l'assaut des regards ∇ billéa

@Orphéa Wertheimer La moto vrombit dans le paysage bostonien, comme un mauvais refrain. Évidement que j’oublie quelques priorités, évidement que j’oublie le compteur. Le post gerbant de veritas avait été envoyé depuis plusieurs minutes, et demoiselle s’était d’abord acharnée à comprendre comment signaler la vidéo. Le téléphone avait ensuite servi à te joindre, pour savoir où te retrouver. J’sais que tu dois bientôt rejoindre l’erreur, et que l’entrevue sera courte, mais je ne me voyais pas me contenter de quelques sms pour gérer la crise. J'imagine la chute, je crains tes émotions. Garée devant la Adams, la redevenue blonde qui gueule dans l’entrée : « ORPHÉ ? » Casque posé dans l’entrée et les billes qui te cherchent. J’ai pas cliqué, la miniature suffisait pour en comprendre le contenu. Pour comprendre, aussi, qu'ils ne feraient pas tous pareil. Et, dans cette tumulte, je garderais pour demain l'amertume d'apprendre, à nouveau, ce qui compose ta vie, avec un temps de retard.

with @Billie O'Malley
Le coeur qui s'agite et les pensées perturbés par cette mauvaise nouvelle qui accable son quotidien. Parce que les nerfs commencent à devenir fragile, parce qu'ils en ont assez d'être constamment titillés. Parce qu'elle c'est toujours persuadée qu'elle ne pouvait regretter sa relation avec son ex, cette fois elle voyait peut-être les choses différemment. Parce qu'elle était le dommage collatéral, celle qui avait pourtant le plus à perdre. Celle dont la réputation du petit ange sera effacé pour être remplacé par cette image de débauche. Parce qu'elle a décidée d'être une femme libre rien qu'un instant. Les cent pas qui se font dans le salon de la adams, les doigts qui ne cessent d'actualiser la page de veritas avec l'espoir que tout s'efface. Les pensées qui se réveillent par son prénom qui résonne dans la maison, les yeux paniqués qui se dirigent vers sa meilleure amie. Pillier qui continue de cimenter les constructions qui deviennent de plus en plus fébrile. Je suis maudite.. J'crois que le destin veut me punir de plus aller à l'église. Lèvre qui se mord et corps qui s'approche pour retrouver son étreinte, réconfort qui lui manque, sentiment de protection qu'elle ressentait chaque fois qu'elle était dans ses bras.

@Orphéa Wertheimer J'lui en voudrais demain, à ce loup qui rode et entraîne les ténèbres autour de ta couche. J'les traquerais demain, ces idiots qui partageraient, commenteraient, une vidéo dont la miniature m'a suffit. J'découvre entre deux sms que l'existence de cette vidéo n'est pas vraiment une surprise, que seule la publication de cette dernière l'est. Qu'importe, pour l'instant l'urgence est d'apposer les mains sur les plaies, et d'essayer que le sang cesse de se barrer de partout. L'urgence est d'être là. Débarquée dans la confrérie, j'te cherche du regard et j'tarde pas à te trouver, à te serrer contre moi. Le ventre compressé et le cœur douloureux de te voir dans cet état. Encore. A cause de lui. Encore. « Orphé.. » J'te serre encore un peu, comme un étau de douceur. « T'es pas maudite. » J'nous libère doucement, pour glisser mes phalanges sur tes joues et mieux te regarder. « Et dieu est un gros con, s'il te punit juste parce que tu vas pas le voir. » Dieu me ferait sûrement cramer, s'il me voyait passer le pas de son église. Trop de passage entre des cuisses féminines, et trop de croyances paranormales pour son pauvre cœur. « J'pense qu'il est lui-même assez consterné de ce que font les hommes. » J'suppose, si j'étais la patronne de tout ce monde ; j'serais pas ravie de voir ce qu'ils en font. « Et s'il doit en vouloir à quelqu'un, c'est à celui qui a filmé, et publié cette vidéo. » Pas toi. Même pas Gustin. Ca m'arrache la gueule de le reconnaître, mais il est victime tout autant que toi. « Tu sais qui c'est ? » Ce type. L'ennemi désormais numéro un, n'en déplaise au loup.

