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((zach & gigi)) - feels like drowning

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tw: détresse psychologique, crise d'angoisse, avalanche (catastrophe naturelle), limite de la noyade



feels like drowning
#rplibre #libre
~~~~
Les pensées cafouillis, myocarde à l'agonie, le sang qui s'arrête quand dans l'antre harvardienne, l'empereur fait face à l'eau. Géant peureux, le stress qui monte dans les entrailles. Une angoisse, sans vraiment la comprendre, s'installe doucement. C'est les bras en avant, comme appris fût un temps que je plonge dans la piscine. Et quand le corps s'est entouré de ces atomes mouillés, que cette chose grandit en moi. Ca grandit trop vite, le bide qui se contracte, les poumons qui se vident, trop vite, toujours trop vite. Les paupières se ferment et dans ce silence assourdissant, y a des larmes qui se perdent dans l'océan chloré. Les flashs de la neige qui s'écrase contre les parois de bois, rappel sur un corps meurtri par le froid. L'envie de crier dans ce monde sans bruit, poumons trop vides et c'est contre le sol de la piscine que je m'écrase, épaule qui s'entrechoque doucement contre le carrelage. L'homme se recroqueville sans comprendre qu'il se perd, perdu entre l'état d'âme et la raison. Muscles plus assez oxygénés pour remonter à la surface qui me sauverait pourtant désespérément. Est-ce que l'envie est là ? L'envie de remonter et affronter ce monde affreux où les flash du froid contre la peau, du vent dans la nuque, des yeux fermés par la peur, des joues rosies puis blanchies par ce sentiment si puissant. Alors là, j'ai plus envie de rien, plus la force de rien. J'ressens rien que de la douleur. L'eau qui me compresse tellement me donne envie d'hurler mais y a plus rien qui peut rendre ça possible. Au bord de l'asphyxie, j'fronce les sourcils. C'est donc ça ? C'est donc ça la fin ? C'est ça mon destin ? Foutue vie qui ne m'aura pas laissé de répits. Souffle coupé dans ce monde et quand l'instinct de survie apparait, c'est de l'eau qui vient s'incruster dans les organes, l'âme qui s'échappe et le corps devient presque sans vie, seulement rattaché par l'astre solaire qui apparaît dans l'entrebâillement des paupières avant que cette ombre ne vienne le cacher. Eclipse sauvage, éclipse sauveresse du géant de chair. J'sens des doigts tenter de me trainer jusqu'à l'air, difficilement, mais j'suis probablement trop loin pour comprendre ce qu'il se passe.


credits img: pinterest
code by lumos s.

hj:
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Le weekend à New York s'est relativement bien passé. Je suis rentré le dimanche en laissant mon père bien énervé et j'en suis plus que ravis. Limite homophobe sur les bords, je me suis ramené avec un mec à son repas d'affaires. Je m'en contrefiche total. Je m'en fiche de son avis. Je vis ma vie comme je le sens. Et aujourd'hui, je suis bien décidé à éliminer un peu tout ce que j'ai bu et mangé pendant ce weekend. Donc j'enfile mes vêtements de sports pour pouvoir me diriger vers la salle de sport d'Harvard. Sauf que je passe devant la piscine. Et je vois Charlie. Mais en le voyant, je devine que non, c'est plutôt son frère jumeau que j'avais déjà rencontré. Caesar. J'avais tenté de le joindre par Meetsa pour encore m'excuser de notre rencontre. Mais il a refusé. Je le regarde, je le vois mal. Et je le vois plonger dans l'eau. Je fronce les sourcils quand je ne le vois pas ressortir. Ca fait bien vingts secondes là. Merde. J'entre à l'intérieur de la piscine. Je pose mon sac et je le vois au fond de la piscine sans bouger. Ok bon si c'est un pro de l'apnée, il va encore s'enerver contre moi. Mais si ce n'est pas un pro de l'apnée, j'aurais sauvé quelqu'un. Alors je ne réfléchis pas. Je retire mon t-shirt rapidement pour pouvoir plonger et aller au fond de la piscine et attraper sa main pour le faire remonter à la surface. Heureusement qu'on a apprit les premiers gestes pour secourir quelqu'un dans l'eau. Je nage jusqu'aux escaliers pour pouvoir le faire sortir et en sortir à mon tour. Je l'allonge sur le sol. Il faut faire évacuer l'eau de ses poumons. Putain répond ! Je panique peut être un peu là. Je commence alors à lui faire un massage cardiaque pour faire ressortir l'eau de ses poumons. Allez !

