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Leave before you love me •• Ellingter.

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If you wake up in your bed. Alone in the dark. I'm sorry. Gotta leave before you love me.

@Jasper O. Ellington

Je ne sais pas trop quoi en penser. Je me dois d’avouer que je suis encore mitigée. Que je n’arrive pas trop à déterminer ce qui peut nous lier. Même si je me dis que mettre des mots, des étiquettes, ça reste un brin démodé. On est amis, quelque chose comme ça, et pourtant j’ai été la première à dire que mes amis, habituellement, je ne les embrasse pas. Tu vois, ça prouve que ce que je veux, je ne le sais pas. Que je suis paumée, pas assez là. Spectatrice de ma vie, aussi simple que ça. Je ne suis pas réparée, pourtant j’essaie. Je tente tant bien que mal, mais lorsqu’il s’agit d’histoire de cœur, il s’efface le principe qui se veut normal.

Mais t’es là, installé sur la plage, dans le sable, certainement à m’attendre, et malgré tout je doute que ce soit le cas. Je ne saurais pas dire si tes espoirs pourraient se résumer à moi. Et si les miens se coupleraient à toi. Je tais trop de choses, à force de sourire, le même que je viens d’offrir au mec qui est en train de me servir. Parce que j’ai commandé deux verres, à cette espèce de guinguette. Parce que je vais venir à toi, en tenant dans les mains ces deux-là, et que ça adoucira le fait que je la porte au cou, pas au doigt. Feignant de ne pas vouloir l’égarer dans l’océan. Actrice qui rend le couple factice important. Armée des deux noix de coco remplies de rhum arrangé, je m’approche de l’endroit où tu t’es posté. Il y a mes yeux, qui jonglent un peu, entre ton dos, et les couleurs de l’océan, de l’eau. Et je m’agace quand je vois une demoiselle en bikini t’accoster. Stoppe mes mouvements, l’esprit véhément. Et ne peut me retenir de balancer « Non, merci, c’est déjà assez compliqué. » Y a trop de tierce personne dans l’équation de notre relation.  

HARLEY-
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Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : Leave before you love me •• Ellingter. 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
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Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

TRUE LOVE:

Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 77
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Jasper O. Ellington
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down

If you wake up in your bed. Alone in the dark. I'm sorry. Gotta leave before you love me.

@Taylor V. Foster

Cible facile. Y a qu’à le voir, le téléphone posé sur sa serviette, cramant presqu’autant que la peau blanche de son dos. Le regard qui s’plonge dans l’océan, à la recherche de questions auxquelles apporter des réponses toutes faites. Seul comme un con ; mais le genre de con à qui ça déplait pas, la solitude. J’sais pas très bien pourquoi je suis venu. Peut-être pour me sauver les neurones de ce puit sans fonds qu’est le boulot, particulièrement en ce moment. Y a quasi plus de consultant pour la police, y a plus que diriger cet empire. Une obsession qui revient, désormais que le temps libre l’est vraiment. Qu’il rime avec des soirées netflix avec Spencer. Tu sais, j’ai réfléchis. Et, j’crois que finalement, j’mérite pas beaucoup plus que cette coquille vide en bikini. J’aurais peut-être dû les choisir plus sottes, mes conquêtes. J’ai toujours préféré les amazones aux princesses. J’avais juste pas pensé que les amazones, ça s’débarrassent vite des hommes. Alors, ouais, elle me fait décocher un sourire pas des plus malins. Juste pour le plaisir d’un jeu fugace. Clairement trop fugace. Peut-être même que dans ce sourire, y avait l’idée que tu puisses capter cette scène. Idiote, pion d’une partie qui la dépasse. Trop belle au milieu du plateau, vacillant déjà : « Non, merci, c’est déjà assez compliqué. » Large sourire qui s’amuse, la tête se secouant de gauche à droite. Prunelles qui se baladent, de l’intrue à l’invitée. Doigts inquisiteurs, attrapant de l’extrémité de l’index la bague qui pend au bout de la chaine à ton cou. « T’aurais pu la mettre à ton doigt, chérie. » C’est qu’il s’amuse bien dans sa scénette, à voir la demoiselle s’excuser de quelques mots emmêlés et confus, avant de s’éclipser. Les prunelles, sur deux-trois pas de sa démarche fuyante. Provocation. Relâche la bague, préfère chopper une noix de coco. Retour sur toi. « Tu viens peut-être de faire fuir la femme de ma vie. » Malice à la bouche, qui vient se coller contre le fruit. Te regarder un peu mieux. Puisqu’il y a des morceaux de peau dévoilés, inédits à mon regard. « Joli le maillot de bain. » Parce que ouais, clairement j’ai l’œil d’un spécialiste en mode, les tissus toussa, c’est ma passion.