with @Billie O'Malley
Parce qu'il suffisait d'un message de détresse pour qu'elle vole à son secours, guerrière qui ne cesse de tenter de protéger la princesse de ses propres erreurs. Mais cette fois il n'y avait pas grand chose à faire,  ses mots rassurant seront déjà une bénédiction pour son coeur et son apaisement. C'était la première fois qu'elle était confrontée à la menace, dommage collatérale des déboires de son ex, relation qui ne cesse de l'a suivre et lui poser des problèmes. S'en éloigner n'était pas suffisant, faut croire qu'elle ne savait pas quoi faire de plus. Elle aurait peut-être gêrer les choses différemment, caresser le maitre chanteur dans le sens du poil au lieu de le tirailler. Ses bras qui retrouvent les siens, les battements de coeur qui se calment. Parce que tu vois Billie, t'es toujours là et t'as appris depuis bien longtemps comment m'apaiser. Je te jure que j'me pose des questions, j'ai du mal à comprendre d'où vient cet acharnement contre moi.. Soupire qui s'échappe, le corps qui se recule doucement, mais la tête qui ne quitte pas l'emprise de ses mains. Si la doyenne tombe sur la vidéo, je peux dire adieu à Harvard.. Parce que dans le fond, c'est certainement ce qui t'inquiète le plus Orphéa. Les épaules qui se haussent à ses questions, elle n'avait pas réellement plus de réponses, tout ce qu'elle savait venait de Gustin. J'en sais rien, c'est ça le problème.. Tout ce que je sais c'est qu'il en veut à Gustin, je suis le dommage collatérale.. Soupire qui s'échappe, bouteille qui prône dans le salon qu'elle n'hésite pas à prendre pour se servir un verre. Tu veux ? Parce que ça fait un moment maintenant que l'élixir dorée était un bon moyen de l'a détendre.

@Orphéa Wertheimer Et j'me mords la langue, j'te jure que je me mords la langue, pour éviter de te souffler que tout cet acharnement, tous ces malheurs qui semblent joncher ton chemin depuis quelques temps, ne sont dû qu'à un homme. Un être, qui te traîne dans ses enfers et te font rencontrer les mauvaises personnes, vivre les mauvaises expériences. Ca s'rait pas toi, que je te soufflerais que c'est une épreuve qui te fera grandir, un obstacle dans ce nouveau monde. Sauf que c'est toi, et toi, je refuse que t'ai le moindre caillou sur ce chemin déjà escarpé. Alors, j'me mords la langue. Car ce n'est ni le lieu, ni le moment pour s'en prendre à l'ex, lui aussi victime après tout. L'homme s'en tire toujours mieux dans ce genre de situation, vous savez ? C'est toujours la femme qu'on raille, sa réputation qu'on entaille. « Y a plein de monde qui a demandé à ce que la vidéo soit supprimée.. y a peu de chance qu'elle tombe dessus. » Ca a été vite ; à croire que la solidarité des étudiants d'Harvard existait vraiment. « Puis merde tu sais quoi ? Vous êtes victimes là-dedans. Vous étiez tous les deux consentants, et définitivement pas les premières personnes à s'envoyer en l'air à cet endroit. » Inutile de faire des effarouchés, on sait très bien ce qui se passe quand les lumières s'éteignent dans les recoins d'Harvard. « La présidente de la Adams en plus ? » La tête se secoue. « Les élèves seraient pas d'accord. » Le monde commençait enfin à évoluer sur le sujet, et comprendre qui étaient les victimes, et qui étaient les bourreaux. Un rictus. « Et Gustin ne sait évidemment pas qui lui en veut ? » Y a tellement de cadavres dans le placard, qu'il suffit d'y plonger la main et d'en choisir un au hasard, c'est ça ? Putain de poison dans ta vie, Orphéa. J'aurais dû lui cramer sa caisse. Et, tes doigts te remplissent un verre. J’acquiesce, après un moment d'hésitation. Les orbes remontées vers les tiennes. « Mollo là-dessus. » Qu'importe combien je peux abîmer mon sang ; le tien, j'y tiens.

