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samedi 24 juillet 2021
sur la plage, Guadeloupe

Maxalexis ; Des mots d'amour rien que pour toi (2013) a écrit:❝ Vivons l'instant présent, sans maudire le passé ; arrêtons les montres, bannissons les calendriers ; faisons que chaque moment soit une éternité, faisons que chaque seconde dure toute une vie : Toi et moi, nous deux, seuls en ce monde à l'infini. ❞


Une nouvelle journée s'éteint pour laisser le ciel se griser. Des étoiles se distinguent avec finesse dans une noirceur rassurante. Il n'est plus question que le noir réveille les peurs. Depuis notre première soirée, depuis nos retrouvailles, le soir est synonyme d'apaisement. Il nous a couvert d'anonymat, offrant au vent le plaisir d'entourer nos paroles pour empêcher quiconque de nous entendre. Et puis, nous nous sommes offerts l'un à l'autre. Malgré les frayeurs qui t'incombaient, malgré le coeur qui se pinçait, d'un pas l'un vers l'autre, nos lèvres se sont touchés et depuis ont peiné à se quitter. Tes mots ont cependant résonnaient, ton "ne te prive pas pour moi. tu as le droit de voir qui tu veux" a ravivé cette lente douleur qu'est celle de la trahison. Avais-tu peur d'apporter sur mon battant une cicatrice en ton nom si je venais à apprendre ce que tu faisais de ton côté ? Et que fais-tu ? T'es-tu laissé prendre au jeu d'autres hommes ? Ces questions ont cherché à me tourmenter, et comment faire autrement ? Dans cette phrase, j'y ai entendu une peur de promesses non tenues, un reflet de tes propres pensées, et j'ai eu mal. Un simple picotement ayant suffi à me couper le souffle par la suite, et à me pousser à voir ailleurs les vertes herbes au loin. Les sueurs se sont échangés, tout comme les baisers, mais personne ne m'a réveillé comme tu le fais. Nul n'a su connecté les pièces du puzzle, et ce malgré plusieurs tentatives. Il t'aura fallu un regard pour réunir les pièces. Un baiser pour les organiser. Une coucherie pour les raccrocher les unes aux autres. Et je me retrouve complet, perdant des pièces si je m'éloigne de trop, et toi, au loin, tu les rattrapes pour les replacer à chacune de nos retrouvailles. Tu perds mon esprit et pourtant, tu me fais me retrouver.

Un nouvel instant rien que tous les deux, de retour dans un contexte familier où la plage accueille nos ectoplasmes pour leur apporter l'intimité qu'ils désirent. Il me suffit de t'apercevoir au loin, tes mèches devant au vent, pour sourire comme si des années nous avaient séparé. Une semaine s'est écoulée. Plus d'une semaine où nous avons été plus discrets, où nous avons cherché à ne pas se marcher dessus, mais nos bras n'ont cessé de nous dénoncer à l'autre en se reconquérant à chaque fois. Et quelques jours de calme où tu devais voir ton ami, celui qui allait possiblement lancer sa malédiction sur nous. J'ai peur, Easton. Quelques pas décidés et je me retrouve devant toi, les yeux pétillants de te voir le dos de plus en droit comme si tu te remettais de la peine qui t'incombe. ❝ Bonsoir Easton ❞ plaisante-je en usant d'une politesse cordiale, tout en plaçant mes mains jointes dans mon dos et mimant une révérence. Les petits rires trouvent le chemin jusqu'à tes oreilles, et te voyant réagir, je me dénoue et t'enlace. Qu'il est bon de pouvoir sentir nos chaleurs se retrouver, de te sentir vivant et vibrant contre moi. ❝ Tu m'as manqué. ❞ Le ton aura beau être aussi joyeux que possible, mon étreinte confirme que te lâcher m'est difficile. J'ai peur, Easton. Je ne veux pas que la nuit m'engloutisse sans t'avoir comme lampe pour m'éclairer jusqu'au bout du tunnel. D'un revers de contentement d'être ici, je chasse cette diablerie de voix interne pour te lâcher et te faire face. ❝ Alors, t'en penses quoi de ce changement ? L'été m'a officiellement contaminé. ❞ Je commence à faire le beau, posant différemment à la seconde en mettant en évidence la blondeur de mes cheveux.