HARLEY-
(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
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@Jasper O. Ellington

Il y est, sur ton visage, ton sourire suffisant, de gars un peu trop content. Et quand tes yeux jonglent de son corps au mien, l’instant flirte de près comme de loin avec le taquin. Parce que je vais jusqu’à lui, et il attrape ma bague, une fois rapprochés, décline des tons rieurs sur l’étendue de ses pensées. « T’aurais pu la mettre à ton doigt, chérie. » Elle est faible, la manière dont je souris. Car je ne sais pas si on est prêts, à en plaisanter. Mais puisqu’elle part, qu’elle se confond en excuse, j’en sais mes traits satisfaits. L’arc de mon sourire s’étirer. Aime le fait d'avoir gagné, parce que tu l'as décidé. Même si le combat était, par avance, biaisé.

Et tu détaches ton emprise, attrape l’un des cocktails, l’amènes à ta bouche, et en rajoute une couche ; « Tu viens peut-être de faire fuir la femme de ma vie. » Je grimace aussi fort que ce que tu te moques. Je ne peux rien revendiquer, je le sais, mais je n’apprécie pas trop l’idée. Et non, je ne suis pas en train de la jalouser. Est-ce vraiment nécessaire de le préciser ? Actrice ratée. Bonjour l’honnêteté… « Tu veux peut-être que je retourne la chercher ? » Après tout, comme tu dis, on ne sait jamais. Seulement elle est presque palpable l’ironie, le tantinet d’aigreur, qui ne se dissimule même pas dans ce que j’ai dit, qui voile mon cœur. A la mesure de ton regard qui détaille mon corps, l’inférieure de mes lèvres, je la mords, « Joli le maillot de bain. » que tu commentes, et je badine, et je craque. La pique, c’est si simplement qu’elle s’efface, un compliment, et on se fout de la possible femme de vie, on se reconcentre sur ce que pourrait signifier cette soirée, ce qui nous a mené jusqu’ici. « Mieux que le pyjama ? » Le short et le débardeur de la dernière fois. Et j’aspire au travers de la paille, l’alcool, avant de reprendre. « Par contre, toi… » ose jouer avec le coton de ton t-shirt de mes doigts, au niveau de ta hanche, je tortille, juste comme ça, « tu n’as pas encore assimilé le dress code. » Le fait de se balader, toujours apte à plonger, puisque tous les moments y sont appropriés, faute de la chaleur. « Plus tard peut-être. » Enoncé comme si j’avais quelque chose derrière la tête.  
 