with @Billie O'Malley
Ca sera quoi la prochaine étape ? Une lettre annonçant son départ de l'université ? Un appel de ses parents pour lui demander de rentrer en France ? Année remplie de problèmes, de mauvais choix et de murs à escalader. Elle a toujours essayée de se montrer plus forte et plus intelligente qu'eux, mais elle est pas aussi forte que toi Billie, elle a pas le courage que t'as réussi à acquérir dès ta naissance. Parce que chaque jour, la patience et le coeur sont fracassés par ces mauvais coup du destin, y'a tout qui s'affaiblie et peut-être qu'un jour, il y aura plus de solution pour arranger tout ça. Elle n'a jamais regrettée sa relation avec son ex, il lui a appris beaucoup de chose, elle est ressortie de cette relation plus femme et plus affirmée. Pourtant, ce soir, elle ne pouvait s'empêcher de remettre tout en question. Devenir la femme qu'elle espère pour tout perdre en même temps ? Ca n'a pas de but. C'est vrai que je m'attendais pas à voir autant de soutien.. Y'a plus qu'à croiser les doigts maintenant. Les épaules qui se haussent, les ambres qui ne quittent par son regard, accrochée à ses mots rassurant. Parole de la raison, parole de la guérison. J'peux donc compter sur toi pour être l'avocat du diable si on a un problème. Sourire amusé sur le coin des lèvres, peut-être qu'elle avait déjà tous les arguments pour défendre leur cause. Enfin surtout celle de la Wertheimer. T'as sûrement raison.. Virer deux présidents d'un coup, c'est peut-être un peu gros. La lèvre qui se mord, mots qu'elle répète pour tenter de se rassurer. Non il ne sait pas.. Mais il doit bien y avoir la moitié du campus qui lui en veut, c'est comme trouver une aiguille dans une botte de foin. Les yeux qui se lèvent au ciel, peu fière que les mauvais bagages d'une autre personne restent accrochés à elle. Un verre qui se remplie et un deuxième pour sa meilleure amie qu'elle lui tend. J'crois qu'elle est loin la Orphéa incapable d'enfiler trois mots après un verre. Petite grimace, habitude bien différente depuis le summer camp. Bon.. Sur une touche plus positive, c'est quand les retrouvailles avec Eowyn ? Sourire malicieux, gorgée qui s'avale.

