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(joey & bastian) bad girl.

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« Ne t’en fais pas Papa, je te donnerais des nouvelles. » Ces paroles je les avais ancrées dans mon esprit. J’y avais cru. Ça avait été le cas lors des premiers jours. Mais durant tout l’été, je n’avais eu aucunes nouvelles de ma fille. Et malheureusement pour moi, elle était la seule qui pouvait rentrer en contact avec moi. Je ne pouvais qu’être patient. Mais je l’avais été assez. Je ne pouvais pas attendre plus longtemps. Je décidais de prendre les choses en main. Je me souvenais d’une amie à elle : Joséphine. J’espérais qu’elle puisse en savoir plus que moi.

******

J’entrais donc au Sidh, où elle travaillait. Dans le seul but de lui poser des questions. Après l’avoir cherché quelques minutes, je la vis au loin. J’avançais en sa direction. Alors qu’elle partait en sens inverse, je pressais le pas et posa ma main sur son épaule. « Joséphine, attends. » Quoique tu fasses, tu vas devoir attendre. J’ai des questions. Faites que tu en aies les réponses.

@Joséphine Porter
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17 sept. 21

Baignée dans l’ambiance du Sidh, à servir des verres autant que ce que je sers des sourires. Et derrière ceux-là se trouvent bien des mensonges, des faux-semblants de vérité, une perfidie dans laquelle je me complais. Noyée dans le monde de la nuit, dans cette famille qui ne l’est plus, dans ces alliances qui sont perdues. Un gang duquel je n’ai jamais fait partie, consciente qu’il n’y a que pour lui que j’y aurais confié ma vie. Un pêle-mêle de pensées, un bordel que je n’ai jamais su organiser. Malgré toute la bonne volonté que j’y mets.

Mais je vogue à mes occupations, mets de l’ordre dans les commandes, les boissons, jusqu’à dénoter un manquement dans les propositions, et traverse la salle du Sidh afin de récupérer ce dont j’ai besoin pour mener la nuit, dans l’établissement, a bien. Perchée sur mes éternels escarpins, maitresse du terrain. Peu tactile, surtout pas avec des clients, je m’électrise lorsque je sens une pression sur mon épaule, d’une main qui se pose, et en mon être, ça s’affole. Orgueilleuse qui ne supporte pas être touchée, et qui s’apprête à attaquer au moment de se retourner. « Joséphine, attends. » Je me dois de l’avouer, le ton me surprend.

Mes prunelles le sondent pour le remettre dans le contexte, pour constater sur ses traits la ressemblance, l’air de famille avérée. Et tique parce qu’il s’est trompé, « Joey. » Le Joséphine parfois, il m’abîme. Sa présence, je me dois d’avouer que je ne la comprends pas vraiment. Vesta est partie, il y a longtemps, et elle a emporté notre amitié avec elle. La preuve qu’il ne faut jamais se dire que les relations sont éternelles, c’est ce qui nous rend le plus faible. « J’attends ? » Que la vie reprenne son cours dans un irréversible tourment. J’attends oui, qu’il m’explique son pourquoi et son comment.

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17 sept. 21

Bain de bruits et d’alcools, je suis habitué à cette ambiance, travaillant moi-même dans un club en tant que DJ. Mais ce lieu était tout de même différent de celui dont j’ai l’habitude. Puis-je me permettre de dire que les clients ont l’air plus dépravés ? Plus extravertis. Un peu moins … classe ? Enfin, là n’est que mon avis personnel. Je ne serais pas du genre à fréquenter ce genre d’établissements, mais chacun ses choix. Je ne juge pas. Je ne suis pas là pour ça. Seulement pour avoir des réponses, auprès de Joséphine. L’amie de ma fille. Je fronçais les sourcils lorsque celle-ci prononça « Joey. » Hein ? Quoi ? Je ne compris pas, le temps de quelques secondes. Pour enfin comprendre qu’il devait s’agir de son surnom. Ouais ok. Ça reste Joséphine pour moi. « Aurais-tu des nouvelles de Vesta ? » Non, je n’allais pas passer par de multiples chemins. Elle devait travailler. Quant à moi : je ne me sentais pas forcément à l’aise en ces lieux, alors si je pouvais sortir le plus rapidement possible, je ne dirais pas non.