HARLEY-
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@Taylor V. Foster

« Tu veux peut-être que je retourne la chercher ? »  Trop facile, quand ça compte pas. Eternel combattant pour la vérité, s’amuse à revêtir le drapeau adverse, pour quelques mots. Pour voir. Pour te regarder, pour observer ta bouche se muer, tes traits s’animer, juste pour regarder le film d’un accident, au ralenti. Se marrer de tous ces moments où on aurait pu tourner le volant, freiner. Faire un putain d’appel de phare. Juste décaler la route de quelques centimètres. Faire frôler les peaux sans les confronter. Les abimer d’un contact râpeux, qui n’gratte que la couche supérieur de l’épiderme. Être raisonnables. Mais non, nous, on se bat avec des cotons tiges sur le sujet d’une figurante, et quand on lève les yeux vers l’adversaire, quand on riposte, on s’dit que ça serait plus drôle si ça heurtait plus fort. Faut sentir les organes se contracter, faut ressentir jusqu’à réveiller ce qui était endolori de douleur. Tant que ça fait mal, c’est qu’il y a encore d’l’espoir c’est ça, madame la médecin ? Tu conseilles quoi, toi ? Est-ce que dans la prescription, y a ta provocation ? Les tiennes, successives. Et moi, taureau idiot, j’en ai rien à foutre des promesses à moi-même concernant le rouge. « Trop loin. » A peine glissé, une encoche dans la joue. J’ai déjà les billes distraites. « Mieux que le pyjama ? » On découpe le tissu, au fur et à mesure des entrevues. On s’arme d’une confiance appuyée sur des briques friables. « J’aimais bien le pyjama aussi. » C’est ça le problème quand on calque divers vêtements, les uns après les autres, en gardant le même modèle. J’aime bien le modèle ; presqu’autant que le bruit des taules qui se froissent et des cœurs qu’on presse. « Par contre, toi… tu n’as pas encore assimilé le dress code. » J’dois reconnaitre que tu le fais bien, le « juste comme ça ». Et que visiblement, les doigts sur ton poignet, c’est pas suffisant comme dissuasion. « Plus tard peut-être. » Orbes qui se dérobent, prunelles qui se font la belle, juste pour viser le ciel, accompagnées d’un rictus. Se marrer par avance de nos conneries. Avoir l’intelligence de ne pas subir ses propres débâcles. « Plus tard quoi ? »  Y a quoi, plus tard ? Tu crois au traitement miracle, alors tu repousses du pied ? « On t’as jamais appris qu’il fallait jamais repousser au lendemain ? » C’est moins amusant, si tu mets les doigts dans des braises éteintes. C’est moins amusant si ça fait moins mal. Moi, les plus tard je les conjugue au « maintenant ». C’est peut-être pour ça que j’ai mon nom sur un immeuble. C’est peut-être pour ça qu’il y a personne qui le porte, ce foutu nom. Sourire d’imbécile, qui souffle : « Tu m’en voudras pas si c’est moi qui le fait. » Moi aussi j’les ai, ces gros sabots qui désignent notre rencontre passée. Moi aussi j’m’en rappelle bien. Doigts qui dégagent le tissu, après avoir posé le cocktail. Peau laiteuse d’un type qui ne prend pas assez de vacances, seulement striée des souvenirs de métro qui se crash, de bombe qui explose, de torture d’un dégénéré. D’alter-ego colérique. Reprend la boisson, paille coincée entre les lèvres. « A qui tu vas penser devant les couchers de soleil, maintenant ?» Maintenant que je suis là, téléporté dans ce paysage plus beau. C'est presque plus facile de perdre ici.

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@Jasper O. Ellington

Et je pourrais bien y aller, la rattraper, parce que j’aime trop ce qui peut me blesser. Je te laisserai la connaître, lui dire que toi et moi, on aurait pu être, mais qu’on en est resté au stade du presque, du prélude, inachevé. Parce que c’est plus simple et qu’on donne déjà trop dans le compliqué. « Trop loin. » Y a ton sourire, là, qui attise le mien, mais je me mords la lèvre, plutôt que de te montrer clairement que je suis contente qu’elle soit trop loin. Et je ne renchéris pas, je préfère me délecter de ce compliment, lequel sert une de mes taquineries, « J’aimais bien le pyjama aussi. » Est-ce qu’il le voit, lorsque je passe ma main dans mes cheveux, que je ne sais pas comment la prendre cette réflexion-là. Ne vois pas l’évidence du positif, me concentre sur le fait que ça me pique, à vif. Tu préfères une fille habillée plutôt que dénudée ? J’ai raté quelque chose, mais je ne veux pas gratter. Je me dis que je pourrais ne pas aimer, et j’en viendrais à me demander, pourquoi tu ne m’as jamais touchée… Je ne suis pas prête à entacher l’orgueil qui peut me caractériser.

