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@Gypsy Snyder
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tw : alcool, nudity, violences physiques.

et durant tes heures libres, les soirs où tu ne bosses pas, c'est dans ce genre d'endroit que tu passes tes fins de journées. la plupart du temps du moins. quand t'as pas la garde de la gosse. t'es pas le père de l'année, tu le seras jamais, mais t'en es pas encore au point de laisser ta petite solo chez toi pour te prendre une murge. t'attendras qu'elle ait au moins dix ans. à dix ans, on peut se garder tout seul non ? non, ce soir, t'es sans elle. sans ta dose d'amour. t'as beau l'avoir aimé au premier regard, t'as l'impression que ton amour pour elle grandit à chaque fois que ton regard croise le sien. tu pousses les portes de ce bar. t'y vas pas souvent, ça change. pourtant, t'aimes bien aller dans des endroits où t'es habitué. ça te rassures de voir des visages familiers d'habitude. tu commandes un verre de rhum, puis te retournes vers la scène. les danseuses font leurs shows. c'était marqué à l'entrée. surement ça qui t'as motivé. besoin d'un peu de distraction. tu sors deux/trois billets de ta poche, histoire de les foutre dans quelques soutifs en guise de pourboires. tu quittes ta place au bar pour venir t'asseoir non loin de la scène. ya pas foule ce soir, tant mieux. première danseuse, histoire de te mettre bien. petit billet glissé dans la dentelle après lui avoir fait signe de se rapprocher du bord de la scène. et avant que la deuxième fasse son entrée sur scène, tu reviens au bar commandé un deuxième verre. c'est à ce moment là que la seconde danseuse arrive sur scène. sifflée par les gars du premier rang. remarques obscènes lancées à son égard. tu fais même pas gaffe toi. puis quelques secondes plus tard, quand tu te retournes face à la scène pour enfin profiter du spectacle, c'est le choc. et putain, le mot est faible. t'as le cerveau qui se met à bug. gypsy. trop d'infos qui se bousculent là. trop d'agitations autour de toi. tu te rends même pas compte que t'as les phalanges qui deviennent violettes, tellement tu resserres tes doigts autour du verre. le regard qui jongle entre les gars et la mère de ta fille. c'est donc ici qu'elle bosse ? c'est ça son taff ? c'est dans sa dentelle que ya des gars qui foutent des billets ? mâchoires qui se crispent. t'as les nerfs. ton sang bout et tu te connais, tu sais qu'il n'en faut pas beaucoup plus pour que tu vrilles. une remarque de plus et tu leurs sautes dessus. un contre quoi... quatre ? cinq ? rien à foutre. t'es incontrôlable dans ce genre de situation. c'est de la mère de ta gosse dont il s'agit et putain t'aimes pas ça. tu prends sur toi. c'est qu'un taff. un taff que t'acceptes pas pour elle, mais un taff quand même. ça lui permet de nourrir ta petite. mais putain, c'est hard de rester là à attendre que ça se termine. c'est interminable. t'as le sang qui bout de plus en plus. et les autres qui continuent de la siffler en lui disant de retirer le reste. et tu vrilles. complet. d'un coup. comme d'habitude. tu poses le verre violement sur le bar, puis te jettes sur un des gars  le premier qui te viens. évidemment, les autres réagissent et c'est les coups qui s'abattent sur toi. les coups, dans ces moments de colère, tu les ressent pas. mais très vite, c'est d'autres qui se ramènent pour mettre de l'ordre dans tout ça. la musique se coupe et tout le monde se met autour de vous. certains cris, d'autres encouragent, certains lancent même des paris..
