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(TW : sexe) je t'emmène au vent ((THEOSTIN))

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je t'emmène au vent
with @Gustin Mahoney

Theodora le sait célibataire, Theodora veut se l'accaparer une fois de plus. Désireuse de le croiser à chaque coin du bateau, regardant parfois à la mer afin de voir s'il n'a pas plongé. Mais rien à l'horizon marine, aucun corps meurtri parmi les vagues bien qu'elle aimerait y avoir un corps sans vie, celui d'Orphéa. Le fait de vouloir la mort de quelqu'un est-ce que ça fait de nous quelqu'un de malsain ? Sûrement mais Theodora le vit plutôt bien, et c'est ça qui en devient grave. Elle a décidé de s'inscrire à une équipe lors de ce Summer Camp, surtout pour faire plaisir à Caesar et elle regrette amèrement elle est accompagnée d'une bande de nazes, qui ne servent à rien. Déçue, elle n'aurait jamais dû s'inscrire pour elle c'est une véritable perte de temps. En effet, temps qu'elle préfère utiliser pour détruire son monde, détruire des vies, détruire même sa propre vie. Theo sait qu'elle est perdue, qu'elle va mourir avant de donner elle-même la vie... bien sûr ce scénario aurait pu changer si Gustin n'avait pas tué son propre foetus, mais avec de si on pourrait refaire le monde, n'est-ce pas Pasquier ? Secoue la tête, à l'impression de perdre la tête avec toutes ses pensées qui se mélangent dans son esprit farfelu. Enfin elle le voit, son coeur échappe un battement. Non elle n'est pas amoureuse de lui, elle est juste folle de lui, de ce qu'il représente et de la bête violente qui est en lui. Violence qui anime Theo, violence qu'elle chérit. A pas de souris -la musique de la boite de nuit l'aidant- elle s'approche de lui, et une fois à sa hauteur enfonce ses griffes dans la nuque masculine l'obligeant à se retourner et vient poser ses lèvres sur les siennes à la recherche d'un baiser fougueux, passionné et dangereux.
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@Theodora Pasquier Tendre imbécile que je suis. Je suis retombé dans ses bras, bêtement. Amoureusement, comme un homme piqué et coincé entre ses filets. Elle pourrait faire tout ce qu'elle veut de moi dorénavant. Je lui mange carrément dans la main. J'en suis tellement piqué, en manque d'elle comme une drogue que dès que j'ai un bout, je veux tout. Un regard aurait suffit, un baiser à la limite, mais il a fallut que je la laisse me toucher. Balader ses mains comme elle n'a jamais été aussi entrepreneuse. Maintenant, j'ai ces images en tête et je suis incapable de les oublier. Alors je retrouve une nouvelle voix mes vieux démons. Alcool et filles. Un pote m'a filé une petite pilule et je suis tout bonnement euphorique. Les pupilles sont dilatées, mes sens réveillés et j'ai chaud. Je brûle d'une chaleur qui anime tout mon corps. Je balance mes membres au rythme de la musique, les yeux fermés, le sourire qui fait face au ciel étoilé. Puis y'a ces doigts dans ma nuque qui me font frissonner. Je me retourne, ne remarque pas tout de suite la visage de la demoiselle qui m'interpelle. Les lumières ont décidé de lui faire l'ombre juste à ce moment. Elle m'embrasse. Mais pas un petit baiser. Un baiser qui en veut, qui cherche le plaisir, qui a faim. Il m'en faut peu pour que je sois réceptif. J'attrape la demoiselle par la taille et la presse contre moi. Ma main vient chercher sa joue pour accompagner la danse folle de nos langues. Ce goût, ce rouge à lèvres, je le connais. Il est savoureux, envoutant. Ce visage fin et anguleux, ce parfum. Cette taille haute et fine. Ce fessier... Je retire ma main du creux de ses reins. Léger mouvement de recul. Ce n'est pas Orphéa. La lumière revient sur ses traits et je lève les sourcils. " Theo ? " je cligne plusieurs fois des yeux. Vision brouillée avec les substances que je viens de prendre. " qu-qu'est-ce que tu fais ? " léger rictus sur les lèvres. L'embrasser est loin de me déplaire. C'est ça la vérité. Mais je devrais pas, pas après tout ce qu'on s'est fait. Pas après avoir détruit toute chance qu'un jour on puisse s'entendre. On est fait pour brûler, depuis le début, depuis le premier jour de notre rencontre. Elle pourrait prendre mon âme d'un seul claquement de doigts. Je suis au point culminant de la chute irréversible. Un seule souffle de sa bouche pourrait me faire dégringoler et tomber dans son entre demeure dévorée par les flammes.