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17 sept. 21

Elles sont rares, les fois où je me suis retrouvée face à Bastian, proche de sa fille durant longtemps, collègue d’abord pour devenir amies, alliées. Elle était celle vers qui je me tournais. Un point d’ancrage au Nirvana, avant qu’elle ne s’investisse plus au milieu de son gang, et que je choisisse de suivre Dutch dans le sien. Ils se sont séparés, nos chemins. Mais parce que, peut-être, dans mon for intérieur, j’aurais aimé que mon père se donne la peine de réaliser ce qu’il est en train de faire. Parcourir les bas-fonds, écumer les boites et les bars malfamés, afin de trouver quelqu’un qui pourrait le rassurer. Et même si je fais semblant de ne pas le comprendre directement, je sais, que c’est pour cette raison qu’il est venu me trouver.

Alors j’attends, en soupirant, je patiente en regardant sa perdition, son agacement, aussi son empressement. Jusqu’à ce qu’il sonne le glas. « Aurais-tu des nouvelles de Vesta ? » J’en grince des dents, premièrement. Je n’ai presque pas envie de lui répondre, pour le moment. Et pourtant je ne suis pas du genre à faire des sentiments. A prendre des pincettes, parce que j’apprécie trop, foutre le bordel dans les têtes. D’une œillade, de bas en haut, j’observe l’intégralité de sa silhouette. Et ne lui donne pas la réponse à sa question, je me permets une proposition, qui sonne comme une obligation. « Tu veux un verre ? » Et détourne les talons, persuadée qu’il va prendre la même direction. Je nous conduis jusqu’à mon bar, me glissant derrière, balance un sourire aux habitués qui en réalité m’indiffère. « Whisky ? » Qu’il n’ait pas perdu tout son temps en se traînant jusqu’ici. Et avoue, en sortant le verre, glissant à l’intérieur un glaçon. « Non. » sa fille, elle en a préféré un autre, de monde de perdition.

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17 sept. 21

Elle est là, à travailler. Et moi, je suis ici, à l’emmerder avec mes questions. Je sais très bien que le moment n’est pas bien choisi, mais je n’arrivais plus à attendre plus. Des cauchemars commençaient à arriver durant la nuit, où il arrivait de nombreuses choses à ma fille. J’avais beau fermer les yeux, je savais qu’elle ne vivait pas une vie tranquille, des plus calmes et douces. Je savais qu’elle trempait dans quelque chose de dangereux. Mais je ne voulais tout pas simplement en savoir plus, pensant qu’elle était assez grande pour prendre soin d’elle. Mais n’ayant plus de nouvelles, je commençais à m’inquiéter. Alors, je venais à celle qui me paraissait être la plus proche de ma fille.

*****
Je la suivis, et accepta, sans vraiment accepter le verre de Whisky qu’elle me proposait. « Tu l’offres ? » Apparemment elle préférait travailler plutôt que répondre à mes questions. Alors j’entrais dans son jeu, en acceptant son verre, mais seulement si elle me l’offrait. Après tout, c’est elle qui avait eu l’idée. Je n’étais pas venu ici pour ça. « Non ? » Je n’y croyais pas. « Quand as-tu eu de ses nouvelles la dernière fois ? » Je me postais face à elle, la suivant dans tous ses moindres mouvements, malgré le bar qui nous séparait. Il fallait qu’elle comprenne que je n’allais pas lâcher l’affaire aussi facilement. Même si je devais boire pleins de verres pour cela, je le ferais. Capable de tout pour avoir des réponses à ma question.


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17 sept. 21

Et nous voici donc face à face, l’un toisant l’autre, en un semblant de silence. Et je me dis qu’il doit penser que je détiens, de sa fille, tous les secrets. Mais ce n’est pas le cas, c’est loin même, de l’être. Le fait est que l’Indépendante Vesta a simplement pris la poudre d’escampette. Sans se retourner, en mettant ceux qui ont compté, aux oubliettes. « Tu l’offres ? » qu’il demande, et pour toute réponse, dans un temps premier, mes épaules je les hausse.

Alors il me renvoie la balle en transformant mon mot en question. « Non ? » C’est bel et bien ce que j’ai dit, oui, je ne sais plus ce que devient mon ancienne amie. Plus encore depuis que les Souls ont été détruit. « Quand as-tu eu de ses nouvelles la dernière fois ? » Les yeux s’entrecroisent, pour tenter de connaître des vérités. Et j’ai cette sensation qu’il est désespéré. L’alcool, je le sers, taciturne dans mes mouvements, et de deux doigts, je fais glisser dans sa direction, le récipient. « Pour répondre à ta question, » suspense de représentation, peut-être que je ne devrais pas jouer avec le feu de ses émotions, c’est petit et mesquin, mais je suis comme ça, c’est dans mon essence, de vendre du rêve, de plonger dans les cauchemars, de me jouer du monde et de refuser les trêves. « Oui, je te l’offre. » Le sourire que je lui offre est carnassier, je taquine de mes airs putassiers. Je ne prendrais pas la peine de m’excuser.

