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Simply a good time | ft Edie

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26.09.2021 | @Edie Reuben | Ca ne faisait pas très longtemps que j’étais installé ici avec Keelan, mais notre appartement ressemblait enfin à quelque chose. Bien sûr, il nous restait encore un peu d'aménagement à faire, des meubles à acheter, de la décoration à repenser, mais tout était désormais fonctionnel, et les cartons vidés et débarrassés. L’appartement ressemblait enfin à un endroit habitable, à quelque chose qui nous ressemblait, à lui et moi, à un endroit cosy, où on pourrait grandir, s’épanouir. L’ancien appartement, celui que je partageais avec Dahlia ne me manquait pas une seule seconde depuis que j’avais emménagé ici. Bien sûr, une partie du mobilier me rappelait un peu cette partie houleuse de mon passé, mais pas une seule fois je n’avais eu peur de franchir la porte d’entrée depuis que j’étais ici, pas une seule fois, j’avais eu peur de me faire engueuler ou frapper pour quelque chose qui aurait été mal rangé, ou pour des courses qui n’avaient pas été faites. Non, Keelan n’était pas comme ça. Au contraire, c’était un véritable amour, et je savais que de toute façon, sa sœur, comme la mienne, veillait sur nous. Ce qui me paraissait parfois inutile, tant j’étais confiant sur cette décision. Tout se passerait bien.

Les premiers jours avaient tout de même eu leur lot d'inattendu, d’imprévus, le temps que les choses se mettent en place entre nous. Qu’on se fasse au rythme de chacun, notamment le sien maintenant qu’il était étudiant à Harvard. Nos marques plus ou moins prises, le reste se faisait naturellement, même sur les aller et venues dans l’appartement, entre les visites de ses adelphes, son petit-ami, mes ami.es. Un message pour ne pas inquiéter l’autre, pour éviter les quiproquos, et tout allait bien. Je l’avais donc prévenu, malgré le fait qu’il soit au travail, de la visite de ma meilleure amie, Edie, et de la mini-elle qui partageait sa vie. Je me faisais une véritable joie de les accueillir ici, chose que j’avais rarement fait à l’époque où je vivais avec mon ex-petite-amie, pour éviter toute crise de jalousie mal placée. Mais désormais, ce n’était plus un problème.

Journée passée aux fourneaux pour nous préparer un vrai repas, il ne restait que le dessert à faire, mis en stand-by pour le moment, pour permettre à Louise d’y participer, sachant combien la petite fille aimait ce genre d’activité. Sonnette qui tinte dans l’appartement, je ne perds pas de temps à aller ouvrir la porte, prenant immédiatement Edie dans mes bras, grand sourire aux lèvres pour les saluer, elle et Louise. « Coucou les filles ! Je suis tellement heureux de vous voir ! Venez, entrez ! » Je me décale pour ne pas gêner le passage, refermant la porte derrière elles, débordant d’énergie.
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La semaine avait été particulièrement mouvementée car un nouveau rythme devait être pris. En effet, Louise était rentrée en première année de maternelle et si cela changeait bien des habitudes qui se devaient d'être modifié. Beaucoup plus fatigué en fin d'après midi que l'an passé, ta poupée s'endormait rapidement une fois la nuit tombé. Ajouté à cela un changement dans ton emploi du temps afin d'être présente le plus possible pour ta gamine. Tu sais que Elias s'adaptait à cette nouvelle cadence mais tu sais qu'il était en couple et tu ne voulais pas trop lui demander non plus. Un sujet de discussion dont tu ne préfères pas trop aborder le sujet. Tu avais tenté d'en discuter avec  ton frangin mais sa réticente était on ne peut plus catégorique. « Maman, je peux appuyer sur la sonnette ? ». l'interrogation de Louise te ramène précipitamment à la réalité. Tu la considères d'un sourire tendre tout en hochant la tête et moins d'une minute plus tard, c'est  Gael qui vient vous ouvrir la porte un grand sourire sur les traits.  « Tonton Gael ! ». une exclamation de la part de ta petite puce qui s'accompagne d'un élan afin de serrer ton meilleur ami dans ses petits bras. Elle s'engouffre dans l'appartement la première, en vous attendant à l'entrée de la première pièce. « Je suis contente de te voir aussi. ». Dis-tu au jeune homme avant de le serrer à ton tour dans tes bras. « Tiens, ça c'est pour toi. ». Tu lui tends alors un paquet cadeau.