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Theodora a besoin de s'amuser et de faire taire cette envie charnelle de son esprit. L'envie quelle veut assouvir par tous les moyens, grâce à lui : Gustin. Célibataire, elle veut juste l'attirer de nouveau dans ses filets, le laisser s'attacher et le détruire à petit feu tout en continuant de détruire la bien aimée du jeune homme. Theo sait ce dernier éperdument amoureux d'Orphéa mais elle connait les besoins physiques des hommes, elle connait leur désir et c'est qu'elle est parfaite dans le rôle de la perversion. Quelques secondes à peine pour qu'elle le remarque sur la piste de danse complètement dans le vide, à se dandiner comme s'il était une poupée de chiffons, elle ne connait que trop bien ses symptômes : les petits cachets te mettant dans une euphorie. Blondie ne perd pas de temps pour le rejoindre, pour ancrer sa diablerie une fois de plus. Surprise qu'il ne résiste pas, elle ferme les paupières pour savourer les lèvres de son diable, pour laisser le mauvais surgir bien trop longtemps enfoui par le côté bienveillant et niais de Sainte Nitouche. Plaisir de courte durée car il la repousse peu de temps après l'avoir reconnu. Theo plisse les yeux et plonge son regard perçant dans les pupilles dilatées du brunet. J'avais envie de t'embrasser, alors je l'ai fait. d'un geste supérieur elle remet ses cheveux d'or derrière ses épaules, et se rapproche de Gustin, lui caressant la joue doucement. Bien sûr qu'elle joue avec le feu, qu'elle joue avec celui qui l'a brisée, celui qui l'a violentée mais elle aime ça Theo, elle ne demande même que ça qu'on lui fasse mal, qu'elle souffre. En souffrant elle se sent enfin vivante et ce n'est pas cette foutue bombe à retardement prête à exploser à tout moment. Soit tu passes la soirée avec moi pour te faire pardonner de ce que tu m'as fait. Soit tu passes la soirée avec moi pour ne penser à rien d'autre que t'amuser, loin de Saint.. ton ex petite amie. qu'elle dit en tentant de ne pas appeler Orphéa par le surnom qu'elle a l'habitude de lui donner évitant les courroux masculins.

@Gustin Mahoney
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@Theodora Pasquier J'ai beau avoir fait la chose la plus horrible qu'une femme puisse subir, elle revient à la charge. Elle est toujours revenue. Mais cette fois-ci, elle se montre plus confiante, entreprenante. Parce qu'Orphéa n'est plus là, et elle sait très bien qu'elle ne reviendra pas. Elle s'est envolée, la sainte nitouche comme elle dit. On était pas compatible. Non, niveau comptabilité, elle a plus de chance, la Pasquier. Car elle aussi est tordue, adore jouer avec le feu, blesser et être blessée. Tout comme moi. C'est l'alter-ego qu'on refuse de s'avouer. Peut-être les âmes soeurs qui ne savent pas comment faire alors elles préfèrent se déchirer. Quoi qu'il en soit. Ce baiser m'a plu. A croire que je l'attendais depuis tellement longtemps. Oh, détruis-moi, prêtresse de la nuit. Ne caresse pas mon visage, plante tes griffes dans ma chaire. La blonde me donne un feu vert pour se retrouver comme avant, comme à nos débuts. Je reste un moment à la regarder, dubitatif. Au point où tu en es Gustin. T'as pas réussi à oublier le mal avec d'autres. Pourquoi pas essayer avec Theodora ? Peut-être que j'aimerais le mal, finalement, que j'accepterais de vivre avec. Si elle m'apprend. Oui, apprivoise-moi, jolie française. " et si je passais la soirée avec toi, tout simplement ? " sans raison apparente. On laisse danser nos corps et tant pis pour le reste. De toute façon, qu'est-ce que je crains ? J'ai déjà tout perdu. Un mauvais coup de sa part ? Qu'importe, la honte ne me fait plus peur. C'est vivre sans elle, ma plus grande angoisse dorénavant. Je tire la Pasquier contre moi pour l'inviter à danser et je plonge mes lèvres dans son cou, pour humecter ce parfum que j'ai tant aimé. Le même de notre première rencontre. L'as-tu fait exprès ? M'avais-tu repéré ? Je remonte ma langue jusqu'au lobe de son oreille, viens le mordiller, déjà envieux de la dévorer. Le loup a faim, et le loup n'a pas été rassasié depuis longtemps.
