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Rencontre hasardeuse (Mayton)

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Rencontre hasardeuse (Mayton) Tfgn


Lundi 20 septembre :

« C’est pas possible,… Non,… Je vous dis que non… » Je suis dans la file d’attente pour un café. Un simple café noir, long, sans sucre. J’ai besoin d’une dose là..  « Non virez la immédiatement de nos serveurs ! Elle n’est pas indestructible ! C’est une gamine qui cherche à nous faire peur bordel ! Réagissez et vite ! » Je regarde la serveuse qui attend depuis un moment. « Pardon, un café long, sans sucre, s'il vous plaît. » « Votre nom… » Je soupire, j’avais oublié que dans cette enseigne c’était le principe. « Markus. » Je m’éloigne un peu , plus qu’à attendre qu’un barista m’appelle. Mon téléphone sonne, mail… Le serveur est encore en train d’être visité, et je déteste recevoir des mails confidentiels… Mais je l’ouvre, mon père, une réunion importante pour ce rôle de prince que je n’assume pas tellement en ce moment, alors que Sara me manque, lisant les horaires et les questions pour l’interview qui aura lieu après, je bouscule une jeune femme. « Pardon.. » Je lève les yeux de mon écran vers elle. «Veuillez m’excusez, je ne faisais pas attention. »


@Peyton Redmayne  
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@Markus De Glücksbourg
Je suis vraiment satisfaite et fière d'avoir accompli ma mission avec perfection. J'étais même parvenue à te rendre fou comme j'aime quand tu t'énerves, ça m'excite je dois l'avouer. J'ai pu voir ta photo, ton visage et t'es vraiment mignon. Dommage que tu sois un peu con sur les bords pour ne pas savoir qui je suis. Mon identité n'est pas encore dévoilé, mais tu tentes le tout, mettant tes employés à l'usure pour me retrouver. Pourtant on est si près l'un de l'autre encore plus maintenant alors que tu viens me bousculer, te noyant dans les excuses. La situation est vraiment amusante, un sourire amusé s'étire sur mes lèvres. C'est pas grave. Je comprends... C'est perturbant de se faire avoir par une femme. Mon sourire machiavélique en coin, mon gobelet à la main où tu peux lire mon pseudo "woflie" écrit dessus. Je vois ta tête, tu tombes des nus. On dirait que t'as vu un fantôme. Un rire s'échappe de mes lèvres, quelque peu malsain. Je sais que ça te tue cette histoire et le fait que t'as la hackeuse juste sous tes yeux c'est encore pire. Que vas-tu faire maintenant? Me soudoyer afin que j'arrête de m'infiltrer dans tes réseaux? Ton café va refroidir. Je me délecte d'une bonne gorgée du mien. Je sens qu cette rencontre va être épique. J'en suis toute excitée. 
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C’était pas ma journée, le jet n’était pas prêt je devais partir ce soir, je n’avais pas le choix, j’avais déjà du retard, et NY n’attendrait pas. Des signatures, des petits détails encore et surtout à partir de mercredi Oslo. Mon assistante prendrait le relais pour les hôtels de Norvège, je pourrais entièrement me concentrer sur ceux en Amérique et tenter de retrouver cette vermine qui s’est infiltré dans notre système. Je suis sur les nerfs, et je bouscule une femme. Excuse et politesse, on m’avait éduqué comme ça. Les bonnes manières. Mais lorsque j’entends sa voix. Mon corps s’électrise mon coeur loupe un battement. Avant d’en loupé un second en lisant ce nom sur son goblet. Non... C’est impossible. La colère s’infiltre dans mes veines, à la place de ce grand frisson que j’avais eu en posant mes yeux sur cette magnifique femme au premier abord. Mais maintenant c’est tout autre. Mon regard noir plongeant dans le sien, je tente de trouver les bons mots, les bons gestes, elle ne passerait pas outre les mailles de mon filet. Son rire… Comment faisait-elle pour provoquer la colère et … mon coeur qui se serre.. Sara, elle avait cette petite étincelle de joie comme celle de ma fiancée… Sara qu’elle m’avait rappelé alors que je tentais de savoir qui cette hackeuse était. J’en ai plus rien à foutre de mon café. Ne m’occupant pas du regard des gens je la prend par le bras, ma main se pose sur son avant bras, la tirant dans un coin à l’extérieur, ruelle sur le coté , personne. Je la pousse contre le mur. « Ca t’amuse? Vraiment? De ruiné une vie de travail, de trainer ton nez de fouine dans la vie privée des gens? D’oser parler d’une femme dont tu ignores tout ? » Je m’approche d’elle, je baisse mon visage , regard glaciale et la bloque elle ne peut plus partir. « Si tu te crois maline, sache que tu as tout faux. Un geste de ma part et tu finis dans une voiture direction l’aéroport, et en Norvège, je te ferais parler crois moi... Les règles ici, et là bas ne sont pas les mêmes… Et j'ai des méthodes que tu n'as pas envie de connaitre.»Je marque une pause. "Qui es-tu? Et pour qui travailles -tu?"
