée par les remords. Ils s’accrochent et ne me quittent pas. Bouteille de Tequila sortie du placard, j’déambule dans l’appartement pour mettre la main sur du coton. J’pose le tout sur la table et t’invite à t’asseoir pour que j’puisse désinfecter cette horreur. « Ça me fait mal au coeur » Quelques gouttes déposées et j’tamponne la zone éraflée.« De quoi tu veux parler ? Des parents dysfonctionnels que l’on est ? J’crois qu’on le sait toi et moi. J'te promets que j'essaie de faire du mieux que j'peux. J'mets quelques dollars de côté dès que je peux. J'aimerais qu'elle puisse faire des études ..» Parce qu'en fait, j'vois pas ce qu'on pourrait se raconter d'autre. J'veux pas connaître les détails de ta vie. Moins j'en sais, moins j'souffre.
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@Gypsy Snyder
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la communication n'a jamais été ton fort de base. et encore moins avec elle. surement un peu à cause de toi et de ton putain d'sale caractère. ou surement aussi un peu à cause d'elle qui prend la mouche à chaque fois que t'ouvres la bouche. surement des deux côtés ya d'la mauvaise foi. et parfois, t'essayes, t'essayes de lui montrer que malgré tout, tu restes la mère de sa fille, que t'as du respect pour elle, à ta manière. parce que te connaissant, t'aurais juste bien pu ne pas lui accorder la moindre importance, t'en tenir au strict minimum. un bonjour, un aurevoir. seuls échanges que vous pourriez avoir pour la gosse. ce qui serait déjà pas mal. mais non, t'es là toi. t'es là, tu bondis quand ça se passe mal pour elle, comme dans ce bar quelques minutes plus tôt. t'es là quand elle est mal pour l'aider à ouvrir cette putain de porte d'entrée. t'es là. et t'es là pour elle. pour ce qu'elle représente et ce qu'elle a représenté pour toi gypsy. alors certes, tu t'u prends mal, t'es qu'un con, mais dans tout ça, elle peut s'dire que tu la laisseras jamais. une fois à l'intérieur t'en profites quand même pour lui demander si elle a pas un truc pour arrêter ce sang de couler. entre l'odeur du sang qui coule le long de ta tempe et l'effet que le sang a dans ton estomac, c'est bon, t'en peux plus. tu regardes un peu autour de toi. puis tu te dis que t'as rien à lui envier. alors ouais, ton appart c'est vraiment un taudis. mais ton van est maintenant entièrement retapé. la blonde revient avec tout c'qui faut pour panser tes plaies. celles qui se voient évidemment et qui, surtout, son guérissables pas comme celles que t'as à l'intérieur. rien ni personne ne peut soigner celles ci de toute évidence. mal au coeur qu'elle dit et toi tu grognes sous l'effet de l'alcool contre ta plaie — et moi j'ai mal au crâne. elle s'demande de quoi vous pourriez bien discuter. pas d'la pluie et du beau temps c'est certain — d'astrid et d'ton taff à la con surtout. non vraiment t'en démordra pas. t'aimes pas le fait qu'on la reluque, qu'on la siffle, qu'on la prenne pour la salope de la ville. t'es le genre à te foutre de ce qu'on peut penser de toi. tu viens saisir son poignet pour la stopper dans ses gestes, puis viens capter son regard. rares sont les fois où tu regardes les gens aussi intensément — j'recommencerais à chaque fois que l'occasion se présentera. si j'ai perdu l'contrôle là, tu sais très bien que ça arrivera de nouveau. t'as pas envie de ça hein ? parce qu'effectivement maintenant que tu sais où elle taffe, tu reviendras. que ça lui plaise ou non.
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@Alec Byers
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J’vois pas de quoi tu veux parler. L’angoisse se pointe, parce que je sais qu’un jour ou l’autre tu voudras présenter une femme à notre fille. Tu sais d’ailleurs que j’piquerais une crise monumentale. Et si ce moment était arrivé ? J’ose pas le croire. Je me mure dans le déni. J’retiens aussi mes larmes après cette crise dans ta caisse. T’es une bombe à retardement. Parfois, tu me fais même peur, mais j’sais pas pourquoi j’suis persuadée que tu n’exploseras jamais comme ça en présence d’Astrid. C’est comme si tu étais deux en toi. Le bon et le mauvais Alec. Aussi triste que cela puisse être, j’crois que je ne réveille que le mauvais. On est incompatible. En guerre perpétuelle. J’sais pas comment on pourrait être cordiaux l’un envers l’autre. L’attirail préparé, la vue du sang me retourne l’coeur. J’tapote l’alcool sur tes plaies et entame cette discussion que tu voulais. C’est reparti pour un tour. Freinée dans mes gestes, mon regard est capté par tes orbes bleutés. « J’en aurais envie si c’était pour d’autres raisons, malheureusement, c’est pas le cas » J’sais très bien pourquoi t’as disjoncté. Tu ne voulais pas qu’on te relie à moi, la pauvre catin qui bouge son cul autour d’une barre. Tu penses juste à toi et éventuellement à Astrid. Mais Astrid est si petite, elle est loin de se douter que sa mère se démène pour lui offrir une vie décente. Les clients ne sont pas les pères de famille que je croise à l’école. Tu devrais te relaxer. J’comprends pas que tu te soucies de mes décisions. J’te demande pas l’autorisation en fait. Le sang absorbé par le coton, je m’écarte de ton espace vital et soupire longuement. Les déchets jetés à la poubelle, je me retourne vers toi et croise les bras sur ma poitrine « J’suis fatiguée de me battre avec toi, j’ai pas besoin de ça. J’fais du mieux que je peux, comme toi. T’es pas parfait non plus. T’es incapable de la prendre une semaine sur deux. J’gère tes absences figure toi. Il serait temps que tu grandisses et que tu vendes ton van de camé » Et merde, c’est reparti. J’sais pas tourner ma langue sept fois dans ma bouche, faut que ça sorte toujours comme ça vient. « Excuse-moi, c’est l’impulsivité qui parle, j’sais pas être calme avec toi. T'énerves pas c'était con .. »
