Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityvolaré, oh-oh. cantaré, oh-oh-oh-oh (g&g) - Page 2
-35%
Le deal à ne pas rater :
Pack Smartphone Samsung Galaxy A25 6,5″ 5G + Casque Bluetooth JBL
241 € 371 €
Voir le deal


volaré, oh-oh. cantaré, oh-oh-oh-oh (g&g)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’aime que l’on arrive à se comprendre et à évoluer l’un avec l’autre tous les deux. T’es un de ces rencontres qui me fait plaisir, une de ces personnes que je suis heureuse d’apprendre à connaître tous les jours un peu plus. Pourquoi ? Tout simplement parce que t’es un peu comme une petite fée qui laisse une traînée de poudre enchantée dès qu’elle passe quelque part. Peut-être qu’un jour, je te le dirai, tout ça. Le jour où tu douteras de ta place dans cette ville ou même sur cette terre. J’espère que ça n’arrivera jamais parce que je me demande bien ce que Raphaël, moi ou bien encore ta famille ferait sans toi, sans leur Gaspard adoré. La bonne épaule, l’oreille attentive, la créativité au bout des doigts. Tout ça quoi. Plus beau que toi ? Le physique ne fait pas tout. Que je lance rapidement. Je ne pourrais jamais essayer de t’utiliser comme je pourrais le faire avec ton frère parce que lui ne serait que ça, un pantin, alors que toi, t’es bien plus mon petit Gaspard. Après tout, on était pas obligé de devenir ami et j’étais encore moins obligé de revenir dans ta vie ici, ou pas de cette manière, avec mes grandes manières, mes regards chauds et mes mots tranchants. Après tout, t’es d’abord le meilleur ami de mon mari qui, quant à lui, entretient une relation monogame avec un homme. Alors, pas sûre que l’on se serait croisé de si-tôt mais quelle perte cela aurait été ! Non, vraiment, maintenant que je te connais, je ne veux pas faire comme si tu n’existais pas. Rien de sentimental là-dedans. Ou peut-être bien que si mais rien d’un penchant amoureux. Toi et moi, c’est l’amitié à emballer dans un papier de soie et d’or. Je serais tentée de dire tes parents. Que je souffle, heureuse que cette folle idée te plaise. Mais je crois que tes frères et soeurs, ce sera plus facile. Que je murmure, avant de revenir avec toi, du côté visible du rideau où tu t’affaires à me sublimer. Je me laisse faire sous tes doigts et te compte quelques contes en rapport avec ma vie, celle que j’ai laissé à Salvadore. Avec elle oui. Et avec les personnes que j’ai croisé sur la route de mon aventure de quatorze ans en tant que mini miss puis miss teen. L’Anglais est primordial dans ce genre de concours, surtout lorsque l’on vise l’international comme c’était le cas pour moi. Non, non. Elle doit encore travailler. Que je souffle rapidement, tournant le visage comme pour ne pas te laisser observer ce changement qui s’opère sur mon visage. C’est juste que je n’ai plus de nouvelles. Depuis que j’ai quitté le pays, que j’ai pris mon sac à dos et ai traversé le pays et le continent pour retrouver ma famille à Boston. Immigration illégale, je n’ai jamais voulu lui parler, lui dire que ça allait quand elle demandait de mes nouvelles au détour d’un coup de téléphone rapide à la famille. Couper le cordon avec ce passé qui pouvait m’y tirer de force. Et puis, une manière aussi pour moi de la blâmer de tout ce qui m’est arrivé. Il ne faut pas que je pense à tout cela et je me concentre donc sur la nouvelle tenue. L'engouement en chemin, tu le remarques bien vite et je t’adresse un sourire suivi d’un clin d’oeil Je te fais confiance. Et ce n’est pas parce que ça ne semble pas être aussi luxueux et raffiné que la robe que j’ai sur moi que je ne vais pas adorer. On sait tous les deux comment je fonctionne. Alors j’y repars et maintenant que je n’ai plus besoin de contrôler mon visage et la déception que je ressens toujours au sujet de mon père, je te confie ce secret que je pensais ne jamais pouvoir révéler à qui que ce soit d’autres que mes plus proches amis. Mais c’est ce que tu es, en quelque sorte. Et même si tes employés m’entendent, que diront-ils ? Que c’est la honte ? Que j’avais qu’à faire attention ? Même s’ils me jugent, ce ne sera que mentalement puisqu’ils connaissent leur place et elle n’est pas dans cette conversation. Ouai, comme tu dis. Que je soupire alors que j’enfile le veston. J’aime beaucoup sa coupe large et destructuré. C’est vraiment joli à regarder et agréable à porter. Ce n’est pas trop souple - la force est là - et loin d’être trop rigide. Je n’ai rien de robocop, amen. Ils étaient toujours ensemble. Il m’a dépouillé et il s’est barré. Je t’avoue que je n’ai jamais cherché à le contacter. Pour lui dire quoi ? Eh batard, tu m’as volé mon rêve de devenir Miss Brésil ? J’en ris, faussement joyeuse et carrément triste. Un rêve de gamine qu’il m’a mit dans la tête depuis le plus jeune âge et qu’il m’a arraché tout aussi facilement. Les insultes perlent sur ma langue mais je me retiens de dire quoi que ce soit. Y a rien à faire. Il était mon manager, il avait accès à mes comptes puisque manager et paternel… Alors, c’était visiblement aussi bien son fric que le mien. Et à vingt-quatre heures près, il n’aurait rien pu faire. Une journée et tout cet argent aurait été mien et toute cette vie que je vis n'aurait - quant à elle - jamais existé. Mais regarde, s’il avait fait ça, on ne se connaîtrait pas. Je ne connaitrais pas Raph.. Et je serais peut-être misérable. Et tombée dans un trafic de drogues, qui sait. Le Brésil est connu pour ce genre de choses et à mon âge, être Miss quoi que ce soit, c’est un peu comme penser que l’on est jeune alors qu’on est soigné dans l’aile gériatrie de l’hôpital de la ville. Alors moi j’lui dis merci à ce salop. Et à ces mots, j’ouvre à nouveau le rideau, dévoilant la tenue. J’adore la tenue. Pour une soirée au Mexique, avec mes initiales sur la tenue principale, t’en penses quoi ? C’est sur que ce n’est pas quelque chose que je porterai à Boston - il fait bien trop froid pour cela - mais il faut bien que je m’habille au Spring Break, non ? Tu vas à Cancun d’ailleurs ? J’ai pris une semaine. Je verrai si je change mes dates selon le programme qui ne devrait plus tarder.