Alors je joue avec ton t-shirt, je te renvoie la balle de notre joute verbale. « Plus tard quoi ? » Plus tard si j’arrive à te convaincre de laisser derrière nous le sérieux de toutes les situations, parce que tu sais bien qu’on s’en sort beaucoup mieux lorsqu’on joue aux cons. « On t’as jamais appris qu’il fallait jamais repousser au lendemain ? » Peut-être mais j’ai un peu perdu la foi pour ce qui concerne le destin, et je ne sais plus ce qui est bien. « Tu m’en voudras pas si c’est moi qui le fait. » Tu l’entends mon cœur s’emballer ? D’abord, tout doucement, comme s’il marquait le temps. Qu’il n’était pas certain d’avoir compris ses mouvements. De ces phalanges qui accrochent le tissu, juste après avoir délaissé la boisson, il ne réalise pas, il ignore le brouhaha de mes émotions. Et retire ce qui le couvrait, il affole, il éparpille, mes ressentiments, mes pensées. J’en perds presque ma capacité à parler, me contente de déglutir plutôt que de déblatérer, quand de ses mots il vient encore plus me bousculer. « A qui tu vas penser devant les couchers de soleil, maintenant ? » Elle est belle ta question, elle est parfaitement trouvée, elle a le don de me faire pouffer. Non pas pour me moquer, mais putain, parce que je suis soufflée.

Et le soleil en train de se coucher, je l’ai complétement oublié. Ce que je contemple, ce sont ses traits, les fêlures, les tortures… Celles que je n’ai jamais caressée. Habitué aux corps abîmés, tu ne le sais peut-être pas, mais ce sont mes préférées. Ceux que je peux essayer de rapiécer. A l’extérieur comme à l’intérieur, je fais du crochet sur les cœurs. « Maintenant, » réflexionnant, faussement, car il sait très bien que ça ne date pas de maintenant, les songes à son sujet sur fond de nuit d'été, il a même un message, une photo, avec laquelle il pourrait le prouver, « je crois que je vais penser, » actrice qui, toujours, pousse le vice, « à celle qui aurait pu devenir madame Ellington. », et je les fais, encore, ces pas, qui me rapproche de toi ; Il faudrait être fou pour envisager que ce tableau je pourrais un jour l’oublier. « Plus que le bas et ce sera parfait. » intime à défaut de lui glisser, que je le trouve tout simplement beau à regarder.
 
 