hj : je me suis permise, il me fait de la peine Cae là 🥺🥺 Je l'aime bien moi 🥺
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tw: mention alcool, drogue, vol.

Je n’ai rien à faire là, c’est clair, net et précis. Je ne suis pas étudiante alors je n’ai vraiment rien à faire sur le campus de l’université ni même dans l’enceinte de la piscine de l’université. Seulement voilà… Hier, après une soirée arrosée et ennuyante comme pas possible, mon chemin a croisé celui de l’un des étudiants riches à souhaits - et le nez plein de poudre - d’Harvard et après avoir couché avec lui, je me suis barrée avec sa carte étudiante. Pourquoi ? Tout simplement dans l’idée - pour ne pas dire l’envie - de lui faire réaliser qu’on peut être sacrément con à cet âge. Je n’ai pris que son pass universitaire mais si j’avais pris sa carte de crédit ? J’aurais peut-être dû. J’aurais clairement dû. Mais il aurait été plus facile de me retrouver ainsi. Alors, me voilà à me balader sur le campus et à pénétrer dans le complexe sportif, vêtue d’un leggings Fabletics qui moule chaque partie de mon corps. Une brassière qui tient ma poitrine en place, le gilet par-dessus, je me glisse entre les machines. Entre gros muscles et zombies qui veulent éliminer les excès de la veille. J’en souris et finis ma visite vers la piscine. Il n’y a personne si ce n’est un jeune homme qui plonge de manière athlétique dans l’eau. J’en laisse un sourire se dessiner sur mon visage et le regarde. Ses bouclettes vont être vraiment jolies à regarder quand il va remonter à la surface. Seulement, ce moment met du temps à arriver. Un peu trop. Une drôle d’angoisse me prend au coeur, au corps et quand je compte jusqu'à dix et qu’il n’y a toujours aucun visage qui sort de l’eau, je crie Mais il se noie ! Mon index écrasé sur la baie vitrée, personne ne réagit et je décide de passer de l’autre côté. Un nouveau 'plouf' et je vois que quelqu'un a eu la même bonté d'esprit que moi et sort le jeune homme de la piscine. Je fonce vers les escaliers et lui crie Massage cardiaque ! Histoire de sortir l'eau des poumons parce que là, il n'y a aucun doute qu'il y en a. Pas sûre qu'il ait besoin de mes indications mais bon, sait-on jamais... A genoux face à Mister Bouclette et Monsieur Muscle, je dis C'est quoi le numéro des secours de l'université ? Parce que pas sure que les pompiers aient le temps d'arriver jusqu'ici et moi, je n'ai pas cette information. Et puisque le jeune homme ne répond, je lui tends mon cellulaire et dis Appelles les, je reprends le massage. Et le bouche à bouche qui va avec. Enfin, avant ça, je vérifie qu'il respire.

@Caesar Falls je me suis permise ((zach & gigi)) - feels like drowning 3997999705
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tw: mention de mort

with @Zachary Koch & @Gigi Desrosiers

vendredi 4 février, piscine d'harvard Les années défilent et avec elles, les douleurs, les souvenirs. Ca passe dans des millièmes de seconde. Le corps sans vie d'un grand enfant inerte. J'sens même plus les bras passer sous mes aisselles, j'sens pas plus l'eau s'égoutter sur le carrelage froid. J'sens pas les mains qui s'agitent contre ma poitrine douloureuse. J'ressens pas tout ça. L'esprit se vide, l'écran s'assombri. C'est fini, y a plus de film, plus d'image, plus de son. Plus rien. L'eau sort difficilement, j'arrive pas à la remplacer par de l'air. Les oreilles sifflent dans le silence. J'entends pas ces voix, ces échos qui me crient de lutter. Le corps est lâche, les muscles ne sont plus aussi tendus et la tête, quand elle n'est pas retenue, tombe. Puis y a ce moment, je saurais pas vous dire combien de temps ça a duré mais y a bien eu ce moment où une bulle d'oxygène impure s'est glissé dans un poumon. Puis l'eau a fuit comme un cheval au galop. Instinct de survie trop puissant, j'tousse comme un forcené, la gorge qui brûle et l'une des mains qui la retient, y a cette impression d'étouffer, d'être compressé, même en dehors de l'eau. Les yeux grandissent, prennent des proportions anormales en même temps que la respiration s'agrandit dans une hyperventilation impossible a contrôler. "Putain, putain, j'étouffe." La main qui tente d'éloigner ces silhouettes que je ne prends pas le temps d'identifier. L'envie de dire non, l'envie de fuir, l'envie de crever.
