wilby | câlins du matin.

Tu n'étais pas venue dans l'optique d'un rapprochement physique ce matin. T'avais juste eu envie qu'il te prenne dans ses bras et d'un réveil tendre. Tu es une fille très tactile, t'as besoin de ça parce que t'en a manqué toute ta vie. Y a des choses que l'on ne contrôle pas, qui naisse naturellement et sans doute qu'après tout les moments que vous avez passé tout les deux ce n'est que la suite logique. Plus ça devient chaud entre vous et plus tu te demandes pourquoi tu essaies de résister. T'en as envie après tout. — Je m'attendais pas à te désirer autant. que tu lâches en le regardant dans les yeux. Il y a tes doigts qui se balade sur sa nuque alors que tu le trouves tellement beau. C'est comme si tu le voyais différemment ce matin. Quand il te dit qu'il adore baiser le matin, tu arques un sourcil. Après ce doux échange, le terme est violent. Tu penches la tête pour le scruter puis tu lâches simplement. — Ne fais pas de moi l'une de tes nombreuses conquêtes. T'as pas envie d'être une fille de plus pour lui. Coucher puis adios, toi tu n'es pas comme ça. Pas avec lui. Quand il finit par t'embrasser, tu y réponds avec envie. Douce délivrance qu'il t'offre. Tu dessers tes jambes et il peut reprendre son exploration sous ta nuisette. Tu mords sensuellement sa lèvre inférieur. Puis t'embrasses sa mâchoire, sa joue, son cou, jusqu'à son épaule.

Lorsque je l'entendis me dire qu'elle ne s'attendait pas à autant me désirer, j'en souris. Parce que cela ne m'étonnait pas : je fais tout simplement cet effet. C'était un risque qu'elle avait prit en venant se faufiler dans mon lit ce matin. Et il faut croire qu'elle venait de se bruler en jouant avec le feu. Pauvre petite. Je lui souris simplement, ne voulant pas dire de conneries. Bien que je savais que j'en dirais une tôt au tard. La preuve, avec le mot "baise". Je n'aurais peut-être pas du. C'était peut-être trop cru, trop direct, trop franc, pour ma petite Cass. Mais c'est tout moi, je parle sans réfléchir. Mais au moins j'ai le mérite d'être franc. "Veux-tu que j'arrête?" Demandais-je sérieusement. Parce qu'au fond, elle avait raison. Si on continuait, qu'en sera-t-il de notre relation par la suite ? Je l'apprécie réellement, et je ne veux pas perdre ce que nous avons réussi à construire. Mais en même temps, elle m'a tellement donné envie d'elle. De son corps. De ses baisers. La question étant : serais-je capable de rester le même que j'étais avant si nous allons jusqu'au bout ? Au fond, je ne voulais pas arrêter, ni qu'elle arrête ce qu'elle, pouvait faire.

Tu le sais de ton frère, Wilby n’est pas le genre à souhaiter revoir ces conquêtes. Il t’a dit de te méfier, seulement toi t’as jamais eu le sentiment qu’il était comme il te le décrivais. Alors ouais tu le regardes et t’as besoin de savoir qu’il ne va pas te traiter comme une simple conquête. Tu ne veux pas perdre ce lien fort qui vous unis tout les deux. Tu es cash alors tu lui fais comprendre. Pour toi c’est qui se passe entre vous c’est la continuité de votre relation hyper forte. Tu viens embrasser ces lèvres tendrement et le regarde dans les yeux. — Non. Tu as envie de lui c’est certain depuis de longues minutes, mais t’avais juste besoin de mettre les choses au clair. Il peut baiser qui il veut, mais entre vous c’est censé être plus fort que ça. Tu le fais basculer sur le côté et tu prends le dessus. Tu viens parsemer sa gorge de baiser brûlant puis sa clavicule puis tu descends dangereusement puis lui montrer que tu ne t’arrêteras plus.