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TW • American Nightmare •• Romy

2 participants
Wendy Witter

Âge : 27
Lieu de naissance : Boston, mais j'ai voyagé dans le monde entier.
Quartier d'habitation / Colocation : Boston, dans le centre, un loft au dernier étage.
Situation sentimentale : libre, sans attache et trop gourmande.
Études / Métier : PDG de Witter Industries.
Date d'inscription : 26/07/2021
Pseudo & Pronom(s) IRL : Leeloo. (elle)
Icon : TW • American Nightmare •• Romy  - Page 2 QrfJaIq
Faceclaim : Riley Keough
Crédits : Leeloo
Multicomptes : Haiwee, Ellie, Junior, Miya, Taylor et Enola
Description (1) :
Les griffes sorties, je m'agrippe.TW • American Nightmare •• Romy  - Page 2 Gm3PdRf

Fille d'une actrice célèbre et d'un producteur chez Universal Pictures. Médiatisée depuis sa naissance. Petite chérie de l'Amérique. Visage de sa propre marque de cosmétique et beauté depuis l'âge de seize ans ; WW. Créatrice de mode. Naturellement rousse, adore ses cheveux de feu. Vit dans le luxe. Ne boit pas d'alcool, seulement du champagne lors de ses apparitions publiques. A perdu son meilleur ami d'enfance à l'âge de 14 ans, suite à une overdose. Elle hait les drogues.
Affreusement riche. Veut toujours plus développer sa société. Diplômée en biologie, désire s'attaquer au monde de la médecine. Défile pour la marque Balmain, a une passion pour les Louboutin. A voyagé dans le monde entier. Maitrise l'art de la manipulation à la perfection. Se vante de ne pas posséder de coeur ni de sentiment. Elle se fera toujours passer en premier, égoïste comme on ne le voit que rarement.


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Description (2) :
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Description (3) : Sheng →
Dan →
Willow →
Dale →
Ford →
Milo →
Kristofer →
Lyssandre →
Wade →

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SHENDY

Warnings : Relations conflictuelles. Manipulation. Persécution. Brimades.
Langage cru. Sexe. Sexualité précoce.
Rejet de grossesse. Avortement.
Légère dépression.

RPS : 538
Messages : 3978
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Wendy Witter
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I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t136915-wendy-witter-riley-keough#5630822Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t149551-leeloo-repertoire#6493029Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t137326-wendy-one-girl-is-more-use-than-twenty-boysProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t137866-meetsachussets-wild_wendy#5695699

American Nightmare
@Roman H.-Abbott
31 10 2021 •• Perkins Hotel.

L’adorer, le détester, c’est un leitmotiv qui est devenu presque éternel, depuis le temps. Un refrain, vraiment. Un truc qu’on garde en tête, qui assourdit les tympans. Un chien, un chat, le prédateur et la proie. Et il y a tout qui explose, encore une fois. Dans ma vie, je n’ai pas d’énormes traumatismes, de choses qui viennent me perturber, qui arrivent à me hanter. Peu si ce n’est rien, mais il y a eu cette nuit et je n’étais qu’une enfant. Et le souvenir est toujours aussi cuisant. Alors, l’alcool, ce n’est que très peu que je parviens à le supporter. Je le tolère parce que je sais, que lors de cette soirée, la drogue s’en est mêlée. Malgré le fait que je tente de relativiser, clairement la colère, elle est déjà en moi, dans tous les pores de ma peau, elle dégueule de moi. « Ajoute une heure. » Oh je t’en prie, ça n’a pas duré si longtemps, et je ne retiens un « Menteur. » véhément. A l’inverse de toutes les fois, où je lui ai glissé cette insulte détournée, sans réellement la penser.

