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(daeston) say you were tryna make me laugh and nothing has to change today

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@Daemin Beauregard Cela va devenir une habitude, de se cacher chez l'un ou chez l'autre, dans les draps, sur la plage, sur un rocher. Et si ça devenait une routine ? Une routine ennuyante. Je n'en veux pas. J'ai la crainte qu'un jour ça te suffise plus tout ça, que je pourrais plus t'apporter autant de plaisir. Je me mets la pression pour être le meilleur, pour qu'il n'y ait que moi dans ta tête. Car savoir que tu donnes ton corps à d'autres, ça me dérange. Je ne sais pas pourquoi, mais égoïstement, j'ai plus tellement envie de te partager. C'est comme ça. Comme un enfant qui n'a pas envie de partager son jouet préféré, qu'il préfère le garder pour en prendre soin. Bien que tu ne sois pas un jouet à mes yeux Daemin. Et quand bien même je suis un jouet pour toi, je veux alors être ton préféré. Que tu ne regardes plus les autres. Je sais que je t'ai pris de cours, que ça t'a bousculé. C'était juste une envie, pas un caprice. Que tu me dises oui ou non, rien n'aurait changé entre nous. Mais t'as dit oui, t'as dit que j'étais suffisant et rien que ça, ça me donne de la force à mon ego. L'estime de soi qui s'était envolée depuis un moment. Elle est revenue à bloc dès que tu m'as fait ce discours sur le rocher. Ce qui me fait peur Daemin, c'est que notre relation intime ne soit qu'éphémère. Je n'en connais pas beaucoup, pratiquement pas à par nous, des gens qui couchent ensemble régulièrement sans que ça finisse bien. Y'a toujours un truc qui foire. Soit l'un tombe amoureux, soit l'autre, soit aucun des deux. Je redoute ce moment où le premier va craquer. Ce sera peut-être moi, toi, aucun de nous deux. Je veux pas y penser. Profitons tant qu'on se sent bien dans... ce qu'on a. Je ne sais même pas comment appeler ce qu'on vit tous les deux mais qu'importe. Ah et, y'a pas que ça Daemin. J'angoisse à l'idée que tu dises que tu ne veux plus qu'on se cache. Tu assumes les gens que tu fréquentes, t'es plein d'assurance. Pas moi. Personne n'est au courant pour toi. Personne ne sait à quel point tu m'fais perdre la boule. Pourtant tu sais, j'ai essayé d'en parler, mais je ne trouve pas les mots. Alors je fais l'autruche. Vivons heureux, vivons cachés. Cette fois-ci, je t'invite dans ma cabine. C'est pas juste d'avoir mon odeur sur tes draps si moi, je n'ai pas la tienne dans les miens. Un peu nerveux d'accueillir quelqu'un dans la chambre que j'ai avant partagée avec mon ex. Mais elle est triste cette chambre. Elle a accueilli trop de larmes. Il faut lui mettre des paillettes. J'ai glissé le numéro de ma chambre à Beauregard et au lieu de passer un début de soirée à Saint-Barthélemy comme tous les summer campers, on reste enfermé dans une cabine. Au moins, on a la paix. Il fait plus calme. Ca frappe à la porte et j'ouvre en montrant ma petite tête pour le laisser passer. Y'a déjà son parfum qui se propage dans mes narines et dans la pièce. Oh oui. Quelle douceur. “ je suis ton plan de ce soir. ” ” que je dis d'une voix différente en jouant la comédie, l'homme en chien qui essaye de plaire. Parfois on dit que je suis drôle. Je suis en théâtre à Harvard, ça doit peut-être aider. “ qu'est-ce qui ferait plaisir à monsieur ? ” jouette, je trottine jusqu'à lui et attrape ses poignets pour qu'il recule de la porte. Propage ton parfum plus ici, voilà, et sur les draps aussi.
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mercredi 04 août 2021
cabine de Daemin à ST MARTIN.