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Theodora a ce besoin de souffrir, de sentir son corps frémir à mesure où il la touche, à mesure où ses paroles viennent percuter ses tympans, à mesure où elle s'évapore comme la poussière sur laquelle on souffle. Masochiste femme et elle ne s'en cache pas. Gustin sait qu'elle est folle de s'approcher de celui qui à ôter la vie à leur possible futur enfant mais le regard qu'il porte sur elle aide Blondie à se sentir vivante, même s'il y a une pointe dégoût qu'elle ne peut nier dans les pupilles masculines. Prenant des pincettes avec lui, voulant être sûre qu'il veuille passer la soirée avec elle, un sourire s'affiche sur ses lèvres ravie de l'entendre dire qu'il veut "juste passer la soirée avec elle". Princesse se mordille la lèvre et penche la tête sur le côté avec ce petit regard coquin. Juste la soirée, ça me va. et après quoi ? la haine s'installe de nouveau et fait de nous de parfaits inconnus ? Theo sait que Gustin a encore la vermine Wertheimer dans la peau et dans la tête et qu'il boit pour purger sa peine, mais Blondie a plus d'un tour dans son sac pour faire définitivement oublié l'ex petite amie du brunet. Ce dernier vient la plaquer contre lui et la fait danser, venant de suite poser les lèvres dans son cou, un frisson parcoure alors l'échine de la Pasquier. Gustin la titille, visiblement il est en manque de dose de Theo' il vient lui mordiller l'oreille désireux de se laisser aller à leurs ébats. Je ne savais pas que je t'avais autant manqué.. qu'elle dit en venant passer ses doigts dans les cheveux ébènes obligeant le jeune homme à relâcher sa prise et lui faire face Tu es affamé on dirait.. elle n'est pas étonnée comment une Sainte Nitouche peut rassasier le diable en personne a coup de "je t'aime, t'es beau, on fait l'amour" non lui il a besoin de "baise moi, plus fort, fais moi mal"... il est aussi animé par la violence que la princesse française.

@Gustin Mahoney
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@Theodora Pasquier A force de repousser le mal, on finit par s'en approcher et l'apprécier. La tentation pure et dure. Elle a déjà été présente plus d'une fois. Un seul regard peut me faire accélérer le pouls. Theodora c'est le genre de personne qui m'attire incroyablement. Très dur d'y résister. Le mental était plus fort que mes pulsions car j'avais quelqu'un dans mon coeur. Mais maintenant, il est vide. Je suis célibataire et je m'ennuie atrocement. Y'a plus les signaux interdits qui clignotent quand elle s'approche de moi. Y'a plus rien, plus aucune barrière. Si bien qu'elle pourrait m'écraser d'un seul coup de talon. Elle connait mes faiblesses, mes points les plus sensibles et sait parfaitement les utiliser pour m'avoir dans ses filets. Honnêtement ? Prends-moi, vraiment, je n'ai plus rien à perdre. Plus envie de me retenir, de contrôler mes envies. J'en ai presque plus. La seule étincelle que je vois dans l'obscurité c'est toi. Donc embrasse-moi, touche-moi, fais donc ce que tu veux. Je suis à toi, Theodora. Pour la nuit, pour une heure, à tout jamais. Je suis à toi. On est lié de plusieurs façons, le cacher serait mentir. " ça te plait ? " que je dis en glissant mes lèvres près de son oreille. Qu'elle le pense, ça ne me dérange pas. Qu'elle pense tout ce que je veux et je dirais oui. Je peux sentir ses doigts pointus prendre place dans mes cheveux qui sont devenus bien trop longs pour être élégants. Mes yeux retrouvent les siens et je ne quitte pas un seule seconde ses pupilles. Je me sens déjà emporté par son regard de braise. " t'as pas idée comme j'ai faim. " j'ai un feu qui brûle à l'intérieur de moi, quelque chose qui veut exploser mais je n'arrive pas à l'extérioriser. Mais je sais qu'avec toi, j'y arriverais. T'es la seule capable d'y arriver. " t'es toujours là... toujours à me coller comme une sangsue. " ma main attrape son menton et je rapproche mes lèvres des siennes. Je sens son souffle chatouiller ma bouche, le feu qui crépite de plus en plus.