w/ @Easton Argall
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@Daemin Beauregard Je l'attendais, ce moment à la plage. Le fameux. On va revivre le premier, rembobiner et faire ce qu'on aurait dû faire. On efface mes craintes et on recommence. Cela peut devenir un petit rituel et c'est loin d'être déplaisant. Je suis un peu perdu car je n'ai pas encore eu l'opportunité de parler avec Alexander. Me voilà célibataire, je couche avec un garçon et un autre me déclare sa flamme. J'ai été honnête avec Daemin, je ne sais foutrement pas ce que j'en pense. Alexander est un garçon qui me plait. On s'est déjà embrassé et alors que je voulais plus, il m'a stoppé. La voix libre, c'est à son tour de vouloir mettre le grappin. Mais je doute qu'il ne veuille qu'une histoire de sexe. Ses messages étaient assez explicites même si j'ai un peu fait l'innocent. Celui qui ne veut pas comprendre. Car si ça s'avère vrai, qu'est-ce que je fais ? J'ai la trouille, alors je demande les bras de Daemin. En quelques jours, il a réussi à retirer toutes mes craintes. Rajoutez-en, c'est me pousser à redemander son aide. Un premier message envoyé de ma part et nous voilà en rendez-vous secret dans un coin de la plage. Je suis à la fois nerveux et détendu. Je n'arrive pas à comprendre ce qu'il se passe dans ma poitrine mais je peux vous assurer que quand je croise ses yeux, il s'y passe quelque chose de fort. Habillé d'un short et d'un t-shirt, je quitte l'hôtel et prends le chemin indiqué. Mais je suis tout bonnement nul en orientation. Je crois que je suis vachement en retard. Je prends un sentier sur la plage, d'un pas hésitant et j'augmente la cadence de mes jambes en reconnaissant une silhouette. Mais je ne suis pas certain. Un blond ? Mais un blond musclé. Je m'approche, Daemin se retourne et je reconnais sa voix. " bonté divine. " que je m'exclame, soulagé de ne pas m'être trompé sur la personne. L'homme se colle pour venir me serrer dans ses bras. Comme c'est bon de sentir son odeur, de le tenir contre moi. Ca y est, mon coeur s'emballe, il reconnait les battements du sien. Je lui ai manqué. Je deviens tout rouge. Il me décroche et me montre sa nouvelle coupe de cheveux. " tu sais que j'ai cru que je m'étais encore trompé de chemin ? j'ai tourné trois fois sur la plage et quand je pense avoir trouvé, je vois un blond. " je secoue la tête puis rigole doucement. M'approche et attrape son visage entre mes mains. " approche que je t'admire de plus près. " que j'inspecte cet homme qui m'appartient pour la nuit. Je le fais pivoter jusqu'au clair de lune et souris comme un con. Putain ouais, ça me plait. " ça a son charme. " doigts qui se décollent de sa peau. Si ça me plait, c'est que ça doit plaire aux autres, à ses autres conquêtes. Si ça tombe, c'est l'un de ses plans qui lui a conseillé de faire ce look. Pourquoi l'idée me dérangerait ? C'est pas le moment de devenir possessif Easton, surtout pas maintenant, et d'ailleurs ça ne te ressemble pas.
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Les signes ne trompent pas. Qu'ils s'agissent des battements trop forts de ton coeur qui s'unit aux miens, que ce soient les rougeurs sur ton visage témoignant de tes émotions ou encore cette proximité physique à laquelle nous ne pouvons couper, tout me prouve qu'il y a quelque chose qui te dépasse, qui nous dépasse. Pourtant, ces fichus doutes, ces foutues peurs et cet emmerdeur de traumatisme. Tous ont rejoint la soirée comme ces vermines non invités qui pensent avoir le monopole de l'attention. Je veux pouvoir voir ce que tu me montres, ce que tes cordes vocales sont trop timides à m'avouer, mais tout comme moi, tu es en terrain inconnu. Tous deux incapables de comprendre la chose, maladroits comme deux enfants qui découvrent que le coeur ne sert pas juste à vivre mais aussi à animer cette flamme. Je ne suis pas aveugle, non. Mais je doute beaucoup trop pour mon propre bien. La lueur de ton regard suffit simplement à recalibrer mes axes, et je me sens entier pour la première fois depuis la dernière fois que nous nous sommes vus. ❝ Tu t'es perdu, bichon ? ❞ me moque-je gentiment. Ma main vient toucher ton menton machinalement, et c'est là que je réalise ma faute. Je le retire en évitant d'être brusque mais je sens que je me fais gosse devant toi. Ressaisis-toi, Daemin, tu es un grand garçon, tu es un adulte, un homme même. Comment se fait-il que tu te laisses dominer par quelques effluves sentimentales ? ❝ Au final, si, si, tu es tombé sur la bonne personne. Ce beau blond, c'était ton beau brun. ❞ Je taquine, je souris, je ris même, car c'est si simple et si facile avec toi. Malgré les crises internes qui prennent place, tu m'apaises