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S.O.S d'un terrien en détresse.

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S.O.S d'un terrien en détresse
Chez Snow
26 07 21
« Ça dépend, j’y gagne quoi? » Ma frustration ? Je sais que ça peut amener une réelle satisfaction. Surtout lorsque je ne gagne pas tous les points dans notre conversation. Dans notre relation. Je crois même qu’elle est prête à me donner une mauvaise appréciation. Peut-être qu’il y a un côté pervers en elle qui pourrait avoir envie de me torturer. Parce que forcément, je ne pourrais pas la toucher, parfaitement engagé. Je prendrais même le soin de les cacher avec mes doigts, mes yeux. Promis, je ne les écarterais qu’UN PEU. Et je baragouine un truc sans pouvoir l’assumer. Je suis une chasse gardée.

Alors voilà, je choisis les points, presque à regret. Ma blessure de guerre, vétéran cartonné, je ne pourrais pas l’afficher comme un trophée. Et inventer une histoire pour la justifier. Un truc grandiose, tout ça. Non, tout disparaitra. Tristesse en moi. « C’est qu’il en deviendrait presque brave. » Et je grimace plutôt que de parler, façon, je ne peux pas contredire, je suis docile, c’est vrai. Mais je lui demande tout de même comment elle va. Ouais, je suis un mec plus prévenant qu’on ne le croit. « De passer ma première après-midi de congé à t’enfoncer une aiguille dans l’épiderme? » Non, de devoir te faire torturer demain. « Très mal. Mais je pense me sentir mieux dès que tu me supplieras de t’épargner. » C’est qu’elle est drôle la blonde, dis donc. Mais le très mal, je l'ai capté, même si elle a voulu le cacher. Le problème, c'est que je ne me vois pas lui dire que je suis désolé. Elle est toute jeune notre amitié. Enfin, entente. Enfin, connaissance. Enfin, on connait nos prénoms et de l'autre l'existence.

La voilà en train de récupérer un autre truc qui va lui servir à se défouler. Je suis certain qu’en vrai, ça lui plaît. « Ca va anesthésier une bonne partie de ta main donc éviter de reprendre la cuisine quand j’en ai fini. » J’opine, sans répliquer, comme un gosse bien élevé. Qu’on se le dise, la dame est en position de force, je serais un rebelle plus tard. Seulement quand elle pique je ne peux pas retenir un « T’aime ça, hein. » Avoir l’avantage. Être dominante. Assurément dans certaines circonstances, plaisante. Je le jure, c’est son produit, ça rend mon âme déviante. Habituellement, je suis un ange. « Pendant qu’on attend, tu me dirais bien où est le vin. » Ah. Mais. Attends. « T’as le droit ? » Non pas que je pense qu’elle est mineure mais… « Je veux dire tu peux te mettre une mine alors que demain… » On te charcute entre les reins. Néanmoins, encore une fois, parce que la dame est la dictatrice en ce moment, je me fais violence pour lui désigner le frigidaire et le placard où se trouve les verres. « Y a du rouge ou du blanc. » Qu’elle se fasse plaisir, je suis beau prince, franchement. « Je peux participer ? » A la beuverie, aux adieux à son utérus défectueux.