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@Markus De Glücksbourg
C'est vraiment fou l'adrénaline que je peux ressentir face au danger, face aux risques que je prends chaque jour. Pourtant j'ai quelque chose à perdre, j'ai quelqu'un surtout, une fille et je ne voudrais pas la mettre en danger non plus ni même qu'elle perde sa génitrice. En revanche, je fais toujours attention, je suis toujours très prudente là dessus. Cela dit en ce moment un homme m'intéressait bien plus, celui dont j'ai hacké ses réseaux, ses logiciels afin de posséder et découvrir ses dossiers confidentiels. Il a tenté bien nombreuses fois de me menacer à travers ses messages et maintenant que je le retrouve face à moi, qu'est-ce qu'il adviendra réellement? Est-ce que tu va prendre au mot tes menaces? J'ai pas peur, tu vois bien à mon regard mon sourire et mon regard amusé face à la situation. Alors même que tes yeux vont sortir de tes orbites, me prenant par le bras pour me faire sortir à l'extérieur de force, dans une ruelle. On est que tous les deux, je me retrouve dos au mur et mon sourire ne quitte pas mes lèvres. Je me réjouis de te voir autant en colère et de pouvoir enfin le voir sur ton visage. C'est la preuve que j'ai accompli ma mission avec perfection. Tu m'as retrouvé et c'est tant mieux, c'est ce que je voulais, cette rencontre. En vrai, il y a un truc en toi qui me plait vraiment, mais je saurais dire quoi. Malgré que tu me détestes et que t'as sûrement envie de me voir six pieds sous terre, je m'en moque. J'éclate de rire à tes propos, on aura tout entendu, tiens. Je ne me retiens plus de rire aux éclats, c'est plus fort que moi, sachant que j'ai toujours une arme sur moi, je n'aurais pas peur de te la braquer, mais je ne voudrais pas en arriver là. Pour l'instant j'observe, je te détaille du regard et je me reprends. Oh tiens donc, ça m'intéresse... C'est quoi? Tu va me ordonner à tes toutous de me torturer jusqu'à ce que je parle? Tu crois vraiment que ça me fait peur? Bon je ne suis pas invincible, mais quand même, j'ai vécu pire dans ma vie. Je me laisserais même me torturer pour tes beaux yeux si ça peut te satisfaire. Je ne dévoile jamais l'identité de mes employeurs. Et tu veux connaître la mienne, à quoi bon? Soudain, le regard dans le vide, je balance. Sara avait l'air d'être une femme bien, elle est juste mal tombé... Tout comme mon mari, elle a découvert des secrets qu'il ne fallait pas connaître... Des agents du FBI, c'est le comble. Tué par ses propres collègues parce qu'il a voulu faire le bien... Un jour t'es heureuse, t'es confiante de le savoir au boulot et puis plus rien. Juste le néant... On t'annonce le décès lors d'une mission alors que tout est faux... J'ai vu clair dans leur jeu, je me suis infiltré dans leur dossiers pour connaître l'identité de ces connards, enquêté de moi-même et leur faire payer. Et tu sais quoi? Ils m'ont retrouvés et quand j'en ai parlé, évidemment personne m'a cru... Durant des mois j'ai eu recours aux menaces et à bien d'autres moyens forts pour obtenir des preuves. Je ne suis pas dupe, je suis loin d'être naïve. Je suis juste cette femme qui a soif de vengeance chaque jour et qui a besoin d'argent pour nourrir sa fille. Je ne cherche pas à ce que t'as une once de peine pour moi. Tu voulais juste savoir qui je suis alors maintenant tu sais. Une partie bien sombre de mon existence qui a obscurcit mon jugement vis à vis de la justice et des lois.