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@Alec Byers
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Une nuit de plus, encore. J’cherche juste les billets, rien de plus. Lorsque les lumières s’éteignent et que je rejoins mon lit, tout ceci n’est plus qu’un lointain souvenir. Parfois, je me sens si sale que je file sous la douche. Et j’ai beau frotter, la sensation dure. C’est pas de gaieté de coeur que je me rends dans ce club. J’vais devoir encore faire le show et sentir les doigts crasseux de ces porcs en rut. En backstage, j’me prépare avec les autres filles bien plus superficielles que moi. Elles sont toujours excitées comme des puces, comme si ce job était le meilleur qu’elle puisse trouver. Pour moi, c’est juste de l’argent facile. Pas besoin de rester assise derrière une caisse ou de m’esquinter le dos à faire des lits. Bouger sur le rythme d’une musique, c’est moins coûteux. Une amie en qui j’ai confiance garde Astrid. Paillettes sur le corps, j’entre en scène après Miranda et c’est le début d’une longue promenade autour de la barre de fer. Les vêtements tombent. Les hommes sont bouche bée. Yeux écarquillés braqués sur moi, j'ondule et jette mon p’tit haut en résille sur un habitué. Et puis ça s’échauffe en bas. Intriguée, je m’attarde sur le remue-ménage et te distingue foutre la merde. Tes poings partent s’écraser sur un des clients, puis un autre et à peu près n’importe qui sur ta route. La musique qui s’arrête, je te somme de t’arrêter, mais j’te connais, t’es entré dans ta folie massacreuse. « Alec, putain, stop » Ça s’attroupe et j’panique. Si on me relie à ce bordel, j’pourrai perdre ma place. Alors j’descends de mon estrade et accours vers le centre de la bagarre. Un mec pisse le sang de l’arcade. Un autre a des filets de bave sanguinolents qui s’écoulent de la bouche. Mais tu cognes encore, alors j’attrape ton épaule et force dessus pour capter ton regard. « Je suis là, arrête tes conneries » Je gueule toujours plus et me fais bousculer vers l’arrière où j’tombe sur le cul. La cheville s’est tordue dans la chute. Je crie de douleur tandis que les coups pleuvent toujours. « ALEC BYERS ! » M’accrochant à un gars, je me relève et parviens à m’interposer entre ta cible et toi-même. « S’il te plaît … »
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@Gypsy Snyder
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la colère, la haine qui t'habites t'anesthésies complètement. tu frappes sans réfléchir, comme à ton habitude. tu fais abstraction de tout ce qui t'entoure tellement ta haine prend possession de ton esprit. il n'y a plus de place pour la raison. et les cris que gypsy n'y font rien. les coups, tu les prends, mais ça ne t'arrêtes pas pour autant. une fois que t'en auras terminé avec eux, tu t'occuperas de son cas à elle. évidemment, tu comptes pas la toucher, juste lui dire de prendre ses affaires et de sortir de ce bar à la con. tu peux pas supporter tout ça. pas pour elle. t'es conscient qu'avec le corps qu'elle a, elle en attire plus d'un. tu serais à leur place, t'apprécierais la regarder sur cette scène, danser sensuellement comme elle le faisait là. mais c'est gypsy. c'est la mère de ta fille. tu... non c'est pas possible. tu peux pas la laisser faire ça. il ne se passe que quelques secondes entre le moment où t'as commencé à frapper et le moment où sa voix, te ramènes petit à petit à la raison. les videurs ne s'en seraient pas mêlé, tu serais encore entrain de frapper. soit entrain de cracher du sang étendu sur le sol. d'ailleurs, t'en es pas loin. tu t'accroches à une des chaises, regard qui se braque sur elle, tandis qu'elle s'interpose entre toi et l'un des gars. vision qui se floute petit à petit — bouge de là. que tu lui ordonnes. sait-on jamais, d'autres coups peuvent partir et t'as clairement pas envie qu'elle s'en prenne un. les videurs semblent calmer peu à peu la situation, tandis que t'essayes de te redresser. ta main vient saisir fermement le poignet de la blonde. regard noir qui se braque fermement dans le sien —tu rentres avec moi. et c'est un ordre. t'as la lèvre fendue, qui commence à gonfler, t'empêchant d'articuler correctement. il vaut mieux pour elle qu'elle accepte avant que tu casses tout c'qui se trouve autour de toi.