Tout en prenant appuie sur mes coudes, je cale mon visage entre mes doigts, je bats des cils, je suis toujours cette même Joséphine qui vacille sur son éternel fil. Qui ne sait jamais de quel côté tomber. Immuablement torturée. « Ce n’est pas toi, sa famille ? » Si des nouvelles elle voulait donner, certainement que son père aurait été au courant, en premier.

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17 sept. 21

Et voilà que je faisais tout pour avoir un semblant de nouvelles de ma fille. De là à me rendre dans un bar, ou plutôt un bordel avais-je l’impression. Je pensais réellement avoir des réponses en venant voir Joséphine. Je pensais vraiment qu’elle aurait pu être en contact avec elle. Mais au vu de la réaction de la jeune femme, je me rendis compte que je n’allais rien avoir venant d’elle. Je le voyais bien qu’elle se jouait de moi. Je ne la connaissais qu’à peine, mais j’avais presque envie de dire qu’elle semblait être une petite chieuse : à jouer avec moi de la sorte. Me diriez-vous que j’aurais pu sortir et chercher des réponses ailleurs, mais je ne sais pour quelles raisons, j’avais tout de même envie de creuser cette piste Joséphine. Mais surtout lui montrer qu’elle n’allait pas gagner à ce jeu. Quel qu’il soit.

*****

Le verre entre les mains, je plongeais mon regard dans le sien. « Nous savons tous les deux, que les parents sont souvent les derniers au courant. » D’autant plus avec notre passé familial. Je ne pouvais pas lui en vouloir de ne pas me donner de nouvelles, après être partit moi-même durant dix ans sans en donner. Mais je n’y pouvais rien : je m’inquiétais. Un père reste un père. Mon regard dans le sien, je remarquais la jolie couleur de ses yeux. Quel dommage qu’une si jolie jeune fille travaille ici. « Qu’est-ce qu’une si belle jeune fille fait ici ? A travailler ? » Terminais-je par demander. Elle est l’amie de Vesta, ou du moins l’était. Je me permis de penser que Vesta aurait aimé que je prenne soin de son amie. Alors je tentais de m’y intéresser, même si je pressentais qu’elle allait m’envoyer boulet. Elles n’avaient pas été amies pour rien.



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17 sept. 21

Je n’en ai pas de ses nouvelles, et peut-être bien que je devrais m’inquiéter, que c’est tout ce qu’une bonne amie en temps normal ferait… Seulement on navigue dans des univers qui tournent à l’envers. A l’intérieur d’une parallèle hémisphère. Alors si je ne sais pas ce qu’elle devient, je sais qu’elle va tout simplement bien. Peut-être qu’elle fait profil bas, qu’elle tente de se reconstruire dans cette grosse pomme, New-York, qui n’a jamais voulue de moi. « Nous savons tous les deux, que les parents sont souvent les derniers au courant. » Au moins, il est lucide sur ce point. Et si je ne connais pas les détails de leur histoire, de l’étriqué se trouvant dans leur passé familial, je sais aussi qu’aucun n’est égale.

Mais si mon propre père m’a abandonné, le sien est bel et bien là, face à moi. « Qu’est-ce qu’une si belle jeune fille fait ici ? A travailler ? » Tu le sens, n’est-ce pas que je vais te répondre une chose totalement à l’encontre de celle que tu espères. Et en un sens il a raison, parce que je ne bosserais certainement pas ici, si je n’avais pas été aussi jolie. Si ce corps que je déteste et assume à la fois, n’avait pas plus à Dutch autant que ça. Ma silhouette et mon mordant. Leurs inspirations masculines sur mes contours, et le venin que crache ma langue, toujours. « Justement, » il est malin, mon sourire, fière de la fin de ma phrase à venir, « je travaille. » Et ma place, au contraire de ce que l’on pourrait penser, je l’ai choisie. Je ne suis pas contrainte à rester dans ce bar, ce n’est pas mon purgatoire. Non, c’est bel et bien mon exutoire. Mon visage toujours entre mes mains, je grimace, juste un brin, de prime abord, pour souffler, parce que je n’en démords. « C’est ce que tu lui as dit à ta fille quand tu l’as retrouvée ? » Qu’elle était trop jolie pour naviguer dans ce monde-là ? Elle qui travaillait au Badgirl et au Nirvana quelques fois. Elle qui avait finalement la même image moi.

