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But Love is Never Like it Should w/ Victoria Lahey

William Bennett

Âge : 35
Lieu de naissance : New-York, bien qu'ayant des origines albanaises
Quartier d'habitation / Colocation : Downtown Boston. Avec Erza
Situation sentimentale : Célibataire
Études / Métier : Enquêteur du FBI
Date d'inscription : 12/10/2021
Pseudo & Pronom(s) IRL : Lovecraft
Icon : Let's play the Game, shall we now ?
Faceclaim : Liam Hemsworth
Crédits : : Smoothie (avatar) : Lovebug (code profi)
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☾ HIT ME WITH YOUR BEST SHOT

Infos ⊹ L'un des plus jeune et plus prometeur enquêteur du bureau du FBI à Boston. Spécialisé dans les crimes financiers et la corruption. Anciennement homme de famille, ce volet de sa vie s'écroule suite à son divorce. Il est maintenant rendu à mettre le feu à sa vie et à ses valeurs pour voir jusqu'où s'élèvera le brasier. De plus en plus addict au pouvoir, il joue maintenant un double jeu dangereux avec ceux que sa profession voudrait mettre derrière les barreaux.


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☾ TIMELINE

Février 1989 ⊹ Naissance à New-York. Sept 2007 ⊹ Accepté à Columbia en finance (New-York). Octobre 2012 ⊹ Engagé au FBI, section crimes financiers (New-York). Août 2014 ⊹ Il se marie avec sa fiancée, rencontrée à Columbia (New-York). Décembre 2018 ⊹ Il se divorce. Janvier 2019 ⊹ Obtient une promotion et est transferé à Boston. Février 2019 ⊹ Emménage avec sa soeur, Bisha (Boston). Octobre 2019 ⊹ Trouve son propre appartement (Boston).
Octobre 2021 ⊹ Retourne habiter avec Bisha (Boston).


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Warnings : WARNING // concernant (William) Langage occasionnellement abusif. Partage des vues politiques très à droite. Référence à la religion catholiqueTRIGGER // refuse de jouer ; L'extrême violence. Des actes sexuels explicites. Discutons-en au préalable.
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William Bennett
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DARK RISES › being bad never felt so good
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t139889-william-bennett-liam-hemsworthFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t139928-william-bennett-let-s-play-the-game-shall-weComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t141523-the-hunger-in-my-soul-w-bennett

★But Love is Never Like it Should★
w/ @Victoria Lahey
♪♫

L’ambiance classique d’un lundi soir qui s’éternise. Une majorité de réguliers, et quelques occasionnels. Sous le solo de Cherry, les 6 hommes en complets noirs commencèrent à prendre place autour d’une table qui, avec les mois, étaient devenue la leur. Une ou deux fois par mois, sous l’invitation de leur chef, ils se retrouvaient là, entre collègues après une autre longue journée de travail, pour souffler un peu et ‘profiter’ d’une pause hors du temps et du monde réel, dans cet antre non pas de la sensualité féminine, mais bien du pouvoir patriarcal.

Là où, entre hommes, ils pouvaient fantasmer librement sur toute l’étendue de leur pouvoir, en échange de quelques billets.

Les premières fois, Bennett avait accepté avec une grande réticence. Ce genre de loisir n’était pas réellement compatible avec ses valeurs relativement conservatrices concernant la sexualité. Il avait cependant rapidement réalisé une chose – c’est là, autour de cette table, entre les jambes au glabre parfait de Crystal et les auréoles si aguichantes de Peneloppe que se trouvait le vrai pouvoir. Tout ce qui se passait au Nirvana déterminait l’ordre des promotions. La qualité des cas sur lesquels les enquêteurs allaient travailler. Les ressources qui leur seraient assignées.

Progressivement, William s’était habitué à l’endroit. Il était même parvenu à se convaincre qu’en appréciant à sa juste valeur toute la beauté de celles qui montaient sur scène ou venait ‘discuter’ avec eux, assises sur leurs genoux, il contribuait, un peu, à leur épanouissement. Il affichait, après tout, un comportement des plus respectables, digne d’un gentleman, face à ses dames sommairement vêtues. Quel mal y avait-il à cela ?
Ce soir était une soirée spéciale. Ils intronisaient dans leur groupe le petit nouveau, Woodrow, pour le plus grand bonheur de celui-ci. Entre le rite de passage et l’omniprésence de ces jeunes femmes avenantes toutes droites sorties de magazines, Woodrow était aux anges. Il ne restait plus qu’à espérer qu’il saurait faire la différence entre le raffinement de ce lieu et la bassesse d’une maison de passe. Après tout, ils représentaient la loi et l’ordre de ce pays.

Bon prince, William s’occupa de la deuxième tournée. Accoudé au bar, il échangea quelques banalités avec la serveuse ( Indigo, en l’occurrence. Probablement sa préférée), puis passa commande pour 5 Sam Adams au prix disproportionné ainsi qu’un grand verre de lait. C’était, après tout, le premier soir de Woodrow.

En patientant, il laissa son regard se perdre sur la silhouette de la barmaid qui s’activait à remplir les pintes, se remémorant avec une certaine amertume la si agréable chaleur du corps d’une femme pressé contre le sien. Souvenir qui commençait à s’estomper, avec les années.

En bon gentlemen, il finit par détourner le regard. Qu’elle ne fut pas sa surprise de le porter sur un visage connu, dont le souvenir remontait à encore plus longtemps.

« Victoria ? Mais… mais qu’est-ce que tu fais ici ? »

Ce petit univers hors du temps et du monde réel était soudainement et brusquement en train d’exploser.  Ainsi que tout le narratif qu'il se répétait, chaque fois qu'il se préparait à mettre les pieds ici.