et me fais me sentir bien. C'est ton don, Easton, c'est ton don. ❝ Okay. ❞ Tes doigts me saisissent, et je ne bouge plus. J'essaie d'être le plus détendu du monde, mais si tu savais comme je me retiens de te sauter dessus, de t'immobiliser sur le sol et te couvrir de baisers jusqu'à ce que tu m'implores de te garder prisonnier de mes bras ? Tu n'es pas une tentation, tu es un sort jeté sur moi pour me punir d'être volage. Tu es ma punition, et j'en redemande encore. ❝ Son charme ? C'est tout ? T'es jaloux parce que le blond ne t'irait pas, avoue ? ❞ Et ainsi, je reprends le contrôle. Quelques pics sur un ton lisse, et je décide de te contourner pour passer mon bras sur tes épaules, t'obligeant à me suivre en s'éloignant du chemin. Je te lance quelques regards, te dévorant comme si je n'avais pas eu de rapports depuis des années. Il ne s'agit pas que de sexe, loin de là. Il s'agit de désir, celui de garder contact avec toi, faire de ta main la mienne. Tu provoques ces envies étranges, des élans romantiques que je tente de camoufler alors que je sais pertinemment qu'une fois isolés, je te mangerai dans la main tel un animal apprivoisé. Les herbes autour de nous chatouillent mes jambes. De ma bouche s'extirpent des phrases qui comblent un silence que je veux éviter. Dans ma main opposée à celle qui encercle ton épaule, je balance en rythme un sac sur lequel j'ai tu l'utilité. Et une fois arrivée sur un coin de plage calme, entourée de poussées florales irrégulières, je te dévoile son contenu. ❝ On y est, c'est mignon, non ? ❞ Quelques arbres derrière nous qui font office de demi plafond, laissant entrevoir le ciel à travers et en dessous de leur limite. Un coin des plus tranquilles, à l'allure romantique. Qu'est-ce que je fous, putain ? Tu vas penser que je vais te demander en mariage alors que je veux simplement que tu sois le mieux possible. J'ouvre le sac et en sort une immense serviette, autant en longueur qu'en largeur, assez grande pour nous deux. En quelques gestes, je la dépose sur le sol et sors également du sac deux thermos de taille moyenne. Mon bras a déjà quitté ton épaule depuis, et je me permets de te tendre un des deux. ❝ Il y a un mojito fait maison. Histoire de rattraper celui que je t'ai volé lors de notre premier soir ❞ ricane-je. Putain, je recommence. Je vais te faire fuir et je n'aurais que mes yeux pour pleurer. Est-ce que j'en fais trop ? Car tout ça vient naturellement. Quelques secondes de réflexion et quelques minutes de préparation. C'est tout ce qu'il m'a fallu. Si je t'offre les étoiles à regarder, c'est parce que je veux que ton regard s'épuise devant la beauté que la nature nous offre. Tandis que moi, la seule étoile que j'ai besoin de contempler se trouve à un mètre de moi. Ma main est à peine libre après t'avoir tendu ton bien que je m'avance, et te saisis par les hanches. C'est impulsif, mais je n'y peux rien. Je plonge mon regard dans le tien, et je te sers à mesure que ton expression me tente. ❝ Merci d'être à là à chaque fois. ❞ Et je ne te laisse pas le temps de répondre, mais je me permets plus de douceur dans mon geste. Mon visage se rapproche du tien, hume ton parfum qui me fait perdre tout inhibition, et je m'empare de tes divines lèvres pour entamer le premier baiser d'une soirée que je prie être éternelle.

w/ @Easton Argall
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@Daemin Beauregard Comme c'est doux de le retrouver. Comme une jolie mélodie qu'on écoute et qui nous fait du bien. Avec lui, je peux mettre la playlist en boucle. Je suis torturé intérieurement car je ne sais pas si je suis réellement attaché à lui, ou attaché à ce qu'il m'apporte. J'aimerais comprendre car s'il s'avère que c'est juste éphémère, que je l'utilise contre ma volonté comme un pansement, je veux que ça s'arrête. Je pense encore à Aly, j'y pense tous les jours. Je me demande ce qu'elle fait, avec qui, si elle se sent mieux, ou pas. Je suis super inquiet mais je n'ose pas encore aller à la pêche aux infos. Cela fait curieux, tout ce que je n'aime pas. Vous savez que je culpabilise de penser qu'à moi. D'être au clair dans la rupture alors qu'elle est encore totalement dans le flou. Je ne lui ai pas encore avoué la vraie raison. Et plus j'attends, plus je me dis que je ne devrais peut-être pas lui dire. Car c'est trop tard. J'aurais dû lui dire le jour de la rupture, yeux dans les yeux. Mais elle était tellement déchirée, je n'ai pas pu. Je rejoins ma dopamine, ce qui me permet de rester éveillé, la tête hors de l'eau. Mais ma dopamine a changé de look et j'ai cru m'être trompé en arrivant jusqu'à lui. Qu'il est beau. Désiré. Oh oui, si tu savais comme je te désire. J'ai presque envie