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C’est du délire. Je m’agite. La tête tourne. J’ai peur. Je crie à m’en arracher la gorge. T’es possédé par je ne sais quel démon. L’agressivité qui m’a fait fuir est de sortie. Ta rage est pétrifiante. Pourtant, je lutte. J’essaie de t’arrêter, de t’éviter les ennuis. Quelque part, profondément enfoui, l’amour bat et circule dans mes veines. Te bats-tu pour mon honneur ou pour ton ego ? La violence à son maximum, je m’interpose et m’fais gifler par ta hargne. J’suis incapable de t’arrêter, j’dois l’accepter. Les videurs font heureusement leur boulot et colmatent l’hémorragie de ta fureur. Le poignet capturé, je titube sur mes talons et fuis la scène sans prévenir. « Rentrer où ? Dans ta pauvre roulotte ? » Je suis aussi remontée que toi, crois-moi. Notre duo a toujours été explosif, j’crois que tu t’en souviens, c’est d’ailleurs ce qui a causé notre perte. Malgré ces souvenirs épouvantables, il y a l’attachement qui persiste. T’es le père de notre fille, je t’aimerais toujours et je serais toujours capable de te suivre jusqu’au bout du monde, c’est tellement pathétique. « Tu ressembles à un monstre, hors de question que tu vois Astrid avec cette sale gueule » Précipitée vers la sortie, je me débats faiblement pour récupérer mon autonomie, mais ta force me dépasse. J’galope maladroitement dans ma tenue d’Ève. La foule se scinde en deux sur notre chemin. Bye bye le job. Je suis affichée, incapable de me défendre et de te tenir tête. Femme soumise, non fière de l’être, je parviens à me détacher une fois à l’extérieur. « Redescends sur Terre, t’es pas mon père, tu devrais le rejoindre d’ailleurs » Tu sais, dans cet hôpital psychiatrique que je peine à financer. J’l’ai délaissé, la culpabilité s’ajoute. Je tremble sous l’froid, si peu vêtue, mais fière du physique que j’conserve. Bras croisés sur ma poitrine généreuse, je lève mes yeux au ciel et pleure intérieurement. « J’récupère mes affaires » Profitant du bordel, j’me faufile en coulisse et me couvre en vitesse avant de retomber sur ce maudit trottoir « Bon, c’est quoi ton plan maintenant que t’as encore ruiné ma vie ? »


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tu n'as qu'un seul objectif, repartir d'ici avec elle. hors de question d'la laisser ici. t'es incapable de mesurer ta colère. à chaque fois, c'est toujours le même schéma. tu pètes un câble et rien ne semble pouvoir t'arrêter. il semblerait même parfois que cette violence t'aides à aller mieux. le seul moyen d'extérioriser toute la colère en toi. frapper, ta meilleure thérapie. la pire pour les gens qui t'entourent. t'es qu'un égoïste dans ces moments là. et pas que d'ailleurs. tu saisis fermement son poignet, peut-être un peu trop fort. et rien qu'à ses mots, tu rougis de colère un peu plus — FERME LA ! que tu hurles sans la regarder et tu commences à la trainer de force. ses mots résonnent, et toi tu te contentes juste de regarder devant toi, crachant parfois quelques mollards de sang au sol. putain, les fils de chiens, ils t'ont pas loupés. et bizarrement personne n'appellent les flics, ils semblent essayer de se remettre de tout ça en se servant des verres. t'es silencieux. t'as juste pas envie de lui parler devant eux. tu la traines à l'extérieur, puis relâches un peu la pression de tes doigts autour de son poignet. elle réussit à se détacher de ton emprise et toi tu te mets à limite à vomir, tellement le gout du sang est atroce. ça t'fous un mal à l'estomac de fou à chaque fois. et pendant que la sang découle sur le goudron alors que t'es plié en deux, mains sur les genoux, tu fronces les sourcils à l'entendre. qu'elle se la ferme. qu'elle arrête de te comparer à son père, qu'elle arrête de parler d'astrid là, c'est pas l'moment — putain. casse les couilles. tu m'fais chier avec tes conneries. qu'tu lâches en te redressant portant une main à ta tempe. clairement, t'en doutes pas une seule seconde. t'as l'air d'un monstre c'est certain. et  tu la vois rentrer à moitié à poils pour récupérer ses affaires. quelques secondes plus tard, elle revient alors que t'es avachi contre ta voiture — monte ! que tu lui ordonnes  en faisant un signe de tête vers le siège passager de ta caisse. tu t'approches d'elle, saisit son bras pour qu'elle se relève — elle est où la gosse là ? tu m'fais des reproches mais toi tu la laisses à j'sais pas qui pour faire ta p*te ? regard terrifiant, les yeux prêt à sortir de leurs orbites. les mots sont durs, mais est ce que c'est vraiment étonnant vous concernant ? pas tellement. pas du tout même.