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@Gypsy Snyder
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est c'qu'un jour vous arriverez à vous comprendre ? disons qu'avec deux grosses personnalités aussi fortes que les vôtres, à vouloir toujours avoir raison ou l'dernier mot, c'est compliqué de trouver un terrain d'entente. et pourtant, au fond, tu sais qu'elle a aucune envie que vous vous déchiriez tous les deux. parfois, t'en doutes un peu. parfois, tu te dis qu'elle est juste putain d'bornée. comme toi hein ? voilà pourquoi c'est si tendu. niveau communication, c'est pas trop ça. t'as juste envie qu'elle comprenne. pour une fois putain. c'est pas compliqué. pour une fois, t'as envie qu'elle comprenne que t'acceptes pas ce qu'elle fait. t'aurais été un putain de connard, t'aurais clairement pu lui dire de continuer, t'en servir comme moyen pour obtenir la garde de la petite. mais tu penses à la petite. tu sais qu'elle a besoin de sa mère. et tu comptes sur elle pour qu'elle fasse des efforts de son côté. acte stoppé par ta poigne, ton regard qui capte le sien, qui le soutient. est ce que t'attendais une réponse de ce style ? non. tu relâches son poignet d'un coup. long soupire qui s'échappe de tes lippes. visage fermé, tu viens porter une main à ta blessure, grimaçant quand elle vient faire pression sur cette dernière — j'pensais pas que astrid n'était pas une bonne raison. un moment de répit et elle revient à la charge. tête qui pivote en arrière, pour te relaxer un peu, parce que t'as juste l'impression qu'elle cherche encore à jouer avec tes nerfs. t'es pas parfait ? ça tu le sais. t'as jamais prétendu l'être. fronces les sourcils, dans l'incompréhension. elle parle, mais elle sait rien. elle parle de choses dont elle ne s'intéresse même pas. mais elle s'excuse rapidement. qu'elle s'en fasse pas. t'allais pas t'énerver cette fois — qu'est c'tu veux que j'te dises ? van de camé. s'tu veux écoute. c'est quand la dernière fois que t'as vu mon van ? ya des mois. j'me suis cassé le cul pendant des semaines à le rénover. alors s'te plait, ouvre ta putain de gueule pour dire des trucs censés. ça changera un peu. au tu t'excuses, mais t'ouvres ta bouche. trop facile. bref.. t'es même pas énervé. t'es blasé. tu te lèves de la chaise, toujours la main sur ta blessure — merci quand même d'avoir joué à l'infirmière. t'viens déposer un baiser sur son front, venant plaquer ta main derrière son crâne. puis tu viens sortir ton tel de ta poche en regardant le calendrier — j'peux la prendre ce week-end, jusqu'à... mardi. après j'bosse. regard qui quitte l'écran du tel pour venir s'braquer sur elle.
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@Alec Byers
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Tu sais pas te taire, c’est bien ça ton problème. Tu es toujours dans la surenchère. Tu veux l’atteindre, mais tu n’y parviens plus. Il a trouvé ce bouclier magique contre tes attaques. Pire, il se défend et avec des mots vulgaires qui t’atteignent. Le piquer revient à souffrir, tu devrais donc freiner tes pulsions de haine et accepter que tout soit bel et bien terminé. Il est né une pépite de vos sales caractères, à vous de la protéger et de lui offrir un environnement familial équilibré. Sa blessure désinfectée et sa réplique postée, tu recules et expires longuement. Est-ce de ta faute si vous êtes incapable de dialoguer sans vous faire du mal ? C’est probablement le cas. Tu ne devrais plus le juger, mais accepter. Après tout, tu es tombée amoureuse de lui pour cela, pour cette marginalité qui t’a fait chavirer. Pourquoi dois-tu obligatoirement le tacler ? Alec est insaisissable. Il souffle le chaud et le froid, comme toi. L’baiser de remerciement accepté, tu t’empresses de jeter les cotons imbibés de sang et t’acquiesces, sans rentrer de nouveau en conflit. C’est inutile, t’es lasse de combattre. Tu baisses les armes et rappelles la tendresse dont tu es capable. « C’est parfait, elle va être heureuse de passer du temps avec son papa » Tu sors le sourire de politesse et passes en cuisine pour attraper un paquet de chips. Danser et suspendre une bagarre donnent faim. T’en reviens même pas qu’il ait pu avoir ce comportement. Malgré ta réaction négative, ça te plaît qu’il puisse encore se préoccuper de ta vie. Il y aura toujours de l’affection entre vous et c’est primordial, Astrid doit sentir que ses parents sont unis pour elle. « On s’dit à mardi et tu sais, j’serais ravie de voir les travaux finis, j’ai juste pas été invité » Tu hausses tes épaules et te faufiles jusqu’à la porte d’entrée, main sur la poignée. « Si t’es dispo pour une activité à trois, ça serait aussi cool, j’veux pas qu’on donne de faux espoirs à Astrid, mais voir qu’on est sur la même longueur d’onde ça lui permettra de ne pas nous arnaquer quand elle sera adolescente » Et tu ouvres, lui laissant la place pour te quitter.


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