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end of summer — matteus

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@Matteus Bardsley retour maussade et morose à boston. c'était la première fois que tu retournais là-bas à reculons, sans avoir réellement envie de dire au revoir aux vacances d'été afin de retourner mettre ton nez dans tes études de droit. en même temps, c'était la première fois que tu te retrouvais à la fin de l'été dans une telle situation. jamais tu n'aurais imaginé être piqué en plein cœur, encore moins par un garçon. matteus était sans cesse dans ta tête, même si tu avais essayé de faire une croix sur lui après ce qu'il s'était passé à los angeles. et pourtant, tu étais là, à la adams house, à l'attendre sagement avec sa valise de fringues, dans l'espoir qu'il allait se pointer. tu aurais préféré te rendre directement chez lui mais ne sachant où est-ce qu'il habitait, tu t'étais donc pointé dans le grand salon de sa confrérie. tu n'aimais pas laver ton linge sale en public, sachant que des voyeurs avides de potins et de gossips ne louperaient pas une miette de votre discussion. sauf qu'à l'heure actuelle, tu t'en fichais royalement. tu devais absolument le voir pour parler, c'était plus que nécessaire. installé sur une table, dans un coin de la résidence de la confrérie, tu pianotais sur ton ordinateur, bossant tes cours bien que tu n'arrivais absolument pas à te concentrer, te demandant sans cesse s'il allait pointer le bout de son nez dans la grande pièce.
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les quelques jours passés à boston avaient été sur la reprise des habitudes, de son emploi renouvelé en tant que guichetier au cinéma à la adams house. sa relation avec cette maison était toujours étrange : encore plus lorsqu'il venait d'apprendre que madison avait quitté le campus pour broadway. c'était le tout premier avec qui il avait parlé, son parrain même et là, la saveur semblait quelque peu différente. mais en cette après-midi de libre, il se disait bien qu'il pourrait bien y passer quelques heures, y voir certaines connaissances, avoir de la compagnie. rentrant dans la résidence, il vit seulement quelsues vagues connaissances, arpentant les premiers couloirs avant de le revoir lui. trois semaines après, lui. il déglutit se sentant toute chose. certes, il n'avait pas oublié quelle sorte d'aura drake dégageait mais il ne pouvait le nier - bordel, qu'il était lui. beau, sexy, à tomber par terre. il souffla quelque peu, détournant le regard, ne pouvant feindre de l'avoir vu - il était grillé. mais avait-il la force mentale de dialoguer avec lui ? il s'avança vers lui, le regard baissé, l'air penaud, ne sachant que dire. il n'avait pas les mots.
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@Matteus Bardsley t'étais installé dans un coin de la adams house, à pianoter sur ton ordinateur tout en espérant ne pas être repéré par un membre de la confrérie car tu n'avais strictement rien à faire ici. heureusement pour toi que c'était tout juste la rentrée et que tout le monde ne devait pas reconnaître toutes les têtes des adams. t'étais quelque peu stressé à l'idée que matteus ne se pointe pas ici. tu serais comme un con, à bosser tes cours, à l'attendre indéfiniment. mais heureusement pour toi, matteus se pointa. comme prévu. tes yeux détaillèrent le jeune homme. son apparence avait changé, comme tu l'avais vu en photo. — t'as bel et bien changé, dis-tu simplement. tes yeux retournèrent sur ton écran d'ordinateur, tu terminas de taper une phrase, tu enregistras le fichier et tu fermas l'écran de ton ordi portable. — j'ai toutes tes affiares, comme tu me l'avais demandé, dis-tu simplement en rangeant ton ordinateur dans sa pochette. t'étais assez froid et distant. t'avais nullement envie de lui laisser croire quoi que ce soit. t'étais là pour lui rendre ses affaires, point barre.