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J’t’ai pas demandé ton aide. Mon spectacle était consenti, personne ne m’a traîné sur cette scène. Travailler ici ne m’offre aucune satisfaction. Cela fait partie des sacrifices pour offrir une meilleure vie à notre fille. Il est cool ton van, mais c’est pas vraiment ce que je veux pour Astrid. J’aimerais lui offrir une petite maison, une chambre débordant de jouets et une bonne école où elle s’épanouira. C’est pour toutes ces raisons que je fais bander ces pauvres types. Mais comme à ton habitude, t’es venu tout démolir avec tes poings. J’vais pas te laisser t’en tirer aussi facilement. Écoute-moi jacasser, craque. Tes mots font l’effet d’une douce caresse. Plus rien ne m’atteint. T’as tout détruit. J’aspirais à mieux que tout ça, vraiment. Détour par les loges et j’reviens avec plus de tissus sur l’dos. Encore balancée comme une vulgaire poupée, j’éclate de rire sous ta vulgarité légendaire. « Elle est en sécurité. Mon amie est infirmière, elle gère » Je glousse de plus belle, grimpant dans ta caisse rouillée qui sent la vieille chaussette. J’suis pas d’humeur pour répliquer aussi agressivement que toi. Ce qui est sûr, c’est que je fais tout mon possible pour sauver mon cul, toi, tu sembles couler encore et encore. Qu’est-ce que tu trafiques pour payer ton essence hein ? « Alors, t’as trouvé une catin pour garder Astrid lorsque tu composes ta daube ? » L’écart entre le coeur et la tête prend le dessus. T’entendre chanter m’avait toujours électrisé, mais faut croire que notre séparation m’a rendu aigre et incapable de te complimenter sur quoique ce soit. Ce ne sont que ressentiments qui s’expriment. Une colère masquant un vieux désir. « T’as intérêt de me prévenir si tu fais entrer une femme dans sa vie, j’veux pas qu’elle assiste à un défilé de pétasses, un enfant a besoin d’équilibre »
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@Gypsy Snyder
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et tu te demandes comment tu fais pour avoir encore une once de respect pour elle. quand elle parle de toi comme un raté à chaque fois. c'est sur qu'avec elle à tes côtés, t'iras jamais mieux. elle s'exécute, s'installant à tes côtés dans la voiture. tes doigts s'accrochent au volant tant que tu grimaces sous l'effet de la douleur des coups que t'as reçu. ça arrive souvent, mais eh, on prend vraiment pas l'habitude de se faire claquer le cerveau. fermes fermement tes paupières jusqu'à en avoir mal à la tête. d'ailleurs, t'as l'impression qu'elle va exploser. rajoutant à ça, les mots qu'elle te sort à côté. inspire, expire alec. c'est qu'un mauvais moment à passer. elle est incapable de voir le meilleur en toi. parce que quand bien même tu le montres pas, t'essayes d'aller mieux pour astrid. et plus elle parle, plus t'as du mal à contrôler ta colère. ta daube. elle a pas tord, c'est de la merde ce que tu fais. si peu que t'arrives à composer quelque chose d'ailleurs. tu te mets à taper sur le volant comme un taré, puis la regarde, doigt menaçant braqué vers elle, la forçant à se coller contre la vitre — TAIS. TOI. juste.. tu souffles quelques instants, déglutissant difficilement — ... tais toi. tu sais rien toi. alors.. ferme là bon sang. puis te repositionnes contre le siège de la voiture, poses ta tête contre l'appui tête et ferme les yeux — moi aussi j'veux le meilleur pour elle. elle sait pas elle. alors juste qu'elle se taise. t'essayes de combattre tous les jours. alors ouais, t'es peut-être faible comme mec, mais t'essayes. tu te bats pour elle. pour qu'elle soit fière de toi astrid. gypsy elle a pas vu la fierté dans tes yeux quand astrid a découvert le van. t'étais tellement heureux et tu te voyais tellement partir loin avec elle. juste vous deux. une fille et son père. tu te dis assez que t'es un raté. t'as mis tellement d'énergie et d'amour dans tout ça, pour qu'elle se dise que son père a enfin réussit à faire quelque chose pour elle. alors, pas la peine qu'elle en rajoute une couche. d'un revers de main, tu viens t'essuyer les lèvres. regard qui se porte sur le rétroviseur. tu fais peur alec. tu souffles quelques instants, essayant de calmer peu à peu tes tremblements. elle sait même pas de quoi elle parle. jamais aucune meuf n'a rencontré ta fille et ça t'es même pas passé par l'esprit — j'te ramènes chez toi. trouve toi un autre taff c'est tout. y aurait pas eut la petite je m'en fous, t'aurais pu te prostituer, je m'en serais foutu complet, mais elle est là. et je veux pas de ça pour elle. que astrid soit là ou pas, en réalité t'en a clairement pas rien à foutre. mais l'impact n'aurait pas été le même pour toi. le moteur démarres et tu te mets à rouler vers chez elle — elle la garde chez elle ou chez toi ? que tu demandes, sans tourner le regard vers elle. t'essayes juste de maitriser ta vision. encore bien trop trouble. mais ça ira. l'habitude on dira.
