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J'avais laisser Natalya dans notre suite et était partie seule à ma petite réunion. Depuis la mort de mon grand-père, c'est ma grand-mère qui gérait la richesse des Romanov. Je ne m'y étais jamais vraiment intéressé, je savais que quand elle passerait l'arme à gauche, je serais plus riche que je ne le suis déjà. La vie de ma grand-mère a été très chargé, elle a élevé mon père (et je suis sûre qu'elle le regrette aujourd'hui) qui est un grand avocat. Elle a été la présidente de tellement de chose, country club, sa confrérie, etc. Elle avait plus de monde que n'importe qui à son enterrement, mais pas un seul membre de sa famille. On aimait beaucoup notre grand-père, mais nous avions une dent contre notre grand-mère car elle manipulait tout son entourage. Elle décidait de tout se qui se passait chez les Romanov, et c'est même elle qui a décidé de renier mon père. Mon grand-père n'aurait jamais fait ça de lui même. Elle tirait les ficelles depuis le début, et même depuis sa tombe on devait se plier à ses quatre volontés. J'étais l'aînée des enfant de mon père, et j'étais donc la seule qui devait hériter de toutes les richesses. J'aimais ça, ça me rendait supérieur en quelques sortes et j'aimais que mes parents soient fier de moi. Mon père était très fier même, il se dit que je serai la Romanov que son père voulait que je sois, et il pleurait aussi la mort de sa mère, discrètement. J'avais de la peine pour lui, mais de mon côté je me réjouissais trop vite de mes prochaines responsabilités, et surtout du compte en banque.
J'arrivais dans cette grande salle, à New York remplit d'avocat et de notaire. Ma grand-mère faisait les choses en grand. Je me donnais l'air concentré par tout se qu'il se passait sur les lieux, mais mon attention était quelque peut ailleurs. Puis, on me lis les conditions. Je m'imaginais beaucoup de chose de la part de ma grand-mère, mais là, ça allait trop loin. J'avais la bouche en cul de poule, j'en ai même raté un battement de cœur. Après cette petite réunion, je suis mon notaire russe. Après un tel choque j'ai même l'impression de plus comprendre un seul mot de ma langue maternel. Nous étions retourné au consulat de Russie pour discuter de toutes pleins de bêtises du genre, et finalement on me disait que j'aurai une petite rencontre avec un homme que ma grand-mère aurait choisi pour devenir mon "mari". Je ne pensais qu'à une chose de mon côté : comment le dire à Dastan ?
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