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Ma séance de sport est écourté quand je vois le jumeau de Charlie se laisser tomber dans la piscine. Forcément j'attends un peu avant d'intervenir. Sauf que je ne le vois pas remonter. Donc ni une, ni deux, j'entre dans la l'enceinte de la piscine. Je jette mon sac de sport parterre, pour ensuite juste retirer mon t-shirt et plonger dans la piscine. Je n'ai pas fais attention au fait qu'une deuxième personne était prête à intervenir. Je veux juste venir en aide à Caesar. Il est inconscient au fond de l'eau. Donc j'arrive à le rattraper pour le faire remonter à la surface et surtout le faire sortir de l'eau pour l'allonger au sol. J'entends une voix s'avancer vers nous alors que je commence le massage cardiaque. J'ai reçu quelques cours de premiers secours, donc je sais à peu près comment le faire. Putain ça craint. Il est hors de question que Caesar y reste. La femme en face de moi me tend son téléphone pour que j'appelle les secours d'Harvard. J'en sais rien, je connais pas le numéro. Surtout que je panique parce qu'il s'agit quand même du jumeau du mec avec qui je couche. Je la laisse faire du bouche à bouche et là je le vois réagir. Je soupire de soulagement en le regardant reprendre ses esprits. Je prends mon sac de sport et j'en sors une serviette propre pour pouvoir lui tendre. Tient.. Il en a plus besoin que moi. Ca va aller... calme toi Caesar.. On t'as sortit de là. Peut être qu'il ne le voulait pas. Mais il était hors de question que je le laisse faire sans intervenir. Je déplis la serviette pour pouvoir la poser sur ses épaules.
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Je ne suis pas sûre de réellement connaître quoi que ce soit en ce qui concerne les gestes de premier secours mais l’adrénaline ne me fait pas réfléchir à deux fois avant d’agir. S’il arrivait quelque chose à ce jeune homme, je crois que je m’en voudrais alors que je n’y serai pour rien. Ni le jeune homme face à moi qui ne connaît pas le numéro des secours de son propre campus. Je le regarde avec stupéfaction et ne relève rien pour le moment. Il y a toute une audience derrière les baies vitrées de la salle de gym et il y en a bien un qui a la jugeote d’appeler de quoi nous aider, l’aider. Tout se passe si vite. Mes doigts qui pincent ses narines, un souffle qui s’échappe de mes lèvres pour faire gonfler ses poumons qui n’ont pas bougé depuis quelques secondes. Je n’y connais pas grand chose mais si le cerveau n’est pas irrigué en oxygène… Ça, c’est Grey’s Anatomy qui me l’a appris ! Et lorsque mes lèvres se détachent de celle de Monsieur Bouclette, il se met à bouger, se tordre et expulser toute l’eau qu’il y avait dans ses poumons. Sa main cherche de l’espace et moi, je me pousse doucement, lui offrant tout l’air dont il a besoin, cet air primordial pour que ses poumons s’y habituent rapidement et ne brûlent plus comme cela doit être le cas à ce moment même. Mes fesses sur mes talons, le cellulaire récupéré, je contacte les secours et on m’indique rapidement que quelqu’un est en chemin. J’ai l’impression que les deux hommes se connaissent et je les observe de loin. Leur gestuelle corporelle le montre - en ce qui concerne Monsieur Muscle du moins. Les secours arrivent. Que je dis rapidement, m'immisçant dans leur conversation. Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Tu vas bien ? Que je demande à Monsieur Bouclette. Gigi. Enchantée. Que je souffle avant de dire Enfin, pas tant que ça non plus. Je laisse un léger rire angoissé glisser entre mes lèvres et me concentre sur la victime Tu as besoin de quelque chose ? Fille unique, toujours à se débrouiller comme je le pouvais - et peux - mais inquiète pour qui que ce soit semble galérer dans la vie. Et ce type, même si je ne le connais pas, m’a fait peur. Mon cœur bat toujours rapidement, l’adrénaline toujours présente dans mon système…
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vendredi 4 février, piscine d'harvard Fatigue, angoisse, désastre de la pensée dans le moment T. Les yeux qui se déplacent de façon fugace. Coeur au point d'exploser, respiration haletante et le corps se fracasse à nouveau contre le sol, le regard au plafond tentant d'oublier les présences. C'est pas facile quand les voix se font écho dans l'enceinte de la piscine. Le froid qui envahit la peau, chair de poule qui prend place, la tête se tourne doucement, un peu lasse. "Qu'est-ce que tu faisais là Zachary ...?" L'envie de s'endormir qui prend place, poumons calmés dans leur élan. "T'es qui toi ?" Voix monotone quand je regarde la brune. Fablethics j't'appellerais. Ce serra pas si mal. "Laissez moi... J'suis fatigué" Sauf que je capte pas que j'm'endors par ce que c'est pas assez oxygéné en haut ...
