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Leave before you love me •• Ellingter.

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If you wake up in your bed. Alone in the dark. I'm sorry. Gotta leave before you love me.

@Jasper O. Ellington

C’est étrange comme elles se font, elles se défont, les relations. Elles se tissent, petit à petit, jusqu’à ce que l’autre personne semble devenir indispensable au bon déroulement de la vie. C’est ça, qui m’effraie, ce qui me fait, à chaque fois, reculer. Parce que lorsque l’autre part, il ne reste que des brides de l’histoire, des morceaux, partout, mélangés, cassés, épars. Mais je suis là, à apprécier ceux qui font partis de toi. « Ca pourrait, seulement ? » Tu le sais que ça me plaît, sinon, je ne t’aurais pas fait comprendre que j’avais envie de te voir, cet été. Seulement j’ai du mal à l’avouer, à être vulnérable, à te laisser le droit de me briser. Parce que tu vas le faire, autant que ça pourrait me plaire. Mais il y a des accidents qu’on ne peut pas éviter, des murs dans lesquels on se doit de foncer. Avec l’infime espoir, le plus minime, le « un pour cent » qui murmure que cela pourrait fonctionner.

Ce pourcentage que je vois dans l’intensité de ton regard, qui se cache sous mes paupières fermées et qui redessine de mémoire, ton sourire, tes traits… Ceux la même que je viens d’asperger, et que tu me balances de l’eau à ton tour, accompagnée d’une insulte démodée, appropriée, et mon rire qui devient salé. « Tu sais que ca va mal se passer si tu joues comme ça ? » Et dans mon regard l’étincelle qui prouve que je n’attends que ça, tu la vois ? Prendre cet aparté pour laisser nos cœurs parler, s’alléger. Je ne veux pas réfléchir, je veux essayer de ne pas envisager le pire… Tu mets un sacré bordel dans mes délires. « Ca fait longtemps qu't'as pas vu les fonds marins, la sirène ? » Il y a mon index que je tente de lever quand je le vois avancer. Une prévention qui semble désuète, pour ne pas dire sacrément con. « Jasp’ » elle se perd, la terminaison de son prénom. Parce que malgré mes mouvements, ma façon de me débattre et le reste, il parvient à me choper, et me faire basculer. C’est presque trop attrayant de plonger.

Et je bois un peu d’eau, et je tousse quand je ressors la tête de là, mais on continue cet étrange combat, sauf que je faiblis, je le vois. Son expérience de l’eau peut-être, où le fait que j’abandonne, que je préfère m’accrocher à toi. De toutes mes forces, dans cette fausse bataille, et dans mon ventre, je te le dirais pas, que ça s'envole, que ça déraille. Les bras autour de son cou, une main que je libère pour mettre de l’ordre dans mes cheveux, ravivée par notre naturelle proximité, « C’est foutu. » je ne te lâcherai pas, si on coule, ce sera à deux, je n’en doute pas. Et parce que je n’ai pas envie de replonger, j’avoue contre les perles salines qui roulent sur ton épaule. « Je suis contente que tu sois venu. » Je me suis déjà noyée, j’ai déjà perdu.
 
 

HARLEY-
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Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : Leave before you love me •• Ellingter. - Page 2 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
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Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

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Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
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Jasper O. Ellington
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down

If you wake up in your bed. Alone in the dark. I'm sorry. Gotta leave before you love me.