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Et le temps s’installe. Il s’allonge, prend ses aises entre tes phrases, entre mes respirations. La bouche bloquée dans un sourire qui reste en suspens, s’amusant de ta manière de manier les verbes. « Maintenant, je crois que je vais penser, à celle qui aurait pu devenir madame Ellington. », Mailles à l’endroit puis à l’envers. Adolescents jouant aux adultes, comme s’il était plus distrayant de flirter au milieu des lames. Battant bancal qui oublie ses lacunes, dégagé des priorités par le désir franc d’une majorité de l’assemblée d’organe. Démocratie d’un corps qui décide de se pointer dans ce paysage, pour des vacances qui auraient pu se dérouler ailleurs. Qui ont choisi ici, comme s’il n’existait aucune autre destination sur le panneau d’affichage. Le truc c’est que j’suis pas foutu de reculer maintenant que j’ai décidé d’une nouvelle erreur. Sommet de l’ambition, que de décider des armes qui grifferont ma propre chair. On ne tranche pas la tête des rois avec une lame goût rouille. « Plus que le bas et ce sera parfait. »  Sourcil qui se hausse, malice dégoulinante. « Mademoiselle, êtes-vous entrain de dire que vous voudriez que je me déshabille entièrement ? » Tu savais pas ce que tu foutais chez moi, ce soir à s’inventer cuistot, et voilà que désormais c’est toi qui me donne quelques cours. De cuisine, de culot. Wagon envoyé à pleine vitesse, vers une destination qu’il sait déjà tempétueuse. Alors, tu vois, il faut que je me mette au niveau. Il faut que je plante mon pouce dans le tissu, sur le côté, dégageant les deux vêtements superposés sur quelques centimètres. Deux-trois, rien de suffisant pour dévoiler quoique ce soit, si ce n’est un morceau de peau lactée creusé d’un sillon. S’arrête, un rire sur ce visage qui se secoue de gauche à droite. « J’aurais peur que ça fasse revenir Madame Ellington. » Avec un nom pareil, nul doute qu’elle est redoutable. Billes remontées jusqu’aux tiennes. Légèreté insolente. « Et elle aime pas trop la concurrence. » Ça sonne comment, dans ton oreille ? Parce que dans la mienne, j’sais pas trop comment s’aligne les mots, s’ils se trahissent ou se censurent. Je crois que j’ai décidé d’en avoir rien à foutre, qu’on avait le droit à des vacances, au milieu de notre quotidien de cœurs piétinés par d’autres. Jeux de rôle, avec des costumes de gens qui vont mieux. Et deux gorgées plus honnêtes, pour terminer ce cocktail. Pansement fruité. Debout en un mouvement, short de ville dégagé en un deuxième, sans cérémonie. J’ai pas le talent d’un effeuilleur. Boxer qui d’un œil, aura des airs de maillot de bain. Menton qui désigne la naïade. « Il va dans l’eau ce maillot de bain, ou c’est juste pour faire joli ? » Dans ce cas, il semble remplir parfaitement sa mission. « Tu devrais finir cette noix de coco. » Parce que j’manque de coussins, sur cette plage. Presqu’autant que d’instinct de survie. Y a un pas vers la plage. Deux. L’une de mes mains qui accompagne le regard qui se jette par-dessus mon épaule. Tendue vers une destination qui ne semble que te concerner.


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@Jasper O. Ellington

Tu le vois le sourire, derrière ma paille que je m’entête à mâchouiller ? Nos espiègleries qui se reflètent dans lesquelles on s’enlise, on s’entête. « Mademoiselle, êtes-vous entrain de dire que vous voudriez que je me déshabille entièrement ? » Et je m’en étouffe parce que je pouffe. Entre les rires se coince la boisson, faute de cette piqûre de frustration. Celle qui porte ton prénom. Surtout lorsque tu joues avec mes émotions. De cette phalange, aventureuse, il amorce, et j’en reste rieuse, bien que mon âme s’en trouve boiteuse, je retiens mon souffle parce que je retiens aussi mon cœur. Je ressens les battements, partout, en mon intérieur. Ce n’est plus ma paille que je mords, mais ma lèvre inférieure. Et quand tu arrêtes, j’en incline, faussement déçue, la tête. « J’aurais peur que ça fasse revenir Madame Ellington. » Ce qui serait, tout à fait entre nous, vraiment embêtant. Je ne suis pas certaine de vouloir vivre ce moment. De toutes les façons, on a le temps, pour l’entièrement. « Et elle aime pas trop la concurrence. » Alors, ça veut dire que je fais partie de tes préférences ? Ca tombe bien, même si je ne dis rien, parce que le sourire que j’affectionne le plus, depuis quelques temps, c’est le tien.