@Orphéa Wertheimer Ca fait parti de l'apprentissage, parait-il. De tomber, de se faire mal aux genoux, mal au cœur, d'être déçue, effrayée. J'ferais tout ce que je peux pour éviter que ça ne t'arrives, Orphéa. Sauf que j'sais pas, soit j'essaye pas suffisamment fort, soit j'suis mauvaise dans mon rôle de protectrice ; car j'te vois te cogner contre les murs qu'on place sur ton chemin, je te vois trébucher, et j'arrive toujours trop tard. J'aimerais anticiper ta chute, l'éviter, plutôt qu'avoir à placarder des pansements sur les plaies. Quand ça saigne, c'est déjà trop tard. Y a de l'hémoglobine séchée partout sur ton corps. Et moi, je nettoie. Les lèvres soulignées d'un sourire encourageant, j'ai les doigts qui glissent sur ton bras. « C'est ça qu'il faut retenir. T'as toute une fac derrière toi Orfé, les gens t'apprécient vraiment. » Ca se bousculera pour te relever. Mais dans cette foule, il faudra se méfier des esprits malins, de ceux qui se glissent entre les alliés pour venir t'esquinter. J'me grandis, arborant un espèce de port de tête altier. « Absolument, j'défendrais même Gustin s'il le faut. » J'l'enfoncerais par d'autres moyens, des moyens qui ne t'éclabousseront pas toi. « Alors crois-moi que t'es pas prête de quitter cet endroit, et la Adams House. » Alyssia et elle géraient beaucoup trop d'une main de maître la confrérie, pour qu'on envisage de l'en priver. « Tu m'étonnes. » Quand le sujet d'un campus à moitié contre Gustin est évoqué. « S'il était moins con, on en serait pas là. » Ca s'échappe ; j'fais des efforts, mais c'est loin d'être parfait. Se rattrape avec une moue amusée : « Enfin j'dirais pas ça à la doyenne, t'inquiète. » Je filtrerais les insultes au beau milieu des arguments, compte sur moi. Et, compte sur moi pour m'assurer que ces verres ne se boivent pas trop vite. « Dommage, elle était drôle quand elle tanguait après un verre de rhum orange. » Taquine la blonde, consciente que les événements avaient fait passer plusieurs étapes à son alliée. Et, en parlant d'étape.. « J'sais pas, bientôt je suppose ? » Lèvre mordue. Mots avalés en même temps que l'alcool. « Les gens partent et.. j'sais pas, j'me dis qu'elle finira par partir, peut-être, et que j'aurais même pas eu le courage de tenter le truc. » Ouais, bon, faudrait déjà que j'sois capable de dire «relation », et pas « truc ».

with @Billie O'Malley
Le visage qui retrouve son sourire, mots qui réchauffent le coeur. Elle a toujours tentée d'être bienveillante, gentille et compréhensive envers ses proches et les membres de la adams, peut-être que la gentillesse paye et que grâce à ça, elle peut obtenir le soutien de pas mal de personne. Elle se souvenait pourtant de ses premiers pas à l'université, enfant timide et solitaire sur son banc, enfant apeurée qui tente d'être sociable pour la première fois lorsqu'elle est tombée sur toi. Peut-être que t'as tout changée et que tu t'en rends pas compte Billie.  Je t'ai à mes côtés et j'pense que c'est la meilleure de mes armes. Petit sourire complice qui s'échappe, regard de surprise lorsqu'elle disait pouvoir défendre son fidèle ennemie. Une jolie preuve d'amour envers la Wertheimer qu'elle exprimait à sa façon. J'te demande surtout pas ça, tu serais plus ma meilleure amie sinon. Parce qu'une Billie qui aide Gustin, ce n'est clairement pas un monde qui tourne de la bonne façon. Petit hochement de tête à ses mots accompagné d'un sourire, elle devait voir le bon côté des choses et elle était prête à se batte si sa place à Harvard est remis en cause. J'peux pas te contre-dire là dessus. Les épaules qui se haussent, colère qui reste ancré en sachant que ses problèmes venaient bien de son ex et non du strict hasard. Oh je tangue toujours, t'en fais ! C'est juste un peu moins rapide. Petit rire qui s'échappe, gorgée qu'elle avale. La conversation qui dérive sur sa bien aimée, parce que ça approche, sens de cupidon en ébullition. Tu ne peux pas penser à la fin alors que tu n'as même pas vécue le début. Petite moue qui s'affiche, le canapé qu'elle retrouve. Ton courage est là depuis toujours, il faut juste que tu te laisses aller et que t'arrêtes de te faire hanter par tes questions. Juste, vas-y !