Ce qu'il s'est passé, je ne saurais mettre de mots dessus. D'une conversation banale, nous avons vu les messages s'enchaîner à une vitesse folle, le ton devenant de plus en plus sérieux. Tu as réussi là où d'autres ont échoué, tu m'as déstabilisé. D'une certaine manière, tu as fait un pas en avant, tu t'es ouvert. Et moi, j'ai été pris de court. L'idée même que tu désires cette forme d'exclusivité m'a fait peur. J'ai senti mon corps trembler de l'intérieur dans notre échange, incapable de comprendre ce qu'il se passait. De l'autre côté, j'étais heureux, excité, terriblement emporté par cette requête. Les autres doivent s'effacer pour que tu ne sois plus que le seul. Si tu savais Easton comme tu es déjà le seul. Mes plans sont tombés à l'eau, ces individus qui tournaient autour de moi tels des rapaces encerclant un macchabée. Ton simple souhait aura eu l'effet d'une bombe, explosant toute chance aux autres de me toucher, de m'approcher même. C'est ça l'effet que tu me fais, c'est en ça que tu es puissant. Tu ne réalises pas l'étendu de ton pouvoir sur mon mental, car tu me fais du bien, un bien fou. Les autres ne furent que distraction, les disciples appelant le diable, tandis que toi, tu appelles le saint. C'est ça que tu désires, m'avoir auprès de toi, ne pas avoir à me partager ? Je ne sais pas si je suis un jouet, un ours en peluche que tu peux serrer et avec lequel t'amuser avant de grandir et passer à des jeux d'adulte. Cette idée là me révulse mais il n'y a rien à faire mis à part accepter ou refuser. Et je ne peux pas refuser, pas toi, pas nous. Si personne ne peut m'avoir, personne ne t'aura, personne ne te traitera comme je rêve te traiter. Tel un prince, blessé au combat, recueilli par un homme au coeur aussi grand que ses muscles. Car tu n'es pas une distraction, un passe-temps estival. Tu es ma douceur, celui qui me rassure et me ramène à mon essence, celui qui me rappelle que les yeux peuvent pleurer, que les peurs peuvent saigner, que le coeur peut danser. Sur ce bateau, nous serons les seuls à danser le tango. Ce soir, tout le monde est de sortie ou presque. Quelques rares rescapés tournent encore en rond, et parmi eux se faufile ma carrure au delà des ombres jusqu'à, de ta cabine, la porte. Je toque, tu entrouvres en montrant ta tête comme dans un dessin animé. Et tu as l'air animé justement, enjoué comme jamais auparavant et ça, ça me fait sourire. ❝ Bonsoir Argall ❞ tente-je dans une politesse des plus classieuses avant que tu ne t'avances vers moi comme un kangourou, me prendre par les poignets et m'enfermer dans ce lieu qui sera notre tombeau. J'en glousse même de te voir ainsi, me faire tournoyer de la sorte comme si tu attendais ce moment depuis ta précédente nuit. Tu sais, j'y ai pensé toute la journée de te retrouver. Élan naturel que te faire face et poser mes mains sur tes hanches, te regarder avec calme en te détaillant. ❝ Passer une soirée avec un aussi bel homme et l'avoir dans mes bras toute la nuit et recommencer encore et encore, c'est plutôt ma came. ❞ Tes cheveux ont été légèrement arrangés, mais certaines boucles subsistent toujours. De mes iris, je les scrute et crispe mon sourire d'émotion. Qu'elles me font craquer, je ne saurais comment dire. Et puis, il y a ton sourire. Quand il est plein comme ça, je pourrais me battre pour qu'il y reste indéfiniment. Je te fais avancer vers moi, et dépose un baiser sur ton front en guise de chaste salutation. Il n'est pas temps de pervertir ces lieux. ❝ Tu as passé une bonne journée ? ❞ Je te lâche et viens faire le tour de la cabine, habitué par une curiosité saine, tout en me demandant quelles autres questions je vais bien pouvoir te poser. Tu peux parler sans que je ne me lasse, et j'ai tant de choses à apprendre sur toi. Devrais-je me montrer plus instigateur de tes confessions ? Deux boutons se défont de ma chemise, ceux du haut au contact de mes doigts. Cette odeur que je sens, ce parfum qui m'attaque, c'est le tien. Qu'il est bon de le sentir, je veux pouvoir me baigner dedans. ❝ Je veux bien me poser et qu'on discute, que tu me parles de toi... ❞ souris-je en te regardant. Que tu es rayonnant, c'en est presque indécent. Je ne désire qu'une chose, c'est de me rapprocher à nouveau de toi mais je ne saurais garder mes mains en place et mon âme droite. Tu es plus qu'une tentation, Easton, tu es ma perdition, et je ne peux toujours pas juger si celle-ci est en vue de ma réincarnation ou mon incarcération.