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Hausse la voix. Insulte-moi. Libère les démons qui te hantent. Je continuerais, esquivant les coups s’ils pleuvent. La violence qui s’empare de toi, je recule contre la portière et attend la fin de la tempête. Moi j’sais rien ? Qu’est-ce que tu sais de plus que moi au juste ? J’ai honte de ce qu’on est devenu. Si on s’arrache la gueule aujourd’hui, qu’est-ce que se sera dans quelques années, lorsque les décisions seront plus lourdes à prendre. Astrid grandira dans ce climat hostile et j’veux pas. J’veux pas qu’elle considère que l’amour rime avec disputes. Écoeurée par les stigmates de ton débordement, je retrouve le dossier du siège et fixe la route de mes billes argentées. J’sens que l’électricité s’éloigne. Tu parviens à te ressaisir, même si les tremblements persistent. La voiture qui gronde, j’tire la ceinture pour éviter de finir six pieds sous terre. C’est pas que je n’ai pas confiance, c’est que ta nervosité m’inquiète. Et puis tu balaies mes questions et le doute demeure. Savoir qu’une autre se comporte comme une mère pour Astrid, ça me répugne. Vas-y que tu trouves des excuses pour m’interdire de retourner travailler. T’es de l’ancienne génération ou persuadé que je suis encore sous ton emprise. Dans tes rêves. « Tu décides de rien Alec, elle sait pas ce que je fais, elle croit que sa mère est simplement une sorcière, laisse-la rêver, ne t’avise pas de lui raconter de la merde » Mèche de cheveux ramener derrière l’oreille, je m’accoude à la fenêtre et observe le décor défiler. « Chez elle, je ne voulais pas la réveiller en rentrant tard » C’était prévu comme ça, je veux pas la perturber en faisant irruption chez Chelsea. Bordel, t’aurais pas pu te balader dans un autre club. Tu arrives et tu détruis tout sur ton passage. T’es comme ça, t’as surgi dans ma vie et volé l’entièreté de mon coeur, aujourd’hui je lutte encore contre ces sentiments toxiques. Si toi t’as fait un trait, pour moi, c’est bien plus chaud. « Tu monteras pour que je nettoie tout ça » Me penchant vers toi, je relève ton menton et constate les dégâts. Le sang agresse mon coeur, il se serre dans ma poitrine. « C’était un peu sexy ton attitude, n’invente pas de raisons débiles, t’étais juste jaloux. Avoue. »


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@Gypsy Snyder
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et quand tout semble rouler correctement, ya toujours un truc qui vient tout remettre en question. non, c'est vrai, t'as pas supporté le regard des mecs sur elle ce soir. à chaque fois que tu poses tes yeux sur elle, c'est ta fille que tu vois. toujours. elle est mère. qui plus est, celle de la personne que tu aimes le plus au monde, astrid. ça t'fais dégoupiller de les voir s'acharner comme ça sur elle, comme des chiens en rut. ça t'dégoûtes. ça t'fais vriller et t'es pas du genre à savoir te contenir. t'en a rien à foutre de ce que pensent les autres. t'en a toujours fais qu'à ta tête, quand bien même tu ne sois pas fier de toi. non, en réalité t'as honte. tu te dégoutes, tu te détestes. t'es aussi fort que tu peux être faible alec. ta principale faiblesse, c'est astrid. mais aussi gypsy. quelque part, elle restera toujours ta principale faiblesse aussi. elle fait partie d'toi. elle est encrée dans ta peau et c'est pas rien. ya beau avoir c'qui a, elle est et restera le grand amour de ta vie. et l'grand amour est pas forcé de durer éternellement. alors tu te dis juste que tu l'as trouvé et que maintenant c'est terminé. que t'en retrouveras pas un. le seul grand amour que tu auras à vie c'est astrid. alors elle peut dire c'qu'elle veut gypsy, mais t'essayes d'être un bon père pour elle. pas l'père parfait. parce que t'es pas parfait, et tu le seras jamais. mais aussi présent que tu peux l'être. plus présent que certains pères ne le seront jamais pour leur gosse. plus présent que ton putain père ne l'a été pour toi. alors ouais, qu'elle se les gardent ses remarques à la con sorties de nul part. t'as jamais voulu porter la main sur elle mais quand elle essaye de te faire passer pour un incapable devant ta fille t'as juste envie