Je ne l'avais toujours pas oublier, elle était six pieds sous terre mais elle était toujours là, présente en moi, elle me manquait juste terriblement. Je m'en étais remis, ça avait été dur, déprimé, l'envie manquante de vivre, rester seul n'avait jamais été bon, je fus entouré, Alexis, Freya, Georgia, Anastasiya, même Andy et Apple, j'allais mieux sans m'en rendre compte. Je n'avais rien de spécial à faire aujourd’hui à part rattraper ces semaines de cours que j'ai loupé à cause de mon état si pathétique et déprimant mais tellement logique. J'entendais frapper à la porte, je quittais mon canapé, écrasant ma cigarette dans le cendrier et j'allais ouvrir, c'était Aaliyah, elle avait l'air d'aller plutôt mal Liyah ? Ça va pas ? elle avait le regard baissé, je voyais bien qu'elle se retenait de pleurer, bizarrement c’est comme si je me retrouvais avec Freya qui n'avait pas hésiter à se blottir dans mes bras et pleurer tout ce qu'elle pouvait, j'avais été là pour elle et je sens que j'allais devoir être là pour ma brune adorée.Elle n'allait pas bien, je me demandais pourquoi était-elle là devant ma porte, le visage baissé, fixant le sol, je voyais tout de suite que la tristesse la rongeait. Décidément, à peine remit de la mort de Solweig, je me retrouve à réconforter à mon tour les autres, d'abord Freya puis là, Aaliyah, elle qui détestait se savoir faible et surtout qu'on puisse voir qu'elle l'est, pas de chance, je l'avais vu, elle ne pouvait pas le nier. Je lui demandais ce qui n'allait pas et elle se mit à pleurer en se blottissant dans mes bras, je la serrais alors qu'elle essayait d'ouvrir la bouche malgré toutes les larmes qui coulaient Je.. je suis désolé.. j'avais perdu Solweig, elle aussi, je me devais d'être là pour elle, maintenant plus que jamais. Je caressais ses cheveux, la réconfortant alors qu'elle continuait malgré cette petite voix chevrotante, elle se sentait coupable, la pire chose à se dire et je sais de quoi je parle, je me retirais légèrement d'elle pour prendre son visage entre mes mains et la regarder dans les yeux Tu n'es pas responsable Liyah... sors toi ça de la tête... je déposais un baiser sur son front avant de sécher quelques larmes qui coulaient avec mes pouces mais mon regard restait dans le sien, qu'elle sache que j'étais là quoiqu’il arrive pour elle.Je savais que je ne pouvais pas l'aider du mieux que je pouvais car je ne connaissais pas tout simplement les faits. Elle était là, dans mes bras, en pleurs, c'est tout ce que j'étais capable de faire pour le moment, la serrer, la caresser, la réconforter. J'étais désolé pour elle, apparemment une fille de sa confrérie s'est suicidée, à ce moment là je repensais à Solweig qui m'avait quitté en se pendant à la fin du SB mais je ne devais plus déprimer comme je l'avais fais, c'était au tour de Aaliyah, je devais me montrer fort, pour elle et aussi pour moi, car tout simplement je détestais être faible. Je venais prendre son visage entre mes mains, essuyer les quelques larmes qui coulaient le long de ses joues de mes pouces et la rassurer avec ma voix mais je savais qu'en ce moment ça fera peu d'effet J'ai traversé la même chose que toi il y a très peu de temps, je sais ce que sait même si les faits sont différents, arrête de te sentir coupable, ça t'aide pas.... du tout c'est tout ce que je pouvais faire, lui dire qu'elle n'avait pas à se sentir coupable. Puis elle venait retirer mes mains de son visage pour mettre les sienne sur le mien et me rapprocher d'elle pour m'embrasser, j’écarquillais les yeux, elle venait de me surprendre là, complètement, j'avais réussis à refermer la porte alors qu’elle me faisais avancer avec elle jusqu'à mon lit, elle quittait mes lèvres pour me dire de fermer ma gueule, elle ne voulait rien entendre, je crois que c'était son état qui lui jouait des tours, elle m'embrassait de nouveau et bizarrement je ne pouvais rien faire, ni même dire quoique ce soit.Je ne savais pas ce qui la prenait là, je ne devais pas poser de questions, je ne devais rien comprendre, Aaliyah venait de me surprendre, elle allait mal, elle était venu pour que je la réconforte mais je n'aurais pas penser qu'elle pense à ce genre de réconfortante. Elle me poussait jusqu'au lit, une fois allongé dessus, elle venait se mettre à califourchon sur moi et de reprendre aussitôt ses baisers, je ne pouvais quasiment jamais parler, elle prenait tout le temps mes lèvres entre les siennes, puis la voilà à retirer son t-shirt, j’aperçus sa poitrine recouverte d'une lingerie très sexy et très agréable visuellement puis je sens ses mains venir sous mon t-shirt, je ne comprenais plus rien, vraiment plus rien. Elle retirait mon haut, continuait ses baisers et venait passer sa main dans mon bas pour venir caresser l'entrejambe, je haussais les sourcils, mes yeux s’écarquillaient à moitié, elle voulait vraiment le faire ? Liyah... disais-je entre deux baisers, j'essayais de parler mais elle était prise d'une envie qui la faisait s'acharner sur ma bouche et mon corps T'es sur de ce que tu fais là ? j’essayais mais elle semblait continuer, à ne pas m'écouter, je venais passer mes mains sur ses hanches, je fermais les yeux, c'était dur de résister.Je ne la comprenais pas, elle était venu en pleurs jusqu'à chez moi et la voilà maintenant à vouloir passer cette barrière, ne plus être vierge, elle voulait que je la dévergonde mais j'avais céder avec Alexis car j'allais mal et j'avais besoin de la retrouver comme avant mais là, céder une seconde fois, jamais je n'aurais cru dire ça mais c'était mal, je ne voulais plus ré-avoir cette réputation, sauter sur tout ce qui bouge. Elle ne voulait pas que je parle, elle voulait qu'on ferme nos gueules et qu'on le fasse et même quand je trouvais le moment de parler, de lui demander si elle était sur de ce qu'elle faisait, elle ne niait pas puis la voilà à retirer sa main de mon entre-jambe et d'enlever son soutien-gorge, elle le voulait vraiment et j'avais du mal à résister lorsqu'elle se collait de nouveau à moi et qu'elle m'envahissait de baisers. Mes mains venaient se coller à ses fesses, je ne devrais pas mais je le fais, je continue à l'embrasser, l'envie monte, c'est mal, je vais vraiment faire en sorte qu'elle ne soit plus vierge, je replonge dans ce cercle, le sexe, ce plaisir qui n'a pas de fin.