w/ @Easton Argall
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@Daemin Beauregard Y'a ces moments calmes aussi qui sont plaisants. Ceux où on ne se saute pas dessus mais où on se bouffe du regard. Mine de rien, la conversation au clair de lune nous a permis de se rassurer. De me rassurer. On ne s'attend pas à être quelque chose d'officiel. On se laisse porter. On est pas prêt. C'est ça qui me soulage, c'est que Daemin est sur la même longueur d'ondes que moi. Cela a un côté excitant, d'inattendu, de pas prévoir, ni anticiper ce qui va arriver. J'ai la sensation qu'on marche sur un fil fragile et qu'au moindre faux pas, tout s'écroule. C'est pour ça que j'ai insisté par messages, je ne veux pas qu'il se lasse de moi, qu'il me perde si facilement. Les mots sont trop lourds pour l'expliquer alors j'ai préféré remettre ça sur le sexe, ce qui a bien marché et qui n'est pas tellement faux au final. L'avoir que pour moi intimement, c'est comme un rêve éveillé. Deux fois, on a couché ensemble. J'ai envie de plus, que ça soit plus régulier, qu'il imprègne toute son odeur comme il le désire sur mes draps. J'ai l'habitude d'être le plan b ou c, d'être celui qu'on met de côté. Ne m'fais pas ça Beauregard, je ne sais pas si j'y survivrais. J'ai un sourire lumineux qui brûle mes joues. Je suis sa came. Ce n'est pas exactement ce qu'il a dit mais je le prends comme ça. Ses mains musclées me tirent à lui et je reçois un baiser tendre sur le front. Mh, c'est pas suffisant. Moi je veux tes lèvres. Je les dévore de mes pupilles dilatées, comme un vampire assoiffé de sang. Puis tu me poses une question et je reviens difficilement sur terre. “ mh tu disais ? ” je cligne plusieurs fois des yeux, battant mes cils de biche, sourcils froncés. Ah oui, ça me revient. “ oh oui, rien de plus banal. j'étais tellement excité à l'idée de te voir. ” pourquoi tu t'éloignes déjà ? Je le laisse inspecter les lieux et je viens me foutre dans mon lit tout frais. Je prends un oreiller et je m'appuie sur le ventre, les yeux rivés vers lui, qui ne le quittent pas un seul instant. “ ne reste pas si loin, viens. ” je vais pas te manger. Du moins, pas tout de suite. J'attends qu'il s'exécute et je lui fais une petite place près de moi. Je suis beaucoup trop jouette pour discuter. Je vais le faire chier, vous allez voir. “ monsieur veut discuter... ” dès qu'il me regarde, je me mords la lèvre et je le mate, sans gêne. Je fixe ses fesses bombées qui sont jolies dans ce petit short. Je soupire en me retournant comme une étoile de mer, les yeux fixés vers le plafond. “ la dernière fois que j'ai parlé de moi c'était pour un exposé en espagnol. ” que je dis en riant. Qu'est-ce que Daemin ne sait pas sur moi ? Beaucoup de choses en fait. Comme il ne me pose pas de questions plus claires, je me lance : “ je suis né à Cardiff le 13 avril 1997. ” retiens cette date, j'aime qu'on se souvienne du jour de ma venue au monde. “ enfant unique. mes parents ont vraiment galéré à m'avoir. ” ma mère me dit souvent que je suis le miracle de la famille. Mais ce n'est pas pareil aux yeux de mon père. “ dès que j'ai commencé à courir, mon père m'a inscrit à l'athlétisme. j'ai aimé ça un temps, puis je me suis vite lassé. entre les entrainements, les compétitions, la pression, comme si tout mon avenir était déjà tracé. j'voulais pas être un grand sportif. alors après avoir remporté le championnat junior d'Europe, j'ai... j'ai prétendu avoir fait une mauvaise chute. ” pour tout arrêter, pour ne pas voir mes rêves de comédien brisés à jamais. Je remonte mon short pour lui montrer la cicatrice près du genou. “ c'est sans doute le plus gros secret de ma vie... je me suis brisé la jambe pour ne plus faire de compétition. ” j'en suis pas fier, ça aurait pu être fatal, dangereux. Mais j'étais tellement mal dans ma peau que ça me semblait être la meilleure solution. Comment aurais-je pu en parler à mes parents ? Savoir que je n'aime plus courir les aurait détruit. “ après ça, j'ai enfin pris ma vie en main et j'ai décidé de passer les examens d'entré de comédie à Harvard. ” que je lâche d'un petit rictus. Et me voilà, quelques années après. Plus heureux que jamais dans ce que j'entreprends professionnellement.