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La traînant dans une ruelle, je veux la confronter, je veux savoir qui elle est , pour qui elle travaille , et je finirais par savoir. Je veux savoir ce qu’elle leur a dit, même si je sais quel dossier elle a visiter, je connais l’identité des clients visés et je sais qu’elle a bien dû aller plus loin. Certes je n’irais pas le dire devant elle, mais elle est bien plus douée que pas mal de mes hommes, et l’avoir pour protéger mes données auraient été un plus c’est certain. Mais pour le moment j’ai juste envie de la faire parler.« Evidemment…Tu contrôles toujours tout...» Je lève les yeux au ciel. C’était exaspérant de voir une femme qui était tant dans le contrôle, je l’étais moi même et elle m’avait montré que rien n’était sur, rien n’était assuré, tout était fragile et frêle, brisé au moindre choc.

Mon corps s’approchant du sien, son rire et son sourire me donne envie d’en faire de même, mais c’est la rage qui contracte mes mâchoires, qui m’empêche de la quitter du regard. « Si seulement c’était eux qui te touchaient, tu en serais ravie. Contrairement à eux, je n’aurais pas autant de pitié pour ton joli minois.. J’ai plus à perdre que ces hommes… » J’hausse un sourcil, mes hommes seraient tendres, pas assez brutaux, alors que moi, on m’avait appris à laisser les sentiments de côtés, à trouver le moyens de savoir, j’avais observé ,j’avais mis en oeuvre et c’était secret mais j’étais du genre à ne jamais lâcher. «Espérons qu’ils t'envoient des fleurs alors.. Quand tu seras à l’hôpital ou plus loin encore… » Menace, non … vérité, si elle ne parlait pas , je trouverais le moyen, légal ou non, j’avais trop de choses importantes que je ne pouvais laisser entre les mains des autres.. Et surtout la rage, la colère de la voir se jouer de moi.. Malgré l’électricité qui parcourait mon corps quand ses iris se posaient sur moi.

« La ferme… » Je murmure les dents serrées quand elle évoque Sara. Je quitte son regard, ne voulant pas qu’elle y voit une faiblesse quand un voile de tristesse s’y est glissé. « Tais toi. » Je ne veux pas entendre parler de ma fiancée, je ne veux pas qu’on salisse son nom ou même qu’on le prononce… Mais elle continue de parler, je me recule un peu plus d’elle, écoutant son histoire. Elle espérait que je pleure, que je sois touché.. Ok peut-être un peu… Elle avait vécu la douleur aussi. Mais j’étais un connard, du genre à relevé les informations pour la faire parler et pas à m’apitoyer encore moi depuis qu’elle avait prononcé le prénom de ma belle…« J’en ai rien a foutre de ton histoire.. Si tu penses que ça excuse ce que tu as pu faire, absolument pas. Ne prononce plus jamais son prénom. » Je tourne mes pupilles noires de colère vers elle, même si je devrais être plus doux , comme mon coeur qui s'attendrit alors que j'ai entendu la douleur dans sa voix. « Une fille ? … Alors tu as donc des choses à perdre.. » M’en prendre à un enfant.. Evidemment que je ne pourrais pas. Lui faire croire.. Totalement.