@Gael J. Dinkley
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@Edie Reuben | J’avais longtemps attendu ce moment, celui où je pourrais à nouveau inviter les gens que j’aime chez moi, sans avoir de comptes à rendre, ou subir de crises de jalousie sur la place qu’ils occupaient dans ma vie. Que ce soit concernant ma famille, mes sœurs, mes ami.es, cela faisait bien longtemps que je n’avais pas invité quelqu’un à dîner, simplement, juste pour le plaisir de partager un bon repas ensemble, de discuter, d’échanger. Et quel bonheur c’est de pouvoir recevoir Edie et Louise dans ces conditions, surtout après tout le soutien que la londonienne m’avait octroyé sur les derniers mois, sur les moments de doutes, de peines, de souffrances. Je n’oublie aucune des discussions que nous avons eues ces derniers mois, aucun des mots et gestes d’encouragement qu’elle a eus à mon égard, m’aidant à sortir la tête de l’eau, à prendre une décision pour avancer, et songer à mon bonheur. Si j’en suis là, c’est sans aucun doute parce qu’Edie m’y a aidé. Définitivement la meilleure amie qu’on pouvait rêver d’avoir.

Louise est la première à me prendre dans ses bras lorsque j’ouvre la porte. Une étreinte que je lui rends, veillant à ne pas trop serrer mes bras autour de son petit corps. Un bisous sur le haut de son front, elle me contourne et entre la première dans l’appartement. Je salue ensuite Edie par une étreinte bien plus longue et affective avant de déposer un baiser sur sa joue. « Oh ! Edie, t’étais vraiment pas obligée ! Mais merci ! » J’étais déjà excité, mais maintenant que les filles étaient là, j’étais juste euphorique. Je défais le paquet pour en découvrir le contenu avec une certaine impatience. Un enfant à Noël, c’était mon humeur tout de suite ! Je découvre quelques objets pour l’appartement qu’il nous manquait. Elle n’aurait pas pu viser plus juste ! « C’est parfait Edie ! On commençait à en avoir vraiment besoin ! Merci ! » Nouveau câlin pour la remercier, j’attrape ensuite sa main. « Viens, je te fais visiter ! Louise, tu viens avec nous ? » Je tends mon autre main à la petite fille qui accourt rapidement vers moi pour la saisir. Je guide les demoiselles dans l’appartement, dont la visite est plutôt rapide. On est loin des appartements luxueux que peut offrir la ville, mais on avait notre petit chez nous, Keelan et moi, suffisamment grand pour nous permettre d’avoir chacun notre intimité, avec un loyer raisonnable. La visite terminée, on retourne dans le salon, et je regarde Louise avec un grand sourire. « Tu viens m’aider à préparer le dessert ? »
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La distance n'a jamais été un quelconque problème au sein du lien amical que vous aviez tissés au fil des années. Vous communiquiez toujours aussi bien, toujours proches et complices bien entendue. Tu savais que Gaël avait enfin fini par trouver un appartement en colocation et surtout apprivoiser le tout nouveau chapitre de son existence. Il était courageux, et il le méritait mieux que personne. Le voir heureux c'était une chose importante à tes yeux. Tu lui tends un petit cadeau d'une parce cela ne se fait pas de venir les mains libres mais surtout et avant tout parce que cela te fait plaisir. Tu avais pensé à quelques babioles dont on a tous besoin lorsque l'on emménage et puis tu lui présentes enfin une petite plante, un bonzaï. « Et voici Popeye, tu pourrais compter sur lui pour t'écouter en cas de besoin. ». Lui dis-tu en le considérant d'un clin d'oeil avant de poursuivre. « Je t'en prie, c'est normal et puis ça me fait plaisir. ». Tu le serres à ton tour dans tes bras avant