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Tu me déstabilises constamment, et ce soir est la quintessence même de ton charme. Ton laissé aller est évident, avec tes sourires et ton attitude franche, tes blagues et tes expressions faciales qui tentent d'attirer toute mon attention. Je vois bien que tes yeux s'attardent sur mes lèvres mais s'il-te-plaît, ne me laisse pas faire de toi mon exutoire, celui dans lequel je me déverse car je finirais par me lasser de t'essorer. Ne fais pas non plus cette mine de biche de dessin animé, les cils battants frénétiquement. Cela me donne juste envie de te plaquer contre le mur et te faire manger autre chose qu'un pain. Cesse, je t'en prie, j'ai besoin de réel avec toi, quelque chose qui ne se résume pas qu'à des concours de jouissances. ❝ Moi aussi j'avais envie de te voir, toute la journée même. ❞ Ta gueule, Daemin, tu sais pertinemment que tu vas le faire fuir. Tu sembles t'installer, me zieutant tel un chasseur concentré sur sa proie. C'est déroutant et en même temps terriblement excitant. Crois-moi, en fin de soirée, tu en auras pour ta décadence. Pour l'instant, je m'exécute et reviens vers toi, m'assois à tes côtés en posant un bras sur ton dos, ma main remontant sur tes cheveux. Tu le sais depuis le temps qu'ils sont ma faiblesse, pas vrai ? Plus je les regarde, plus je veux enfouir mon visage dedans, avoir ton odeur calfeutré sur mes parois nasales et finir par mordiller ton oreille durant le processus. Face à toi, je suis faible, bien trop faible pour résister. Alors je t'écoute, parler, me regarder et je m'émerveille. Tu t'ouvres, tout guilleret, et je ne sais pas quoi en penser. Plus je te découvre, plus tu te livres, plus nous devenons proches, et plus je déraille, mes yeux s'ouvrant plus grand, laissant toute la lumière que tu dégages s'imprégner sur ma rétine. Tu es beau, si beau, et pas seulement par ta plastique. Il y a quelque chose d'enfantin qui me fait craquer, un aspect où tu es dangereusement à croquer. Hors de question de t'interrompre, ce serait criminel, et je suis bien trop absorbé pour dire quoi que ce soit. Je suis simplement surpris lorsque tu évoques pareille accident. Ou du moins "accident". Aussitôt que tu clos ton discours, je te retourne alors que tu es toujours sur le ventre, sur le lit et soulève ton short à nouveau là où tu arbores une cicatrice. Et je m'approche, déposant de mes lèvres un baiser salvateur. Si je peux le guérir en partie, autant essayer. Mon East... ❞ En vérité, ça me touche, ça me prend, ça me fait peur. ❝ Promets-moi que tu ne feras jamais un truc pareil à nouveau. ❞ Oui, je suis sérieux car te savoir blessé, et par consciemment de part tes mains de surcroît, ça me pique en plein coeur. C'est con mais j'aurais voulu te protéger alors même que l'on ne se connaissait. ❝ ... T'as d'la chance, t'as un titan à tes côtés maintenant donc si tu as besoin d'affronter quelqu'un mais que t'es paralysé, je me dresse devant en bouclier. ❞ Et me voilà aussi à faire l'idiot, le kéké même, levant mes bras et jouant le sportif de salle qui gonfle les biceps et les pectoraux. Je rigole même, me rapprochant de toi, maintenant que tu es sur le dos, et passant mon bras le long de ton ventre. Tu es près, et à moi désormais. ❝ J'retiens aussi que t'es un an plus jeune que moi, mais qu'on est presque du même jour, je suis du 14. ❞ Ce n'est même pas une coincidence, mais rien que de savoir ça, j'en souris comme le plus grand des couillons de ce monde. C'est ça, ton pouvoir magique, Easton. Tu me rends heureux. Mes doigts chatouillent ton tee-shirt, glissent presque en dessous pour caresser ta hanche. ❝ Tu... Tu t'es bien confié en tout cas donc, écoute, je vais te rendre la pareille. ❞ On va essayer du moins. ❝ Je connais pas mes parents biologiques, et je suis le plus vieux de ma fratrie. Mes soeurs sont biologiques, deux petites blanches toute mignonnes. ❞ À côté, je fais tâche et par chance, je