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Je suis rassuré quand même de le voir reprendre ses esprits. Notre première rencontre s'est peut être mal passé, ça n'empêche que je ne pouvais pas le laisser se noyer comme ça. Je mets ma serviette autour de ses épaules, histoire qu'il puisse se sécher quand même. J'allais à la salle de sport Cae. et je t'ai vu... La jeune femme aucune idée. J'ignore toujours de qui il s'agit. Enfin elle s'est présenté. Gigi. Je la regarde, lui adressant un léger sourire. La rencontre n'est pas forcément la meilleure. En sauvant un homme. Reste éveillé... Je pense qu'il faut qu'on le sorte d'ici... Il fait chaud et je crois bien qu'il étouffe ici. Il a du mal à respirer. Inutilement de le sauver si c'est pour qu'il manque d'air. Je m'approche de lui pour pouvoir l'aider à se relever pour pouvoir le soutenir. Tu peux prendre mes affaires s'il te plaît. Que je demande alors qu'on sort de cette enceinte, beaucoup trop etouffante.
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Je suis le gloss à la framboise que t’as sur les lèvres. Que je lance, comme pour détendre l’atmosphère, pour relativiser les choses. Je sais bien que ça ne va pas marcher et j’ai l’impression d’empêcher un petit couple d’amis - ou plus - de tenter de remettre des souvenirs sur ce qu’il vient de se passer. Tu peux pas t’endormir là. Que je souffle presque en même temps que le brun face à moi. Et je ne capte pas tout de suite ce qu’il se passe quand il me dit de prendre ses affaires. J’arque un sourcil et lance Eh superman, t’y connais vraiment rien en premiers secours hein ? Je n’arrive pas à y croire. Si je le croise à nouveau un jour, je lui offre un cours avec la croix rouge ou je fais encore plus attention à qui se trouve autour de nous parce qu’il va bien finir par le tuer, mister bouclette. Mes yeux sur la foule, je lance Dégagez, y a rien à voir. Avant de me tourner vers les deux hommes. Non mais je suis sérieuse par contre, on sait pas ce qu’il s’est passé dans la piscine, s’il s’est cogné ou pas, le touche pas, tu vas le tuer. Et s’il a sauté à l’eau pour éviter une noyade, là c’est la nuque qu’il va lui briser. Sans compter que les secours sont là et me voilà rassurée. Par ici ! Avec superman et aquaman ! La situation est d’une tristesse pour l’un comme pour l’autre. C’est trop tentant alors, quand je baisse les yeux sur eux, je dis Personne ne s’est présenté alors… Moi je les ai rebaptisé ! Enfin Aquaman a des circonstances atténuantes... Que superman n'a pas !
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vendredi 4 février, piscine d'harvard Corps presque inerte, j'sens les vagues se bousculer contre moi. A moins que ce ne soit les corps qui se heurtent au mien ? La respiration coupée, j'sens encore l'eau dans l'estomac. Bronches bouchées, tentant pourtant d'évacuer dans des toussements infernaux, pourtant y a rien qui répond. J'capte pas les question de l'un comme l'autre. J'sens juste vaguement les paumes sur mon torse, les odeurs de bois qui se mélangent au chlore, la tête tourne et j'arrive pas à me sauver. Y a plus assez de force pour retirer l'eau des poumons, pas assez pour finir face contre terre, les billes roulent sous les paupières. Une fin trop proche pour un être trop jeune. Puis le voilà. Le toussement réparateur, sauveur de l'empereur. Le voilà celui qui me fait tourner, celui qui me bouscule du côté lumineux. Flanc sur le carrelage presque froid, l'oreille qui s'y est déposée. "Putain ..." Vulgarité lâchée, sans me rendre compte de ce que ça signifie. La fatigue qui se fait ressentir, muscles tendus, partout, tremblements incontrôlables. C'est pas le froid, convulsions sur un lit d'épuisement, les mots sortent pas pour les questions, les iris sont vitreux et en viennent presque à regarder le vide, à regarder cette eau turquoise devant, celle qui a bien failli m'achever.
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