qu'il n'y ait que moi qui compte. Que les autres ne posent pas le regard sur toi. Qu'il n'y ait que moi qui en ait le droit. " un petit peu. t'as vu mes cheveux ? impossible de les coiffer, et quand je les coupe, c'est pire. " que je dis en secouant ma tête comme un bichon, sur le coup. Des cheveux épais qui bouclent et qui me tombent sur le front. J'ai attrapé cette manie de toujours les arranger, comme un réflexe parasite. Daemin s'agrippe à mes épaules de son bras lourd et chaleureux pour m'emmener quelque part. Je pensais que c'était ici. Mais non, il a réservé bien autre chose. Je le laisse vider les affaires de son sac et je m'agenouille près de lui, l'aide à étaler la serviette sur le sable. " c'est... intriguant. qu'est-ce qu'il va m'arriver ? " que je lance faussement paniqué pour rigoler. On s'installe tous les deux et il me tend un récipient avec de l'alcool. Ah oui, donc il s'est vraiment donné tout ce mal. Je suis légèrement mal à l'aise d'être accueilli comme ça. Toutes ces petites intentions pour moi. Ca a commencé dans sa chambre, où il a apporté à manger et du champagne après mon épreuve coriace du tir à la corde. Moi, je n'ai encore rien fait. Il doit s'en douter, se dire que ce n'est pas normal. Je chasse mes pensées et goûte le fameux mojito. " délicieux. " mais pas le temps d'en dire plus que Daemin s'avance près de moi pour m'attraper à lui. Surpris par sa spontanéité, je souris tendrement. Il écrase ses lèvres sur les miennes et mon coeur se met à pulser à vive allure. Bon sang comme ça m'avait manqué. Je réponds au baiser en tirant sur son t-shirt pour le coller plus à moi. " qu'est-ce que tu fais ? tu veux qu'on baise ? " que je grogne en attrapant son postérieur pour l'inviter à s'asseoir sur moi. Non Easton, je ne pense pas que ça soit sa pensée première à Daemin. C'est un baiser tendre qu'il t'a fait, toi t'as compris autrement et t'as laissé parlé ta pulsion.
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Tes cheveux. Bien sur que j'ai vu tes cheveux, je les regarde sans cesse. Ils appellent mes doigts, ils désirent que je les boucle davantage, que je ne les lâche jamais. Ils sont beaux, en spirale, tombant sur ton front et dansant au gré de la brise comme une troupe de danseuses emportée par le rythme. ❝ Ils sont peut-être sauvages mais ils sont beaux. ❞ Je les regarde, je te regarde, alors que je t'amène jusqu'à notre destination finale. Tu sembles penaud, intrigué par ce qui arrive. Tu finis par t'agenouiller à mes côtés, mais comme je suis entre les deux positions, une idée violente me vient. Tu es si prêt, c'est dangereux. Et tu me fais si envie. Tes simples regards en ma direction me font me sentir vu pour de vrai, comme si mon existence n'était nullement remise en question. Et je voudrais être le seul que tu regardes, le seul vers qui tes yeux se tournent. Mais c'est mal, si mal de vouloir cela. Il ne s'agit que de possessivité par peur que tu t'éloignes. Laisse-moi te rapprocher de mon corps, t'apporter la douceur dont tu as besoin. ❝ Rien, rien ❞ ricane-je instinctivement, ❝ je sais que tu as adoré le moment plage, et même l'autre, et donc je me suis dit que ça allait te plaire. Et je voulais que tu sois mieux installé, surtout, t'étais pas trop confortable quand on était sur les rochers. ❞ C'était si bien pourtant. Cette atmosphère délicate qui nous entoure aurait pu s'éterniser si je n'avais pas vu cette bouche qui m'affaiblit à chaque fois que tu la bouges. Alors je te saisis, t'enferme dans mes bras. Et toi tu tires sur mon tee-shirt, me pousse à être sur toi. C'est différent cette position, et même cette spontanéité dans ta réponse. Tu me surprends, et je souris. Tes mots me prennent de court et me font rire. ❝ East... J'ai... J'ai toujours envie de toi, tu dois t'en douter, non ? ❞ Les bras se défont et se hissent sur tes épaules, que mes mains viennent jouer avec cette chevelure qui me déconcentrent bien trop. ❝ Mais je t'ai amené pour qu'on puisse parler, passer du bon temps, te mettre bien. ❞ Je ne peux avoir un ton plus doux, car je suis touché et en bonne partie excité. Rien que sentir tes cheveux soyeux entre mes doigts, avoir ton regard qui se frotte au mien, tes membres et les miens qui s'imbriquent comme deux jouets que l'on colle. Tout ceci a de quoi me rendre taré, me faire perdre la boule. Je me contiens, pour toi, pas pour moi. Car en dessous, le monstre gronde déjà, réveillé par ton ardeur, appelé par ce mot cru que tu as osé prononcé. Baiser. ❝ Après... Je ne sais pas ce que nous réserve la fin de la soirée... ❞ Là, je me sens me raidir, mes mains devenir plus fermes, et ma cage thoracique se resserrer J'ai envie de toi comme personne, j'ai envie de