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(William Bennett)
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Devant l’entrée du club, Victoria marque une pause, prenant le temps de détailler la vitrine mais surtout le public qui s’y engouffre, avant d’enfin se décider à le faire elle-aussi. Il ne lui faut faire que quelques mètres avant de ressentir les vibrations des basses jusque dans sa poitrine, mais ça ne l’arrête pas dans son avancée. Du regard, elle observe brièvement les danseuses à la recherche de l’une d’elle en particulier, Angel, rencontrée mardi durant sa garde. L’ambulancière a en sa possession ses effets personnels qui, s’ils ne représentent pas des milles-et-des-cents, ont peut-être une valeur quelconque pour la jeune femme.
Incapable de localiser celle-ci, c’est au bar que fini Victoria afin de se renseigner sur la danseuse, l’heure à laquelle commence son service - si seulement elle travaille aujourd’hui. On ne lui donne aucune information, mais le barman lui affirme qu’elle peut laisser avec lui ses effets et qu’il pourra se charger de remettre tout ça à la jeune femme pour Vic. « J’aimerais lui rendre moi-même. Un sex on the beach s'il-te-plait. » Elle lui adresse son plus beau sourire et prend place sur un tabouret haut, un coude appuyé sur le bar alors qu’elle balaie à nouveau la pièce du regard. Peut-être commence-t-elle plus tard. Si son cocktail fini, Angel est toujours aux abonnés absents, Victoria laissera ses affaires à… Christian, lit-elle sur son petit badge. Mais elle n’est pas pressée et aimerait savoir comment elle se porte, suite à son malaise mardi.
Le verre payé, l’ambulancière tourne sur elle-même et écarquille les yeux lorsqu’ils tombent sur la silhouette de William Bennett, qui semble au moins aussi surpris qu’elle. Peut-être a-t-il des raisons plus évidentes que Victoria de se perdre au Nirvana, mais ça ne change en rien le fait qu’il est bien une des dernières personnes sur laquelle elle pensait tombé ce soir. Ou tout autre soir, d’ailleurs. Leur dernière rencontre remonte en 2017 et ce sont des banalités qu’ils se sont échangés, comme de parfaits inconnus. Avant de lui répondre, Victoria glisse la paille dans sa bouche, comme si boire une gorgée allait l’aider pour la suite. « Je danse dans... » Ses yeux passent de William à sa montre avant de revenir à lui. « Vingt minutes. » Un sourire aux lèvres, elle ne met pas plus d’une demi seconde pour mettre fin à la mascarade. « Je plaisante, je suis à la recherche d’une danseuse. Angel. Tu l’as peut-être vue ? » Demande-t-elle innocemment, afin de mesurer sa connaissance des lieux car ça l’intrigue. Le William qu’elle connaissait ne se serait pas traîné dans un club de striptease, mais dix-huit années changent une personne. S’il n’est pas inconnu, il n’en est pas loin. « Et toi, qu’est ce que tu fais ici ? » Que fait-on dans un club de strip-tease Vic ? Et vu sa commande, il n’est pas seul.
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William ne savait plus où se mettre. Malgré l’érosion de ses souvenirs sous le poids des années, revoir Victoria le ramenait à l’adolescent qu’il avait été. Ils avaient partagé beaucoup, beaucoup de choses à l’époque, et ça les plaçait dans une curieuse situation. Ça lui semblait tout aussi insultant de lui parler de la pluie et du beau temps, comme de purs étrangers, que de faire comme si c’était hier et lui demander comment allait sa mère.

Ça lui laissait quoi, comme sujet de conversation ? Surtout considérant le contexte…Il se surprit à espérer qu’elle ne se ferait pas de mauvaises impressions sur le genre d’homme qu’il était devenu.

En même temps – quel genre d’homme était-il devenu, exactement ? Le genre qui encourageait l’épanouissement féminin en glissant des billets dans leur jarretière ? Aussi convaincu était-il à chaque lundi soir où ses pas le faisaient franchir le Nirvana, la bancalité de ses justifications lui explosait maintenant en plein visage, maintenant qu’il se trouvait devant la perspective de devoir les expliquer à une femme vêtue.

Sans parler de tout le reste…

Et question d’ajouter une couche supplémentaire, voilà qu’il apprenait que Vic dansait ici ? Elle avait très certainement le physique de l’emploi, là n’était pas la question, mais elle était tellement brillante que jamais William n’aurait soupçonné que ce serait ainsi qu’elle mettrait le monde à ses pieds.

Manifestement, son visage ne masquait rien de son étonnement, car elle rectifia immédiatement la situation.

Dear Lord , pensa-t-il, faites-en sorte qu’elle n’ait pas eu peur que je glisse un billet dans son décolleté…

Il eut du mal à ne pas bégayer sa réponse.

« Angel ? Non, je ne l’ai pas vu ce soir. Elle fait généralement les troisièmes lundis du mois. »


Il se mordit la lèvre inférieure, réalisant à quel point il s’enlisait. Il en était à combien de bières, déjà, pour être devenu aussi lent sur ses patins ?

« Enfin, je crois, hein ? C’est…une amie à toi ? »

S’il s’agissait bien de la même Angel qui travaillait ici. La Victoria qu’il connaissait jadis était bien capable de simplement tout inventer cela pour le faire tourner en ridicule. Elle réussissait d’ailleurs merveilleusement bien à ce niveau-là. Elle avait toujours été tellement futée.  