Et je le regarde faire, au final, boire et retirer la première couche pour ne garder que la dernière, je me constate un peu trop charmée par ses gestes. De l’harmonie que je trouve dans son corps, c’est encore que je me délecte. Seconde de trop à contempler le tableau. Maintenant, les couchers de soleil n’auront jamais de pareille. « Il va dans l’eau ce maillot de bain, ou c’est juste pour faire joli ? » J’essaie encore de décoder, en me demandant si c’est moi, que jolie, tu peux trouver. L’intégralité du cadeau, pas que le paquet. Tu sais, il y a des enfants qui sont déçus au moment de déballer, et comme on aime les mettre de côtés nos maturités… Je me trouve légitime de me questionner. « Tu devrais finir cette noix de coco. » Mais peut-être que les questions, il faut juste les envoyer valser. Comme la coco que je délaisse, non terminée, l’imagine rouler alors que je me dépêche pour nouer nos doigts. Je ne veux pas rater le train Ellington, tu vois. Je me refuse à rester sur le quai, d’attendre sur la mauvaise voie. « Y en aura d’autres des cocktails. » Pas des Jasper à moitié dénudé, ça, c’est unique, et je ne désire pas à côté. Je crois qu’on n’aura pas d’autres occasions durant lesquelles les planètes seront autant alignées. Le destin, il nous offre une trêve, une brèche, et je veux m’y faufiler. Après quelques pas, il y a l’océan qui rencontre nos pieds, « Alors tu disais donc, » regard de biais, détaille le torse, de plus près, cœur à l’envers, je romps le contact de nos doigts, et ose les poser sur toi. Moi aussi, je suis nulle en frustration. En distanciation. Quand je te dis qu’on est deux à être cons. « que je suis jolie ? » et les empreintes courent sur toi, de ta hanche à ton ventre, de ton torse à ton épaule, indécente aux airs frivoles. Je me détache et dans l’océan, je me hasarde, « Si je me noie, je compte sur toi pour me sauver. » Je crois qu’on est déjà deux à couler.
 
 

HARLEY-
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Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : Leave before you love me •• Ellingter. 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
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Leave before you love me •• Ellingter. QIkbezwN_o
Leave before you love me •• Ellingter. 1506444243-1504988286-ligne1
Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

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Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
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Jasper O. Ellington
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down

If you wake up in your bed. Alone in the dark. I'm sorry. Gotta leave before you love me.

@Taylor V. Foster

Et, dans ces doigts qui patientent, il n'y a pas assez de temps, de raison, pour se poser des questions. Les bonnes, celles qui égratignent rien qu'à leur énoncé. J'donne l'air d'accorder quelques secondes, mais mes pas s'éloignent déjà. Le timing. On le connait court, notre instant. Peut-être davantage qu'on ne l'imagine avec nos yeux déjà éblouis d'insouciance. Peut-être qu'il est déjà grignoté, à peine on a eu l'occasion de se goûter. On est des « presque », des « quasi », des ados qui s'tournent autour mais déjà boiteux d'adultes aux relations ratées. Tu crois qu'on les vois, les traces des boulets qui cisaillent nos chevilles ? Jolis, aimants, bien décorés, presque attendrissants ces objets de torture de la chair. Tellement qu'on s'est pas dit qu'il serait préférable de s'attaquer à leur éloignement, avant de vouloir reprendre la course. Alors, c'est saccadé. On appuie sur tous les boutons du lecteur, on s'en fout que la bande commence à faiblir, à force d'avancer puis reculer. Ca tient. Peut-être parce qu'on regarde pas. Peut-être que ça tient plus depuis quelques temps, peut-être qu'à l'intérieur c'est l’hémorragie et qu'on a même pas fait gaffe. Peut-être que t'es pas si bonne médecin, après tout. Puisqu'il y a tes doigts qui s'accrochent au mien, et que la direction, n'importe laquelle, n'est jamais la bonne quand ça nous concerne. On aura qu'à s’enivrer d'eau salée et  ignorer la douleur qu'elle provoque sur les plaies mal refermées. « Y en aura d’autres des cocktails. » Meilleurs, mieux dosés, peut-être. Mais pas avec ce dessin là. Cette scène qu'on esquisse autour de cette noix de coco qui tangue et se renverse, celle d'un soleil qui s'irradie, qui lutte tout seul, brave étoile, pour nous accorder un instant. Alors, y a un sourire qui s'encoche, et un regard vers Il. Cadeau empoisonné, qu'on déballe et savoure, sans voir qu'il s'est immiscé dans les failles. Deux crétins heureux d'aller à l’abattoir, les pieds dans la flotte. « Alors tu disais donc que je suis jolie ? » Imprudente ; les mains conquérantes sur une peau qui s'anime à peine on la touche. Le menton qui se lève un peu, la prestance qu'on raccroche à un sourire trop certain. J'avais les doigts presque arrivés à la destination de tes hanches. Qui s'arrêtent quand tu t'enfuies, sirène. « Je parlais du maillot de bain ! » Scandé trop fort, rictus railleur à la bouche, les billes qui te suivent, les pas qui font pareil. « Si je me noie, je compte sur toi pour me sauver. » Océan qui camoufle, qui englouti ton corps pour le mettre hors de ma vue. Partenariat avec le soleil. « Et.. » Quelques foulées, jusqu'à laisser le sel recouvrir le nombril. « T'as pas considéré que je pouvais être celui qui te noie, plutôt? » Monstre au sourire radieux. Peut-être qu'on sauvera personne, même pas nous. La silhouette masculine qui disparaît sous la surface ; gamin qui a toujours préféré les bassins à la terre, les abîmes à la lumière. Puisqu'il faut bien un avantage à avoir écumé l'eau chloré de l'équipe de natation d'Harvard, durant des années. Te dépasser, revenir dans ton dos et encercler ta taille pour venir te plaquer contre mon torse. Et, en punition de faits que tu n'as pas encore commis, mes cheveux qui se secouent dans tous les sens pour t'asperger de quelques gouttelettes. « Prisonnière. » Souffle le geôlier qui ne se rend pas compte de sa propre prison.