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Theodora est maligne, elle joue avec le feu tout en tentant de ne pas se brûler les ailes lors de la mise en oeuvre de son plan machiavélique. Proche de Gustin par le passé, elle est désireuse de sceller de nouveau leurs corps, de retrouver se crépitement et cette envie de faire mal, de briser et de l'emmener dans les limbes de l'enfer. Elle a souffert à cause de lui aussi bien physiquement que mentalement, est-elle tombée amoureuse de lui ? Impossible à dire sous ce coeur de glace, la seule chose dont elle a conscience c'est qu'elle a besoin d'être en contact avec lui. Contact mental, virtuel mais surtout physique. À ton avis ? qu'elle dit lorsqu'il lui demanda si les baisers dans le cou lui plaisent. Elle brûle Theo, elle s'enflamme Theo, bien sûr que ces gestes lui permettent d'être conquise, mais elle reste elle-même : froide. Elle joue avec lui, lui pose des questions sachant déjà les réponses et il en faut peu au brunet pour revenir dans ses filets et elle dans ceux du jeune homme. Ils s'attirent comme des aimants, se détestent autant qu'ils se font du bien, c'est malsain mais ça les anime et leur permet de garder la tête hors de l'eau. Et tu n'aimes pas que je sois une sangsue ? tu préfères que je parte ? dit-elle faisant mine de partir mais vite rattrapée par l'idée de poser ses lèvres sur celles du Mahoney. Baiser passionné et langoureux, Theodora ne peut s'empêcher de lui mordiller la langue, puis la lèvre. Ne pouvant plus résister à ce corps sous ses ongles, elle met fin au baiser, pose sa main contre la joue masculine et demande comme une jeune femme innocente J'ai envie de toi. On va dans ta cabine ? Pourquoi attendre alors que les désirs sont présents ? autant en profiter le plus rapidement possible.

@Gustin Mahoney
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@Theodora Pasquier Y'a des faits et gestes qui ne trompent pas. Elle est dans mon ombre depuis un an. Elle me suit à la trace. Quoi que je fasse, quoi que je dise, elle revient. Je ne la réclame pas pour autant. Je ne cherche même pas à provoquer notre rencontre. Je n'en ai pas besoin, car elle est toujours là. Comme si elle m'attendait. Prête à sauter à la moindre occasion. L'animal qui grogne et qui a envie de planter ses griffes. Elle me rend fou, dans tous les sens du terme. La passion nous a déjà détruit. C'est quelque chose d'éphémère. Elle et moi, cela ne dure pas. Ca vient, ça part, puis ça revient. Rien n'est stable, tout est bancale comme dans ma tête. Le tourbillon qui ne cesse de me tourmenter. Et le plus fou dans tout ça, c'est que quand elle me touche, quand elle m'embrasse, je me sens putain de vivre. Plus de douleur, plus de peine, juste une envie remplie de plaisir. Un feu d'artifice qui ne demande qu'à être allumé. Je la rattrape par le bras et elle me dévore de nouveau les lèvres. Bon sang, un baiser qui en dit long. Si cela ne tenait qu'à nous et que nous n'étions pas dans un endroit public, je serais déjà en train de lui arracher sa robe. " non... j'me demande juste... pourquoi ? " pourquoi t'es toujours là Theo. Je t'ai fais du mal, quelque chose d'horrible et malgré ça, tu es quand même là à réclamer ma chaire. J'ai un fin sourire qui s'affiche sur le bout des lèvres. Je suis en train de rêver. Plante tes griffes dans ma peau pour que je me réveille de ce rêve. Ou ce doux cauchemar. " si gentiment demandé. " je passe une main dans le creux de son dos pour l'inviter à me suivre. Je passe curieusement une tête au-dessus de mon épaule, préférant qu'on ne me remarque pas en train de ramener la Pasquier dans les cabines. Non parce que, ça a tellement parlé sur nous, que je préfère qu'on se fasse discret. Même si les baisers endiablés de la demoiselle ne sont surement pas passés inaperçus. Je claque la porte de ma chambre derrière elle et je viens chercher ses lèvres en la coinçant contre celle-ci. Je glisse mes mains le long de ses hanches pour faire remonter sa robe et j'attrape ses fesses fermement. " dis-moi... pourquoi t'es toujours là. " trouve une excuse, une belle excuse qui me rendra fou. Car c'est ce que je veux entendre. Je ne sais pas si la vérité profonde me fera plaisir. Mais tu peux embellir pour que je sois encore plus excité. Tu as le don pour ça.