Poursuivant sur sa lancée, elle lui rendit la politesse en lui demandant ce que lui faisait ici. Il n’était définitivement qu’un pion qu’elle déplaçait à sa guise sur son échiquier.  

Aucun mensonge ne le sauverait de cette histoire-là. Il allait devoir encaisser le coup. Quel était le pire qui pouvait lui arriver, de toute façon ? Un sourire en quelque part entre ‘narquois’ et ‘méprisant’, puis un ‘aurevoir, William, c’était bien te revoir’ ?

Étonnamment, alors qu’il contemplait cette possibilité, il réalisa à quel point il souhaitait l’éviter. Ils s’étaient connus au High School. Même si les événements avaient pris une tournure inattendue depuis, cette période avait existée. Se défiler à nouveau, comme la dernière fois où leur route s’était croisée à nouveau, en 2017, revenait un peu à tenter d’en effacer la trace. Il n’avait simplement aucune idée de comment débuter à bâtir un pont cohérent entre le passé et le futur.

Et encore moins de la réciprocité d’une telle volonté.  

Il désigna néanmoins du menton la table où se trouvaient ses collègues.

« Avec les gars du bureau, on a pris l’habitude de venir ici pour changer d’air quand les semaines deviennent trop lourdes. »

God that sounded awfully wrong…

« Depuis les Pandora Papers, les journées sont plutôt longues pour tout le monde... »

Maintenant que c’était dit, cependant, il espérait pouvoir rattraper la donne. Tâche olympienne à proprement parler, et il comprenait maintenant pourquoi : comment pouvait-il espérer initier une conversation sincère avec une femme dans ce lieu ?  

En prenant le taureau par les cornes.  

« Je… je suis content de te voir, Vic. Enfin, mis à part le fait que ça met en lumière une partie de mes mœurs que je réalise maintenant être franchement questionnable. Ça fait vraiment longtemps, et la dernière fois où on s’est vu, je trouve que j’ai été exagérément froid… Même si la situation était un peu bizarre… Bref : je suis à peu près un enfoiré, mais toi, comment vas-tu ? »



@Victoria Lahey
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Victoria ne ressent aucune honte à se trouver ici et ne se pose même pas la question de savoir ce que William va pouvoir en déduire de son côté. Il est tellement évident, à ses yeux, qu’il y a une explication parfaitement logique à sa présence que l’ambulancière n’envisage pas une seconde qu’il se dise qu’elle est, comme toute autre personne, là pour se rincer l'œil. Et si c’était le cas, en aurait-elle vraiment honte ? La démarche est un peu désespérée, certes. Malgré sa vie sentimentale à l’image du Sahara depuis plus d’un an, Victoria n’en est pas encore arrivée au point de venir voir des jeunes femmes se dénuder pour le plaisir des yeux mais peut-être qu’elle devrait. Peut-être qu’elle devrait essayer de rallumer la flamme, essayer de ressentir le moindre désir pour une autre personne que son ex fiancée.
Ses pensées s’égarent bien trop vite vers elle et la jeune femme secoue la tête pour en revenir à son interlocuteur, se retenant de rire à la réponse qu’il lui livre. C’est bien plus précis que ce à quoi elle s’attendait, William la prend un peu de court mais ça l’amuse beaucoup de l’imaginer chaque soir en ces lieux. Enfin, l’amuser n’est peut-être pas le meilleur mot, elle ne sait pas trop ce qu’elle est censée en déduire. Si elle est censée en déduire quoi que ce soir, car ce que fait William de sa vie ne la regarde plus depuis bien longtemps. « T’es le patron ou tu as étudié les lieux ? » Demande-t-elle d’un ton enjoué, un sourire au coin des lèvres. Vic pense le connaître (encore) suffisament pour tirer la conclusion qu’il n’est pas tout-à-fait à l’aise et sa lèvre qu’il vient triturer le confirme. « Non, tu sembles la connaître bien mieux que moi. » Elle accompagne sa remarque d’un clin d'œil, espérant qu’il ne voit aucun jugement dans ses mots, puis le lâche du regard pour observer par-dessus son épaule les gens qui les entourent. Pas d’Angel.
Il va peut-être falloir envisager de laisser ses affaires à un collègue ou l’autre et faire demi-tour, plutôt que de mettre son ex petit-ami dans une situation inconfortable, où il cherche à justifier sa présence au Nirvana. Bien sûr, cela l’oblige à questionner l’homme et le personnage qu’il est aujourd’hui mais ça ne veut certainement pas dire qu’elle juge ses choix. L’eau a coulé sous les ponts et, outre le fait qu’il a été marié et est maintenant divorcé, l’ambulancière ignore tout de la vie du New-Yorkais. Victoria n’a pas la moindre idée des événements qui font de lui ce qu’il est aujourd’hui et se permettrait pas de tirer une conclusion par sa simple présence dans un club de striptease, où elle se trouve elle-aussi par la force des choses.
« Les pandora papers? » La référence ne lui dit absolument rien mais autant dire que Vic ne s’est jamais réellement intéressée à l’actualité, outre celle concernant l’avancée médicale. La question lui permet aussi de ne pas réagir, verbalement, au fait que sa présence ici soit une habitude. Elle ne voit pas ce qu’elle pourrait émettre comme commentaire, quoi qu’il en soit.
La paille à nouveau entre les lèvres pour siroter son cocktail, Victoria sourit lorsqu’il commence par lui dire qu’il est heureux de la voir mais doucement, ses sourcils se froncent à la suite de son discours. Certe, il a choisi de faire d’elle une parfaite inconnue lorsqu’ils se sont retrouvés face-à-face en 2017, accompagné de son ex femme, mais Victoria ne s’est pas faite prier le suivre dans son jeu. « J’aurais pu choisir de ne pas te suivre et tout lui dire. C’est faute partagée, ne t’en fais pas pour ça. » Dit-elle nonchalante, levant doucement les épaules pour accompagner le geste à la parole. Le mensonge lui vient malheureusement naturellement et les échecs ne lui permettent pas encore d'en tirer une leçon. « Quant-à tes mœurs… Tu n’as pas de compte à me rendre. Je ne juge pas. » Peut-être, un peu. Elle essaie de l’imaginer glisser quelques billets dans les sous-vêtements des jeunes femmes ici présentes mais Victoria n’y parvient pas. L’image ne lui vient pas, il va peut-être falloir rester pour le voir à l’action. Ou fuir, pour ne jamais penser à lui, la main dans la culotte d’une stripteaseuse.
Elle réfléchit un instant à sa question, envisageant de lui déballer tout ce qu’elle a sur le cœur, faute d’avoir pu le faire avec quelqu’un d’autre. Lui parler de cette dernière année, passée le cœur brisé. De ces derniers mois à lutter contre une foutue maladie, pour ne même pas réussir à être heureuse de se savoir cancer-free, parce que cet enfoiré lui a pris sa chance d'être mère un jour. Au lieu de quoi, elle tire sur sa paille pour boire une bonne partie de son verre et lui adresse un sourire. « Ca va. J’ai arrêté ma résidence en chirurgie générale, il y a un peu plus d’un an, pour devenir ambulancière en février dernier. C’est un autre rythme. » On s’en tient aux faits, au professionnel. C’est bien aussi. « Je ne te retiens pas plus longtemps, je crois que tes collègues désespèrent pour leurs bières. » Ses yeux glissent machinalement sur le plateau auquel elle fait référence puis sur la table qu’il lui a désigné un peu plus tôt. Le contexte ne se prête pas à de grandes confidences, se tenant comme deux idiots au milieu de la pièce qui s’animent un peu plus à chaque minute.
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« Mais non, arrête, je t’assure que tu ne me retiens pas! Mon patron est un enfoiré qui me refile absolument tous les dossiers compliqués que personne ne veut gérer dans l’espoir que je me casse la gueule. Ryan, le blondinet à sa gauche, ne m’adresse la parole que quand on se retrouve au Nirvana. L’autre, le petit jeune, c’est le stagiaire de mon équipe, il n’a pas son mot à dire sur quoi que ce soit. Tu parles que je ne suis pas pressé de les retrouver. Attends… »