tout envoyer valser, les autres que je rencontre, ceux qui te désirent, ceux qui nous empêcheraient d'être se retrouver car putain, que je te veux. C'est brutal, dans mes tripes, et si je peux crier ton prénom pour marquer les tympans du monde entier de ma signature sur toi, je le ferai. Tu es splendide, j'en crève au fond, car tu n'es pas juste beau, tu rayonnes et je ne m'en lasse pas. Alors oui, j'amène ton visage contre le mien un peu crument. Oui, je t'embrasse, et te dévore entièrement, passe ma langue entre tes lèvres pour te goûter, t'imprégner sur mes papilles. Oui, je te sers, et me raidis, m'entends grogner un peu alors que nos bouches se cherchent avec plus de passion que je le voudrais. Et oui, je te fais basculer et te bloque de mon corps entier. Comment t'expliquer que je ne peux te résister ? Comment te dire que je veux être égoïste, mais qu'avec toi, je n'y arrive pas ? Sens-tu au moins la raideur de mon anatomie plaquée contre toi ? Aucun doute que tu ne peux pas la manquer. ❝ East ❞ finis-je par dire dans un sourire en décollant mes lèvres, front contre front, les yeux rivés sur ces deux croissants de lune. ❝ Si je m'écoutais, je te prendrai là, sans même te ménager... ❞ Comme une violente envie de te faire mien à chaque battements de cils. La douceur reprend de son pouvoir alors que je réalise perdre tout contrôle en ta présence. Tu es fort, Easton, beaucoup trop fort pour moi. ❝ Désolé ❞ dis-je aussi dans un rire avant de simplement continuer d'une voix enjouée, ❝ Je veux pas que tu croies que je fais tout ça juste pour ça. Tu le sais que j'aime passer du temps avec toi ? ❞ Les doigts s'articulent pour caresser ta nuque, tandis que mon regard croise le tien, nos lèvres si faibles et fragiles, prêtes à repartir. Je suis stupide, j'ai cru être invincible.

w/ @Easton Argall
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@Daemin Beauregard Y'a le sourire qui vient naturellement avec lui. C'est si naturel, si simple. Je me rends compte qu'on ne passe pas assez de temps ensemble et que je voudrais en avoir plus. Pas seulement se voir en cachette dans sa cabine ou sur une plage. Même si les moments à deux sont mes préférés. Mais je ne sais pas si je suis prêt à assumer devant tout le monde que je fréquente quelqu'un. Je pense à Alyssia, et je n'ai pas envie qu'elle apprenne que je m'amuse. Donc pour le moment, je vais juste me contenter de nos sorties secrètes. Car vous savez, quand tout se sait, y'en a toujours qui veulent foutre la merde. Je reste bouche baie lorsqu'il me présente le décor. C'est mignon. Je crois que j'ai même pas fait ça pour Aly. Je suis pas très démonstratif comme gars, faut dire. J'espère qu'à la longue, ça ne va pas trop le décevoir. " c'est vrai que les rochers c'était pas le top. j'ai eu mal au dos le lendemain. " et inutile de te dire que j'ai eu mal au derrière la nuit précédente. Tu le devines surement. Même si le dire nous ferait éclater de rire. On prend place et je te laisse vider le reste de ton sac. Mojito plus que délicieux mais ce qui l'est encore plus, c'est tes lèvres sur les miennes. Alors que j'imaginais qu'il voulait me chauffer, il s'arrête et utilise des gestes tendres à mon égard. Loin d'être déplaisant, mais du coup, je suis un peu perdu. Je le regarde d'un air interrogateur. Il veut parler. " techniquement, on est en train de parler, je suis bien et... je veux prendre du bon temps. " jouer avec ses mots. Mes lèvres qui veulent chercher les siennes et c'est finalement lui qui les capture. Je me retrouve couché sur le sable, Daemin au-dessus de moi. Il presse son corps au mien et je peux sentir son short le serrer. " mmh je vois ça." je descends mon bras pour venir toucher son début d'érection. Je me mords la lèvre et le caresse doucement sur son tissu. Puis il s'excuse, et répète qu'il veut passer du temps avec moi, sans pourtant me sauter dessus. Là, je comprends pas trop. Je récupère ma main et l'observe silencieusement, pendant quelques secondes. Il me caresse la nuque et je ferme un moment les yeux. " j'ai du mal comprendre... je... je pensais que tu voulais qu'on remette ça. " c'est clairement ce qu'il a dit par message. Je soulève mon dos et m'appuie sur mes bras pour l'inviter à se redresser. Parler sérieusement en position couché, du moins, dans cette position, ça me semble compliqué. Je passe une main dans mes cheveux et me mords la joue. " tu veux parler de quoi ? " le coeur battant. J'ai peur d'entendre quelque chose que je ne veux pas entendre. Ou peut-être qu'il va me dire quelque chose qui me plait. Je sais pas, ça me stresse. On est bien là. On a commencé à s'embrasser, se toucher, pourquoi soudainement je sens comme un malaise ?
