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Hécate & Konrad
«Un sachet de cette taille, j'te le file a 25. T'a du cul j'suis généreuse. «25$ pour un sachet aussi p'tit ? P'tain ça fait mal au cul.» « C'est pas compliqué, tu paye ou tu te barre.» Hécate avait pour habitude de vendre dans un coin caché du stade, a une heure ou on ne la verrais pas, et ou ses clients seraient tranquilles. Elle pris les billets que le garçon lui passa et les planqua dans le sein gauche de son soutient gorge, et récupéra un sachet d'herbe dans le sein droit, avant de se faire un bedo. Elle l'alluma et vit une fille arriver vers elle. Hécate tira sur son joint tandis que la fille faisait les derniers pas qui la séparaient d'Hécate. «On m'a dit que ta weed était pas chère, t'en a pour moi? certes, depuis quelques temps, depuis qu'elle était chez les mathers quand on y réflechissait bien, de plus en plus de clients venaient la voir. Elle sortit un sachet, et annonça son tarif. «25$ le sachet. T'achetait pas chez Jeno avant? Ou alors c'était Konrad...» Oui, avant la fille achetait a Konrad, elle l'avait vu plus d'une fois. Au tout début, elle même en achetait a Konrad, avant de devenir elle même revendeuse. Elle pris les billet et commença repartir vers les résidences quand elle aperçu un visage connu. «Ah heu, salut Konrad!»
(Invité)
Mon trafic marchait, depuis que je suis là tout est monté en flèche, pas une seule baisse mais depuis qu'elle a osé me faire ça, ce n'est plus une droite constante mais une sinusoïdale qui varie entre plus et moins, elle me fait grave chier, elle peut pas se les trouver elle-même ses putains de clients, pourquoi elle est obligé de le faire ? Me piquer les miens. En plus de piquer mes accros, elle pique mes lieux de deals, le stade c'est juste le lieu clé pour monter les liasses, elle me casse les couilles, grave, je vois une de mes clientes, elle m'a vu mais elle ne vient pas vers moi, j'ai juste les mains dans les poches, une clope à la bouche, adosser contre ce vieux mur en pierre, non je la vois aller vers elle, Hécate, cette chienne qui à oser me faire ça, et la garce se démerde bien, dire qu'avant elle était une de mes clientes, l'élève dépasse le maitre là, non ? connerie. La voilà qui repart, elle est contente, elle a vendu son sachet et récupérer sa liasse, la voilà à quitter cet endroit pour rentrer dans les résidences et compter cette belle liasse dans son soutif, elle est contente mais je vois bien que sa gueule change quand elle me voit, radical l'effet Sheffield. Tu peux sourire aussi hein... c'est pas la mort tu sais.. elle est venu te voir, tu lui a filer le sachet, elle t'a filé son billet, souris, c'est la belle vie lui répondais-je avec un ton plu sou moins sympathique histoire de lui montrer que je n'aimais pas ce qu'elle faisait, je tirais une latte sur ma clope, je ne la quittais pas du regard.