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17 sept. 21

J'étais venu pour avoir des réponses concernant l'absence de ma fille. Le silence qu'elle nous impose. Ou du moins, que je pensais qu'elle m'imposait à moi. Mais il semblait qu'elle fasse de même avec sa chère amie Joséphine. Etait-ce une bonne nouvelle ? Ou une mauvaise ? On a tendance à dire "pas de nouvelles, bonnes nouvelles", mais dans son cas, j'en doute fortement. Ou peut-être voulait-elle me punir, me montrer ce que cela fait de ne pas avoir de nouvelles durant dix ans. Reviendra-t-elle dans ma vie dans dix ans ? Si je ne meurs pas d'angoisse avant.

*****

Pourquoi avais-je posé cette stupide question à Joséphine ? Aucune idée. J'avais tout simplement compris que je n'aurais rien d'elle. J'aurais pu partir, mais me voilà fasciné par sa personne. Et sa beauté, aussi surement. "Quoi?" Demandais-je lorsqu'elle me parla de Vesta. Surpris, je ne compris pas trop où elle voulait en venir. Alors je fis le con et répondis tout simplement. "Qu'elle était jolie, oui. Totalement." Il en avait fallu du temps pour qu'elle me dise ce qu'elle faisait comme travail. Elle m'avait d'abord parlé de ses graffitis, pour enfin me dire qu'elle était danseuse. Je n'avais pas voulu en savoir plus. Mais maintenant que je connaissais l'endroit, j'étais heureux de ne pas en avoir su plus sur le coup. Je ne l'aurais surement pas accepté. "Pourquoi ne pas travailler ailleurs ?" Je revins vers elle, intrigué. Je voulais savoir comment des jeunes femmes pouvaient atterrir ici. Je sais que je n'aurais pas des réponses concernant ma fille, mais ça pourrait m'aiguiller tout de même un peu. Qui sait...

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17 sept. 21

Prêcher le faux, changer de sujet, et porter un masque qui cache ce que sont les véritables idéaux. Réinventer un monde à la faveur de celui qui se terre dans le Sidh. Ce paradis aux allures d’enfer. Et les défaillances en mon caractère. L’habilité avec laquelle j’arrive à me fondre dans de nouvelles manières. Connaissant trop les hommes et leurs façons de faire. "Quoi?" Quand tu l’as retrouvé, ta gamine, est-ce que tu lui as demandé pourquoi elle faisait ça ? Pourquoi elle aimait autant ressentir cette adrénaline qu’ailleurs on ne trouve pas ? "Qu'elle était jolie, oui. Totalement." Et puisqu’il rentre dans mon jeu, puisqu’on fait semblant tous les deux, je soupire, vicieuse, trop tendancieuse, « L’inceste, c’est puni par la loi. » comme s’il était réellement question de ça. Et je grimace devant cette supposition pour ainsi dire, dégueulasse. Essayant de l’effacer en buvant une autre gorgée. Alors qu’il vient me surprendre par une question que l’on m’a, trop de fois, posée. "Pourquoi ne pas travailler ailleurs ?" Parce que personne ne peut contrôler les affres du cœur ?

Un haussement de sourcils, un soupir contrôler, une lassitude, à peine mimée. C’est un choix que de travailler ici, c’est un contrôle, ce que je veux pour ma vie. C’est ce que je sais faire, envoûter, charmer, et convaincre de lâcher plusieurs billets, et puisque je n’ai pas pu le réaliser en me contentant de danser. Etoile qui n’a pas su briller. « Parce que ça me plaît ? » C’est une essence qui se distille dans mes veines, et ça s’insinuait aussi dans les siennes. Dans celles de ta fille, elle aimait vaciller sur ce fil. « Désolée de te décevoir, je ne suis pas une petite chose à sauver. » Bien loin de là même, et dans le fond, mon défenseur, je l’ai déjà trouvé. Celui pour qui bat mon cœur, un certain Dutch Cooper. « Elle non plus. » Vesta n’est pas une demoiselle en détresse perdue.

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