Le plus horrible de l’histoire, c’est que tout ça était à peu près vrai… Depuis son arrivée à Boston, la reconstruction d’un cercle social était loin d’être sa priorité. Il passait du temps avec ceux qui pouvait lui apporter quelque chose. Point barre.

Cette approche avait été crucial afin de lui permettre de prendre ‘les bonnes’ décisions, lorsque les opportunités se présentaient. En échange de quelques envies occasionnelles de se défenestrer…

But eh…

S’accoudant au bar, il demanda brièvement à Indigo d’envoyer quelqu’un porter la commande à sa table, en glissant un billet de 20$ dans sa direction. Puis il se retourna vers Victoria.

« Laisse-moi au moins t’accompagner le temps que tu termines ton verre ? J’ai manqué ma chance il y a 4 ans, Dieu seul sait quand se présentera la prochaine si je te laisse encore filer comme si t’étais la troisième voisine de mon bloc appartement.»

En cette période de sa vie où son présent émotionnel se limitait quasiment aux quatre insipides attablés plus loin et où sont futur prenait inexorablement la forme d’un trou noir, honorer l’existence d’une période franchement bénie de son passé, ne serait-ce que le temps d’un demi sex on the beach, valait tout l’or du monde.

Pas dans l’espoir de ranimer les flammes (ça lui viendrait un peu plus tard, cette idée) mais bien simplement parce qu’ils avaient vécus des choses importantes, de belles choses, ensembles. Avec les années qui passaient, il réalisait toute la richesse et l’importance de ces souvenirs.

Il tira un tabouret qui était glissé contre le bar pour Victoria, avant de prendre place sur son voisin.

« Alors, les Pandora Papers, c’est en fait la plus importante ‘fuite’ de données à ce jour provenant de paradis fiscaux, avec nom et informations bancaires de ceux qui en ont profité. Et il y a pas mal de dossiers qui proviennent de ça qui se sont retrouvés sur nos bureaux…  »

L’Internal Revenue Service estimait que l’évasion fiscale coûtait pratiquement mille milliards de dollars aux américains. De quoi financer une bonne partie du plan d’infrastructure de Biden.

« Mais honnêtement, à moins que tu te sois soudainement mis à t’intéresser à la finance ou à la politique, c’est super ennuyant. Revenons à des trucs plus importants. Est-ce que j’ai bien compris ? Tu as arrêté ta résidence ?»

Pour être honnête, même si elle lui avait nonchalamment lancé la chose, ça lui avait fait l’effet d’une bombe, à William. Depuis qu’ils se connaissaient que la médecine constituait l’objectif ultime de Vic. C’était clairement son ‘X’. Ça l’habitait avec une passion admirable. Heck, c’était même pour poursuivre ce rêve que William l’avait encouragé à aller à Harvard. Si les choses tournaient mal, il croyait qu’elle pourrait toujours se retrouver un autre homme encore plus formidable que lui pour poursuivre sa vie. Mais il savait que jamais elle ne retrouverait une passion comme celle que la médecine et la possibilité de soigner des gens représentait pour elle.