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Ô Gigi l'amoroso   
volaré, oh-oh. cantaré, oh-oh-oh-oh (g&g) volaré, oh-oh. cantaré, oh-oh-oh-oh (g&g) - Page 2 1f3a4

@Gigi Desrosiers & @Gaspard H. Wertheimer

C'est quelque chose que je valide d'un mouvement de tête. Avoir de la beauté dans le coeur, derrière une boucle trop longue pour se cacher, percevoir des lueurs d'authenticité dans ce qu'on recherche, les confondre avec le reste du monde, plus grand que ce qu'on croit, plus beau que l'image qu'on s'en était faite. Refuser la beauté qu'on impose, ou même que l'on propose, c'est se montrer libre, même si on doute de son propre éclat, respecter ceux qui veulent qu'on leur fiche la paix avec ça. La liberté c'est accepter l'autre comme il se présente, ne pas l'enfermer dans une idée que vous auriez aimé avoir de lui, physiquement ou moralement. Ne pas s'enfermer dans ce qu'on voit à l'extérieur c'est-à-dire une personne belle mais prendre en considération ce que son interlocuteur exprime, "sort" de lui, et pour cela mettre dans un coin de son cerveau son sens critique pour ne pas être séduit, donc trompé par ce qu'on nous dit. Ne pas faire les choses pour les beaux yeux de quelqu'un comme on dit « Beaucoup plus facile. Pour déjeuner chez mes parents, il faut quelques heures de vol. » Un changement de continent, léger détail aussi « Tu sais quoi? L'idée est euphorisante! Prépare toi à être mon invitée au prochain repas dans la fratrie Wertheimer.  » On avisera en temps voulu comment te présenter. Une conquête de la nuit passée dont je n'ai pas pu me détacher au petit matin? Un plan machiavélique qui me rend enjoué d'avance. Mes mains qui se démènent sur la robe pour qu'elle tombe correctement, j'ai envie d'en savoir plus sur celle que je vais admirer dix fois plus dans quelques minutes. « C'est génial. » De partager un apprentissage avec ta mère, de lui être rentable pour sa pédagogie « Et tu ne veux pas en prendre? » Les kilomètres n'obligent pas que le cordon soit entièrement coupé. Je vis depuis des années éloigné de mes parents. Ô qu'elle est cruelle la distance. Elle te bouffe et te consume peu à peu, elle t'offre puis t'arraches tes espoirs. Ne pas pouvoir la combattre provoque une frustration grandissante d'une telle ampleur que la douleur elle même ne suffirait pas à retranscrire ce que le martyr supporte. Synonyme de l'opprobre constant, elle tiraille et sépare les peuples, et torture même parfois l'archerot dont les flèches hasardeuses se perdaient sous l'oppression de celle-ci. Elle nous cause du tord, accompagne  nos sentiments par des doutes et des tourments. Néanmoins elle n'est pas invincible. Lorsqu'on la bat enfin, nos cœurs se lâchent, s'emballent. On rit, on pleure, on crie, on sourit, on aime avec passion. Alors cette distance devient notre allié; séparer pour mieux retrouver. Un principe qui fonctionne aussi dans les essayages, quand pour la seconde fois, tu entres dans cette cabine pendant que je veille à ce que tout soit rangé au fur et à mesure. Apprêter pour entendre la funeste histoire entre ton géniteur et toi. « Par exemple oué. » Un rire qui s'évade alors que mes jambes décident de se croiser. Installé comme un roi « Oui il a été intelligent. Il a au moins cette qualité pour contre balancer le fait d'être un enfoiré. » Je ne vais même pas m'excuser pour ma vulgarité, parce que c'est pensé. Tu n'es pas l'unique à être victime d'un paternel affamé par l'argent mais tu es une amie, ce qui rend mon jugement beaucoup plus virulent. Mon oreille est toujours tendue alors qu'arrive enfin mon employé avec tout ce que j'ai demandé au lancement de notre moment. « Tu n'as vraiment aucune adresse? Parce que là, tout d'un coup, j'ai envie de lui envoyer des fleurs en remerciement. »  Car si c’est grâce à lui que j’ai le bonheur de t’avoir dans ma vie, il mérite au moins un merci prononcé avec un majeur bien dressé. « La vie avait une toute autre trajectoire pour toi. Ca fait juste chier que t’aies dû endurer ça pour arriver sur la bonne route. » Mon corps qui sort de ce siège si confortable pour attraper une coupe dans laquelle je coule la boisson alcoolisée. Les petits fours sont appétissants et même si mon éducation m’interdit de me servir avant l’invitée, je le fais. Impossible de résister à la tentation de celui au saumon. C’est la bouche encore occupée que je rétorque « Tu veux faire broder cette veste? » Content de constater que l’habit te plait, je rectifie néanmoins rapidement « Enfin,… Tu veux que je te brode tes initiales dessus? » J’en serai plus que ravi et honoré. Surtout si j’ai l’assurance que tu vas te pavaner sur les plages Mexicaine en me faisant campagne. Même si ton corps de déesse gagnerait à être déshabillé. « Chez les W, tout le monde y va sauf Elias et moi. Mais je risque de faire une apparition pour profiter de l’ambiance deux ou trois jours… Voir une amie aussi. » L’intonation informe que je rogne un peu la véritable nature de cette relation. Je suis persuadé que ton instinct féminin va se mettre en fonction alors je vais noyer le poisson « Ta coupe est servie ma jolie. » Et la tenue est enfilée?