qu'il ne prenne ta main pour te faire le tour des lieux, invitant Louise à vous rejoindre par la même occasion. La curiosité de ta fille ne fait pas prier pour vous rejoindre dans la foulée et elle va prendre l'autre main de ton meilleur ami. Le logement n'est pas très grand mais d'une ambiance cosy, agréable et lumineuse qui ressemble pleinement au jeune Dinkley. Tu ne connaissais pas encore son colocataire mais le plus essentiel et que tout se passe bien pour les deux amis. « Ton appartement est superbe et en peu de temps vous avez réussis à en faire ce que vous vouliez, bravo. Je suis heureuse pour toi Gael ! ». Louise tape dans ses petites mains, sourire aux lèvres avant de donner son propre avis. « Moi j'adore la vue et la chambre de tonton ! ». tu esquisses un sourire tendre et amusé à l'attention de ta poupée tandis que vous rejoignez le salon. « Tu as prononcé la phrase qu'il ne fallait pas pour une gourmande née, Gael ! ». « Oui mais mais je me suis bien améliorer dans les desserts pas vrai maman ? ». La petite voix mélodieuse de Louise t'arrache un énième sourire avant que tu opines du chef. « Exactement. Il faut dire qu'on s'est pas mal entraîné cet été pas vrai ?! ». a votre retour de vacances, tu avais dû occupé Louise durant les derniers jours avant la reprise de l'école et l'art culinaire a été l'une de ses options.
@Gael J. Dinkley
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@Edie Reuben | Je regarde la petite plante qu’elle me tend. Un bonzaï, déjà nommé. De quoi ajouter encore un peu plus de vie à l’appartement, et me responsabiliser. Comme pour les animaux de compagnie, je n’avais jamais trop osé posséder de plantes chez moi, de peur de ne pas savoir m’en occuper dignement. Mais étant donné qu’il s’agit d’un cadeau de ma meilleure amie, j’allais bien évidemment faire tout le nécessaire pour qu’il soit préservé pendant des années, et qu’il puisse lui aussi s’épanouir ici. Je le dépose sur la table du salon, au soleil. Bon, il faudrait que je me renseigne sur ce qu'il lui faudrait comme lumière et eau au quotidien pour lui trouver aussi un emplacement parfait. « Merci ! C’est parfait. Mais ça ne m’empêchera pas de t’appeler toi quand j’en ai besoin, tu sais ? » Elle était souvent la première à qui je pensais, quoique je traverse, dans les grands moments d’inquiétudes comme d’euphories, et pour rien au monde je ne voulais changer ça, cette complicité entre elle et moi. « Même si ça sera pas désagréable d’avoir quelqu’un avec qui parler au petit déjeuner quand Keelan ne sera pas là. » On avait pas toujours le même rythme, entre le bar, et puis ses cours et ses activités sportives à lui. On faisait souvent le nécessaire pour manger ensemble quand c’était possible, se racontant alors nos journées, discutant de tout et rien; mais certains jours, c’était vraiment trop la course dans nos emplois du temps pour.

Les mains des deux demoiselles dans les miennes, je leur fais un rapide tour des lieux pour qu’elle puisse se repérer et se sentir à l’aise. L’appartement n’a rien d’extravagant, ni d’espace en trop, mais il était cosy, et suffisamment abordable pour mon colocataire et moi. De retour dans le salon, je reçois les félicitations de mon amie, qui, je le sais, est sincère dans ses propos. D’autant qu’elle sait combien j’ai souffert la dernière fois que je me suis installé avec quelqu’un. Et même Louise semble apprécier les lieux. « Ah ! Donc y aura pas de caprice pour aller à la sieste la prochaine fois que je vais te garder alors. » Je taquine et chatouille un peu la petite fille qui rit à pleine gorge, alors qu’elle était loin d’être si capricieuse.