« Qu’est-ce qui s’est passé, Vic ? T’es la femme la plus intelligente que j’ai rencontré…»

C’était d’ailleurs une de leur inside à l’époque, chacun prétextant que l’autre était le cerveau du couple. Le débat, ayant la fâcheuse tendance à dériver vers des arguments impliquant des aspects non-linguistiques de la langue, n’avait toujours pas trouvé de résolution.

« … et depuis que je te connais, c’est ton rêve le plus sincère de pratiquer la médecine. Ça me fait drôle de savoir que tu es passé à autre chose… »

Pourtant, il s’y connaissait bien, en volte-face existentiel… Chaque jour le rapprochait de son gangster de grand-père, dont il avait juré de devenir la némésis…



@Victoria Lahey
(William Bennett)


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Par dessus l’épaule de William, Vic observe les collègues qu’il lui présente un-à-un, avant de reporter son attention sur le jeune homme, non sans un sourire. La manière dont il s’exprime à leur sujet l’amuse beaucoup, même s’il est dommage pour lui de ne pas s’entendre mieux avec ces derniers. Stoïque, l’ambulancière attend qu’il s’adresse au serveur pour leur faire porter leur commande et hoche positivement la tête lorsqu’il offre de l’accompagner le temps qu’elle termine son verre. Ce n’est pas forcément dans un tel lieu qu’elle s’imaginait un jour avoir une conversation avec William, mais s’il y a bien une chose qu’elle a appris au cours de ces dernières années, c’est bien qu’il faut laisser place aux imprévus. « Dis pas n’importe quoi, je vois ma voisine beaucoup plus souvent. » Dit-elle pour le taquiner, avant de s’installer sur le tabouret qu’il lui désignait.
Le bras posé sur le bar, Victoria penche doucement la tête alors qu’elle étudie son premier petit-ami plus qu’elle ne l’écoute, pour être tout-à-fait honnête. Il n’a plus grand chose de l’adolescent qu’elle a connu à New-York et la réciproque est certainement vraie. Les gamins, la tête pleine de rêves, qu’ils étaient ont dû grandir, encaisser les coups et si Victoria ignore les détails du chemin parcouru par William, elle n’a aucun doute sur le fait qu’il a lui aussi eu droit à son lot d’embûches. Le fait qu’il n’ai pas perdu sa passion, lorsqu’il parle de ce sur quoi il travaille, fait plaisir à voir. Elle n’a cependant pas le temps d’émettre le moindre commentaire, de lui signaler qu’elle a, en fait, faillit épouser la fille de McCarthy et s’est donc intéressée, malgré elle, de plus près à la politique, parce qu’il la questionne déjà sur l’abandon de sa carrière. Celle-là même dont elle rêvait assez pour le laisser, lui, à New-York. Si elle s’est vexée, à l’époque, qu’il la pousse à prendre son envol, déduisant que le jeune homme ne l’aimait pas assez et souhaitait mettre 340 kilomètres entre eux, Vic lui a été reconnaissante avec le recul. Cela lui a permis de poursuivre son rêve, dans l’université de son choix, et même si tout ceci est à présent derrière elle, elle n’en est pas moins heureuse d’avoir vécu ces quatorze années à Boston.
L’ancienne résidente ne peut s’empêcher d’avoir un rire amère lorsqu’il lui dit être la femme la plus intelligente qu’il connaisse, alors qu’elle a en fait enchainer des erreurs plus stupides les unes que les autres. La liste est longue, trop longue, pour lui la dresser et puis si Will le pense, Vic n’a peut-être pas envie de lui dévoiler son vrai visage et voir son avis changer. C’est pourtant pour une infime partie de la vérité qu’elle opte, comme si elle avait au fond besoin d’être jugée pour ses crimes. « Je n’ai pas vraiment eu le choix, en réalité. J’ai fait une erreur et je n’ai rien dit en pensant pouvoir m’en sortir. Échec et maths. » Elle hausse doucement les épaules, et concentre son attention sur son verre pour ne pas avoir à lire la déception dans ses yeux. « Ca me plait, ce poste d'ambulancière. Ce n'est pas pas ce dont je rêvais mais on compose avec ses erreurs. » Elle ajoute, comme si cela comblait l’arrêt complet de sa résidence et les douze années d’investissement mise dans celle-ci. Si seulement sa carrière était sa seule erreur, Victoria s'estimerait chanceuse.
« Et toi alors ? Qu’est-ce que tu deviens ? » Car en dehors de son divorce, et le fait qu’il se rend régulièrement en ces lieux, Vic ignore tout du jeune homme face à elle, n’ayant pour éléments que son passé. « Je peux en reprendre un où le temps qui m'est imparti est écoulé ? » Elle demande en désignant son verre vide, pour faire référence à son invitation à se joindre à elle le temps qu'elle termine. « Je prendrai mon temps, cette fois, mais tu peux t'échapper à tout moment. » La tête risque de lui tourner très rapidement si elle descend le deuxième tout aussi rapidement mais rien ne force William à l'accompagner jusqu'au bout de ce dernier.
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William Bennett

Âge : 35
Lieu de naissance : New-York, bien qu'ayant des origines albanaises
Quartier d'habitation / Colocation : Downtown Boston. Avec Erza
Situation sentimentale : Célibataire
Études / Métier : Enquêteur du FBI
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Infos ⊹ L'un des plus jeune et plus prometeur enquêteur du bureau du FBI à Boston. Spécialisé dans les crimes financiers et la corruption. Anciennement homme de famille, ce volet de sa vie s'écroule suite à son divorce. Il est maintenant rendu à mettre le feu à sa vie et à ses valeurs pour voir jusqu'où s'élèvera le brasier. De plus en plus addict au pouvoir, il joue maintenant un double jeu dangereux avec ceux que sa profession voudrait mettre derrière les barreaux.