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’ai toujours vécu dans un monde où toutes les femmes étaient mises l’une face à l’autre, où la beauté de l’une était forcément mise à mal face à celle de sa voiture. Nous n’étions pas assez belles, jamais assez belles. Nous avions toujours quelque chose de disgracieux, un kilo en trop, un sourire qui montrait trop de dents. Jamais assez bien et c’est un client difficile dans lequel il faut réussir à grandir, à se faire une place et où il ne faut surtout pas les laisser nous détruire. Une femme abattue, attaquée sur son physique et toujours comparée à la voisine est une femme beaucoup plus maléable. J’aurais pu tomber là dedans, dans ces cercles vicieux mais ma mère m’a toujours gardé la tête hors de l’eau. Alors, maintenant, lorsque l’on parle de beauté physique, je n’arrive pas à juger. C’est celle du cœur que je vois avant tout. Ou que je souhaite voir parce que ce n’est pas tous les jours faciles. Et même si Gaspard est un bel homme - physiquement parlant - il le serait tellement moins si son cœur n’était pas celui qu’il est. Et c’est son cœur que j’aime par-dessus tout. Un sourire franc sur le visage, je lui tends la main et dis Deal. Faisons cela. Tu me diras qui tu veux que je sois, histoire de divertir la gallerie. Et pour mettre mes talents de comédienne à bon escient aussi. Je sens que tout cela pourra être vraiment drôle. Et je n’ai pas peur de l’avion, si jamais. Je lui adresse un clin d’oeil avant de retourner vaquer à mes occupations - à savoir jouer à la mannequin - tout en racontant ma vie. C’est… Compliqué. Que je souffle doucement, lançant une mine triste au miroir devant moi. Il ne verra que le reflet de cette tristesse, de cette douleur que je ressens à ne plus avoir de nouvelles de ma mère. Mais si je commence à parler, je risque de m’attirer des problèmes et puis, il y a bien trop d’oreilles ici. Si mes meilleurs amis ne sont pas au courant de mes plus graves secrets, il est hors de question que Gaspard soit mis dans la confidence. Sans compter que Raphaël pourrait m’en vouloir et c’est bien la dernière chose que je souhaite. Je ne peux pas le perdre lui non plus. Et je ne parle pas que sur le point financier ou sur l’aide quotidienne qu’il m’apporte en étant mon mari mais bien en tant que personne dans ma vie. On ne se voit peut-être pas toutes les semaines, on ne s’écrit pas tous les jours mais il compte pour moi, réellement. C’est mon sauveur, soit, mais c’est bien plus que cela. Raphaël, il est plus qu’un portefeuille sur pattes, qu’une carte verte et j’espère qu’il a bien compris que je le considérais comme plus que ça. Je n’ai jamais eu de réel modèle masculin dans ma vie, d’homme fort et indépendant qui ne se sert pas des autres pour avancer. Un père comme Raphaël, j’aurais rêvé en avoir un. Manque de bol, je suis tombée sur un vampire manipulateur. On peut pas lui enlever ça. Que je lance. L’intelligence et le machiavélisme de son plan. Ne rien laisser percevoir jusqu’à 24h avant mon dix-huitième anniversaire. Ce jour-là, je devenais riche et maîtresse de ma fortune. Mais elle n’existait officiellement plus. J’en ai encore une certaine rage et haine rien qu’à y penser. Douze ans… Comme quoi, le temps ne fait pas tout. Non, rien. Et je n’en veux pas. J’espère juste qu’il ne se sert pas de mon nom et de mon passé de mini Miss pour se faire de l’argent ou escroquer des demoiselles qui rêvent de gagner des concours. L’arnaqueur de Tinder version Mini Miss. La comparaison me fait peur mais elle est bien là. Et ça commence à me paniquer, à l'intérieur de la cabine. Je prends quelques secondes pour me calmer et réponds C’est sur mais bon… Ce sont ces épreuves qui me font être la femme que je suis aujourd’hui. Indépendante - enfin presque - forte et posée. Il y a douze ans, j’étais dépendante, droguée aux concours de beauté, surexcitée à l’idée du prochain concours, de la prochaine écharpe à gagner. Ma vie n’avait pas trop de sens si ce n’est celui de gagner. Aujourd’hui, c’est différent et si j’aurais préféré ne pas vivre cela, sans immigration illégale, sans cet homme rencontré au Nirvana, je ne serai pas là, vêtue de l’une des plus belle création de la marque de mon ami. Face à toi, mon idée soufflée, j’attends ton retour et t’écoute. Je sais pas mais… Tu trouves pas que ça ferait méga classe d’avoir mes initiales mélangées avec les lettres de CHANEL ? Ou bien sur la couture du short ? Si au niveau du coeur, on pouvait lire “desrosiers” ? Rêveuse, j’ai toujours voulu une tenue avec mon nom dessus et si celle-ci peut-être une pièce de Gaspard, c’est un grand plus. Dans ton écriture manuscrite. Ce serait un travail de qualité… Aucun doute là-dessus. Il est tellement