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Les mots auraient pu me mener dans une direction ou une autre, mais tu te plais à me perdre. Désires-tu que l'on se parle pendant que je te ravage ou préfères-tu que l'on s'embrasse en refaisant le monde ? Tous ces plans m'inspirent et me plaisent, mais c'est ce que tu désires aussi qui m'attise. ❝ Je me doute. ❞ C'est encore un ricanement qui vient ponctuer mes réponses. Tu me désarmes, putain, et tu fais chier. Tu m'emmerdes, même. Car là, je me sens bête et je suis partagé entre une centaine de possibilités. Et le pire dans toute ce foutoir de pensées, c'est que je suis obnubilé par le besoin de t'embrasser, encore et encore, jusqu'à ce que tu te repais de mon dernier souffle. Et là où j'ai pensé bien faire, je sens que j'ai installé le programme du malaise dans la matrice et que c'est un fichu virus que je n'arrive pas à mettre en quarantaine. Tu te redresses et m'imposes de faire de même. J'en profite pour mieux m'installer, sur la serviette, et d'un bras, je te fais basculer contre moi. C'est bien mieux que tu sois contre mon flanc, les fesses protégées du sable, et nos dressés de la sorte. Mon bras finit par entourer une de tes cuisses, à moitié ramenée vers toi, et ma main caresse ton genou. Pardonne mon absence de pudeur, mais tu l'as bien remarqué, le contact m'est indispensable avec toi. ❝ Je pensais que tu voulais qu'on s'isole et qu'on parle, j'ai eu tord ? ❞ Je te souris du mieux possible pour te faire comprendre qu'il n'y a pas besoin que la gêne s'installe entre nous. Elle, je ne la veux pas comme invité, elle peut aller se faire voir avec le reste de ses potes. ❝ C'est surement moi, écoute, désolé s'il y a malentendu, mais je voulais pas commencer par te prendre sur le sable, comme ça. ❞ Ça m'est impossible de ne pas glousser en te regardant, même si je sens bien que tu es pris dans tes pensées. Qu'est-ce qu'il se passe dans ta tête, Easton ? Tu as peur que je fasse comme ton cher ami et te confie que tu me plais ? Tu te rends bien compte qu'à notre échange là-dessus que je ne vais pas me risquer à te parler de ça. Tu n'es pas prêt pour t'engager, et je ne sais pas si c'est ce que je veux. Comment te dire même qu'à chaque fois que nos routes se séparent, je suis obligé d'aller voir ailleurs de peur que tu sois le premier qui me remplace ? Que même s'il ne s'agit que d'un homme, un seul, une nuit, tu convoqueras des larmes que jamais je ne te laisserais admirer ? C'est si égoïste, si putain d'égoïste que je me giflerais presque. ❝ Je veux juste savoir comment tu te sens, comment tu vas, car tu as l'air d'aller mieux. J'ai envie d'être un peu trop curieux, mais je veux pas que ça te dérange, East. ❞ Le bras sur ta cuisse se fait serpent, quitte celle-ci pour passer sur ton dos. Et sur ton flanc opposé, la main devient grappin, te rapproche de moi pour que tu sois à ma merci. De mon autre bras, je viens attraper ta cuisse et la placer sur la mienne. Tu me connais déjà. Je m'avance, et baise ta tempe, ta joue dans un sérieux tendre. ❝ Et après, si tu le veux bien, je te ferai l'amour là, sur cette serviette... ❞ Ton bras qui s'allonge derrière mon dos avant même que je ne termine ma phrase, ma bouche qui fond sur ton cou, déposer des baisers où mes lèvres bougent et se cambrent, titillant même en partie du bout de ma langue. Si je m'écoutais, Easton, je commettrai les pires outrages tout en échangeant sur ta vie. Que ta peine soit effacée à coups d'affection, remplacée par de l'amour.

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@Daemin Beauregard Tu m'as enflammé tellement vite. Ou je me suis enflammé tout seul. Rien que le contact de tes lèvres sur les miennes m'ont fait perdre la tête. C'est pas normal. Ca n'arrive pas avec les autres ça. C'est qu'avec toi. Je me sens un peu con sur le moment mais on l'est tous les deux. Il suffit de voir le regard qu'on s'envoie et les sourires bêtes qu'on se fait. Dès qu'il se met à rire, je ris aussi, naturellement. Il est si communicatif Daemin. Il bouge, je bouge. Un parfait miroir, nos corps ont la même danse. Je passe une main dans mes boucles et soupire. Epaules qui se haussent. " oui, enfin non. tu m'as embrassé et... j'ai déraillé. " que je dis en faisant une petite moue désolée. Il pivote pour se mettre à côté de moi, tous les deux regardants dans la même direction. Laquelle ? Qu'y a-t-il au loin. Le néant. L'inconnu. Le mystère. Un peu comme ce qu'on est en train de vivre tous les deux. Comment je vais ? Je ne me pose plus la question depuis le début du Summer Camp. J'ai l'habitude de dire " ça va " comme un robot qui répète le message en boucle. A vrai dire, je crois que je vais un peu mieux, mais pas guéri pour autant. Y'a le coeur qui fait toujours mal. Et y'a qu'avec toi que je l'entends plus pleurer. Je me vois mal te dire ça. Je veux pas que tu penses que je t'utilise ou quoi mais... t'es magique. Ta présence près de moi est magique. Je veux pas m'en défaire. " comment je vais ? " que je répète d'un petit rictus. Comment je vais avec toi ou en général ? J'ouvre la bouche, cherche les mots dans le vide tandis que tu cherches le contact par tous les moyens. " là je suis vraiment bien.... mais quand je me retrouve seul dans ma chambre... c'est pas pareil. " oh il m'a déjà vu pleurer. Je n'ai pas peur de dire que je suis un sentimental et un grand romantique. Je viens de vivre ma première rupture où c'est moi qui rompt, je n'ai pas reçu de mode d'emploi pour savoir comment vivre avec ça. J'ai l'air d'aller mieux car quand tu me vois, je suis rayonnant. Grâce à toi. J'ai envie de m'accrocher à toutes les ondes positives que tu m'envoies pour ne jamais m'en défaire. Paupières qui se ferment une seconde, léger soupir qui sort de mes lèvres quand tu m'embrasses dans le cou. Tu veux parler ou me faire l'amour ? Non mais, faut savoir. Car moi, je ne sais plus sur quel pied danser. " et toi ? comment tu vas ? " je reste concentré sur la discussion du mieux que je peux. Je te retourne la question pour te montrer que je m'intéresse à toi. C'est toujours toi qui s'inquiète pour moi, qui vérifie que je me porte bien mais au final, je ne sais même pas si toi tu va bien ou non.