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drake parla la premier et matteus avait envie de le remercier d'avoir été assez courageux de briser ce silence si pesant entre eux. mais il ne laissa rien parraître, un visage stoïque penchant vers le maussade. il ne répondit pas à sa première remarque. les choses avaient été dites, surtout par sms, mais au moins le copperfield pouvait constater par lui-même avec qui il avait à faire. et là, l'autre phrase lui surprit à moitié. — wow, euh... il ne s'y attendait pas à vrai dire. — merci, merci de t'être donné la peine de venir jusqu'ici. il reprit la valise. il devait y avoir tout dedans - ses fringues, ses papiers, il avait l'impression qu'on lui donner un pan de sa vie. — pendant un instant, j'ai cru que tu voulais rejoindre la adams house alors que je suis persuadé que tu m'as dit que toutes ces fraternités, ça t'intéressait nullement. lâcha-t-il d'un ton sarcastique. il s'accroupit, ouvrant la valise pour vérifier qu'il y avait bien tout. — t'as fait ça bien. et il referma cette dernière, se relevant. — j'espère que j'ai changé, en bien. lâcha-t-il.
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@Matteus Bardsley matteus paraissait tout gêné devant toi. tu l'étais aussi. et pas qu'un peu. mais tu préférais ne pas le montrer, arborant un visage fermé, la mâchoire serrée et le regard froid. ton camarade semblait presque étonné que tu viennes lui rendre ses affaires. — chose promis, chose due, lui répondis-tu simplement, d'un haussement d'épaules. et puis comme ça, il les avait désormais récupéré, fin de l'histoire, basta. tout en rangeant ton ordinateur portable, tu regardas matteus se pencher au dessus de sa valise afin de vérifier ses affaires. — tu m'as peut-être fait changer d'opinions sur beaucoup de choses, mais pas sur les confréries, assuras-tu en t'accoudant contre la petite table où tu avais travaillé pendant une demie heure. — j'avais bien pris soin de faire toute la maison de mes parents pour m'assurer que rien ne manquait, lui répondis-tu. tu le regardas se redresser face à toi, laissant ton regard parcourir ce corps qui te paraissait désormais inconnu. — ouais, le roux te va bien. tu n'avais jamais été un grand fan de cette couleur de cheveux mais lui dire que ça ne lui allait pas serait un mensonge. — j'aurai préféré t'apporter ça chez toi, ça aurait été plus simple, mais je ne sais même pas où tu habites.
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il avait ses affaires donc c'était bon, game over, histoire finie. qu'est ce qu'il le retenait à présent ? il ne le savait pas. il avait l'impression qu'ils étaient deux bons gros aimants incapable de se détacher. mais drake était fidèle à lui-même : aucune histoire de confrérie par derrière. et il avait pris soin de passer la villa au peigne fin. il eut un petit rire, en y repensant. — j'avoue, j'pense pas qu'il y ait eu une seule pièce où tu ne m'as pas enlevé mon calbut. le spa, le jardin, la cuisine, le salon, les chambres, le couloir, aucune pièce n'avait résisté à leurs ébats, allant parfois même jusqu'à cinq fois par jours. des lapins en rut, incapable de se contrôler et la seule manière de se calmer n'avait été que d'aller à l'extérieur pour profiter de los angeles et de ce que cette ville avait à offrir. il aurait préféré passer chez lui lui ramener ses affaires, et matteus se souvint. le message qui contenait son adresse n'avait pas été envoyé. erreur. il avait réessayé. erreur. problème de réseau, et il s'était aussi peut-être dit que c'était un problème qui relevait du destin alors il n'avait pas insisté d'avantage. — t'inquiète, j'ai des bras, j'vais ramener ça chez moi, j'avais rien à faire en plus donc ça tombe bien. il prit sa valise d'une main avant de se poster devant drake, lui tendant la main pour une poignée, tout ce qu'il y avait de plus cérémonial. — en tout cas, merci, et bonne continuation.
que pouvait-il dire d'autre ?