suis désirable. J'aurais pu être davantage en désavantage face à elles. ❝ J'crois que t'as du comprendre avec mon nom de famille que j'suis français donc je parle et je sais plus ou moins écrire..? J'ai perdu beaucoup, en vrai ❞ ricane-je en passant mon regard sur toi. ❝ Mais tu es sublime veut dire you are handsome, par exemple. ❞ Oui, c'est ce que tu m'inspires. J'aurais pu dire que j'ai envie de te démembrer à coups de corps sur ce lit mais j'aurais peur de passer pour un tueur en série. ❝ Et si tu veux un secret secret... Je pense que tu sais que mon ex et moi, on est sorti ensemble un an, ça s'est terminé il y a 3 ans car sur veritas, il a été révélé qu'elle m'avait trompé avec un troupeau d'mecs. Bien, le truc, c'est que j'avais déjà des doutes, des "preuves" mais j'ai jamais rien dit, et j'ai joué au con pendant les trois ou quatre derniers mois en me convainquant que c'était pas vrai. Et quand il y a eu le veritas, ça m'est revenu en pleine gueule... Bon, après, je suis passé pour un coco, pour un aveugle mais pas pour un con. Si les gens avaient su que j'avais des doutes mais que j'étais dans le déni et que j'ai limite accepté ça car mon mensonge me plaisait plus que la vérité... Bah là, j'aurai été le con de la décennie. ❞ Je baisse la tête, la mine rigide. J'en parle rarement car je n'aime pas cette époque. C'est un autre Daemin que je pensais fort et qui ne l'était pas. Et j'ai parfois peur qu'il soit toujours présent comme en témoigne mon addiction naissante à ta présence. ❝ On est pas les mecs les plus doués, hein ? ❞ te lance-je en relevant le visage, tentant un sourire amusé. Heureusement que tu es là, que tu me laisses te toucher, que tu me regardes avec tant d'intensité, et de désir. Personne ne m'a retenu comme tu le fais. Je veux ta cage dorée, et t'y retrouver.

w/ @Easton Argall
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@Daemin Beauregard Et voilà que je me mets à rougir avec ses belles paroles. Il a toujours le don de me donner chaud. Avec ses caresses ou avec sa voix. Je vais arrêter de le répéter que j'adore l'entendre parler car ça devient obsessionnel. Je pourrais m'endormir dans ses bras pendant qu'il me souffle une berceuse. Il est tellement apaisant. Je l'ai jamais entendu s'énerver, crier, hurler, pleurer. Juste le son de sa voix posée et angélique. Et je ne veux pas que ça change. Je ne veux pas que ton diffère. Cette fréquence est la bonne et je veux la garder. Je lui parle de moi, du coup. De ma vie en général, du chemin que j'ai tracé dans mon passé. Mes échecs et mes victoires. Y'a le point qui fâche sur l'accident volontaire que je me suis fait, c'est quelque chose dont je ne parle pas. Je ne suis pas certain d'en avoir déjà parlé à qui que ce soit. Pas à Harvard en tout cas. Pas dans ma nouvelle vie. Qu'est-ce que j'ai aimé tourné cette page. Repartir à zéro sans pression sur mon dos. J'ai envie de prouver à mes parents ce dont je suis capable. J'espère qu'ils croient en moi, même s'ils me l'ont jamais dit. J'ai envie qu'ils soient fiers, qu'ils se rendent compte que la comédie c'est bel et bien mon domaine, et non le sport de haut niveau. “ je ne pense pas recommencer. je suis bien maintenant, et comme tu dis, j'ai mon titan avec moi. ” que je dis en passant une main dans ses cheveux, l'observant d'un air tendre. Tu as vu, j'ai pas tiqué quand tu as insinué que j'étais à toi. Alors j'utilise aussi mon pour te désigner. Mais pas devant les autres, juste devant toi. Je prélasse de sa main sur mon ventre et pivote le visage vers lui. Je hausse les sourcils. “ ah oui ? je pensais que t'étais plus vieux que ça. ” je pouffe, pas pour me moquer, car je l'imaginais presque la trentaine. “ t'es bâti comme un homme mature et viril. ” je me rattrape comme je peux au cas où il serait susceptible. Je pince son biceps et me tords presque le doigt au passage tellement il est dur. Daemin s'ouvre à son tour et quand il me parle en