@Taylor V. Foster

Combien c'est ridicule, ce manège qui n'fait rire que les cœurs, trop ravis de pouvoir un peu s'exprimer. Se bouger, articuler les ventricules, s'faire encore un peu avoir, quand on leur a trop dit que c'était plus possible, qu'il y avait plus de place. Alors, il en libère, en sortant un morceau de peau pas encore gravé. Et, je devrais reculer. Puisque c'est désormais acquis que les êtres se plaisent, et les esprits aussi. Puisque c'est désormais acquis qu'on ne construit rien d'assez solide pour ne pas être bousculé, piétiné, à la moindre incartade. Deux amas de chairs, abîmés, qui se raccrochent, ridicules, à ces instants de légèreté. Qui les savoure, qui les connaissent précieux, temporaires. Puisqu'à notre image, dans ces gestes qu'on articule ; oui, on va se noyer. A boire la tasse, pour ensuite en recracher nos poumons. Laissez-nous au moins nager un peu, avant de nous attirer vers le fonds. Oui, on l'sait. J'crois même que je le vois déjà dans tes billes, le reflet de notre perte. Alors, je ne les regarde pas suffisamment pour voir ces morceaux de futurs. Je préfère le présent. Je préfère quand tu me menaces d'un index qui m'fait rire tellement il se dresse, ridicule. « Jasp’ » Les sourcils qui se froncent, s'articulent, se moquent eux aussi, de cette riposte inutile. Jouer aux enfants qui n'ont peur de rien, même pas de souffrir. Même pas du passé. Se bagarrer dans la flotte, et gagner. Gagner puisque tu cèdes, et puisque tes bras finissent autour de mon cou. J'avais peut-être pas compris, plus jeune, que c'était ça, la vraie réussite. Celle qui compte. Mes doigts, qui glissent de tes hanches à tes reins, pour ensuite laisser place aux bras dans le bas de ton dos, « C’est foutu. » Pour les deux, c'est ça ? D'ici, de là où on se trouve, j'ai l'impression qu'on serait capable d'affronter pas mal de monstres. Mais, peut-être est-ce la magie de ce soleil, de ces paysages plus colorés qu'à l'ordinaire. Peut-être les batailles ont-elles l'air plus simples avec un beau dessin derrière. « Je suis contente que tu sois venu. » Mes lèvres posées contre ton épaule présentée en offrande, qui embrassent le sel. Remontent jusqu'à l'orée de ton cou, juste pour remuer un peu le ventre. S'arrêter, pour chercher tes orbes. « Et j'suis content d'être ici. » C'est l'idée qui nous précipite encore un peu plus vite. Celle qui réconforte, aussi. Une respiration, quand la proximité s'installe. S'amuser de sentir la brûlure sans l'infliger. « J'peux t'embrasser, ou t'as peur de Mme Ellington ? » Parait qu'il faut demander, avant de sauter dans le vide. Avant de se pousser dedans.




HARLEY-
(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
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@Jasper O. Ellington

Je ne te dirais pas, tu sais, que les perles d’eau sur ta peau, je trouve ça beau. Comme un ballet, elles dansent sur ton derme contre lequel je n’ai jamais été autant accolée. Je prends cette fraction de seconde pour les décompter, ces fameuses gouttes, pour les regarder rouler, pour les envier, de pouvoir épouser ton être en toute impunité. Sans rien risquer. Et je ressens tes lèvres se poser sur moi, je frissonne, je crois, mais j’accuserai la température de l’océan, je ne veux pas croire que tu peux provoquer des tremblements. Parce que je n’ai pas dosé encore combien ça peut être effrayant. Combien je peux perdre si je plonge dedans. « Et j'suis content d'être ici. » C’est instinctif la façon dont je souris. C’est une chose que je n’ai pas le pouvoir de retenir. Parce que je ne reviens toujours pas du fait que tu aies fini par venir. Je n’ai pas la prétention de me dire que c’est pour moi, qu’il ne s’inquiète pas, mais je me dis que je n’ai pas envie de les quitter, ses bras.

Et quand ses yeux rencontrent un peu trop les miens, que les souffles se mélangent un peu trop bien. Tu demandes, comme un crétin. « J'peux t'embrasser, ou t'as peur de Mme Ellington ? » Tu l’as compris, que j’aime jouer, que ça renforce l'intensité, et que ce serait trop simple que de te cèder aussi rapidement. Qu'il faut s'amuser, pour tenter de pallier les maux, les risques, les fatalités. Qu'on n'est pas à l'abris de voir le vent tourner, le destin se moquait. Que du coup, la réflexion, l'hésitation, elle n’est pas vraie, là que pour minauder. Seulement les yeux se lèvent au ciel, miment un tourment, une vraie balance dans les sentiments. Pour le coup ce n'est presque pas du semblant.
Et ils s’en reviennent se confronter aux siens, pour à la finalité glisser sur lèvres qui m’ont, la dernière fois, laissé un goût de pas assez. Il y a ma paume, qui caresse avec délicatesse, se glisse sur ta nuque, légère pression, trahissant l’envie de possession. « J’ai peur. » je murmure, une bataille dans le cœur. J’ai peur d’un peu tout, mais j’ai peur de toi surtout, et pas d’elle, la fausse, mais j’ai peur des autres, des vraies, de celle aussi, qui a brûlé tes ailes. Et pourtant ? Pourtant je t’embrasse, d’abord doucement, ce n’est pas comme dans ta chambre, c’est salé, c’est différent, en bien de le préciser, c’est important, et ça le fout à l’envers, le palpitant. Je t’embrasse, et je réapprends.
 
 

HARLEY-
(Invité)

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