Triolisme à son paroxysme quand nous devons nous mettre à nu. Mais je crois qu'il n'y avait rien de plus jouissif qu'être observateur. Etre témoin d'une symbiose, me plait davantage alors, je ne bouge pas. Les orbes parfaitement plantés dans les leurs. Divaguant d'un corps à un autre. C'est le parfait Eden à mes yeux. Et je ne veux pas les interrompre. C'est le goût d'une drogue à picorer méticuleusement, sans oublier une miette. Pour autant, je me redresse, pour les embrasser l'un et l'autre. Quittant quand même le terrain de jeu pour aller m'offrir une bien meilleure vue, le cul posé sur le canapé.