français, j'ai le battant qui s'emballe. C'est tellement sexy. “ j'ai toujours été nul en langue au lycée. mais je peux dire voulez-vous coucher avec moi ? ” avec un accent à dormir debout. J'éclate de rire en voyant sa réaction. Puis je le laisse continuer son comte et je m'appuie sur le flan, ma joue dans la paume de ma main, je détaille chaque tablette de chocolat que je peux deviner à travers son t-shirt. Les confidences sont à l'heure. Après avoir exposé mon secret, il fait de même. Il m'a déjà vaguement expliqué qu'une fille s'était joué de lui mais pas dans les détails. Lorsqu'il me raconte son récit, j'en ai la chaire de poule et j'ai extrêmement de peine pour lui. Mon visage se décompose et les sourcils se froncent. Il ne mérite pas qu'on lui fasse du mal. Il est tellement parfait, gentil, attentionné. Mon coeur se serre comme si je ressentais sa douleur. “ t'es pas con. t'as juste été amoureux. ” je pianote mes doigts sur son avant-bras, pensif. L'amour c'est beau mais c'est moche aussi. Je n'en ai eu que les mauvaises couleurs et ça me fait peur d'espérer un jour en voir de plus belles. Je lâche un petit rictus à sa réflexion et je soupire en roulant des yeux. “ faut croire qu'on est pas fait pour être aimé... ou alors, on est tombé sur les mauvaises personnes. ” j'ai une grimace de dégoût. “ on emmerde l'amour, le sexe c'est tellement mieux. ” que je dis d'un ton enjoué en tirant sur son t-shirt. Surtout avec toi. Bonté divine plus jamais je pourrais me passer de tes coups de reins. Et je sais, je reviens à la charge, car parler de ce sujet sensible ça me fait vriller, paniquer, et je préfère parler un autre langage qui pourra détourner ton attention.
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Tu as cette douceur naive qui t'habite, cette chose qui me fait démarrer une musique dans mes tripes. Le genre qui passe par les intestins, est pulsée par le coeur, remonte jusqu'à la gorge et s'écrase sur mes neurones. Rien que te regarder, ta simple vision, a de quoi me damner pour l'éternité. Qui aurait cru que je craquerais à nouveau ? Et pour un homme à la complexité effrayante, à l'apport novice déstabilisant ? Pas moi. Jamais en pleine conscience je n'aurais voulu, mais je ne regrette pas. Je ne le peux pas, ça m'est impossible car quand mes yeux se posent sur toi, j'y vois un ange. Il est déchu, mais le sourire toujours sur les lèvres. Il rigole, s'ouvre, et profite de la vie, il en veut et il le montre. Il est combattif, et il est beau - de part sa plastique et ses gestes. Je m'égare même alors que je suis à ton genou, et me rends compte que je me fais possessif. Quel con. Mais je n'ai pas le temps de regretter que tu me rassures. Cette caresse dans les cheveux égale à celle que tu poses sur mon battant. Est-ce un rêve ou tu m'amadoues ? À en juger par mon sourire niais, je ne rêve pas et tu réussis. Si tu savais comme je veux te sauter dessus, t'embrasser à t'en aspirer ton âme. Tu es ma plus belle tentation, celle qui peut me mettre à mal et que je sauverais des flammes quel qu'en soient les batailles. Tu le vaux, Easton, putain, tu vaux tout. Je crois que face à toi, c'est moi qui suis à genoux. Petit mouvement et je me replace, à tes côtés, toujours ce sourire en guise de réponse. Ton titan. J'aime comment ça sonne. Easton et son garde du titan. De quoi rivaliser avec cet anime des plus surcotés. ❝ Ah ? ❞ J'entrouvre les mirettes, et me retrouve surpris. Toi, tu pensais t'être trouver un daddy. Pervers que tu es. ❝ Surement la masse, oui. Tu pensais que j'étais proche d'être papa ou quoi ? ❞ rigole-je comme pour te donner la permission de rire à ton tour. Petit con que tu es aussi. Et je t'-apprécie ainsi. Et même, je t'apprécie encore plus quand tu t'essaies au français, chose qui me fait presque hurler de rire. Ne vas pas croire que je me moque méchamment, mais c'est trop adorable pour ma tension. ❝ C'est trop mignon... Et BIEN SUR que c'est ça que