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Machiavélique Theodora a toujours un plan en tête, chaque action est réfléchie, mesurée et elle n'agit pas sans qu'il soit élaboré à la perfection. Comme une fleur qu'elle est venue cueillir elle a fait de Gustin sa proie de la soirée, bien décidé à n'en faire qu'une bouchée. Mais parfois et malgré la détermination dont elle peut faire preuve, les plans se bousculent, les chemins prennent d'autres directions surtout en compagnie de Gustin. Si instable, si détestable qu'il en est parfait pour elle. La demoiselle pousse un soupire d'aise lorsqu'il pose ses lèvres au creux de son oreille et secoue positivement de la tête, se mordillant la lèvre et venant attraper celle du jeune homme pour lui donner un baiser rempli de fougue. Arrête de poser des questions. Theodora a besoin de coups de reins, a besoin de sentir qu'il peut lui faire mal, a besoin de se sentir vivante plus que jamais et n'a pas envie de répondre à un interrogatoire. Alors elle en veut plus Theo, elle le veut à elle seule, loin des regards jaloux et indiscrets. Theodora remet ses cheveux en arrière en un léger coup de tête plein de grâce, attrape l'entre-jambe masculine et dit Tu aurais préféré que je le demande comme ça ? En effet, le brunet commence tout doucement à se durcir comme elle-même commence à sentir la chaleur émaner de son string, il ne se rend pas compte de cet effet qu'il lui procure aussi mauvais que bon soit-il. Gustin est plus soucieux du regard des autres, il jette un coup d'oeil aux langues de vipères qui pourraient trainer dans les environs, cela serait pile le moment pour Theo de faire un scandale, mais elle reste discrète réservant ses cris pour plus tard. Porte fermée, Gustin vient directement plaquer la belle contre la porte et lui attraper les fesses après avoir remonté sa robe mais il repose la même question de quoi énerver légèrement Pasquier. Cette dernière lève les yeux au ciel. Tu ne peux juste pas te contenter du moment et profiter ? qu'elle dit en posant sa main sur le torse masculin et en le poussant sur le lit, se mettant à califourchon au dessus de son torse musclé. Encore et toujours des questions, alors arrête sinon.. je vais devoir employer la manière forte. dit-elle en passant ses mains fines sous le t-shirt du brunet.

@Gustin Mahoney
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@Theodora Pasquier Je me suis tellement privé. Et bon dieu comme parfois ça a été difficile de résister à la belle Pasquier. Mon double féminin, mon alter-ego, sans doute mon âme soeur. L'alchimie est flagrante. Deux aimants qui sont trop souvent restés séparés. L'amour pour une autre m'a privé de ses douceurs. Et si j'avais craqué ? On en serait où tous les deux ? Toujours à se torturer puis à se retrouver dans les plaisirs de la chaire. Impossible de créer un avenir. Il est déjà tout tracé, chaotique, on en serait devenu que poussière. Mais je suis fier de ne pas avoir cédé. Je fais déshonneur à ma réputation d'homme volage. Je n'ai pas trompé la fille que j'aimais, même avec la plus grande tentation que la terre ait portée. Mais maintenant, malgré que j'aime toujours la dite personne, je peux faire ce que je veux. Je veux céder à mes envies et le fait qu'elle vienne me voir, qu'elle m'embrasse chaudement comme elle l'a fait, ça augmente encore plus mon envie qu'elle m'appartienne. J'aime les filles qui osent prendre les choses en main, me provoquer, comme elle l'a fait en poignant dans ma marchandise en public. Dans la chambre, la tension est électrique et je brûle d'impatience de la goûter à nouveau. On a partagé qu'une nuit ensemble. Il y a presque un an. Et pourtant, cette nuit arrive encore à me hanter. La nuit qui a conçu un foetus. Qui nous a lié dès le début sans qu'on le veuille. Le destin en a décidé ainsi. Et j'ai tout détruit. Laisse-moi me rattraper. Je veux remplacer mes excès de colère par mes excès de sexe. Te montrer des pulsions différentes. Te montrer que je peux prendre soin de toi, rien qu'une fois. Cela n'effacera pas le mal que j'ai fait. Mais si je peux te mettre un souvenir plus plaisant dans la tête, je le fais sans hésiter. Je veux des réponses, elle n'en veut pas. Elle me le fait comprendre en me poussant dans le lit, grimpant sur moi. Oh, elle en est capable de me faire taire. Je frisonne au contact de ses mains sur mon ventre et je glisse moi aussi mes doigts sur ses cuisses, sous sa robe. " dis-moi juste que je t'ai manqué et je me tais. " mes yeux noirs dans les siens. J'attends la réponse. Ne parle pas si tu veux, montre-le moi juste avec tes crocs et tes griffes. Je l'attire à moi pour l'embrasser. Je dévore ses lèvres pulpeuses, grogne presque tellement c'est bon de la retrouver. Mes mains viennent défaire sa robe dans son dos et je fais glisser les bretelles sur ses épaules pour qu'elle se dénude.
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