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Février 1989 ⊹ Naissance à New-York. Sept 2007 ⊹ Accepté à Columbia en finance (New-York). Octobre 2012 ⊹ Engagé au FBI, section crimes financiers (New-York). Août 2014 ⊹ Il se marie avec sa fiancée, rencontrée à Columbia (New-York). Décembre 2018 ⊹ Il se divorce. Janvier 2019 ⊹ Obtient une promotion et est transferé à Boston. Février 2019 ⊹ Emménage avec sa soeur, Bisha (Boston). Octobre 2019 ⊹ Trouve son propre appartement (Boston).
Octobre 2021 ⊹ Retourne habiter avec Bisha (Boston).


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Warnings : WARNING // concernant (William) Langage occasionnellement abusif. Partage des vues politiques très à droite. Référence à la religion catholiqueTRIGGER // refuse de jouer ; L'extrême violence. Des actes sexuels explicites. Discutons-en au préalable.
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t139889-william-bennett-liam-hemsworthFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t139928-william-bennett-let-s-play-the-game-shall-weComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t141523-the-hunger-in-my-soul-w-bennett
« Oh… »

Cette histoire, ou plutôt, le synopsis un peu morose de cette histoire, le prit par surprise. Il n’allait pas se mentir – il ne pensait pas souvent à Victoria. Leur histoire remontait pratiquement à une décennie en arrière, après tout. Pourtant, à chaque occasion où il s’accordait un moment pour honorer la mémoire de leur histoire, que ce soit par élan de nostalgie ou à cause de circonstances lui rappelant cette période de sa vie, jamais il ne se l’était imaginé autrement que médecin.

De savoir que non seulement ce n’était pas le cas, mais qu’en plus, cela ne relevait pas de son ressort, ça lui fendait le cœur. La vie malmenait sans égards tout-un-chacun, mais ça n’enlevait rien à la tragédie de ce rêve fauché en plein vol…

Face à l’amertume évidente de Victoria, il se sentait si impuissant. Il aurait souhaité la prendre dans ses bras, mais il ne faisait plus partie de ceux qui jouissait de ce privilège. Il dût donc se contenter de ce ‘oh’ qui, à défaut d’éloquence, ne manquait nullement de sincérité. Et de comprendre le signal de changer le sujet de conversation. He was now on the outside looking in, and some things were not for him to know.

« Je n’ai absolument rien devant moi, je t’assure – j’ai même promis à Vanessa que je resterais pour son numéro de clôture, après le last call. Je suis ici pour un moment, donc.»

C’était techniquement faux : il ne savait pas qui exactement faisait le numéro de clôture.

Réalisant que la barmaid était partie préalablement avec l’intégralité de sa commande, incluant sa propre bière, il se retourna vers cette dernière, maintenant revenue à son poste, pour commander un sex on the beach et un G&T.

« Ça te va si je te l’offre ? », demanda-t-il poliment avant de se lancer dans le vif du sujet.

« Je travaille pour le FBI, maintenant. Pratiquement depuis que je suis sorti de Colombia, en fait. Je suis enquêteur sur l’équipe anti-corruption. Mon dada, ce sont les crimes financiers. Je suis déménagé sur Boston il y a presque trois ans, pas longtemps après mon divorce… »

Malgré des heures de pratiques devant le miroir, il ne parvenait toujours pas à prononcer le mot ‘divorce’ nonchalamment. À chaque fois, c’était de redonner vie à cet échec. À la fin d’une ère.

Néanmoins, il guetta sa réaction. Elle était probablement au courant de l’autre côté de l’histoire, étant amie avec son ex-femme…


« Et parce que je suis maintenant un adulte épanoui, quand je ne passe pas mes nuits ici, j’habite chez Bisha depuis quelques mois. »

Il ne tenta guère de masquer le sarcasme avec lequel il traitait de sa situation. Ça faisait un peu mal quand même de constater à quel point ces quelques phrases résumaient à merveille trois années entière de vie…

Au moins, sa vie professionnelle se portait à merveille. Right ?

« À ma défense, elle traversait une mauvaise passe et avait besoin de compagnie. »

William marqua une pause alors que leurs verres arrivaient, durant laquelle il remercia Indigo.

Et pour une des rares fois de sa vie, il ne sut quoi ajouter. Il se contenta bêtement de la regarder, perdu entre le ‘small talk’ de circonstances des adultes qu’ils étaient devenus et la grande connivence perdue de ces trois années d’adolescences.
(William Bennett)