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@Markus De Glücksbourg
Je ressens des palpitations dans mon coeur à ce moment précis. Celui où tu découvres enfin mon vrai visage. Oh je l'ai voulu, crois-moi bien sinon je n'aurais pas fait marquer mon pseudo sur ce gobelet pour que tu puisses me reconnaître. Et qu'est-ce que c'était plaisant à voir ce regard plein de rage. Se faire duper par une femme ça doit te faire drôle n'est-ce pas? Oui c'est tout à fait cela. Mes iris plantés dans les tiens, le sourire qui ne quitte pas mes lippes. J'aime beaucoup trop te provoquer et te faire piquer une colère monstre. Ton corps qui s'approche du mien et tu veux tout savoir sur moi. Attends un peu, patiente et tu sauras. Plus c'est long, plus c'est bon. Il ne faut pas tout dévoiler en une fois. Bizarrement je retiens qu'une phrase dans tout ce que tu viens de dire. Le sourire charmeur qui s'étire sur mes lèvres. Mon joli minois? Alors je te plais, monsieur Markus? Tu m'excuseras, ton nom est beaucoup trop difficile à prononcer, je vais me contenter de Markus. Je me mets à mon aise, tant qu'à faire. Tu va sûrement me retenir pendant bien longtemps même me kidnapper et me torturer afin de découvrir le nom de mes employeurs alors autant se tutoyer, s'appeler par notre prénom même si tu ne connais pas encore le mien. Des menaces et encore des menaces, t'es bon qu'à ça, je laisse échapper un nouveau rire avant de le taire. Pour t'évoquer le prénom de ta défunte fiancée. En d'autres circonstances on se serait bien entendu toi et moi. Je vois que ça t'hérisses les poils et j'aurais réagis de la même façon que toi si un inconnu aurait osé parlé de mon défunt mari. Paix à son âme. Pour autant je continue mon histoire, une partie de ma sombre histoire. Ce qui m'a rendue celle que je suis aujourd'hui. Celle qui fouine sans pitié, qui tue pour une rémunération. Celle qui adore traîner dans des affaires illégaux. Le regard dans le vide, de la tristesse, des remords, du chagrin. Je repense à tous ces moments passés avec lui et au mal que j'ai ressentit à l'annonce du décès de Derek. Je me revois pleine de rage à fouiller tous les ordinateurs du FBI. Je ne cherchais pas de l'empathie en évoquant mon histoire, juste à te faire comprendre qu'au fond on a un point en commun, la perte d'un être cher à nos yeux. Même si tu nies l'évidence, tu verras qu'on a vécu pareil et j'ignore pourquoi je te raconte tout ça et que j'ai envie que tu le saches. C'est juste comme ça. Lorsque tu me réponds que t'en a rien à foutre, tes yeux te trahissent et je te jette un regard noir. Je ne comptais pas m'excuser. Mon coeur loupe un battement quand tu me parles de ma fille et que t'oses la menacer. Cette fois je ne rigole pas. J'ai lâché cette bombe et ce n'est pas pour que tu l'utilises contre moi. S'en prendre à un enfant de cinq ans.. T'es qu'un putain de lâche ! Je suis pleine de rage quand ça touche ma famille, ma fille. Je ne réponds plus de rien. Mes mains fouillent dans mon sac et j'en sors une arme que je pointe sur toi. Si tu touches à un seul de ses cheveux, je te fais la promesse que tu ne t'en sortiras pas vivant. Je ne sais pas de quoi t'es capable, mais au moins tu sais à qui tu t'en prends dorénavant. Si tu ne veux pas avoir de la pitié alors j'en aurais pas non plus pour toi.
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J’ai laissé échapper ce mot, joli minois, enfin après tout c’était ce qu’on disait aux femmes non? Même quand on était pas sincère, une manière de les amadouer. Mais c’était totalement sincère avec Elle. Le soucis, je ne lui avouerais pas. Mon sourire un brin joueur sur le visage je m’approche un peu plus mon souffle contre son oreille.. « De Glücksbourg.. Mais Markus, ça me va, tu n’auras pas l’occasion de le dire encore beaucoup. » Et puis je m’en contrefichais de savoir comment elle m’appelle, je voulais juste des détails sur ses personnes qui lui ont demandé d’entrer dans mes serveurs. J’aurais pu lui susurrer d’autres mots à l’oreille, cette femme était un appel à la luxure, si elle était un peu moi moqueuse, plus dans la séduction, mais ce n’était pas ce que j’étais venu chercher dans cette ruelle…

Et c’était peine perdue en entendant le prénom de Sara… Je lui demande de se taire, je n’ai rien d’aimable dans ma requête, je lui ordonne de la fermer. Mais elle continue. Je ne veux plus entendre ce prénom , encore moins d’une personne qui ne la connait pas, qui ne sait pas quelle douceur elle était, quelle perle rare était cette femme exceptionnelle, qu’on a fauché dans l’âge, alors qu’elle avait ce secret qui nous liait… Qui aurait dû être révélé quelques mois plus tard et qui ne restera qu’un rêve pour moi. Son histoire me touche, il est vrai qu’un drame peut changer des vies, mais c’était sa connerie, d’avoir aider ses abrutis dont j’ignorais encore le nom qui allait ruiné des tonnes de vies là. Mes employés, mon hôtel… Peut-être même ma famille… Mais elle n’en a rien a foutre je le sais. Et ça se sent, à part le fric, les conséquences elle s'en foutait… Et dire que c’était moi le prince censé être vénale.