Le temps que l’heure du dîner arrive, je leur propose de faire le dessert ensemble, activité que j’avais mise de côté, parce que je savais combien Louise aimait ça. Et ça ne manque pas. « Ne t’en fait pas, je savais très bien la réaction que j’allais provoquer. » Parce qu’avec le temps, je connaissais aussi bien la mère que la fille. « C’est la période rêvée pour ça. Vous aviez tout le temps nécessaire. » Je les accompagne jusqu’à la cuisine, me lave les mains, et aide Louise à faire de même, en la taquinant un peu à nouveau.  « D’ailleurs, tu ne m’as pas raconté, comment c’était l’Espagne ? » Avec tout le chamboulement du déménagement, j’avais à peine eu le temps de la voir depuis la rentrée.
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tu souris en entendant les paroles de ton meilleur ami, cela te réchauffe le cœur car tu as toujours essayé de répondre présente pour les proches de ton entourage. Amical ou familiale, tu as cette fibre de générosité qui tend à disparaître avec les temps actuels mais c'est surtout et avant tout dans ta propre nature. Et même si bien souvent le bonheur et le bien être des autres passent avant le tien, ce n'est pas grave c'est le bien commun qui se doit d'être avant toute chose. « Ouais je le sais bien et tu peux quand tu veux, si je peux t'aider de mon mieux alors c'est important. ». C'est vrai, de manière réciproque, tu as toujours pu compter sur tes deux meilleurs amis masculins que cela soit Gaël ou encore Iwan mais ta nature intérieure te pousse à intérioriser. Tu hoches lentement la tête lorsqu'il t'explique que c'est toujours agréable d'avoir une personne à qui parler même lorsque son colocataire n'est pas présent. « Oui j'imagine que cela ne doit pas être toujours simple pour synchroniser au max vos emplois du temps respectifs ... ». Tu en savais quelque chose quand bien même tu étais un as de l'organisation pour tout gérer mais aussi pour permettre à Elias de voir sa fille. « D'ailleurs, il fait quoi de beau dans la vie Keelan ? ». Une interrogation pas vraiment emplit de curiosité, c'était juste à titre informatif mais tu respecterais la décision de Gaël s'il ne voulait rien te dire.

Rapidement, le Dinkley vous fait faire le tour du propriétaire – comme on dit – afin de vous faire découvrir son nouveau lieu de vie. Tu l'en complimentes car en peu de temps le résultat est à l'image de la personnalité de ton meilleur ami – mais également de son colocataire. Bien évidemment, Louise ne se prive pas pour dire quelle est sa pièce favorite et Gael la coince au pied du mur. Elle se dandine d'un pied sur l'autre avant de sourire et d'opiner du chef. « Non c'est promis mais avec un peu de musique alors ? ». Un rire mutin et tout en douceur qui te fait toujours autant fondre. A croire qu'elle a hérité cela de son père. Une pensée qui te fait un peu plus divaguer vers des pensées qui te rendent un peu moins souriante l'espace d'une fraction de seconde. La proposition de ton comparse de toujours est alors bienvenue pour te tirer de ta songerie un peu trop prononcé ces derniers temps. Qui dit gâteaux et sucrerie, apporte le vent de gourmandise chez ta poupée qui a déjà hâte de se mettre au travail. Tu donnes un léger coup de coude au jeune homme avant de vous rendre à la cuisine. « Ouais des après-midi entière et ma sœur et mon frère étaient aux premiers loges pour nous donner leurs avis. ». « Trop ! Tante Jill a même pris quatre kilos et elle s'est mise en colère contre tout le monde ! ». Confie alors la gamine tout en rigolant de bon cœur. C'est vrai que cet épisode était drôle à voir. Tu te laves les mains à ton tour et réponds à la question de ton meilleur ami tout en t'essuyant les mains. « C'était cool. Disons que c'était court mais j'en ai bien profité ! C'était quelque chose d'aller là-bas, vraiment. ». De bons souvenirs tourbillonnent dans ton esprit alors que tu poursuis. « Tiens d'ailleurs j'ai ramené quelques bouquins pour préparer notre voyage en Argentine, je me suis dit qu'on pourrait y jeter un œil ? ».