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Le « Oh… » de William concernant son erreur résume plutôt bien celle-ci. Oups. Raté. Quatorze années d’investissement, de sacrifices, de nuits blanches. Quatorze années à sacrifier sa vie privée au profit de sa vie professionnelle - bien que celle-ci ne l’ai pas entièrement empêché de vivre -, pour tout effacer d’une stupide erreur, résultant elle-même d’une garde interminable. Vic ne doit pas être la première à passer par là et sans doute que le tout aurait pu être marqué d’un simple avertissement, si la résidente avait choisi l'honnêteté. Elle a, malheureusement, eu l’occasion de se refaire en boucle le film qui a mené à sa perte pour en tirer toujours la même conclusion ; On ne refait pas le passé.
Cela vaut autant pour sa carrière, ses fiançailles, que pour l’homme qui se tient devant elle. Peu importe à quel point elle a pu lui en vouloir, à l’époque, de briser son cœur d’adolescente, Victoria sait aujourd’hui qu’elle a eu beaucoup de chance de ne pas être tombée sur un homme prêt à faire passer ses besoins avant ceux de sa petite-amie. Carriériste jusqu’au bout des ongles, c’est pourtant l’amour qui a toujours dicté les plus grandes décisions de sa vie et l'ambulancière sait que s’il avait cherché à la retenir, elle ne se serait pas faite prier pour rester. New-York, Columbia. Elle n’a même pas envie de s’imaginer à quoi aurait pu ressembler sa vie, car malgré le nombre incalculable d’échecs, Victoria ne changerait pour rien au monde le court de sa vie.
D’un hochement de tête, elle répond à Will qui lui signale avoir promis à l’une des danseuses d’assister au numéro de clôture, confirmant un peu plus ses habitudes en ces lieux. Comme un poisson dans l’eau, c’en est presque perturbant. C’en suit le récit de résumé condensé de sa vie. Le point d’arrivée, sans le fil conducteur, parce que ce n’est peut-être ni le moment ni l’endroit pour entrer dans les détails, alors qu’ils ignorent tout du parcours de l’autre. On ne rattrape pas quinze années sur dix minutes, c’est indéniable. « Félicitations. C’est ce que tu voulais, non ? » Le FBI, pas le divorce. Victoria n’a d’ailleurs pas loupé la difficulté avec laquelle il a prononcé ce dernier mot et ne peut s’empêcher de revoir son amie, lorsqu’elle le lui a annoncé. Étrange décision de déménager dans la ville où sa femme est installée, lorsqu’elle n’est plus sienne, mais malgré sa curiosité piquée à vif, Vic ne pose pas de question.
« Oh wow. La pauvre, son grand-frère sur le dos sept jour sur sept. » Dit-elle pour le taquiner, avant de lui adresser un clin d'œil. Enfant unique, il est impossible pour elle de s’imaginer la situation ni si ça lui ferait plaisir, ou extrêmement chier, d’avoir son frère dans les pattes. « Elle va mieux ? » Vic demande, avant de tourner la tête vers la serveuse qui place leur verre sur le bar.
« A quoi souhaites-tu trinquer ? » Ces retrouvailles, sans avoir à prétendre qu’il n’a pas été responsable de ses premiers émois? Les verres cognent et cette fois, Victoria n’en boit qu’une petite gorgée avant de le poser à nouveau. « J’ai été mariée également. Un étudiant en médecine, devenu un brillant chirurgien. » En bonne voie pour le devenir, du moins. Victoria a bien assez maudit son ex-mari et est à présent en paix avec ce chapitre de sa vie, fière de l’homme qu’est devenu Gabriel. « Et fiancée, une deuxième fois. J’ai fui deux semaines avant le mariage. » Victoria grimace et récupère son verre pour tirer une nouvelle fois sur sa paille, dans l’espoir de faire passer ce qui lui obstrue la gorge. Les regrets et les remords s’empilent, concernant ce pan de sa vie sentimentale, mais Vic ne s'étale pas, souhaitant juste partager avec lui ses échecs et, peut-être, lui faire remarquer qu’un divorce n’en est pas toujours un. Ils sont jeunes et en droit de se tromper, et recommencer, jusqu’à ce que les pièces du puzzle s'assemblent.
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Il y a un vieil adage qui dit qu’il faut se méfier de ce que l’on souhaite, de crainte que ses vœux se réalisent. Depuis son adolescence, William rêvait de laisser sa marque sur le monde. En bien. Montrer à son grand-père qu’il pouvait mettre son ingéniosité et son dévouement au service de la collectivité et rendre le monde durablement meilleur. Le FBI lui avait offert un tremplin inégalable pour faire valoir ses talents. Durant ces années, il était parvenu à déjouer plusieurs stratagèmes parfois vicieux, parfois pernicieux, toujours monstrueux dans l’étendue des dommages qu’ils causaient. Il était vraiment doué pour faire ce qu’il faisait, et cette sensation de parvenir à concrétiser son potentiel lui apportait une indéniable sensation de bien-être.

Mais pourtant, chaque soir, il assistait avec impuissance aux multiples démonstrations médiatiques de l’effondrement du tissu social, alimenté par la haine, l’individualisme et l’avarice. Il se sentait alors aussi utile qu’un pansement pour enfant à l’effigie de Mike Wazowski pour gérer une rupture aortique…  

« Oh, oui, c’est vraiment ce que je voulais. C’est super exigeant, mais j’ai besoin de ça. De devoir sortir le meilleur de moi-même à chaque jour. J’aurais peur de m’éteindre à petit feu sans ça. Surtout maintenant. »

Maintenant que les autres sphères de sa vie achevait de s’étioler.

Il s’esclaffa brièvement lorsque Victoria pris le partit de sa sœur.  

« Ah, tu parles! Elle gagne son ciel, la pauvre, à me supporter comme ça. Elle va un peu mieux, au moins. Le temps guérit bien des choses. D’ici quelques mois, elle reprendra son envol comme si de rien n’était. »

Il se retrouva ensuite avec la délicate mission de choisir le premier ‘toast’, dans un environnement qui n’inspirait absolument rien de convenable.

« Aux agréables hasards de la vie.

La suite de la conversation continua de prendre William au dépourvu. Avec une grande candeur, elle lui mentionna avoir été mariée, puis fiancée. Voilà qui achevait de fissurer le portrait idyllique dans lequel il se l’était imaginée depuis toutes ces années. La pauvre ne l’avait vraiment eu facile.  