Un petit sourire amusé sur mon visage ,j’ai fais mouche en parlant de sa fille, si elle savait que ce n’était que pour la provoqué, la faire sortir de ses gonds. Mais je la vois fouillé dans son sac et sortir une arme. Elle la pointe vers moi. Je ne fuis pas, je ne la quitte pas du regard, je ne baisse même pas les yeux vers l’arme pour voir le modèle. Je sais qu’une balle tue. Je n’ai pas à en savoir plus. Je m’avance vers elle. Doucement. Regard toujours aussi noir. Fixer dans le sien, ne se laissant pas déstabilisé par ces emotions qui la traversent. « Si tu savais comme c’est mignon.. Maman qui protège son bébé… Mais je ne suis pas un lâche. » J’avance encore jusqu’à ce que le canon touche mon torse. « Tire.. Je n’ai pas peur de la mort. » La vérité dans le fond de mes yeux. Moi je n’avais plus rien à perdre, ma fiancée était morte, j’avais du monde ici sur cette terre mais la mort ne m’effrayait pas. Ma main se pose sur l’arme que je descend et j’approche encore vers elle. « Jamais, je ne m’en prendrais à une enfant. Sache le. Je ne suis pas ce genre de monstre. Mais toi si. Tu as peut-être donné des informations à ses gens qui me feront fermer un hôtel, deux.. ou trois. Et ce sera des dizaines d’employés au chômage. Et leurs enfants seront des dommages collatéraux. Alors au final.. Qui est le monstre? » Je n’ai pas quitter une seule fois son regard, j’ai besoin de la voir lâcher un peu ces barrières qui l’entourent.
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Rencontre hasardeuse
@Markus De Glücksbourg
J'aime bien détourner l'attention et surtout qu'elle soit entièrement porté sur moi. D'autant que t'es vraiment charismatique, on ne va pas se mentir. Tu dois plaire à beaucoup de femmes, mais pour l'instant t'es un peu agaçant à mon goût. Il faut bien des défauts, puis je t'ai hacké donc t'as toutes les raisons de l'être. Un sourire amusé s'étire sur mes lèvres alors que j'entends ses mots soufflés à mon oreille. Wow ! C'est dommage, je suis sûre qu'on se reverra pourtant. Je le sens que tu ne pourras pas te passer de moi... Murmurais-je à mon tour au creux de ton oreille. Je suis absolument convaincue qu'on se retrouver vite. Je parle beaucoup, te révèle bien des choses sur moi, détails que j'aurais pu garder pour faire un peu plus de mystère. Pourtant non, je voulais que tu connaisses ce que j'avais aussi vécu. Non t'es pas le seul à avoir eu le chaos total dans sa vie, d'avoir perdu celui qu'on aime passionnément. Je ne cherchais pas de l'empathie, juste que tu saches sans aucun intérêt. Mon mari, Derek. Il me manque chaque jour et quand j'en parle, j'en ai les larmes aux yeux, ne montre pas ta faiblesse, Peyton. Jamais. Surtout pas en ce moment précis, seuls dans une ruelle alors que tu prendrais plaisir à me voir aussi touchée, blessée. C'était le coeur meurtri que j'avais évoqué mon mari. Je lui parlais souvent de lui à Phoebe. En parlant d'elle, j'ai fait l'erreur de faire connaître son existence. Je suis absolument outrée, la peur au ventre. Lorsqu'il s'agit de ma fille, je pourrais faire n'importe quoi pour elle. Elle est tout ce qui me reste de Derek et aussi elle est la prunelle de mes yeux. J'ai sorti mon arme déterminée à te menacer et mettre mes menaces à exécution si jamais tu la touchais. Le regard plein de rage, tu sens qu'à tout moment je pourrais appuyer sur la gâchette, le cran de sécurité mise en place, pourtant t'approches dangereusement de l'arme. Ton torse touchant celle-ci. A quoi tu joues? Tu te moques et tu me fais comprendre que t'es pas un lâche, mais comment en être sûre? Je ne te connais pas assez, de nature méfiante. Tu me défies de tirer, mon coeur s'agite au fond de ma poitrine, l'adrénaline que je ressens qui s'échappe. Je pourrais te tuer, mais je reste silencieuse, le regard qui s'adoucit, j'ai aucune envie de tirer. Je