Et me voilà, debout, face à ce lit, prête à hurler sur lui. Seulement l’électricité semble vouloir jouer avec nous dans ce taudis. Le courant ou bien ces fameux esprits. J’en cligne des paupières, plusieurs fois, et je l’écoute tandis qu’il semble s’installer sur le matelas. « T’es pas belle à voir quand tu t’énerves. Même l’hôtel a préféré fermer les yeux. » J’en crache un soupir enragé, quand je m’entends lui répondre sans attendre plus d’une seconde. « Très drôle. » Si lui semble à l’aise, ce n’est, pour ma part, pas du tout le cas. Parce que d’une, il se pourrait, si je mettais mon égo de côté, que je sois en train de paniquer. Perdre le contrôle. Ne plus savoir définir l’espace dans lequel je suis en train d’évoluer. Et rester foutrement figée. Totalement paralysée. C'est un pêlemêle dans ma tête, les pensées n'arrêtent pas de s'entrechoquer. Mes lèvres, je les mords fortement, je les torture, en ayant l’envie de les faire saigner, avant de balancer. « Je ne vois rien, putain. » L’aveu me donne la nausée, je n’ai pas mes lunettes et ma vue ne veut pas s’adapter. « Je t’interdis de jubiler. » Dans le noir, je ne suis qu’une gamine qui ignore comment briller. « Manquerait plus que t’aies pris un cachet. » Quand je me sens vulnérable, pour me défendre, je ne sais qu’attaquer.
egotrip


(Wendy Witter)




I am not a muse
I am the somebody
End of fucking story.

「R」
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Invité
A son “menteur”, je lève les yeux au ciel. On ne doit pas évoluer dans la même bulle spatio-temporelle. Preuve en est que j’ai eu le temps de prendre un verre avec Jessie et un, bien moins chaleureux, avec Orphéa. Je ne prends même pas la peine de contrarier Madame-je-veux-toujours-avoir-le-dernier-mot, parce que le temps passé séparés n’est pas le vrai fond du problème. A mes yeux, il n’y en a pas de fond, d’ailleurs. A croire que la PDG ne peut vivre sans me prendre la tête à intervalle régulier. C’est son essence. Sauf que là, je ne suis pas d’humeur à la laisser ravitailler, frustré qu’on se soit arrêté en si bon chemin après qu’elle ai choisi de me traîner à l’étage.
Mon sourire s’élargit un peu plus à son “très drôle” parce que même exaspérée, je suis sûr que Wendy sait qu’il y a une petite part de vérité. Si elle n’était pas aussi bornée, elle pourrait en rire avec moi au lieu de continuer son cinéma. Sans y voir grand chose, je commence à apercevoir sa silhouette et me laisse tomber en position allongée, en appui sur les coudes. Je pourrais allumer la lampe de poche de mon téléphone, chose à laquelle Witter n’a pas pensé, mais quel intérêt si c’est pour se prendre la tête? A sa respiration, je devine qu’elle n’est pas aussi à l’aise qu’elle le voudrait et sa réflexion me le confirme. Si une part de moi en est bien trop amusé, malgré son interdiction, l’autre a envie de lui attraper la main pour mettre fin à cette dispute et son malaise. Redressé, le bras tendu dans sa direction, je l'effleure quand ses mots viennent me heurter. Des couteaux dans le dos, et peut-être l’un d’un directement en plein cœur. J’en reste bouche bée plusieurs secondes, renvoyé plusieurs années en arrière face à des examens effectués en laboratoire et un résultat incontestable. La médecine plutôt que ma parole. La fin de ma carrière, mais aussi de ma vie de famille. Mes poings se serrent autour des draps alors que je sens la crise de panique arriver. La dernière date mais je n’en ai certainement pas oublié l’impression d’être pris dans un étau, à suffoquer. Respire, putain. « Va te faire foutre. » Les mots sont étouffés, je peine à les sortir alors que dans ma tête, j’hurle. Une nouvelle inspiration, j’expire lentement et me relève du lit que je tâte pour récupérer mon masque, qui pourrait tout aussi bien être par terre. « Ton putain de traumatisme ne te donne pas tous les droits. » Et s’il y a un point sur lequel je n’accepte pas d’être attaqué, c’est celui-là. Elle devrait le savoir. « Pour la peine, j’vais aller m’en resservir un à ta santé. » Ou à celle de ton pote. Je l’ai sur le bout de la langue mais je parviens à la fermer pour limiter les dégâts, ce qu’elle n’a pas été capable de faire. C’est de la pure provocation, alors que je la contourne pour quitter la pièce, abandonnant l’idée de mettre la main sur la partie la plus importante de mon costume.
(Invité)
La Doyenne

