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Jelena (5)
I'm just what you made God? ? Not many I trust? Ima go my own way, God, take my faith to wherever you want
Hm hm .. on peut dire ça comme ça.. Oui. Il avait sa main posée sur ta cuisse et tu rejougissais comme une enfant. Tes joues étaient aussi roses que tes lèvres. Lena ! Tu sortais avec Jeno et il sortait avec toi, seulement avec toi. T'étais avec lui. Tu passas tes doigts entre les siens, tu n'arriverais pas à t'y faire, à y croire. T'étais comme une enfant devant un cadeau de Noel, un peu comme à chaque fois que ton père t'offrait un cadeau, la bouche-bée, le regard en larmes, seulement des larmes de joie, des larmes qui veulent tout dire. Tu ne savais pas avec combien de filles, il avait...Tu ne voulais pas y penser, parce que tout avait commencé comme ça, t'étais sa proie au départ. Une proie innocente qui voulait se débarasser du poid de la vie, tu voulais tout lui donner. Le déposer sur ces épaules, oublier, quelques instants, la vie...dans ses bras,ce jour-là, tu comptais bien, tout lui donner. SI tes paupières ne s'étaient pas refermées, si tu ne t'étais pas réveillé en sursaut, parce que tu venais de te rendre compte que tu ne pouvais pas, pas maintenant, tu ne l'aurais jamais rencontré.... Jeno et Lena...disais-tu en chuchotant avant de laisser échapper un rire narquois ...j'aurai jamais pensé à ça avant... maintenant tout est si vrai...Il passe sa main devant ses yeux pour ôter sa mèche, ...il est beau. T'imagines même à quel point j'me sens .. léger maintenant...il te regarde, ce genre de regard que tu ne connaissais que dans les films, un regard trop doux pour un type aussi rétif. Il t'envoûte et tu sens bien que son cœur bat la chamade parce que lorsque tu poses ta main sur son torse pour la remonter vers son visage. Son cœur bat aussi vite que le vent qui passe dans nos cheveux en hiver, aussi vite qu'un coureur de première ligne.
Tu l'aimes, tu t'en rends compte et ça te ferait mal de le voir dans les bras d'une autre, dans le lit d'une autre, embrasser une autre...Jamais ! Il t'appartient. J'avais peur, ...peur ?, tu l'interroges, ça t'étonne...ouais peur c'est ça ... pourquoi ? Pour toi, Jeno n'a jamais peur, il pleure pas souvent, il est discret et derrière sa mèche brune, ses doigts rugueux et son odeur de linge tout droit sorti de la machine-à-lavé, son petit accent canadien, ses prunelles brunes, son langage peu élégant et sa démarche arrogante...il n'a jamais peur... que tu m'envoies chier...tu as le ventre qui papillonne, il avait peur que tu lui dise non, tu aurais pu pour ton frère ou même pour Elios, mais tu ne veux pas. Arrêtes tes conneries, pourquoi je ferais ça ?... Parce que je suis pas une super fréquentation. Tu t'arrêtes de parler et tu baisses un peu ton regard...écoute, Jeno, je ne suis pas un ange non plus...je m'en fous que tu ne sois pas aussi...gentleman ! Je m'en fous de ça,...tu le regardes...c'est toi que je veux ! Tu embrasses son front. Puis, d'ailleurs, je crois que si je n'avais pas été une artiste, j'aurai été une petite verte comme toi. Tu le resserrais dans te bras, tu avais tellement de te rassurer, de te dire que tu ne vivais vraiment pas un rêve. Le 13 restera à jamais marquer dans tes esprits...puis faut que tu le saches..., tu te détaches de lui pour réarranger ta chevelure, maintenant en bataille...je suis LA pire des meilleurs fréquentations d'Harvard. Tu rigoles en lui pinçant le nez,...On y va ? J'ai envie de changer d'air...T'as envie de sortir de là, d'être seule avec lui, la cafétéria, les gens qui vous regarde te met mal à l'aise. Puis, il fait chaud dehors, alors tu aimerais sortir prendre l'air.
credit to Kaiji on I love Harvard™
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