ne sais pas quoi faire et je lâche prise tandis que ta main se pose sur l'arme que tu descends. Il est clair que t'as su me faire déstabiliser, je suis paumée, perturbée. Il y a un truc qui fait que j'ai envie de te croire quand tu m'explique tous ces problèmes pourtant je reste figée. Je pense à ces enfants, là vraiment tu marques un point. Tu m'as bien eue. Prise à mon propre piège. Je me mordille la lèvre inférieure, ma tête va exploser. Je ne sais plus quoi faire, quoi dire. Comment je pourrais te croire? Après tout il en dépends de ton hôtel, de tes employés et de leurs enfants... Je suis un monstre simplement parce que je fais mon travail beaucoup trop bien. Le monstre c'est mon employeur... Je te donne un simple indice : t'aimes les spaghettis? Un rire aux éclats qui s'échappe de mes lèvres. Je passe de la colère au rire, c'est fou, non? Je range doucement mon arme dans mon sac que je ferme. Les spaghettis, le cliché quand même pour parler des Italiens. T'as compris? Ou il faut que je parle leur langue?
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C’est mignon la confiance en elle qu’elle assure avoir. Mais je suis sur qu’elle est bien plus fragile que ça. Brisée.. Pas de doute, mais je sais pas pourquoi elle a une intensité qui m’intrigue. Je ne compte pas la revoir de ci-tôt, enfin si elle m’en dit plus. Sinon j’allais pas la quitter d’une semelle, c’était d’ailleurs elle qui me suivrait. Elle devait peser quoi.. même pas 60 kilo toute mouillée, alors avec de quoi l’endormir, je pourrais l’embarquer, et à NY ou à Oslo , je trouverais de quoi la faire parler. « Tu prends tes rêves pour la réalité…. Mais si tu aimes penser ça , c’est peut être que toi, tu es déjà accro.. » Et c’était pas pour me déplaire, au fond de moi cette idée était même plutôt agréable. Même si je ne pouvais penser ça. Elle avait foutu la merde dans mon entreprise après tout.

Mais je ne lâche rien, j’écoute son histoire, mentant en prétextant que je m’en foutais. Non je ne pouvais pas penser ça. Le dire oui, mais le penser non, car je savais ce que cela faisait de perdre l’amour de sa vie. Sara était tout pour moi, encore plus quand j’étais le seul à savoir, avec Aksel que j’avais perdu deux êtres chers ce jour là… Mes deux petits anges… Mais je ne peux pas la laisser voir mes faiblesses, je ne peux pas flancher devant une femme qui est en train de tout ruiner, si mon hôtel n’ouvre pas, c’est pas que mon oeuvre qui s’écroule, mais celle de ses employés qui comptent sur moi, de celle de Sara, le Juveler, c’était un peu d’elle pour moi… Sa fille. Faiblesse avouer, et je la cherche, je la taquine… Même si tout être me connaissant pouvait savoir que jamais je ne pourrais faire de mal à un être innocent, à un enfant. Même une femme à vrai dire. Mais la panique atteint la brune, qui sort une arme. Ok alors elle en avait plus sous le coude que je ne pouvais le penser. Sauf que je ne me démonte pas, je ne fléchis pas, je la fixe, m’avance même… et c’est son regard qui se voile de panique. Je sais qu’un faux mouvement et tout était fini, mais je n’ai pas peur. Etrangement je le sais, elle ne me fera pas de mal. Elle n’est pas cette femme… Je le sens, enfin peut-être que je me trompe, que je suis aveuglé par ce feu qui me brule quand je pose ma main sur la sienne pour baiser le canon de l’arme, pour lui montrer que c’est pas le moment, ce n’est pas la fin, et lui prouver que ce n’est peut-être pas moi le monstre de l’histoire. « Je ne te demande pas de me croire.. Juste que si tu es intelligente tu le sais.. » Elle le sait qu’elle peut me faire confiance, elle s’en doute, car j’aurais pas pris la peine de l’entrainer dans une ruelle sinon, j’aurais appeler les flics direct. « Ne sois pas le mouton qu’ils veulent, tu es plus intelligente que ça.. » Et je ne disais pas ça juste pour la convaincre, je le pensais. « Italien?… Parle pour voir. »Petit sourire pendant que je cherchais mais je ne voyais pas qui pouvait m’en vouloir de ce pays… « Je me contre fou de qui ils sont je veux savoir ce qu’ils me veulent. j’ai besoin de savoir… Si tu ne veux rien me dire montre moi. »