parfait et je fais passer mon index sur la partie où mon nom pourrait être brodé. Les idées ne s’arrêtent jamais avec moi. Et j’en ai déjà des tas. Mais avant de continuer là dessus, ta réponse à ma question m’intrigue carrément. Comment elle s’appelle ? Parce qu’on ne va pas jusqu’au Mexique pour voir une amie, je n’y crois pas une seule seconde. Garde moi une journée randonnée. Il n’a pas le choix, je compte bien m’imposer et profiter de lui une journée. Je me vois déjà à crâmer sous le soleil mexicain, à lui grimper sur le dos parce que je suis incapable d’avancer. Merci mon cher. J’attrape la coupe et bois une gorgée. Un petit four en bouche, je me laisse tomber sur une chaise et le regarde dans le blanc des yeux. Crois pas que tu vas t’en sortir si facilement. Ça ne marche pas avec moi. Et je n’oublie jamais rien. Tu lui dis juste que le prochain dîner Wertheimer, elle n’est pas conviée. Parce que c’est moi qui y irait. Ainsi soit-il.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Ô Gigi l'amoroso   
volaré, oh-oh. cantaré, oh-oh-oh-oh (g&g) volaré, oh-oh. cantaré, oh-oh-oh-oh (g&g) - Page 2 1f3a4

@Gigi Desrosiers & @Gaspard H. Wertheimer

Même si nous ne sommes pas à la veille de ce repas, je ne peux retenir mon cerveau de déjà s'y préparer, de réfléchir au rôle que je veux te voir interpréter. Machinalement, ce qui danse là haut s'échappe avec les doigts qui claquent pour appuyer l'idée, comme un génie qui s'illumine « Ho oué je sais! J'te veux en dominatrice. Je ne ferai rien sans ton autorisation, je te demanderai la permission pour parler, pour prendre un truc à boire, pour commencer à manger... »  et voir ma fratrie se décomposer devant quelqu'un qui me canalise mais dans la toxicité « En maitresse au delà du sexe. » Connaissant ceux qui composent mon arbre généalogique, c'est obligatoire qu'une langue se délie pour te demander à quoi tu joues. Si ça tourne dans quelque chose de trop virulent, comme le bon dominé, je prendrai ta défense. J'imagine bien nos deux corps se lever de table, dans un élan dramatique annoncer que l'on quitte l'assemblée. Tu saisies l'idée? « Et je te trouverai un autre rôle pour mes parents. » pourquoi pas même recevoir l'aide de mon clan qui sera déjà piégé? Imagine, faire croire que tu es notre petite amie. Un pour chaque jour de la semaine et le septième pour te reposer parce que nous sommes des enfants terribles. Suffit de voir ce qui sort de mon esprit. Je ne suis jamais le dernier quand il s'agit de rigoler, de duper sans réelle méchanceté. Tout comme je ne suis pas le dernier pour remarquer quand un sujet s'apparente à une pente trop glissante. L'intonation de la voix suffit pour que rapidement je recommande « Ha. On en parlera dans un moment plus approprié. » Ou pas du tout, tu vas le deviner. Il y a des secrets qui sont faits pour le rester. Je ne vais pas t'en vouloir si tu ne me délivres pas la totalité de ta vie dans toutes ses profondeurs. Ca viendra ou ça ne viendra pas, seul le temps nous le dira. Puis je sais me contenter de tes récits sur ce paternel qui ne mérite même pas cette appellation tant ce qu'il a fait est honteux. Ce qui me rassure et me plait dans tout ça, c'est que tu as su te construire, comme il le faut. T'es la fille d'un salop mais aussi d'une maman qui semble extra, t'as su choisir de quel coté te nourrir pour alimenter le toi qui grandissait. « T'as raison. Qu'il reste où il est et les vaches seront bien gardées. » Quand la France refait surface, comme une vague qui surgit. Je ris tout en mâchouillant mon petit four que je viens un peu fondre d'une gorgée de champagne et je demande certification sur ton idée balancée. Tu développes en caressant l'endroit visé, celui que je fixe un instant pour visualiser le rendu final. Je fais cette mimique de bas de visage qui indique que c'est carrément quelque chose qui me ravi. « Un "Desrosiers" écrit à la main, au niveau du coeur. Ecrit dans une manière qui laisse à penser que c'est avec une plume que je l'ai brodé. » La main qui mime le geste du tracé. Je me stoppe d'un coup pour t'informer que « Requête validée. Je te ferai ça avant ton départ pour le Mexique. » Presque certain que la bonne nouvelle va dériver du sujet de cette amie dont je viens de brièvement parler. Sur le point de porter le verre à mes lèvres étirées, tu m'arrêtes par la question que je ne pensai plus voir arriver et je ferme mes paupières pour exprimer ce "fait chier". Dernière option : te rappeler que l'alcool est servi. « Randonnée? Tu me surprend. » Je t'imagine plutôt en totale farniente. Mon regard sur toi, tes mouvements qui t'amène sur le siège à coté du mien. Ta manière de me fixer n'indique rien qui vaille. J'aurai du parier que de la ténacité, tu es dotée. La tête qui va en arrière deux secondes, elle se replace pour souffler qu' « Elle s'appelle Skylar. » Raph ne t'a donc pas confié mes exploits? Tu parviens à me faire rigoler mais moi non plus je n'oublie pas, que de questions tu vas me bombarder si je ne parle pas dans l'immédiat « Elle est mariée si tu veux tout savoir. Alors ne va pas t'imaginer quoi que ce soit. » Lèvres pincées, il faut que je lâche le croustillant de cette odyssée « Mais on a déjà couché ensemble dans le passé... L'été 2020. » Pas si éloigné que ça tu me diras. Que le bal de la curiosité soit ouvert!
