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(tw) warzone ((matina))

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les gestes qui s’enchaînent, raison vouée à l’abandon. là, dans ces instants où tu m’fais tienne, où tu es mien. là, dans ces moments où j’ai longtemps rêvé de craquer, de creuser ma tombe en savourant l’extinction trop savoureuse pour ne pas prendre le risque de se perdre. là, quand tes lèvres s’amusent à se perdre dans ces endroits où tu t’es toujours refusé de t’aventurer, aujourd’hui tu fais naître le grand frisson. ces choses qu’on ressent et qui implose à l’intérieur, qui fout tout en vrac, qui déstabilise. ces choses vertigineuses qui m’poussent un peu plus près du ravin. à quelques centimètres du vide, en apesanteur, envoûtée par tes caresses et tes lèvres qui tracent le chemin jusqu’au bord du précipice. - tu joues avec les mots mat pour esquiver que t’as pas l’courage de craquer.. et j’ai pas envie d’être celle qui craque, d’être celle qui prend la décision, fuyant lâchement ses responsabilités. et dans un élan franc tu m’retournes, contre ce mur qui fait barrage à la fuite. à celle que la raison me dit de prendre quand mes poumons s’écrasent sous l’poids des sentiments. j’aime les barreaux que tu tisses, j’aime être à la merci de ta prison. j’me cambre doucement quand tes mains s’échouent sur mes hanches, les yeux qui peinent à rester ouverts. l’esprit qui daigne rester intacte tout en sachant qu’il est déjà en ruine. - c’est plus facile quand tu croises pas mes yeux ?.. mes lèvres ?.. mes envies ? dis le moi. dis moi que t’as pas la force de me regarder en face pour résister, que t’es pas capable de te retenir quand je t’autorise à rentrer. et mon corps se cambre un peu plus, se frotte à toi doucement, à cette intimité qui crie famine. - ça peut durer autant que tu veux..

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piètre joueur. elle sait, tu sais. tout le monde sait que t’es incapable de résister. tes mains sur ses hanches, ces lignes tracées à la perfection sans un seul détails négligé. tout est plus simple quand tes yeux ne croisent pas les siens. quand ses lèvres ne t’aguichent pas sans cesse de leur simple forme parfaitement pulpeuse. longs mois à t’interdire cette passion. t’interdire ce corps. il est là devant. elle joue de ses charmes. elle t’aguiche comme elle sait si bien le faire. vengeance acide. phalanges chaudes sur le bas de son dos, tes lèvres qui se rapprochent de son oreille, une nouvelle fois. bien sûr que je ne sais pas te résister. tout est vraiment trop parfait chez toi. mains crispées à ces mots. simple démonstration d’un volcan s’éveille au fond de ton âme. instincts primaires à maitriser. tu t’es promis de ne pas succomber. ton corps parle de lui-même, tes entrailles réagissent impulsivement à cette chaleur étouffante. tu as cette pensée, si furtive. ce corps entre tes mains roulant contre celui d’un autre. des autres. les clients, ses conquêtes, son hésitation. un soupire bref qui ressort de tes poumons affolés. tes mains se retirent de son corps, tu recules pour relâcher cette emprise, cette tentation. une main dans tes cheveux, ce visage humide, cette excitation qui tente de redescendre. je veux que tu me dises tina. j’ai envie de toi tu sais même pas avec quelle force j’me retiens. de lui arracher cette robe. mais je veux savoir. c’est si compliqué.
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t’es tout c’que j’ai toujours rêvé d’avoir, d’tenir entre mes doigts frêles, toi que j’ai longtemps désiré sans jamais vraiment y croire. parce que tu m’as toujours repoussée, parce que t’as jamais rien voulu d’moi comme si j’étais tout c’que tu détestais. j’avais pas un semblant d’attention et voilà que maintenant j’ai tout, que t’es là, dans le creux de ma main. t’es là, le je t’aime aux lèvres. les mots qui me submergent, qui me percutent trop forts. qui m’font trembler. comme si j’avais peur des vérités, que j’étais pas prête à les entendre. j’aimais ce jeu mat, j’aimais ça quand j’étais la seule à jouer. quand j’étais persuadée que je risquais rien avec toi, que tu voudrais jamais de moi, que tu me regarderais pas. mais regardes toi c’soir, attiré comme un aimant, regarde nos putains d’coeurs qui battent à l’unisson. t’étais pas censé abdiquer mat, t’étais censé me fuir et ne jamais t’enflammer. regarde moi maintenant, j’vais finir dans un sale état parce que j’ai pas les épaules ni le mode d’emploi pour bien t’aimer. je penche la tête en arrière quand tes dents mordillent mon oreille, un frisson qui me parcourt et un soupire qui s’échappe d’entre mes lèvres. - putain mat.. tout est en feu là, je bouillonne de la tête aux pieds. j’ai envie que tu déchires mes vêtements, que tu découpes ma peau en petit morceaux sous tes étreintes. j’ai envie d’arrêter de jouer, de te montrer tout c’que je ne sais pas dire. j’suis à deux doigts d’abandonner, de lever le drapeau blanc pour finir dans tes draps immaculés. mais t’arrêtes tout, tu recules encore. tu me freines toujours, tu pars au mauvais moment. à chaque fois mat. à chaque fois tu me laisses en plan. le coeur encore agonisant, la frustration qui gonfle les poumons. j’me retourne face à toi, laisse ma tête se reposer comme le mur. ferme les yeux quelques secondes. - j’me suis mariée. et j’reviendrais pas cette fois. j’ai plus envie d’être celle que tu laisses sur le côté. comme maintenant, comme les autres soirs, comme ces messages que t’as longuement évité.

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tu arrêtes de jouer. lâches qui finit toujours par stopper en premier. tu connais. ces pulsions enfouies au fond de ton âme. tu entends ces échos, voix enivrante qui te pousses à arracher cette putain de robe, marquer sa peau de tes baisers fougueux. cette frustration grandissante, tu te connais, tu serais capable de laisser des traces sur ses poignets, son corps entier, par cette force, cette poigne acérée par cette excitation enflammée. tu ne veux pas marquer son derme, tu ne veux gouter la sienne sans qu’elle ne soit qu’à toi, tina. vous deux, jusqu’à l’infini et l’au-delà. sans ombre sur le tableau, sans deuxième hésitation. tu veux savoir son secret, sa vérité. ses mots qui s’écorchent contre toi, pensées heurtées sans la moindre défense. loin de penser à ça, si loin d’imaginer. elle te ment depuis le début ? c’est qui ? pourquoi ? depuis quand ? volcan bouillonnant, prêt à exploser. mains sur ton visage quand tu lui fais dos. cette chaise de bar qui s’envole plus loin, force envoyée dans ce tabouret agressé sans qu’il n’est rien fait. putain. de dos, toujours, tes paumes se posent sur le comptoir, tenter de te tenir à la réalité, occupé tes mains prêtent à tout exploser. c’est le deuxième c’est ça ? tu connais la réponse. tu ricanes cette fois, nerveux. laisses tomber je m’en fou. tu ne veux pas savoir, tu ne veux pas la réponse. bien sur que si tu l’as veux. tu peux reprendre tes affaires et toi et ton corps putain d’excitant partir d’ici ? j’ai juste envie d’être seul. tu veux défoncer un mur, en réalité.
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