tu devais retenir. ❞ Pervers, je réitère. Pervers à l'écoute. Tu es là, en silence, à me laisser m'ouvrir aussi, t'offrir ce qui me contracte la poitrine. Ce n'est clairement pas agréable de dire ça et même si je ne suis pas prêt à chialer, je te jure que je sens l'ancien moi s'effondrer sur le sol. Il n'aime pas ça, lui, il n'est pas guéri. Mais il s'efface en ta présence, petit à petit. ❝ C'est gentil... Et oui, j'pense qu'on est pas tombé sur les bonnes personnes, ça arrive. C'est un jeu de confiance mais aussi de chance, d'aléas etc. On peut pas gagner à tous les coups. ❞ Juste ces doigts qui viennent me réconforter sur mon bras, c'est rien et pourtant, c'est beaucoup. Je le vois même à ta mine empathique, tu es quelqu'un de bien. Et tu es bien pour moi. Un peu trop, même. Tu es déjà là à changer le ton, tirer sur mon tee-shirt pour que je tombe presque sur toi. Je glousse, et me retiens, mes jambes venant sur le lit et mes bras tordus de chaque côté de toi. Je te regarde, allongé, nos visages si proches, tes cheveux tels des cascades sur le rebord du lit. Sur le dos, tu es tout aussi contemplable. ❝ Tu sais que tu m'fais vriller, toi ? ❞ Tu as l'obligation de répondre, mais je veux te déstabiliser. Aimes-tu cette main qui glisse sous ton tissu, passe sur ton torse et s'arrêter, que deux doigts rape un de tes tétons de leur extrémité ? Car moi, je me régale de tes traits qui se tordent, de ton regard qui me supplie. Et quand cela s'accompagne de tes mots, pour moi, c'en est fini. ❝ Tu sais qu'à me chauffer comme ça, tu devras rendre tes comptes chaque soir maintenant..? ❞ C'est ma façon de confirmer ta fidélité, mon seul et unique client, celui s'étant fait prisonnier de mes bras et uniquement les miens pour que je fasse de même. De ma main libre, je prends appui pour me placer vraiment tout au dessus de toi, et retirant ma main de sous ton tee-shirt, je glisse mes doigts sur ta joue, saisissant une partie de ton visage en rapprochant le mien. ❝ Ce soir, je t'apprends mes vices ❞ murmure-je. C'est ce que tu voulais, que je te fasse ce que je fais aux autres, que tu te plies à mes manques de droiture, que tu me laisses te posséder entièrement. De toi, je ne pourrais pas me passer, corps et âme, je suis enchaîné. C'est donc ça que l'on appelle être attaché. La morale de l'histoire serait-ce de s'abandonner ?

w/ @Easton Argall
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@Daemin Beauregard Je vous jure que ça me fait bizarre, de me rapprocher de lui. Je me confie plus rapidement à lui qu'à mes amis proches. Comme si à force de passer du temps ensemble, d'avoir des moments uniques qu'on partage nous deux, ça créé le lien. Daemin prend sa petite place là où il faut, petit à petit. Je réalise qu'il devient cher à mes yeux. La rentrée me fait peur, vous savez. Le retour des vacances, la routine, les cours, etc. J'ai peur qu'il y ait un fossé qui se mette entre nous et qu'on peut pas contrôler. Le plus stressant, c'est qu'on est dans la même maison. Alexander aussi. Et Alyssia aussi. L'ex-présidente. J'aime cette famille mais toutes ces personnes sous le même toit, clairement, ça ne me rassure pas. Je préfère qu'on reste ici mon beau, le plus longtemps possible. Blottis l'un contre l'autre à se raconter nos vies. A s'épuiser sur les lèvres. A vivre sans contraintes. Je l'observe de mes jolis yeux, je caresse sa peau. Je le désire, mon dieu. J'ai l'impression d'être assoiffé de lui, jamais rassasié. Mon petit ver solitaire. J'éclate de rire à sa remarque. Pas proche d'être papa, mais plus sage on va dire. Puis ces petits cheveux blonds, ça n'aide pas. Il a le physique d'un ange tombé du ciel. Mais un ange qui a un peu trop craqué sur les protéines. Mon français n'est pas top mais j'ai réussi à le faire rire. Plutôt explosé de rire. “ donc je suis vraiment si nul que ça ? ” bouche entre-ouverte, prête à gober une mouche, à moitié choqué de son rire moqueur. Azy, pour la