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Avec Gaspard, nous sommes toujours dans la folie, dans l’excès et quand j’entends son idée, j’en ai des papillons dans le ventre. Mes yeux sur lui, je souffle On pourra pousser le rôle aux accessoires ? Que je souffle, ayant déjà la tenue parfaite en tête pour moi mais aussi pour lui. Ma jupe en simili-cuir sera parfaite avec un joli haut et des sous-vêtements maniant dentelle invisible et lanières de cuir visibles. Ouuuh, j’ai hâte ! Pour toi juste un collier avec un petit cadenas, ne t’inquiète pas. Parce que je ne sais pas jusqu'à où mon ami serait prêt à aller. Plutôt loin, je n’en doute pas, mais je ne voudrais pas non plus qu’il perturbe sa famille et qu’ils le renient à cause de nos petites folies. En tout cas, j’ai presque envie qu’ils prennent rendez-vous avec les Wertheimer maintenant. On peut voir loin, je ne compte aller nul part et je ne pense pas que Gaspard compte quitter la ville de sitôt non plus alors… Mon Dieu que j’ai hâte ! Un peu plus soft pour papa et maman, c’est mieux oui. Parce que je ne voudrais pas qu’ils passent l’arme à gauche à cause de nos folies. En tout cas, l’un comme l’autre, ça sera fortement intéressant, aucun doute là dessus. Mais avant tout cela, je me lance dans un essayage de tenues choisies par le jeune français. Je l’écoute, toujours encline à recevoir de bons compliments et conseils. Et quand on aborde des sujets épineux, de ceux auxquels je ne veux pas penser, je coupe court à la conversation. Je n’ai pas envie de m’étaler ni même que toute la boutique connaisse mes histoires personnelles. Celles qui sont belles, aucun problème, mais celles qui s’apparentent à une douleur et une tristesse énorme, je ne veux pas les partager. À ce moment précis, je ne sais même pas si le sujet reviendra sur le tapis. Je ne peux pas vraiment révéler le fait que je suis arrivée aux États-Unis de manière illégale et que si je ne prends plus de nouvelles de ma mère c’est parce que j’ai peur qu’on me trace. Maintenant, j’ai une carte verte mais la crainte de me retrouver dans un avion aller simple vers le Brésil me terrifie. Alors ce petit secret - que mon mari connaît - va rester ce qu’il est. Autant parler de mon père et de la haine que je lui porte. Je sais que je devrais être indifférente mais ça ne fonctionne pas comme cela, malheureusement. J’acquiesce à ses mots. Qu’il reste où il est. Qu’il profite de mon argent, qu’il continue sa vie loin de moi et de ma mère, c’est tout ce que je souhaite. Et je décide de le laisser loin d’ici, me concentrant sur ce qu’il se passe ici, avec Gaspard. La requête est validée et mon visage s’illumine en guise de réponse. Je souris largement et sautille avant de le prendre dans mes bras. Merciiii. Que je souffle d’une voix aigüe avant d’écraser mes lèvres sur sa joue. Un baiser rapide parce que je m’écarte de lui et retrouve rapidement ma contenance. Rapide, efficace, c’est notre duo depuis des années. Les choses vont vite et nos conversations sautent du coq à l’âne mais c’est tout nous. Ce sont mes premières réelles vacances, je veux profiter. Que je dis rapidement. Je veux visiter, voir le paysage, me ressourcer et je refuse de payer avion et hôtel pour ne pas le quitter. Ce serait de l’argent foutu en l’air. Si c’est ce que je veux faire, je pourrais repartir sur Los Angeles pour quelques jours ou même vers Miami. Quoi que, en Floride, j’aimerais visiter un peu. C’est une autre Gigi qui va s’épanouir au Mexique et chaque minute de ce voyage sera une nouvelle expérience pour moi. Mais avant cela, il y a un sujet dont nous devons discuter. Mon champagne en mains, je me laisse tomber sur le fauteuil, les jambes croisés et le pied qui bat le vent, attentive à chacun des mots qui sortent de la bouche de mon ami. Connais pas. Skylar. Jamais entendu de ma vie. Pendue aux lèvres du français, je me redresse quand les informations deviennent de plus en plus croustillantes. Merveilleux ! La joie se fait entendre dans ma voix, impossible de la cacher. Elle était déjà mariée à l’époque ? C’était qu’un coup d’un soir ? Enfin, non, la question est idiote, tu as dis que c’était une amie. Je souffle avec un sourire sur le visage, portant la coupe de bulles à mes lèvres. Tu sais, qu’elle soit mariée ne veut rien dire. Regardes Raph et moi. J’en hausse les épaules. En tout cas, ce n’est pas moi qui vais le juger et j’espère qu’il le sait. T’as hâte de la retrouver ? Et là, je lève les yeux vers les employés et les congédie d’un coup de mains. Il ne voudra jamais se confier avec ces oreilles et moi… Je rêve de tout savoir. Curieuse comme tout, ça finira par me jouer des tours.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Ô Gigi l'amoroso   
volaré, oh-oh. cantaré, oh-oh-oh-oh (g&g) volaré, oh-oh. cantaré, oh-oh-oh-oh (g&g) - Page 2 1f3a4

@Gigi Desrosiers & @Gaspard H. Wertheimer

Ce qui est dangereux dans le fait de côtoyer des personnes aux physiques irrésistibles, c'est qu'on se retrouve rapidement à dire oui à tout. Oué, j'ai aussi ma part de folie qui plonge tête première dans une situation où l'on peut s'amuser. « Juste un collier? Pourquoi, c'est quoi le cran au dessus?» Certainement la laisse qui s'y accroche? Je ne suis pas spécialiste dans ce type de pratique mais j'ai déjà eu des petits essais, comme on dit, faut bien tout tester. Pour ne pas mourir con ou ne pas prétendre qu'on aime pas quelque chose que l'on a pas gouté. « Oué s'te plait, je ne veux pas hériter tout de suite! » Balancé dans un rire léger. L'avantage de pouvoir rire de tout! Comme cette facilité de jongler entre sujet amusant, sujet sensible et sujet important. Je ne vais pas insister quand je ressens que ça devient délicat, quand je devine ton envie d'esquiver. Après tout, c'est à toi qu'appartient le choix, je ne fais que le respecter. Il faut donc bondir sur quelque chose de plus joyeux, les vacances c'est une bonne idée. Répondre à ton "caprice" aussi, surtout avec comme gain, ce baiser furtivement écrasé. Assez appuyé pour provoquer un sourire et me redonner un regain de positivité. J'ai même l'audace d'user de la fourberie, mais je ne suis pas tombé sur quelqu'un de facile à berner. Tes yeux hypnotiques qui sont entrain de me fixer prouvent que tu ne vas jamais lâcher. La première fois que je me suis noyé dans ton regard j'y ai vu une noirceur adorable. Attirante et pas méconnue. C'était déconcertant et je pensai à de la diablerie. Une partie de mon être s'aventure néanmoins avec une idée en tête, connaitre ton avis. Voir si tu t'accordes comme ton mari ou si au contraire, tu seras à l'opposé de lui « Mhm elle était séparée. Mais peu de temps après elle s'est remise avec lui.  » Je ne serai pas vexée si tu plaisantes sur la possibilité que ce soit dû à ma performance sexuel. Je suis le premier à l'avoir fait « Oué vous êtes un peu un mystère à mes yeux. Mais, je trouve votre mariage encore plus beau que tout les autres. » Et si c'est comme ça que vous êtes heureux, pourquoi ne pas s'en réjouir? A ta dernière question je prend le temps de réfléchir. Je n'ai pas envie de mentir, ni de donner une réponse précipitée. Sans préciser que je suis pudique. Inutile de l'exprimer, tu me connais et tu t'empresses de remédier à ce souci. Je suis toujours en admiration sur l'obéissance que tu arrives à tirer de mes employés. « Oui j'ai hâte. La dernière fois qu'on s'est vu, ça ne s'est pas très bien passé. » Une gorgée de champagne pour m'encourager à avouer mon erreur « On s'est croisé par hasard, elle n'est pas de Boston. Et elle m'en voulait, elle était très en colère contre moi et moi... j'comprenais pas pourquoi. » je ne suis qu'un homme après tout « Et bref, j'ai su que c'était parce que je n'avais pas prit de ses nouvelles quand elle a perdu son bébé. Et même là, je trouvai que c'était un peu démesuré... mais en parlant de ça a Raph, j'ai capté qu'au niveau des dates... » L'aveu à moitié formulé, t'es pas bête tu vas rapidement saisir la finalité. Et je vais réessayer de noyer le poisson en apportant une note « Mais j'suis sur de rien. J'ai pas encore parlé de ça avec. Je me monte peut-être la tête.  » ou peut-être pas. Ce que je retiens de tout ça, c'est qu'il ne faut jamais oublier de se protéger. Et je te fais un sourire très exagéré comme pour adoucir la fessée verbale qui pourrait venir.
  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu pourrais avoir un corset avec des lanières de cuir et une laisse, dans le dos. Marcher à quatre pattes… Et je peux continuer, poussant les vices et la domination encore plus loin. Même si tout cela relève du jeu, de la folie et d’un délire entre nous, je refuse de griller mon image auprès de ta famille. Ce n’est pas que l’un d’eux m’intéresse mais je sais aussi qu’ils ont un nom, qu’ils sont des personnes dont je pourrais avoir besoin à un moment ou à un autre de ma vie et si je veux marquer leur esprit, ce n’est pas de cette manière que je compte le faire. Les réseaux sont importants et si je pouvais éviter d’avoir tous les Wertheimer contre moi, ce serait sympathique. Promis, je me comporterai bien. Si notre délire peut avoir un peu de liberté devant sa fratrie, tout sera différent devant ses parents. J’en ris d’avance et ai hâte que tout cela se réalise mais pour le moment, il y a l’essayage et cette drôle de discussion vers laquelle on se dirige. Je ne sais pas trop quoi en penser et ne souhaite pas juger les faits et gestes de Gaspard. Je ne suis personne pour le faire et ses décisions ne regardent que lui. Les yeux plantés dans ceux de mon ami, je l’écoute me dire qu’elle était séparée mais s’est remise avec son mec peu après. Elle ravale donc son vomis… Et là dessus, je crois donc qu’il ne perd rien. Chacun fait ce qu’il veut, je ne dis pas, mais s’il y a bien une chose que je ne comprends pas c'est bien le fait de retourner vers quelqu’un que l’on a quitté. Le timing peut être mauvais, je ne dis pas mais ne sommes nous pas censés vouloir nous battre quand on aime la personne ? Je n’y connais pas grand chose en amour mais je me dis que si ça finit, il y a une raison et cette raison, elle ne va pas disparaître du jour au lendemain. On est parfait mais la question n’est pas là. Que je balance avec un sourire, comme pour éviter la comparaison. Si notre mariage marche si bien avec Raphaël c’est peut-être parce qu’il n’y a pas l’amour qu’il y a dans chaque relation digne de ce nom. Sans cela, sans ces sentiments, aucun risque de se détruire, n’est-ce pas ? Et si le devoir conjugal de mon mari me manque un peu, je me satisfais de ceux qui sont là pour échanger avec moi. Je sens bien que Gaspard a besoin de parler, de vider sa tête et c’est pour cela que je prends un peu les rênes de cette discussion. J’ai les commandes et les employés retournent à leurs occupations pour nous laisser de l’espace. Aucun n’osera tendre l’oreille pour écouter ce que nous disons et je m’occupe de scruter les occupations de chacun pendant qu’il m’explique ses retrouvailles avec la jeune femme. Tumultueuses. La réaction de cette dernière fut démesurée. J’en fronce les sourcils, perplexe par tout ce qu’il me dit, m’énonce et me raconte. Tu aimes les nanas excessives. Que je lance sur le ton de la rigolade avant que tout fasse tilte dans mon esprit. Et mon large sourire disparaît complètement. Non mais c’est une blague ? Attends, attends, attends… Je lance ces mots, la main en l’air et me lève du fauteuil sur lequel j’étais jusqu’à ce moment précis. Je frappe dans mes mains et obtiens l’attention du personnel en quelques secondes. ​​C’est l’heure de la pause, tout le monde dehors. Moi aussi, je suis excessive quand je m’y mets. Les employés lancent un regard à Gaspard et je dis Allez plus vite, bougez de là ! Il ne vous virera pas, je vous en fais la promesse. Et je tends le visage vers Gaspard, lui faisant signe