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La tête fait girouette de gauche à droite, et je souris, amusé par tes dires. ❝ Non, t'as pas déraillé, si j'avais écouté mon pénis, je t'aurai fait une balayette et je t'aurai pris comme ça, alors.  ❞ Encore un rire qui s'échappe, encore un rire auquel tu participes. On en est presque mignon, deux innocents en proie à une libido personnelle qui trouve en l'autre un écho familier. C'est instinctivement que je te rapproche de moi et il semble que tu te laisses faire pour la même raison. Les rapprochements sont naturels, et dépose sur nos langues un pastille d'euphorie qui ne perd son effet qu'une fois nos corps décollés. ❝ Je m'doute... T'as pas à rester seul tout le temps, tu peux dormir à ma cabine si tu veux, tu sais ? Comme ça, même platoniquement. ❞ Je sens que ma voix arque sur un ton assuré. L'idée que tu déprimes face à tes émotions une fois seul dans ta cabine, ça me peine profondément. Je n'aime pas ça, je n'aime pas ça du tout même. ❝ Et c'est normal aussi, t'es encore sonné par ce qui arrive, par la rupture, par toi qui t'assumes, ça fait beaucoup... Bon, je sais que c'est pas en se disant qu'c'est normal que ça atténue la douleur, mais 'y a des choses qui semblent t'aider à te rendre aussi lumineux que tu l'es là. ❞ Le regard perdu sur tes traits que je détaille, sous le charme du moindre mouvement presque imperceptible que tu oses commettre. ❝ Et j'ose espérer que je contribue à ça, ça en a tout l'air, pas vrai ? ❞ L'air mignonnet dure quelques secondes. Je décide bien vite d'arborer quelques moues de mannequin, me jouer cabot pour donner plus de légèreté à ce que je dis. Autant que tu pouffes et me dises que je suis bête, que je ne te fasse pas rougir. J'aurais bien trop envie de t'embrasser sinon. Chose que je me permets de faire, sur ton cou cette fois-ci. Tes bras se tendent, ta respiration se coupe mais tu sembles décidé à garder le cap de la conversation en route. Alors je cesse et relève la tête vers toi, pose mon menton contre ta tempe. ❝ Moi ? ❞ J'admets que ça me touche en partie que tu me poses la question. Mon esprit est toujours focalisé sur ton bien-être, tel un superhéros qui s'oublie car il ne vit que pour aider les autres. Dans cette réalité, celui que j'aide, celui qui hante ma bonté, c'est toi. ❝ J'vais bien, écoute. ❞ De mes bras, je te sers davantage contre moi, comme pour te prouver que je ne désire en aucun cas te lâcher. C'est peut-être l'occasion aussi de m'ouvrir ne serait-ce qu'un peu, que tu apprennes à connaître le muscle battants derrière la carapace de muscles d'acier. ❝ Je profite ici, c'est paisible. À Boston, j'suis trop investi dans mon sport. Quand je suis pas en cours, je suis sur le terrain de baseball. Quand je n'y suis pas, je suis à la salle de la Adams à des heures pas possibles. ❞ J'en ricane étouffé. C'est amusant de prendre autant de plaisir à recycler la négativité grâce à l'effort. La colère et la revendication que je crachais des années durant se sont transformées en joie et en mutisme sentimental. Plus je devenais fort de l'extérieur, plus je le devenais de l'intérieur. Ma musculature est devenue une armure mais je finis par ne plus savoir si elle me protégeait des coups extérieures ou des douleurs intérieures. ❝ Je pensais que j'allais passer mon temps au soleil, à farnienter, à profiter des soirées, des gens, et au final, je le fais, hein, mais c'est pas là où je prends le plus de plaisir. ❞ Pause marquée, soupire franc que je prononce. Je baise ta tempe délicatement, et me maquille d'un sourire sincère. ❝ Tu sais, j'te prends pas en pitié ou comme un cobaye. Que tu doutes pas de ça. Je t'ai toujours vu comme un hétéro parmi d'autres, belle gueule, attitude décontractée, ça m'a plu et j'y ai vu un bon moyen de te faire chier, surtout quand tu réagissais à m'en éviter. ❞ Là, oui, je te taquine à nouveau. J'en ricane, te secouant un peu et