Âge : 57
Lieu de naissance : Boston
Quartier d'habitation / Colocation : mon bureau, j'y vis, y a quoi.
Situation sentimentale : mariée, bien entendu
Études / Métier : doyenne de l'université la plus prestigieuse au monde
Date d'inscription : 29/12/2011
Pseudo & Pronom(s) IRL : -
Icon : TW • American Nightmare •• Romy  - Page 2 VGUnHBxM_o
Faceclaim : viola davis
Crédits : polaroid paper (avatar) et prima luce (icon)
Multicomptes : x
Description (1) : TW • American Nightmare •• Romy  - Page 2 Giphy
Warnings : WARNING // concernant (personnage) écrire iciTRIGGER // refuse de jouer ; écrire ici

RPS : 6614
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La Doyenne
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'Dé étage 3' :
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(La Doyenne)
Wendy Witter

Âge : 27
Lieu de naissance : Boston, mais j'ai voyagé dans le monde entier.
Quartier d'habitation / Colocation : Boston, dans le centre, un loft au dernier étage.
Situation sentimentale : libre, sans attache et trop gourmande.
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Affreusement riche. Veut toujours plus développer sa société. Diplômée en biologie, désire s'attaquer au monde de la médecine. Défile pour la marque Balmain, a une passion pour les Louboutin. A voyagé dans le monde entier. Maitrise l'art de la manipulation à la perfection. Se vante de ne pas posséder de coeur ni de sentiment. Elle se fera toujours passer en premier, égoïste comme on ne le voit que rarement.


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SHENDY

Warnings : Relations conflictuelles. Manipulation. Persécution. Brimades.
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Wendy Witter
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American Nightmare
@Roman H.-Abbott
31 10 2021 •• Perkins Hotel.

Dépasser les limites, tirer sur le fil, prête à le faire céder. Le rendre dingue, peut-être pour mieux l’aimer. Masochiste dans l’âme parce que c’est lorsqu’il s’énerve que j’en viens à encore plus l’adorer. L’essence de cette relation qui me bouffe depuis des années. Mais rassurante parce que des tempêtes, on en a essuyé. C’est toujours que l’on se retrouve sur l’oreiller. « Va te faire foutre. » Je les prends comme une claque, ses mots. Et malgré cela, j’entends combien ils sont étranglés. A quel point je l’ai touché. Et je me tairais sur le fait que ça m’écorche aussi, c’est vrai.

Alors dans le noir, toujours, je l’entends se relever. Ce n’est même pas d’un centimètre que je me permets de bouger. Encore sous le joug du goût de son insulte. C’est encore plus que je me renferme lorsque lui exulte. « Ton putain de traumatisme ne te donne pas tous les droits. » C’est une affirmation qui va dans les deux sens ça. Même si j’ai appuyé sur le sien volontairement… « Pour la peine, j’vais aller m’en resservir un à ta santé. » Sauf que sa provocation, je ne prends pas le temps d’y répondre, lorsque j’entends taper derrière moi, à la porte de cette chambre de malheur, et que j’en hurle un énervé « C’est occupé. » ne prenant même pas la peine d’aller vérifier si quelqu’un, derrière s’y est réellement pointé. Et je répète, pleine d’une aigreur que je ne cache pas. « Va te faire foutre ? » Comme si ce n’était pas possible qu’il vienne de le prononcer, à croire que de le dire moi-même ça me permet de l’assimiler. « Je pensais qu’on était là pour ça. » Réflexion faite, j’en crache un faux rire, tant la situation me débecte. « Si tu sors de cette chambre, » j’avise en levant la main, une promesse prononcée certainement en vain, « je ne te courrais pas après. » Ce soir, mais aussi après, il n’y aura pas de débarquement chez lui avec du chinois, d’excuses de ma part même déguisées, il y a des limites qui ont été dépassé, peut-être que passé le cap des sept ans, ça devient trop compliqué. Comme dans les véritables relations, pas vrai ?