de lui remettre les idées en place. et tu le sais que tu décides de rien, mais c'est plus fort que toi. t'essayes toujours d'avoir le dessus. surtout quand ça concerne le bien être de ta fille. sorcière qu'elle dit. tu secoues la tête, en grognant — sorcière. arrête avec tes conneries de sorcellerie, thérapie à la con ou j'sais pas quoi. t'es perchée ma pauvre fille. toi t'es bien trop terre à terre. bien trop rationnel. les trucs trop perché en dehors de la réalité, c'est pas pour toi — j'suis pas comme toi. j'lui raconte pas de la merde sur toi moi. décidemment, elle sait pas de quoi elle parle. elle te saoules tellement que t'es à deux doigts de taper un gros coup de frein et d'la laisser sur le trottoir. mais encore une fois, c'est à astrid que tu penses en premier. sa main qui vient saisir ton menton pour le redresser. tu grognes, puis te retires de son emprise en reculant ta tête de quelques millimètres — ya rien à nettoyer. elle veut pas t'faire un pansement à l'arcade aussi ? c'est bon t'as pas besoin d'une infirmière. tu remues ta mâchoire pour la faire craquer et sa remarque te fais froncer les sourcils — si seulement.. je préfèrerais que ça soit de la jalousie. c'est pas l'cas. elle est à côté d'la plaque. pourquoi tu serais jaloux ? de ces gars là ? t'as vraiment à être jaloux d'eux ? t'es jaloux d'personne. tu sais où est ta place, ya pas à en dire plus. quelques minutes plus tard, tu t'arrêtes devant son immeuble, coupes le moteur et la regardes — j'te laisses là. j'attends que tu rentres dans l'immeuble avant d'partir, on sait jamais. bras qui vient s'poser sur l'accoudoir à tes côtés, regard balayant sa silhouette, encore un peu dénudée. poitrine généreuse, bien mise en avant compressée par son décolleté. faut dire que tu lui a pas franchement laissé le temps de s'habiller entièrement — au moins, on peut dire que t'as tous les atouts pour gagner facile ta croute dans ce genre de job. et pourtant, ça n'empêche pas que tu sois toujours pas d'accord avec ça.
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L’émotive apparaît. Tes mots brûlent et laissent toujours une cicatrice. Tu ne crois pas en moi et j’crois plus en toi, tout va bien. La tristesse s’agrippe à mes tripes. Je n’ai plus de soutien, excepté ma fille qui n’sait même pas à quel point je galère. Ah et puis si, il y a Chelsea. Mais j’peux pas m’accrocher aux autres, je l’ai fait avec toi et depuis, je recolle la porcelaine de mon coeur. Tout est fragile et tes attaques brisent de nouveau l’équilibre. Ça roule, encore et encore. Le chagrin m’étouffe. Pas de larmes, surtout pas. Faible comme je suis, je cherche à te réparer et prends une nouvelle vague salée. Tu es tranchant. L’homme pour qui j’suis tombée s’est évanoui dans la nature. J’ai pas à subir tes sauts d’humeur en fait. J’sais même pas pourquoi j’fais ma douce infirmière. Toutes mes tentatives font des ricochets et coulent sous l’eau. Ma gentillesse à des limites. Arrivée devant l’immeuble, tu restes froid et sec. Pire que ça, tu reluques mon décolleté et m’attaques une nouvelle fois sur mon physique. Ton regard m’écrase le myocarde. « À défaut d’avoir un cerveau, la nature m’a gâté, faut bien que ça serve » T’as réussi. J’suis broyée. Plus rien. J’ai envie de me buter ou de courir vers la coke pour apaiser cette douleur. J’comprends pas pourquoi t’es aussi mauvais avec moi. Notre nous s’est effrité progressivement, mais j’pige pas comment nous en sommes arrivés à nous défoncer aussi violemment. Tu m’as exfiltré du club pour quoi ? Pour m’faire la misère ? J’te suis tellement pas. La peine qui remonte aux yeux, une goutte translucide chute le long de ma joue. « Je t’ai rien fait pour mériter autant de haine et de mépris. N'oublie pas que ta fille est sortie de moi » Portière poussée, je me sors de ta caisse et referme avec force. Que t’ailles au diable. Clés piochées dans le sac, je grimpe les marches et les fait tomber tant j’tremble. Les ramassant, les sanglots naissent. VDM. Je m’interdis de faire rentrer quelqu’un dans ma vie pour quelqu’un qui s’tape complet de ma gueule. C’est fini.
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