HARLEY-
(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
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@Jasper O. Ellington

Et je te fuis, autant que je te veux, mais je sais nos cœurs malheureux, qu’on apprend à gommer les autres, les « eux », qu’on aime aussi trop jouer avec le feu. « Je parlais du maillot de bain ! » que tu cries quand je suis déjà un peu plus loin. Mais puisque tu parlais du maillot de bain, je n’ajouterai rien, tu vois, comme semblant, je le fais ? Dans un sourire je te faire croire que rien ne m’atteint.

« Et.. » tu commences alors que vers ma silhouette, tu avances. Et tu me tues de ton arrogance. « T'as pas considéré que je pouvais être celui qui te noie, plutôt ? » A la vérité, je te crois capable de bien des maux. D’actes qui pourraient avoir ma peau. Puis j’réponds pas, tu penses, parce que la métaphore est trop belle. Car on sait que la noyade pourrait être réelle. Quand je le regarde plonger dans l’eau, que mon sourire se fane au gré des aléas de l’eau. Et durant ces secondes où je le cherche sous la surface, la sensation d’abandon me picore, comme le sel avec mes pores. Petit à petit, jusqu’à ce que ses bras se referment sur ma taille que je reprenne vie.

Homme détrempé qui s’amuse à me faire frissonner, de ces gouttes, de la fraicheur de son torse dans mon dos, et aussi par ce mot ; « Prisonnière. » Je rechigne, pour la forme, pas frileuse, je fais semblant, je me contorsionne. Et je me tortille pour me défaire de l’emprise de tes mains, mais pas trop, parce que proche de toi, je suis bien. Juste assez, histoire de me retourner, d’observer ton expression réinventée par notre proximité. « Gamin, » mais j’apprécie le taquin, et les paupières plissées, le sourire carnassier, pour murmurer dans le brouhaha de l’Océan la suite de mes pensées, « Fais gaffe, Jasper… » au cœur de l’infini qui garde les secrets, « ça pourrait me plaire. » d’être ta prisonnière. Un jour, peut-être, je t’avouerais, que mes phalanges, elles ont ressenti un manque, tout à l'heure, lorsqu’elles t’ont quitté. Je te dirais aussi que ce souvenir, je vais le garder en moi, je vais le choyer, et que parfois, quand je trouverais la vie trop laide, je penserais à toi. Un jour, j’arrêterais de me fourvoyer, et je ferais preuve d’honnêteté. Je te dirais que tu pourrais être si simple, à aimer. Mais pour l’instant je choisis une autre facilité, c’est presque mieux, la première, de ne pas l’affronter. Taylor effrayée.