de corroborer mes dires. Lorsqu’il n’y a plus personne dans la pièce, je ferme la porte à clé, tourne le panneau qui dit que la boutique est fermée et tourne sur mes talons pour faire face à mon ami. T’es en train de me dire que t’aurais pu être papa là ? Je suis loin de lui mais lorsque je me dirige vers lui, mon pas est décidé et mes talons résonnent sur le sol de la boutique. Je ne sais même pas par où commencer ! Le ton monte légèrement dans ma voix et je suis en colère contre lui, je ne peux pas le nier. D’où tu couches sans te protéger déjà ? Si elle te saute toi, qui dit qu’elle ne le fait pas avec d’autres ?! C’est son choix, je ne juge pas, mais la protection est bien la base, bon sang ! L’index dans sa direction, la gentille Gigi fait place à une Gigi inquiète et excédée par le manque d’intelligence de cet échange de flux corporel qu’ils ont eu. Ça n’a pas d’importance qu’il aurait pu être le tien ou pas parce qu’il n’est pas là. Et on va s’arrêter là-dessus sur la culpabilité, sur les suppositions et tout ce qui va avec. Les sourcils toujours froncés, je me laisse tomber dans le fauteuil et masse mon front et entre les yeux pour détendre ma peau. Si elle ne t’a pas dit qu’elle avait fait une fausse couche, comment t’aurais pu le savoir ? T’es pas devin, tu vis pas avec. Parce que je le vois bien, qu’il se flagelle.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Ô Gigi l'amoroso
volaré, oh-oh. cantaré, oh-oh-oh-oh (g&g) volaré, oh-oh. cantaré, oh-oh-oh-oh (g&g) - Page 2 1f3a4

@Gigi Desrosiers & @Gaspard H. Wertheimer

L'esprit créatif en fonction, j'ai l'image de ce que tu énonces dans la tête, tout est entrain de se former. Ma fratrie me voit souvent dans des tenues qu'ils jugent abusives, mais je crois que le cran au dessus serait vraiment de trop. Je ris alors, avant de me décider Nan le collier et le cadenas c'est bien en vrai. Le visage qui se secoue de haut en bas, je me plais à penser que nous deux dans une soirée costumée ce serait une frénésie à laquelle ce monde n'est pas préparé. Ce que j'apprécie c'est que, comme moi, tu peux faire preuve d'exubérance mais dans un cas contraire, tu peux te glisser dans la peau d'une fille de haute naissance. Certainement tes années comme miss qui permettent d'acquérir une telle prestance. Je perd de la mienne quand il s'agit de faire part d'une expérience de ma vie qui, s'apparente aussi à une grosse erreur. Ce que je crains, c'est que tout comme ton mari, tu ne prennes pas de gants pour me dire les vérités. La preuve en est sur ton premier bilan face à la situation. Le pire, c'est que je ne peux pas contre dire ou nier, elle ravale son vomis, c'est un fait. Ma rigidité se plie un peu avec un rire que je laisse sortir, un peu exagéré, quand j'entends ta façon de vous définir, Raph & toi. Je ne le fais que par taquinerie, car c'est évident que mon meilleur ami l'est et qu'il ne s'entoure que de personne digne de sa perfection. Enfin,... Je vais sous entendre que je peux être imparfait, avouant à demi-mot la bêtise dont je suis l'initié. Le contraire m'ennuie. Des nanas trop rangées, que le fun ne vient même pas habiter. Parlant d'excessive, tu débutes une démonstration. Si mes sourcils sont froncés en premier temps, ils se dérident quand vient mon tour d'approuver ton ordre. Un regard sur les employés Oué écoutez là, allez vous aérer la tête... Pendant que la mienne va se faire couper. A la porte, il y a une certaine distance entre nous mais je le vois bien, ton air colérique. Tes pas appuyés comme si tu voulais en découdre. Heu oui... D'une petite voix hésitante, alors que la réponse ne peut pas être autre que celle donnée Commence par te calmer parce que tu me fais flipper, on dirait que tes yeux vont s'échapper de tes orbites... Et si je parviens encore à plaisanter, je sens que je ne vais plus en être capable quand tu seras à ma hauteur. Tu attaques par là où Raph avait lui aussi commencé, comme quoi, qui se ressemble s'assemble (mais pas trop). Ma tête se baisse quand je répond que C'est arrivé qu'un fois. Comme je disais à ton mari, dans le feu de l'action j'ai complètement zappé. Je reviens te fixer la mine dépourvue de fierté J'ai aussi omis de réfléchir à l'éventualité qu'elle en baise d'autres. Parce que c'était fou et soudain, qu'on rigolait et que la seconde d'apres on était entrain de coucher ensemble sans que quelqu'un puisse le prévoir. Moi le premier, parce que de toute façon je suis incapable de remarquer les signaux quand on me drague ou quand je plais. C'est vrai... Que je fais des "et si" d'un truc qui n'est pas d'actualité. Voilà venue l'explication de comment j'aurai dû le savoir et je sens que ça va te faire rire de pitié. Son travail c'est les réseaux sociaux. Elle est totalement transparente avec sa communauté et elle en a fait des publications ou j'sais plus quoi au moment de la perte. J'attrape la bouteille de champagne pour boire une gorgée directement au goulot avant de la placer entre mes jambes dépliées Et moi, j'ai rien capté. Sauf qu'après, j'ai répondu à des storys sur des bonnes adresses de restaurants... donc elle a pensé que j'avais et que je n'avais pas prit la peine de lui écrire. Même sans penser que j'étais le père, seulement le faire en bon ami. Oué je m'en veux et c'est dur de le cacher. Les doigts qui grattent mon cuir chevelu qui ne me démange pas, juste par tic de nervosité.