peine, je vais le pincer. Et le mordre, oui, laisser la trace de mes canines pointues jusqu'à sang. Il a raison. Faut pas dramatiser tout. Si ça n'a pas marché pour nous, ça marchera peut-être plus tard. J'ai des tas d'amis qui trouvent leur âme soeur après avoir essayé plusieurs chaussures. Moi moi, je m'attache tellement vite. Quand je suis en couple, je donne tout de moi, toute ma personne. Surement de trop. Et quand ça foire, je me sens totalement vidé, comme si à force de tout donner je ne savais plus qui j'étais et cette personne partait avec mon être. Je m'amuse à faire taire la conversation pour passer aux choses plus dynamiques. Je tire sur son t-shirt, je lui envoie mon regard de braise, je me mords le coin de la lèvre. Vraiment, le mec en chien quoi. “ j'vois pas de quoi tu parles. ” en même temps, mon cher Daemin. Tu veux qu'on parle tous les deux couchés dans un lit. Mais ça, non, mon cerveau ne l'assimile pas. Mon cerveau il voit autre chose. Pervers qu'il est. “ chaque soir, chaque matin, quand tu veux. ” je rigole tendrement en l'attirant sur moi. Sa main qui me caresse le ventre remonte déjà. Oui, apprends-moi ce que tu aimes. Je veux pouvoir te satisfaire comme n'importe quel homme. Je veux être le seul et l'unique, je te l'ai déjà dit mais je pourrais encore le répéter une centaine de fois. Je murmure contre ses lèvres en descendant mes doigts à l'aveugle, jusqu'à l'élastique de son short.
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De simples rires volés l'un à l'autre comme un jeu de balle qui ne s'essoufflant pas. On part de mon apparence mature à ce français que tu tentes malgré ta méconnaissance. C'est mignon, et ça me fait craquer, mais je préfère te dire que cela me fait rire. ❝ Oui mais c'est mignon ❞ rigole-je. Encore une fois, je parle avant de réfléchir, et je dis ce que je pense. Un jour, avec toi, cela me vaudra cher. C'est si facile d'échanger avec toi, aussi bien que t'allumer d'une vague caresse, d'un échange de regard. Tu es cet être si stimulable et stimulant à la fois que s'il te prenait l'envie de me faire perdre la tête, tu le pourrais. Tu saisis bien vite les nuances, tu les comprends instinctivement et cela me terrifie au plus haut point. Qu'en est-il de mes barrières, de mes gardes ? Elles ont foutu le camp avec ma raison. Je me retrouve là, à vouloir te toucher, à devoir te toucher, incapable de garder une quelconque distance. Qu'en sera-t'il de retour à Boston ? Dans la même maison, la même que ton ex-copine. J'y suis assez régulièrement pour le sport, ne serait-ce que pour ça. Et bien que j'ai mon chez moi, me dire qu'il faudra me restreindre ne m'enchante en rien. Il y a ces cachettes qui seront tapissées de tes empruntes digitales, ces zones d'ombre qui rougiront de nous voir nous rapprocher. Il n'est question que de baisers, car pour le reste, c'est dans mon intimité que je t'inviterai. Là où bon nombre de personnes sont passées. Ceci ne semble pas t'effrayer, et en soit, je suis rassuré. Le dominateur expérimenté et la biche avide. Tu le sais, tu me le montres, encore à m'allumer, à dire cette phrase lancée avec ces iris qui disent tout. Tu es le pire, le tentateur mais tu ne sais pas encore quel prix tu vas payer. En es-tu même conscient ou l'excitation t'aveugle ? Ou es-tu plus pervers que je ne le pensais ? Aurais-je réveillé le kraken ? ❝ Joue l'innocent avec moi et je vais te faire taire. ❞ Et c'est ainsi que le puissant surgit, prêt à te bâillonner pour le meilleur et pour le pire. Bien vite, je me retrouve sur toi, nos faciès si proches que nous pouvons sentir notre odeur de par l'air expulsé par nos narines. ❝ Tout l'temps ? T'es sur ? C'est un engagement là, une promesse, tu devras tenir parole. ❞ C'est entre la plaisanterie et le sérieux. Car ce que tu m'offres là, je le prends au premier degré au coeur, au second degré au corps.



w/ @Easton Argall
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