@Gael J. Dinkley
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@Edie Reuben | C’est sans la moindre once de méchanceté ou de reproche que je taquine la londonienne. A aucun moment elle ne m’avait tourné le dos dans notre amitié, qu’importe ce que je traversais, ou ce qu’elle traversait elle-même. Elle avait été un soutien infaillible dès le jour où nous nous étions lié d’amitié. Et pas un jour ne passait sans que je bénisse cette rencontre si douce et bienveillante. Alors certes, une plante, aussi belle soit-elle, jamais ne pourrait prendre sa place, mais, il était certain qu’elle pourrait m’aider à me sentir moins seul, parce que je savais qu’en la regardant, mes pensées se dirigeraient instantanément vers ma meilleure amie. Et puis le matin, j’avais souvent le temps de me laisser aller dans mes pensées, alors celle-ci pourrait être plus que rassurante. « A l’origine, il travaille avec moi au Lord Hobo. Mais il est entré à Harvard cette année pour étudier la biologie. » C’est avec une certaine fierté que je parle de Keelan, que je n’avais pas encore eu le temps de présenter à mon entourage. Même si ma sœur, Shannon, le connaissait déjà. Il faut dire que Keelan et moi, ça avait aussi rapidement matché, sûrement grâce à nos jeunes âges, à nos côtés enfantins, et parce que j’avais l’impression d’avoir un petit frère quand j’étais avec lui. Des points communs partagés, et une certaine complémentarité pour le reste qui faisait sûrement qu’on s’entendait si bien, et que cette colocation puisse fonctionner sans trop de catastrophe.

Les lieux visités, on revient dans le salon, où je taquine la petite fille qui semble avoir du mal à trouver quoi dire. Elle était loin d’être difficile à vivre, mais comme tous les enfants qui grandissaient, la sieste devenait quelque chose de plus en plus compliqué à mettre au programme. De même que la faire dormir ailleurs que dans sa chambre. Ca avait été compliqué parfois, de la faire dormir dans mon ancien appartement, peut-être parce que moi-même je n’y étais plus si à l’aise, mais j’espérais que désormais, cela ne serait plus un souci. « On mettra de la musique oui. » Je fais un grande sourire à Louise avant de l’inviter elle et sa mère à une activité, qu’elles apprécient un peu plus. Et elles en profitent pour me raconter leurs vacances, les activités auxquelles elles se sont adonnées cet été, et les conséquences qu’elles ont provoquées. « Wouah, effectivement, vous avez dû beaucoup cuisiner. La gourmandise c’est vraiment une affaire de famille chez vous ! » Je ris avec elles, mais je suppose qu’avec un peu de sport les effets de la gourmandise disparaîtraient rapidement. Edie continue sur la suite de ses vacances, une partie passée en France, chez les grands-parents paternels de Louise, et une autre en Espagne, avec une amie. Et de là, nous repensons tous les deux à l’Argentine que nous souhaitons visiter, et dont on avait rapidement parlé jusqu’à maintenant. « Bien sûr ! Mais je vais vouloir tout visiter et tout voir. Ca va être dur de faire un choix. » Je n’y avais jamais remis les pieds depuis mon adoption, mais, j’avais envie de découvrir cette partie de moi qui me manquait, de renouer avec ce qui aurait dû être mon chez moi, avec cette langue et cette culture auxquelles je continuais de m’attacher, et qui pourtant étaient désormais anecdotiques dans ma vie actuelle. « Du coup tu en a profiter pour travailler ton espagnol ? » Là au moins, on savait qu’on ne serait pas embêté.