Les mains qui s’échouent dans l’azur plutôt que sur les cicatrices que j’aimerais apprendre, je reste sérieuse, c’est à s’y méprendre. Je joue même jusqu’à m’approcher de toi, à la lisière de ressentir ta respiration devenir la mienne. L’envie de t’embrasser sur le bord des lèvres, qui entête comme la fièvre… Et remonte à l’instant fatidique, mes paumes, en deux jets d’eau, pour t’éclabousser, et rire à gorge déployé. Cœur léger. Deux gamins, dans le pétrin.
 
 

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@Taylor V. Foster

Et, moi, tu vois, je crois tout ce qui m'arrange. Je ferme les paupières sur ce qui pourrait m'égratigner, je ne lis que les lignes qui vont dans mon sens. J'arrange, même, ce sens. Je mélange le tout, et, à force de placer les lettres, je refais les phrases. Je crois en ton sourire. Je crois aussi à la légèreté qui semble nous habiter. Je suis celui qui dit la vérité mais qui s'enrobe de mensonges. Ca m'va bien, tu ne penses pas ? Toi aussi, cette couleur se marie à merveille avec ta peau qui s'imagine pouvoir s'animer à nouveau, comme si le battant n'était pas encore en rémission. Comme si ce jeu là, qu'on a choisi de commencer, ça n'picotait pas déjà l'intérieur. Jouons la superficialité à laquelle personne ne croit. Et, moi, j'cacherais derrière mon dos la trop longue liste du pourquoi tout ceci n'est voué qu'à trébucher. J'suis franchement pas original. Mais, dans ce moment doré, on peut se marrer à disparaître sous la surface, on peut même s'amuser à se manquer, l'espace de quelques brasses. Ressurgir dans ton dos ; puisque c'est la partie la plus simple à attaquer. Et, avouer dans quelques répliques flottantes, nos futurs méfaits. Profitons tant qu'on arrive encore à respirer, il sera toujours temps de se noyer dans quelques excuses quand viendrons les impatiences et frustrations. « Gamin, » Ca se réplique sur la bouche masculine, effectivement portée par une expression d'un autre âge. « Fais gaffe, Jasper… » Une provocation dans ces lèvres qui s'entêtent à maintenir leur attitude, ignorant la menace amorcée. « ça pourrait me plaire. » Et j'suis plus bien sûr de savoir où est la mauvaise nouvelle de la chose. Si ce n'est évidemment, ce qui relève de l'évidente prudence. Cette prudence qu'on regarde de loin, avec l'intention clairement énoncée d'ignorer tous ses conseils. De sourcils qui se froncent, et d'une assurance qu'on jugerait excessive si seulement elle n'était pas inhérente au personnage. Crétin qui surjoue l'équilibre. « Ca pourrait, seulement ? » Ca m'suffit pas ce verbe, cette conjugaison. Faut réécrire, y mettre un peu plus d'intention. Faut pas s'approcher et s'reculer sans faire un pas, juste en m'envoyant de l'eau à la gueule alors que j'avais déjà le cardio qui démarrait doucement. Je crois aux contes quand on me les raconte bien. Sel dans les yeux et sur la bouche, tête qui se dévie et bras qui t'écarte, par réflexe. Y a même un juron qui passe, si t'écoute bien. Mains qui t'envoient une rasade de flotte, comme une nécessité de renvoyer chaque balle. Toujours répliquer, même si un rire accompagne le point, entrecoupé d'une toux et de cils qui battent plus vite. « Tu sais que ca va mal se passer si tu joues comme ça ? » Tu sais, avec ce bout de frustration tenace. Qui fait que j't'attrape les mains pour t'éviter de réitérer l'attaque. Que j'appuie sur celles-ci, que clairement, j'suis un gamin mais les bagarres aquatiques, c'est presque toujours moi qui les gagne. « Ca fait longtemps qu't'as pas vu les fonds marins, la sirène ? » Et, dans cette tumulte où j'essaye de chasser tes jambes, où je cherche le déséquilibre, je rétablie le contact, je reprends ma dose, la danse est mal chorégraphiée, mais elle a le mérite d'unir les deux danseurs.



HARLEY-
(Jasper O. Ellington)



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