(TW : sexe) je t'emmène au vent ((THEOSTIN))

Theodora n'est pas le genre à oublier, n'est pas le genre à laisser passer et au contraire elle a l'esprit de vengeance. Mais elle est maligne la petite et pour arriver à ses fins elle fait jouer de ses charmes, elle connait ses atouts, connait ses limites même si avec Gustin elle ne sait jamais où les jeux dangereux l'emmèneront. Theodora sait comme il fonctionne, sait ce qui l'anime, elle est animée par les mêmes démons et les mêmes envies. L'avantage qu'elle a est qu'elle le déteste, elle lui voue une haine maladive d'avoir brisé son avenir, brisé sa vie et fait d'elle durant quelques semaines une poupée de chiffons. Mais on dit qu'entre la haine et l'amour il n'y a qu'un pas, mais Pasquier est-elle capable d'aimer un jour ? Telle est la question car tout le monde sait la personne détestable qu'elle peut être. Rapidement Gustin l'emmène dans sa cabine, et continue les questions, Theo ne veut pas avouer les vraies raisons de sa présence dans un sens cela serait plus facile que d'avouer mais elle lui donnerait raison une fois de plus. Le brunet doit penser qu'elle a fait preuve de faiblesse en le rejoignant sur la piste, il pense qu'elle a oublié sa violence, qu'elle a oublié le sang et qu'elle a oublié la haine qu'elle a eu à son égard. Mais vous le savez Theodora n'oublie pas, Theodora doit se venger car la vengeance est un plat qui se mange froid. Blondie le pousse dans le lit faisant tomber son sac par terre, et se met à califourchon sur lui, qui parle encore et toujours. Mais elle se laisse faire, n'ajoute rien et répond à ses chauds baisers, qui lui transpercent l'âme, qui réveillent la diablesse en elle. Lui seul arrive à la réveiller autant, lui seul lui correspond mais elle n'est pas dupe Theo et sait qu'elle ne peut pas avoir un avenir stable avec lui, d'autant plus qu'il est toujours épris de la Sainte Nitouche. Je vais devoir te faire taire. qu'elle vient lui susurrer au creux de l'oreille. Princesse se relève et se met nue face à lui, ôtant ses derniers sous-vêtements laissant apparaitre son corps de rêve. Ne bouge pas. elle le pointe de son fin doigt, et sort de son sac son accessoire. Elle a préparé son plan depuis un long moment, et elle va le mettre en place. Maligne Theodora, cache ce qu'elle a préparé dans son dos et se remet à califourchon sur lui disant Si tu me veux et que je te dise que tu m'as manqué : déshabille toi. La belle l'embrasse chaudement et vient lui caresser l'entre-jambe pour ensuite se décaler, et le laisser s'exécuter, tout en continuant de cacher la surprise qu'elle lui a réservé.

@Gustin Mahoney

@Theodora Pasquier C'est presque irréel. Je vis un rêve éveillé. Alcool dans le sang, pilules au fond du gosier, l'esprit qui divague mais le coeur qui bat fort. J'ai comme l'impression de revenir un an en arrière, avec elle sur ma moto, les cheveux au vent, à boire un alcool qu'elle n'aime pas sur l'herbe fraiche de la colline. Et puis ce rapport qu'on a eu dans la cuisine. Car on ne fait pas comme les autres. Atteindre la chambre était trop difficile tellement la tension était forte. Pendant un instant, j'ai l'impression de retrouver ce goût qui me plait. Oh je ne suis pas un grand bavard et je ne cherche pas à faire parler les gens d'habitude. Mais l'alcool délie les langues et je cherche à lui faire dévoiler des choses. Elle reste sur ses positions et décide d'utiliser la manière forte. Je n'ai pas peur. Fais donc ce que tu veux de mon corps. J'ai appris récemment que j'aimais avoir mal. Plusieurs filles ont pris ce malin plaisir à me malmener. Et toi, ce serait le paradis. L'enfer déguisé. Mes yeux se régalent de la voir se déshabiller et effectivement, elle a réussi à me faire fermer le clapet. J'en perds mes mots. Son corps est divin. J'ai un coup de chaud et quand je veux m'approcher pour toucher sa poitrine, elle m'ordonne de ne pas bouger. " je bouge pas. " que je dis innocemment en calant mes mains derrière la tête. Je me mords la lèvre. Je ne fais pas attention à ce qu'elle prépare, je suis tellement focus sur autre chose, honnêtement. Mais je me languie. Elle vient chercher mes lèvres et je tire sur sa lippe inférieure quand elle me caresse. Une nouvelle fois, elle me coupe dans mon élan. Les ordres, je n'aime pas, mais venant de toi, ça ne compte pas. " d'habitude, les filles préfèrent le faire. " mais tu n'es pas comme tout le monde, et tout le monde l'a compris. Je retire mon t-shirt et m'empresse de baisser l'élastique de mon boxer pour le glisser le long de mes jambes. Je me redresse pour venir la réclamer. Dépose mes baisers sur son épaule puis dans sa nuque. " tu veux que je fasse quoi d'autre ? " une voix mielleuse et une main qui s'invite entre ses cuisses, dangereusement.