 
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Première victoire lorsque seul le silence de Snow lui parvient comme toute réponse. Car oui, dans le cas présent, le silence est la meilleure chose que Victoria pouvait obtenir de lui, ne souhaitant pas jouer à ce jeu avec lui. Dans son esprit, il reste l’homme qui a ramené plus d’une fois sa fiancée bien trop tard à la maison, mais surtout bien trop alcoolisée. Victoria s’est faite violence pour ne pas le faire remarquer à Beth, à l’époque, puisque la skieuse était assez grande pour prendre ses décisions, mais il était évident qu’elle ne portait pas Burns dans son cœur. Cette dernière constatation a peu de chances de changer après cet appel au secours auquel n’importe qui d’autre aurait pu répondre.
A moitié concentrée sur ses gestes, pour les avoir répété des dizaines de fois lorsqu’elle était de garde aux urgences, l’ambulancière lui endort le doigt et arque un sourcil quand il lui dit qu’elle aime ça. « Je me trouve un peu trop délicate pour réellement apprécier la situation. » Sous-entendu ; il a beaucoup de chance qu’elle ne soit pas le genre de personne qui se nourrit de la souffrance des autres. Professionnelle, même si c’est appel ne mérite pas qu’elle le soit. Lèvres pincées, Victoria ne répond pas à sa question lorsqu’il lui demande si elle est en droit de boire et ouvre juste grand les yeux pour l’inciter à accoucher. Elle ne perd pas de temps lorsqu’il lui indique le placard avec les verres et récupère une bouteille de blanc dans le frigo. Lui non plus ne devrait pas mélanger l’alcool à sa petite anesthésie mais pour le peu de produit qu’elle lui a injecté, il ne risque rien, outre d’être pompette un peu plus rapidement qu’à l’accoutumée. « Je rentre à l’hôpital demain mais l’intervention est mercredi. J’aurai le temps d’éliminer tout ça de mon système avant d’entrer en salle d’opération. » Bon, concrètement, Victoria sait parfaitement qu’elle ne devrait pas toucher à l’alcool aujourd’hui mais elle a assez d’années de médecins derrière elle pour savoir que les dangers sont faibles. « Je compte m’arrêter à un verre, tu pourras finir la bouteille à ma santé. » Téméraire mais pas complètement inconsciente. Vic les serre et boit une gorgée avant de poser son verre sur le meuble, assez éloigné pour ne pas prendre le risque de le renverser sur son équipement médical. « Tu sens encore quelque chose ? » Elle désigne du menton sa plaie, attendant le feu vert pour commencer à recoudre sa plaie et se barrer d’ici une fois chose faite. « Personne ne t’a jamais dit que le rouge ne se garde pas au frigo mais à température ambiante ? » Elle l’a rarement croisé sobre, c’est quelque chose qu’il devrait savoir, non ?
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Chez Snow
26 07 21
« Je me trouve un peu trop délicate pour réellement apprécier la situation. » Un peu trop délicate, comme c’est bien dit. Mais moi, je trouve qu’elle se retient de trop, et que mine de rien, c’est triste d’être comme ça. On a le droit de se lâcher quelques fois. Et d’apprécier le fait de torturer quelqu’un que justement on n’aime pas tant que ça. « Madame est délicate. » Ouais, je le redis. Parce que je le jure, c’est le genre de mot qui derechef fait que, comme un con, je souris. « Les délicates… » sont celles qui sont les plus chiennes au lit. Mais je le garde pour moi. Promis.

Je préfère de toutes les façons me concentrer sur le fait qu’elle propose de boire à ses côtés. Je suis toujours opérationnel pour ça, et même une coupure ne m’arrêtera pas. Cependant, parce que je ne suis pas – totalement – débile, je me permets de lui demande si elle y est autorisée, je me refuse à penser que faute de mon vin, son opération pourrait foirer. Sur ma conscience, je n’en ai pas besoin. « Je rentre à l’hôpital demain mais l’intervention est mercredi. J’aurai le temps d’éliminer tout ça de mon système avant d’entrer en salle d’opération. » Hoche le visage, pince mes lèvres et approuve tout bêtement. Alors à la nôtre, forcément. « Je compte m’arrêter à un verre, tu pourras finir la bouteille à ma santé. » Non, euh, donc, ils m’ont tous abandonné pour l’été sauf que je suis encore loin d’être l’alcoolique esseulé. Boire oui. Boire seul, bof. Peut mieux faire. Tandis que les verres et les bouteilles, elle les récupère. « Tu sens encore quelque chose ? » Hein quoi ? Au-dessous de la ceinture ça va. Bien qu’au vue de la tension, celle-là, je la garde encore pour moi, et je me contente de bouger mes doigts. « Ca a l’air d’aller. » Elle fait quasiment plus mal, la plaie. « Personne ne t’a jamais dit que le rouge ne se garde pas au frigo mais à température ambiante ? » Cette fois, je les fronce mes sourcils face à son affront, et me contente de répondre, sans prendre le temps de réflexion. « Et si moi j’aime boire frais ? » Tout bêtement. Parce qu’on ne va pas se le cacher, le vin rouge, c’est déjà dégueulasse, alors à température ambiante, ça donne rapidement envie de gerber. A ne pas le nier. Science infuse, depuis que je suis né, mais je suis Snow Burns donc, il n’y a rien d’illogique.

Je bois une longue gorgée, pour illustrer mes dires, et fais ce « Aaah » à la fin de cette dernière pour prouver que j’ai bien avalé. Et puis voilà, je me rapproche d’elle, tout fier, c’est un énorme sourire que je lui sers. Je lui tends mon bras, j’articule ; « Sois délicate. » Ma langue sur ma bouche pour avorter mon rire. « C’est ma première fois. » Faux, j’ai une cheville en fer, exceptionnel jusque-là.

 
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