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(Wendy Witter)




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Les disputes ont toujours rythmé notre relation et je pense, sincèrement, qu’on s’ennuierait sans celles-ci. Elles sont l’essence même de notre lien, ce qui nous permet de souvent s’éloigner pour toujours mieux se retrouver. Pourtant, malgré toutes les vacheries qui ont déjà pu claquer dans l’air, il y a des mots à ne pas prononcer. Des limites invisibles à ne pas franchir, et nous en sommes l’un comme l'autre conscient. Ce soir, je ne sais pas si elle l’oublie involontairement ou si, au contraire, Wendy souhaite juste appuyer là où ça fait mal. L’un comme l’autre, le résultat, lui, est le même. Je suffoque et me bat contre l’envie de refermer mes mains autour de son cou afin qu’on soit sur un pied d'égalité. Encore assez lucide pour connaître mes limites, je garde mes distances et fronce les sourcils lorsque quelqu’un vient s’inviter à la porte de notre chambre. C’est occupé, mais plus pour longtemps. Adieu cette promesse de rentrer comme nous sommes venus, main dans la main. La manière dont elle finit sa soirée m’indiffère à présent, à condition que ce soit loin de moi.
« Tu m’as coupé toute envie. » De parcourir son corps, ou même d'y poser les yeux. Je remercie les lumières qui ont décidé de nous abandonner il y a plusieurs minutes déjà et qui l’empêche de voir à quel point elle a planté sa flèche au centre. Contrairement à la croyance populaire, il n’y a pas que la vérité qui blesse, car je n’ai jamais touché à quelconque forme de drogue. Si l’idée ne me révulsait pas, je serais presque tenté d’inverser la tendance afin d’être accusé à raison. La main sur la poignée de la porte, je m’arrête à sa menace et me tourne, sourcil arqué, en attendant la suite de celle-ci. N’a-t-elle pas encore compris que m’interdire de faire quelque chose est exactement ce qui va me pousser à le faire? Comme un gosse à qui on demande de ne pas mettre sa main sur le chauffage afin de ne pas se brûler. Il fera l’erreur avant d’apprendre. Dans le cas présent, je ne sais même pas s’il s’agit d’une erreur. Peut-être qu’il est temps que ça s’arrête, avant que l’affection qu’on se porte soit occultée par la colère, ou pire. « Vaut mieux pas que t’essayes sur ces talons. » La dernière provocation, pour la route. Pousser le vice et prétendre que ce qui vient de se passer ne me touche pas plus que ça. Le couloir est vide lorsque je passe la porte de la chambre et j’hésite à crier que la place est à présent libre pour qui est tenté de passer une aussi bonne soirée que la mienne. Seulement je ne voudrais pas, non plus, qu'il lui arrive quelque chose après un abandon dans une pièce sombre et lugubre. « Félicitations, t'as foutu en l'air une bonne soirée pour un verre. » Le mot de la fin. Je referme la porte et dévale les escaliers pour retrouver la salle de réception dans laquelle je récupère un shot sur un plateau. Il est cadeau, celui-ci, Witter. Du courage en liquide pour quitter les lieux et rentrer, n’ayant plus aucune envie d’être là.

RP TERMINÉ.
(Invité)

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