Mains lavées et manches retroussées, je sors tout le nécessaire pour préparer un gâteau au chocolat plutôt simple, guidant au fur et à mesure Louise dans les étapes de la recette en compagnie de sa mère, avec qui je m’occupe des étapes les plus complexes et dangereuses pour une petite fille de son âge.

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Vivre en colocation n'est pas toujours chose facile, c'est même parfois une expérience qui change l'existence. Depuis ton arrivé à Boston, tu vis en colocation avec ta fratrie et deux amis à ton grand-frère et tout se déroule bien. Une véritable collectivité s'est créée tout naturellement et l'ambiance demeure bon enfant même avec l'arrivée de Louise quelques années plus tard. Tu demandes alors à ton meilleur ami ce que fait le fameux Keelan dans la vie. « Woah, la biologie c'est une sacré matière ça. En tout cas, je suis contente que tout se passe bien pour vous. ». Lui dis-tu tout en lui souriant alors que vous revenez en direction de la cuisine après avoir visité l'ensemble du logement. A l'entente de la confirmation du jeune Dinkley, ta poupée lève le pouce en l'air avec un grand sourire alors qu'elle lui raconte que ta sœur cadette à pris quelques kilos en mangeant vos cadeaux durant les dernières vacances. Tu lèves alors les yeux au ciel tout hochant de la tête en une réponse positive. « Mh, je crois être la moins gourmande même si je suis loin de me privé. ». Dis-tu en ricanant car ton entourage le sait bien, tu es loin de te priver de nourriture bien au contraire. Tu aimes bien manger quand cela te donne envie surtout. Gael t'interroge alors sur ta semaine de vacances et tu lui fais un bref résumé car cela t'avait fait du bien. Tu en profites également pour mentionné le pays dont t'es originaire ton meilleur ami. Il y a quelques mois, il t'a parlé de son envie de visiter l'Argentine et c'est tout naturellement que tu lui as proposé de l'accompagner. Tu adores les voyages, cela te rappelle la période de ton adolescence où tu voyageais bien souvent. C'est pourquoi tu avais apporté plusieurs revues et bouquins sur le tourisme du pays et les diverses activités à faire. Tu esquisses un sourire amusé à la dernière question du brun et tu lui réponds. « C'est une langue que je parlais couramment avant donc je pense que ça devrait le faire ! « . bien évidement, tu avais prévu de revoir certaines bases avant le grand départ cela valait de soit. Une fois les mains propres, vous vous mettez tous les trois à l'ouvrage. C'est passe temps agréable qui te remémore de bons instants et cela te permet de songer à autre chose. Un laps de temps qui est le bienvenue dans ton esprit un brin tourmenté en ce moment. Après une bonne petite demi-heure, voilà le dessert mis au four. « Et voilà ! Tu veux que l'on t'aide à autre chose ? ».
@Gael J. Dinkley
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@Edie Reuben | Il n’y a rien qui puisse me faire regretter cette colocation avec Keelan. En plus d’être un collègue, il était devenu un ami de confiance au cours de l’été et les choses entre nous se passaient merveilleusement bien. On s’était rapidement apprivoisé, su trouvé notre rythme et notre place dans notre quotidien. Certes, il y avait eu quelques accidents ou imprévus, mais on y avait fait face avec le sourire, dans une bonne humeur communicative motivée par le sourire du jeune homme. Le meilleur colocataire que je puisse espérer, sans aucun doute, avec qui je pouvais même partager l’inquiétude de nos sœurs aînées. Et même ça, ce n’était pas rien. Alors quand je parle du jeune homme à Edie, l’enthousiasme est bel et bien au rendez-vous. Il faut dire que j’avais en plus de ça une très haute estime de mes amis. « Oui. Mais qu’importe la matière, Harvard c’est une sacré aventure quoiqu’il arrive.» Je ne regrettais pas de ne pas avoir poursuivi mes études à ma sortie du lycée. Après tout, c’était ce que j’avais choisi, ce que je voulais, mais je restais impressionné par celles et ceux qui avaient poursuivi leurs études, notamment à un si haut niveau. La londonienne le savait d’ailleurs, tant je lui avais partagé mon admiration pour mener à bien ses études et sa maternité.