@Theodora Pasquier J'ai aucune alarme dans ma tête. Je ne me dis pas que ça peut mal finir. Je suis déjà au plus bas alors franchement, une crasse de plus ou de moins... elle a l'habitude de venir vers moi, de faire le premier pas, de provoquer la rencontre. J'ai toujours été septique, à la repousser à chaque fois, mais pas ce soir. Non, pas ce soir car j'ai envie de la laisser entrer. J'ai envie qu'elle laisse sa marque comme bon lui semble. Si y'avait pas Orphéa, croyez-moi, j'aurais déjà cédé depuis longtemps. Mais grâce à cette dernière, j'ai changé, je suis devenu une personne plus agréable et droite dans mes baskets. Elle m'a fait du mal mais d'un côté, je l'en remercie d'être la personne que je suis aujourd'hui. J'en ai ramassé des coups, et j'apprends à vivre avec. Alors blesse-moi un peu plus Theo, je ne demande que ça. J'aime dominer, prendre les devants. Je me laisse faire depuis peu de temps. Là aussi je change, car je commence à apprécier qu'on veuille s'occuper de moi. De mon plaisir avant le leur. Theodora prépare quelque chose et j'en suis tout émoustillé. Encore plus excité. D'autant plus quand elle se penche vers mon intimité pour me faire du bien. Je bascule ma tête en arrière et je soupire bruyamment. " oh put... " que je soupire en la sentant s'activer. J'en tremble tellement c'est bon. Mes doigts chassent sa chevelure blonde qui caresse mon ventre pour la regarder faire. Le moment est divin. La lionne se redresse et fixe sa proie. Je suis totalement à sa merci. Sourcils qui froncent légèrement lorsqu'elle me montre les menottes. " ah okay... je suis pas fan de ce genre de truc mais... " mais trop tard, me voilà attaché aux barreaux du lit. Les mains emprisonnées. Légère douleur quand je force avec mes poignets mais bon sang la regarder prendre les commandes et être à sa merci ça m'excite de trop, je ne peux pas dire le contraire. Ses ongles manucurés s'agrippent dans mes cheveux et je la regarde intensément. C'est frustrant, j'ai envie de bouger, de l'attraper, mais à part bouger mes jambes je ne peux rien faire. " dans le tiroir de gauche. " que je dis en pivotant la tête pour lui montrer la table de nuit. Ne t'en fais pas, je prends - presque - toujours mes précautions. J'ai appris la leçon. J'attends comme un homme qui attend sa sentence et je brûle d'impatience. Elle me fait languir la vipère.

@Theodora Pasquier Je rouvre les yeux et grimace légèrement en ne la trouvant plus sur moi. " qu'est-ce que tu fais ? " je descends de dix étages. Un mauvais réflexe veut me propulser hors du lit mais je ne fais que me tordre en me rappelant que mes bras sont attachés. Putain. Je suis con, piégé, et en plus, impuissant. Un flash m'éblouit les yeux, puis un deuxième. La pforzheimer pose nue avec moi. S'amuse à photographier la dite preuve qu'on a réellement couché ensemble. J'essaye de l'en empêcher en tendant ma jambe et me tords une nouvelle fois de douleur. " tu veux me faire peur c'est ça ? arrête ton crique. détache-moi ! " je panique alors j'utilise une voix plus sévère, même si je sais très bien que ce n'est pas comme ça que je vais l'amadouer. Elle dépose la clé à côté de moi et je serre les dents. Je m'en fiche de qui va me trouver là honnêtement et encore plus que mon ex soit au courant. Ce qui me saoule le plus c'est qu'avec elle, on en arrive toujours eu même moment. A se faire des crasses, à se déchirer. J'avais un peu d'espoir que cette baise soit comme enterrer la hache de guerre. " ME LAISSE PAS COMME CA !! " la porte claque et la blonde est déjà partie. Je m'énerve, je répète à plusieurs reprises que je la déteste. Personne ne partage ma chambre avec moi, je l'ai privatisée pour pouvoir ramener qui je voulais. Je ne sais pas comment je vais sortir d'ici. Et dans l'état dans lequel je suis, le mieux serait de piquer un petit somme.

fin