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@Markus De Glücksbourg
Il y a quelque chose en toi qui me plait bien, je ne sais pas trop quoi, mais ça me fait déjà raviver la flamme qui était éteinte depuis longtemps. Ton regard et ta façon de te comporter avec moi devrait faire l'effet inverse, étais-je devenue sado? Peut-être bien, va savoir... Mais je sens qu'au fond de toi, je te plais, mais tu ne veux pas le montrer, ose me dire le contraire. Ah, si tu oses dire le contraire, un rire s'échappe de mes lèvres. Douce mélodie qui t'agaces au plus haut point quand la situation est plutôt tendue entre nous. Oh t'en fais pas, ça ne le restera pas bien longtemps. Je suis réaliste, c'est tout... Je sais que ça te ferait plaisir si je te dirais que je suis accro, t'en meurs d'envie... C'est une rencontre plutôt intéressante. Je pourrais très bien utiliser des techniques d'auto défense et fuir, mais non je reste bel et bien face à toi. Je te décris une partie de mon histoire, celle du décès de mon bien aimé. Tu peux entendre à ma voix à quel point ça m'a détruite, à quel point depuis cette tragédie je suis brisée. C'est le néant dans mon coeur comme dans mon âme. Il était tout ce que j'avais de plus cher au monde et on allait fonder notre famille. D'ailleurs j'étais enceinte de lui à ce moment là et depuis cette annonce, j'ai senti une partie de moi s'en aller. Quitter mon corps brusquement. Comme si j'avais plus rien à vivre de plus fort. A la place de déprimer, j'avais fait mon deuil en me vengeant et en faisant voir mon côté obscur. Il est sorti à ce moment là alors qu'auparavant j'étais tellement joviale, c'était avant... Et j'ignore même pour quelle raison exacte je te précise tout cela, je parle à coeur ouvert comme si je te devais ces détails aussi atroces qu'ils l'étaient. Lorsque j'évoque ma fille tu me fais comprendre qu'elle pourrait être un atout pour avoir ce que tu voudrais et je ne veux pas qu'on l'utilise et lui fasse de mal. L'instinct maternelle qui parle, mon palpitant qui s'accélère et je sors mon arme que je pointe sur toi, moment d'adrénaline. Moment de crainte de perdre ma fille et j'avais aucune intention de tirer vraiment. Je perds totalement pieds alors que tu viens baisser l'arme doucement, je suis proie à des incertitudes. J'ignore ce qu'il se passe dans ma tête, je suis hésitante et à la fois j'ai envie de croire que tu lui feras pas de mal. Pourquoi? J'en sais rien. Diable, que faire? Non t'es pas un monstre, je sais que j'en suis un parce que je fais des mauvaises choses pour les mauvaises raisons et c'est parce que j'agis trop dans l'instinct, dans la méfiance. Dans la force et le pouvoir. L'un dans l'autre j'avais tord de penser comme ça. De vouloir tout mener du bout des doigts. Mon arme rangé, ton corps collé au mien, je peux sentir ton souffle s'écraser sur ma peau. Mes iris plantés dans les tiens, je cherche l'honnêteté dans ton discours et j'ai de l'espoir. Je reste silencieuse, t'observant. T'essayes de m'amadouer ou alors tu le penses vraiment ce que tu dis? T'es bien trop convaincant et je suis chamboulée.
T'as enfin remarqué à quel point je suis intelligente. Evidemment, il fallait bien que je réplique. Que je me lance des fleurs, comme toujours et en même temps tu le voulais bien quelque part. T'as vite compris mon indice. Ti ho già detto troppo. Il te plait mon accent Italien? J'y ai travaillé laborieusement. Te détruire sûrement. La vraie question est : Tu leur a fait quoi? En réalité, ça m'intéresse.
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