@Orphéa Wertheimer On s'est équilibré, sans vraiment le calculer. Comme quoi, ça s'joue pas à grand-chose de savoir marcher droit. J'étais déjà lassée, blasée d'un monde qui ne cesse de me décevoir, et toi t'y croyais encore. T'avais les yeux qui trahissent la pureté de ce qui se cache sous la peau, qui provoque les battements. T'avais trop à voir, et j'en avais assez vu. On s'ouvre sur nos mondes respectifs, tout en gardant une part de mystère. Je râle pour les tiens, et je cache les miens sous le tapis. Je ne supporterai pas que tu fuis, tu sais ? Que ça change, que tu me remplaces. Je ne supporterai pas de perdre une seule personne de plus. Et surtout pas toi. Alors, je camoufle les fêlures comme je peux, je rattrape les entailles que la vie te fait, afin qu'elle ne te change pas définitivement. Un sourire accroché à la bouche. « J'aurais de la gueule comme choix d'arme, dans un jeu vidéo. » Je balancerais des fantômes, et quelques répliques. Je détruirais les voitures pour toi. Pour moi. Nous seront invincibles, à n'en pas douter. J'te désigne de ma bière. « La prochaine fois, c'est le tour du gentil garçon, faut leur laisser leur chance, aux princes charmants. » Ils électrisent moins les reins, mais abîment aussi moins les cœurs. Gustin avait agité la mer pour plusieurs temps, et il semblait vouloir rester dans le coin, continuant à secouer les vagues quand elles se calment. Les orbes qui roulent dans leurs orbites. « Tu m'énerves à avoir raison. » Un soupire. « Je sais. » Mais j'le fais quand même. Parce que la fin est partout autour de nous, même si le commun des mortels ne la voit pas. Elle est omniprésente. J'me retrouve assise sur l'accoudoir, débarrassée de mes chaussures. « Quand t'es en couple, t'es jamais attirée par d'autres ? » Bon, d'accord, Orfé n'avait pas une expérience folle en la matière. Mais, un, c'est mieux que zéro. « Pour le jeu, pour la provocation, pour ce que ça fait ressentir. » Tu sais, le désir dans l’œil d'en face. « Faudrait que j'me fasse tatouer le visage d'Eo sur la main. » Reprit dans un rire. Si j'la vois, j'me rappelerais qu'il n'y a pas mieux qu'elle.

with @Billie O'Malley
Petit rire qui s'échappe à ses mots, les images du jeu vidéo qui passent par l'esprit. Elle se voyait déjà en plein champ de bataille prête à dégainer son arme secrète, sa Billie. Son rempart et certainement sa protectrice jusqu'à la fin de sa vie. Parce que y'a assez d'amitié et d'amour pour se suivre jusqu'au bout, un monde sans elle, serait beaucoup moins apaisant. Peut-être qu'elle se permettrait pas de faire des erreurs, parce que si sa meilleure amie n'était pas là, y'aura certainement personne pour réparer les pots cassés. T'as raison.. Mais tu me rappellera ça au moment venue ? Parce que je crois qu'ils m'attirent un peu trop ces mauvais garçons. Petite grimace, une vérité mise sur le dessus. Les princes charmants comme Jessie ou Timothy, elle les a mis de côté pour donner son coeur au mal, ceux qui se feront un plaisir de l'écrabouiller. Mais peut-être que c'était plus fort qu'elle et que sa lumière, elle avait besoin de l'a partager. Réparer ce qui déraille et tenter de l'améliorer. Elle ne pouvait pas aider un prince charmant face au mauvais garçon. Le regard sur la blonde, elle voyait bien que Billie se posait toujours beaucoup de question par rapport à Eowyn, pour Orphéa, ce n'était qu'une question de temps et d'adaptation. Evidemment ça fait peur, mais la peur en vaut la chandelle n'est c'pas ? Si.. Bien-sur que si. Et dans ce genre de moment, il faut juste se fixer sur l'amour et le respect que tu portes envers ta moitié, ça aide. Elle n'avait vécue qu'une seule relation, mais même pendant celle-là, elle a bien vu que c'était possible. T'as peur de l'a tromper ? C'est le fait d'être fidèle qui pose problème ? Dit-elle, le regard intéressé et intriguée de mieux comprendre ce qu'il y avait dans les pensées de sa meilleure amie.