« Oh, God, je suis navré d’entendre ça »

Comme lui quelques instants auparavant, il sentait que les cicatrices de cette dernière rupture n’avait pas encore terminées de se refermer chez Victoria. Heureux, en quelque part, qu’elle lui fasse encore suffisamment confiance pour lui partager les moments forts de son existence ainsi que sa vulnérabilité, il ne voulait pas se défiler. Il avait déjà utilisé la carte du silence poli, et Victoria valait mieux que ça. Il osa donc tenter de franchir le gouffre. C’est avec un léger sourire en coin, donc, qu’il relança.

« Quand tu dis avoir ‘fui’, est-ce que tu veux dire que tu as littéralement disparue ? Genre pris ta voiture, quelques vêtements de rechange, et POUF ? Faut vraiment que tu me prodigues des conseils! Après mon divorce, j’ai clairement fui New-York, parce que c’était difficile pour moi de continuer d’évoluer dans une ville où j’avais tant de souvenirs avec elle. Et le plus naturellement du monde, j’ai fui… à Boston! Entre toutes les destinations possibles, il a fallu que je choisisse la ville où elle habite. Et sais-tu le plus drôle de l’histoire ? »

Il marqua une pause pour prendre une gorgée et laisser monter la tension de sa petite anecdote.

« L’une des principales tensions de notre relation provenait justement du fait que je ne voulais pas quitter New-York pour aller la rejoindre. J’te jure! Et la première chose que je fais APRÈS le divorce ? ….  »

Il ponctua sa remarque en hochant la tête de gauche en droite, se moquant visiblement de lui-même. Avec raison.

«  Dans les faits, c’est que j’en ai eu marre que Boston ruine ma vie sentimentale et j’ai décidé de venir lui pourrir la vie, à cette ville. Depuis que je suis là, chaque fois que j’ai la chance…  »

Il se rapprocha d’elle afin de lui murmurer à l’oreille

…je jette mes pelures de banane dans la rue…  »

En se repositionnant correctement sur sa chaise, William posa son index sur ses propres lèvres, pour intimer Victoria de préserver son odieux secret.

Avec un peu de chance, la forme de cet aveu suffirait à lui rendre au moins une fraction de son sourire.
(William Bennett)


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La manière dont il parle avec ironie d’être un homme accompli est aussi déroutant que triste. L’être humain a beau chercher, sans cesse, la perfection, ils sont arrivés à un âge où ils se doivent d’accepter que celle-ci n’existe pas. Il y a toujours une fissure, un élément sur la route qui nous oblige à dévier de la trajectoire toute tracée que l’on s’était imaginé. Généralement, la vie s’équilibre d’elle-même et ne vous autorise pas à nager dans le bonheur ; lorsque tout va bien sur le plan personnel, c’est le professionnel qui s'effondre, et vice versa. C’est d’ailleurs dans cette catégorie que Victoria range Will qui semble, sincèrement, s'épanouir dans son poste au sein du FBI. Pour elle, c’est différent. C’est le tout qui s’est écroulé en l’espace de quelques mois et que la jeune femme tente, tant bien que mal, de raffistoler avec les moyens du bord. Tout ça pour dire que la New-yorkaise trouve dommage qu’il aie une image si négative de son parcours et de sa situation actuelle, même si c’est avec humour qui lui dessine la situation. Elle hoche positivement la tête et s’ose à appuyer sur la fin de sa phrase qui l’interpelle. « Maintenant ? » Pourquoi “surtout maintenant” ? Tant pis si elle met les pieds où il ne faut pas, William a toujours l’option d’ignorer complètement sa question.
« Je ne sais pas si on reprend un jour son envol, comme si de rien n’était. » Vic ajoute, penseuse, et s’humecte les lèvres. « On apprend juste à être heureux à nouveau, à composer avec son passé et ses erreurs. » On essaye, en tout cas, certains avec plus de succès que d’autres.
Un sourire aux lèvres, son verre claque contre celui de son premier petit-ami et Vic boit une gorgée avant de lui confier, sans entrer dans les détails, les deux plus gros échecs de sa petite existence, après son licenciement. Malgré elle, l’ambulancière est obligée de rire à la manière dont il l’imagine avoir fui ses responsabilités et hoche négativement la tête, sans l'interrompre. « Non ?! » Elle s’exclame, avant d’éclater de rire en posant un doigt sur ses propres lèvres, se laissant aller à la légèreté de la conversation malgré les sujets qui y sont abordés. « Ton secret sera bien gardé à mes côtés. Prie seulement que je ne me casse jamais la figure en glissant sur une peau de banane car tu seras mon suspect numéro 1 et je ne te lâcherai pas jusqu’à ce que tu paies pour tes crimes. Je suis extrêmement rancunière, si tu en doutes encore. » Faux. Victoria a toujours été de celle qui préfère oublier, tourner la page, plutôt que de broyer du noir et garder un individu en grippe. Il y a bien sûr quelques exceptions, quelques blessures qui ont mis plus de temps que d’autres à se refermer, mais tôt ou tard, la jeune femme fini toujours par laissé le passé au passé.
« C’est en Bolivie que j’ai choisi de m’isoler, pour six mois. » Là où elle a cherché à panser, sans succès, sa peine de cœur mais surtout à noyer sa culpabilité. Ni l’un ni l’autre n’avait réellement abouti mais le voyage reste à ce jour l’une des plus belles expériences de sa vie. « Pourquoi ne pas avoir essayé de recoller les morceaux, une fois ici ? Si ce n’est pas indiscret. » Il peut y en avoir mille, comme une seule ou encore aucune, mais Vic a un peu de mal à comprendre pourquoi il n’a pas cherché à retrouver sa femme, si la raison principale de leur rupture était la distance entre eux.
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