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@Matteus Bardsley tu avais bien pris soin de faire le tour de toute ta villa familiale afin de t'assurer qu'aucunes affaires de matteus traînaient quelque part. difficile de récupérer des trucs abandonnés à los angeles. normalement, tout devait y être, et c'est ce que le rouquin te dit. tu ne pus t'empêcher d'esquisser un sourire à ses paroles. — en effet, on a fait pas mal de lieux pendant ce séjour, répondis-tu, mémoire bercée par vos danses sexuelles tout aussi torrides que passionnées. sourcils froncés, tu le regardas saisir sa valise. debout face à lui, tu posas tes yeux sur la main qu'il te tendait. tu la saisis, le visage fermé. — viens, on va dehors, dis-tu en récupérant tes affaires. quelques adams traînaient dans le bâtiment de la confrérie et tu n'avais nullement envie d'avoir une discussion sérieuse devant tout le monde. une fois devant l'entrée de la maison communale, tu te tournas vers matteus, la mine renfermée. — c'est ce que tu veux alors ? supposas-tu. — qu'on arrête définitivement de se parler ? renchéris-tu. tu voulais l'entendre de sa bouche. s'il te disait que oui, tu ne courrais pas après. ainsi soit-il.
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drake lui demanda de sortir. inopinément, il s'executa, le suivant dehors, dans un coin tranquille, là où des oreilels ne pouvaient ébruiter des bruits. le visage de drake était dur, les traits de la mâchoire particulièrement dessiné, les yeux rivés sur lui. il lui posa une question, renchérie par une autre. à l'entendre, c'était de sa faute et il était responsable de cette situation, ce qui le renfrogna quelque peu. — le simple fait que tu me poses cette question montre que t'es quand même à coté de la plaque, non ? il haussa un sourcil, les bras croisés, soupirant parce qu'il n'aimait vraiment pas ce genre de moments avec lui. — tu m'as foutu dehors dans une ville que je ne connaissais pas. j'crois que c'est même pas ça le pire, le pire c'est que tu as même ajouté qu'il fallait que moi, le sdf du jour, te comprenne toi, le pauvre fils à papa de la situation. son ton était calme, posé, essayant d'atténuer toute la violence qu'il pouvait y avoir. — j'suis pas ta chose, drake, j'pensais te l'avoir déjà dit. on me prend pas pour me jeter. pas d'hésitation, ni de tremblement dans sa voix bien que c'était assez dur ainsi. — donc ne fais pas en sorte que cette situation résulte uniquement de moi.
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@Matteus Bardsley tu lui fis signe de te suivre jusqu'à l'extérieur de la maison des adams. tu avais grandement la flemme de t'afficher aux yeux et aux oreilles de tous. ta situation avec matteus était suffisamment complexe, pas la peine de vous donner en spectacle. une fois dans un endroit plus tranquille, tu te tournas vers lui. discussion complexe que vous alliez avoir, mais elle était plus que nécessaire. tu ne pouvais pas continuer à avancer ainsi, alors que tu savais que tu éprouvais des choses inexplicables pour lui. tu l'écoutas, encaissant ses paroles venimeuses. — je sais que j'ai merdé, et j'en suis désolé, déclaras-tu avec une sincérité qui t'était habituellement inconnue. — j'ai paniqué, c'est tout. j'aurai très bien pu dire à mes parents que t'étais un pote, mais j'sais pas pourquoi j'ai réagis comme ça ... tu poussas un profond soupir, fuyant le regard du rouquin. — tu mérites mieux matteus, vraiment. t'es quelqu'un en or et je n'ai pas envie de continuer à te rendre mal. c'était horrible de le dire à voix haute, mais c'était la vérité. bien d'autres garçons pourraient rendre matteus plus heureux qu'il ne l'était avec toi.
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les excuses vinrent enfin. il se sentit immédiatement soulagé - comme s'il retrouvait l'homme qu'il avait connu. drake n'était pas un sombre connard au final, il comprenait. il savait, se doutait. même si ça le tuait de l'admettre. il soupira quelque peu, ne disant rien. — le hic, c'est qu'on est pas potes. trancha-t-il après sa phrase. es potes ça baise pas ensemble, ça passe pas près de deux semaines enfermé à passer du temps tel un couple à se faire du bien mutuellement, ce n'était pas ça des potes et matteus était à peu près certain qu'ils ne pouvaient pas être des potes. — ça, c'est clair que je mérite mieux. il croisa les bras, bombant d'avantage le torse. au moins une chose où ils étaient d'accord. — le truc, c'est de savoir si tu serais motivé à être mieux ou si tu te contentes de la médiocrité. les paroles étaient sèches, fusaient quelque peu.
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