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ça ne fonctionnerait pas, on finirait par perdre sa famille et je ne suis pas formée pour faire des massages cardiaques. Il faut dire que ça, ça serait le niveau au-dessus, le droit d’honneur supplémentaire à une famille qui a pourtant l’air de bien l’accepter, lui et ses excentricités. Je sais pourtant que ce qui est accepté nous sommes toujours trop peu et j’ai vraiment hâte de voir jusqu’où mon ami serait près à aller pour faire déchanter sa famille. Sourire sur le visage, la conversation oscille entre sujets agréables et d’autres bien moins. On est plutôt dans le positif avec Gaspard mais là, pour la première fois, c’est un peu plus profond. C’est perturbant mais je crois que j’en ai besoin. Pour lâcher du lest mais aussi me recentrer. Et lorsque l’on aborde des sujets qui le concernent, je suis encore plus accrochée. Ma vie, je la connais. Celle des autres, je dois l’apprendre. Ça bouge autour de nous mais aussi dans ma tête. Y a trop de trucs qui se bousculent et je me retrouve face à une partie de sa vie - et personnalité - que je ne connaissais pas le moins du monde. Il a l’air de regretter cet enfant qui n’a même pas vu le jour et ça me perturbe. C’est sûrement cela qui est traduit par l’excès de mes gestes, de mes réactions et de mes discussions avec le staff - ou même lui. Et quand nous sommes tous les deux, c’est le moment parfait pour le questionner et râler comme il faut. Nous avons toujours été réels tous les deux et ce n’est pas aujourd’hui que cela va changer. Mon mari est quand même plutôt intelligent. Que je dis rebondissant sur tes mots, heureuse de voir que celui dont je porte le nom a eu une réaction similaire à la mienne. Ce mariage n’est peut-être pas un mariage d’amour mais il n’en reste pas moins une union entre deux âmes qui se complètent plus ou moins bien. Mon visage sur mon ami, je l’écoute et tente d’analyser sans trop juger. C’est difficile mais je le fais du mieux que je peux. Alors que la tristesse a l’air de s’installer sur son visage, je me penche pour attraper la bouteille de champagne et bois une gorgée à mon tour. Je laisse planer le silence entre nous deux pendant quelques secondes et soupire fortement. Ma main qui claque contre sa cuisse, je dis Sinon, tu suis qu’une personne sur les réseaux sociaux ? La question est réelle. On ne voit pas forcément tous, les contenus étant de plus en plus importants et les storys instagram de plus en plus longues. T’avais vu ou pas ? Parce que si la réponse est oui et qu’il n’en a rien dit, c’est dommage. Mais s’il n’avait rien vu, que pouvait-il faire de plus ? À part rien, on s’entend. Si elle avait voulu que tu sois au courant, elle te l’aurait dit Gas’ alors vas pas te ronger les sangs pour ça. Que je dis rapidement. Ce n’est pas que je veux minimiser les choses mais il faut qu’il remette ses idées en place. Nouvelle gorgée de champagne avalée, je dis ​​Je vais pas t’aider à te flageller Gaspard. Le passé est le passé et tout ce qu’il te reste à faire, c’est te concentrer sur le futur. Parce qu’il n’y a que là-dessus que l’on peut avoir une quelconque importance, un quelconque impact. Si tu t’en veux autant, invites-là à manger dans un bon restaurant pour enterrer tout ça ? T’étais pas là à l’époque mais tu peux rien faire de plus alors sois là maintenant. Je ne peux malheureusement pas lui donner trop de conseils, n’ayant pas trop de compassion pour ce genre de choses et n’ayant pas la rancune facile. Genre si elle veut en parler, pas si elle veut recommencer. Parce que là, je le prendrais pour un fou, il n’y a pas à dire !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Ô Gigi l'amoroso  
volaré, oh-oh. cantaré, oh-oh-oh-oh (g&g) volaré, oh-oh. cantaré, oh-oh-oh-oh (g&g) - Page 2 1f3a4

@Gigi Desrosiers & @Gaspard H. Wertheimer

Je papillonne des cils à la réflexion ou plutôt, à l'analyse sur Raph. Je ne vais pas le nier, c'est mon meilleur ami et j'aime affirmer que je fréquente des gens intelligents. Pas spécialement toujours sain d'esprit mais ça concorde parfaitement avec le mien. Et si mon cerveau fonctionne bien, il lui arrive de faire des erreurs. Celle dont on parle n'a pas de résultat dramatique, mais ça aurait pu. Hola nan... Parfois j'aimerai, j'aurai un peu plus de facilité pour tout voir. Ho, je viens de comprendre que c'est justement là dessus que tu voulais m'emmener. Je pince mes lèvres en secouant la tête de bas en haut, lentement, te faisant comprendre que j'ai bien saisi mais tu poses cette question comme pour t'en assurer. Nan. Tu m'connais, j'aurai immédiatement envoyé un message ou même appelé. Quand quelqu'un de mon entourage vit un épisode aussi difficile, je ne suis pas du genre à fermer les yeux. J'ai conscience de faire part de maladresse dans mes essais de réconforts mais ça ne me décourage jamais. T'as pas tord... Plus facile à dire qu'un "t'as raison". C'est facile de m'accuser mais si elle souhaitait vraiment que l'on partage sa peine, elle aurait pu m'en parler directement. Etant possiblement le deuxième plus concerné, bien que je réalise que là, c'est avec son mari qu'elle à vécue cela. Ce n'est peut-être pas si mal, de me remettre à ma place. J'suis trop sensible moi. J'aime pas voir quelqu'un que j'apprécie souffrir, alors tu te doutes bien que je m'en veux automatiquement quand on m'accuse de ne pas avoir été présent. Parce que je ne suis pas comme ça et que c'est blessant. Je me suis senti nul, habité de honte. Un signe de main pour récupérer la bouteille dans laquelle je bois une gorgée avant de te la refiler en grimaçant parce que ça pique un tantinet le nez. Fidèle à moi même Mais si je recommence en me protégeant, je peux? Et d'en rigoler. Parce que c'est ce qu'il faut, en rigoler maintenant que le pire est évité. Bon! Me redressant d'un coup T'as encore un tas de tenues à essayer alors hop hop hop on se remue! Et parler de mes soucis, ce n'est pas ce que je préfère. Pourquoi rendre notre moment déplaisant alors qu'on peut finir ce champagne tout en faisant un défilé? Cependant, je reconnais que ça m'a fait du bien d'en discuter avec toi. D'avoir un autre point de vue, un autre regard sur cette histoire qui me rongeait jusqu'à là. C'est pour ça que je m'approche pour t'enlacer et te glisser dans l'oreille un Merci. d'une immense douceur.

RP TERMINE volaré, oh-oh. cantaré, oh-oh-oh-oh (g&g) - Page 2 2511619667
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)