Nous migrons dans la cuisine où de quoi préparer un dessert pour le dîner nous attend. Une recette simple pour permettre à Louise de participer à presque chacune des étapes. Le genre de moment simple que j’aime par-dessus tout. Une piqûre de rappel pour me souvenir que le bonheur pouvait être partout, pour peu qu’on soit bien entouré. Et difficile d’être mieux entouré encore aujourd’hui. Un lavage de mains plus tard, on s’y met, mené par l'enthousiasme de la petite fille qui ne se lasse visiblement pas de participer à ce genre de tâches, même après un été chargé en gâteaux d’après ses dires et ceux de sa mère. L’occasion pour elles de me raconter leurs vacances, et d’envisager les prochaines. Je l’avais déjà évoqué avec Edie, mais l’envie d’aller en Argentine, de refouler la terre de mes origines me travaillait depuis un moment, sans pourtant oser me lancer. Mais Edie, toujours si avenante et aventureuse était prête à m’y pousser, et plus encore, à m’y accompagner. Un projet encore loin d’être concret, mais qui me motivait grandement.

Le dessert mis au four, nous n’avons plus qu’à attendre que celui-ci cuise doucement, et que l’heure du dîner se rapproche pour mettre également le plat à réchauffer. « Non, j’ai tout préparé dans la journée. Y a plus qu’à faire réchauffer ou cuire un peu ! Mais on a encore un peu de temps devant. » Pour moi, on avait toute la soirée, voire même toute la nuit. Bon, pour le bien d’une petite fille, on essaierait de ne pas trop tarder quand même. « On peut commencer à regarder tes bouquins ? » Sourire qui se dessine et impatience qui s’entend dans le timbre de ma voix. J’avais véritablement hâte que le projet se concrétise. Même si le séjour sera court, même si on ne pourra sûrement pas visiter tout ce qui nous fait enfin, simplement pour le plaisir de profiter de ce que mon pays d’origine peut offrir, simplement pour renouer un peu avec, presque vingt ans plus tard.
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Tu acquiesces vivement aux propos de ton meilleur ami car tu n'aurais pas pu dire mieux. C'est vrai, être étudiant à Harvard était une sacré aventure de jeunesse tout en profitant des aspects des responsabilités. Cette expérience, tu étais prête à la faire depuis ton enfance. Un objectif sur lequel tu travaillais depuis des années et cela n'avait surpris personne lorsque tu avais été accepté. Rapidement, vous vous mettez derrière les fourneaux pour honorer ce fameux dessert qui faisant déjà des étincelles de gourmandise dans le regard de ta poupée. Vous évoquez également le sujet de votre projet de voyage en Argentine, le pays dont est natif le jeune Dinkley. Une terre qui demeure très chère à son cœur et c'est tout naturellement que tu lui as proposé de le visiter avec lui. Cela a toujours été important pour toi de soutenir tes proches. Une fois le gâteau au four, tu proposes à Gaël de l'aider en cas de besoin mais il t'assure que tout est prêt. Louise hoche la tête pour aller dans le salon et récupérer sa console de jeu pour commencer à y jouer. « C'est parti ! ». lui dis-tu enjouée avant d'aller chercher les bouquins dans ta besace en cuir laisser dans le salon. Tu te baisses pour récupérer ton sac et en sortir les brochures et les livres sur l'Argentine. « Il y a plusieurs possibilités de séjour tout dépend le choix de période, le temps que tu veux rester et tout ça ! ». Dis-tu tout en prenant place sur le canapé. « J'imagine que cela doit être de l'émotion pour toi, mh ? ».
@Gael J. Dinkley
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