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Après une partie de ce jeu interdit, je pars à la recherche de Dutch d’avec lequel je me suis séparée, pour quelques minutes seulement, histoire de profiter chacun de son côté, en couple mais pas obligés d’être en permanence collés. Et même si la jalousie m’a légèrement titillée, ce n’était que pour mieux le retrouver. Alors je vacille dans les décors horrifiques de l’endroit, jusqu’à me diriger vers ce que je crois être l’extérieur, une envie de prendre l’air et de pallier les possibles maux du cœur.
Et mon regard se posera sur son dos, aimanté, faute d’une presque année à l’apprivoiser. Je ne saurais dire depuis combien de temps la soirée a commencé, mais lorsque je me glisse dans son dos, à son oreille, sensuelle, je vais murmurer. « Dis-moi, Cooper, ça te dirait d’aller voir à quoi les chambres peuvent ressembler ? » Que tes mains abîment ce maquillage que j’ai mis tant de temps à réaliser, maintenant qu’on a tous les deux fait mumuse avec les autres invités, j’estime qu’en terme de sociabilité, j’ai assez donné. Et c’est à un autre passe-temps, beaucoup plus plaisant, que j’ai envie de m’adonner.
Lorsqu’il se retourne, je soulève le masque avec délicatesse, seulement pour le plaisir d’atteindre ses lèvres et les souligner des miennes, possessivité marquée, face au regard de celle qui partage avec lui, à présent, une fonction qui me file la nausée. Crache mon venin à la suite de ça, toute sourire, pour glisser « Sympa le déguisement, » alors que les mots je ne les pense pas, déplore sa banalité, et vomis sa peau halée, l’exotisme qu’elle peut dégager. Et entrelace mes doigts à ceux de mon amant, pour nous traîner vers les chambres du deuxième étage, mais je nous arrête dans le couloir, avant. Les phalanges qui jouent sur la fermeture éclair de cette veste en cuir, « Ca commence à faire beaucoup de garces brunes à détester. » l’innocence dans le timbre de mes dires, encore une fois, en train de sourire.
Et mon regard se posera sur son dos, aimanté, faute d’une presque année à l’apprivoiser. Je ne saurais dire depuis combien de temps la soirée a commencé, mais lorsque je me glisse dans son dos, à son oreille, sensuelle, je vais murmurer. « Dis-moi, Cooper, ça te dirait d’aller voir à quoi les chambres peuvent ressembler ? » Que tes mains abîment ce maquillage que j’ai mis tant de temps à réaliser, maintenant qu’on a tous les deux fait mumuse avec les autres invités, j’estime qu’en terme de sociabilité, j’ai assez donné. Et c’est à un autre passe-temps, beaucoup plus plaisant, que j’ai envie de m’adonner.
Lorsqu’il se retourne, je soulève le masque avec délicatesse, seulement pour le plaisir d’atteindre ses lèvres et les souligner des miennes, possessivité marquée, face au regard de celle qui partage avec lui, à présent, une fonction qui me file la nausée. Crache mon venin à la suite de ça, toute sourire, pour glisser « Sympa le déguisement, » alors que les mots je ne les pense pas, déplore sa banalité, et vomis sa peau halée, l’exotisme qu’elle peut dégager. Et entrelace mes doigts à ceux de mon amant, pour nous traîner vers les chambres du deuxième étage, mais je nous arrête dans le couloir, avant. Les phalanges qui jouent sur la fermeture éclair de cette veste en cuir, « Ca commence à faire beaucoup de garces brunes à détester. » l’innocence dans le timbre de mes dires, encore une fois, en train de sourire.
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