baisant à nouveau ta tempe. Cela devient un mécanisme. ❝ Et quand tu t'es ouvert, sur le bateau, j'ai vu quelqu'un d'autre, quelqu'un de vraiment courageux et effrayé, ça m'a touché... Et ça peut paraître bête, mais ça m'a pris par surprise et ça m'a renversé. J'ai compris ta peine, ta peur, ta douleur et honnêtement ? J'ai pas eu autant d'empathie pour quelqu'un comme ça depuis fort fort longtemps. ❞ Pourquoi ai-je le coeur qui bat si vite, comme si j'en disais trop, comme si je me laissais vulnérable face à toi ? Est-ce ce que je fais, là ? Suis-je en train de te laisser l'opportunité de me piétiner et me blesser ? ❝ Tu m'as semblé si réel, si humain, si présent quoi, pas comme la plupart des gens qui cherchent à s'cacher, comme nous tous en fait, comme moi aussi... ❞ J'essaie de capter ton regard en avançant mon faciès, toujours tourné vers toi. ❝ Tu m'as rappelé qu'il y a pas qu'un p'tit con qui prend la vie comme une danse qui s'arrête jamais. 'Y a aussi Daemin, celui qui peut s'attacher aux gens. Celui qui peut s'émouvoir et s'emballer. Celui qui a connu l'humiliation celui qui a eu mal. ❞ Cette dernière phrase n'aurait peut-être pas du sortir, mais ceci est de notoriété publique. Le veritas il y a quelques années, moi couronné le cocu de l'année. Cette femme pour qui j'ai tenté de tout donner, et dont j'ai du faire le deuil en apprenant qu'elle me trompait. Mon coeur se serre, tout comme je le fais avec toi, car cela me ramène à cette douleur. Ce sentiment de ne pas pouvoir avancé car une partie du campus me regardait avec pitié ou moquerie, parce que je voulais juste avancer mais ils me faisaient reculer de quelques mètres en arrière. J'ai eu un aperçu de ce que vivent les célébrités qui se séparent à cause d'un scandale d'adultère. Ce n'était pas plaisant, ça ne l'est toujours pas. ❝ Enfin bref, désolé, j'm'emballe ❞ ris-je doucement, ❝ là où je voulais en venir, c'est que je vais bien, très bien. T'es ma meilleure compagnie et pas seulement parce que j'ai envie de te sauter dessus constamment, mais surtout parce que t'es une belle personne, East, et que j'ai envie de te garder longtemps près de moi. ❞ C'est dit si naturellement, si aisément, pour ne pas sonner la cloche de la séquence émotion. Je veux que cela passe comme une lettre à la poste, que tu l'entendes comme quelque chose de factuel même si je ne peux absolument pas contrôler comment tu vas réagir. Mon visage a déjà tourné droit devant, car ton regard m'effraie un peu à ce moment précis. La brise nous fait virevolter les cheveux, balaie ce qui peut entraver la vue sur nos visages. À avoir parlé, je me sens bien mais je le sens, ce qui me fait humanité s'est dévoilé à toi comme cadeau, si frêle et cassable. Pourtant, je n'ai pas tant dit mais rien que t'ouvrir une porte vers qui je suis est un immense pas. Pour moi, ça veut dire beaucoup et je prie, dans un calme externe, que tu y vois la confiance que je te remets.

w/ @Easton Argall
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@Daemin Beauregard Puré, quand il parle cru, ça me donne encore plus de pulsions. J'ai envie de retrouver ton corps sur le mien, tes lèvres partout, que tu me prennes comme tu l'as fait la dernière fois. Car je pense qu'à ça. Tes coups de bassin. Et crois-moi, le soir quand j'arrive pas à dormir, mes mains prennent ta place et j'imagine que c'est les tiennes. Et puis tu sais, le rêve érotique j'avais fait il y a des mois, il se répète toutes les nuits, sans exception. Je sais pas si c'est toi qui m'obsède ou le sexe que tu m'offres. Surement un peu des deux. Car je désire personne d'autre que toi. Pourtant, y'en a des garçons séduisants qui gravitent autour de nous. Mais eux, ils ne m'intéressent pas. Pourquoi j'ai attendu si longtemps ? J'ai l'impression d'avoir perdu six mois de ma vie, six mois où j'ai failli te perdre. Car t'étais là lors de nos retrouvailles. Mais si t'étais plus là et que je m'étais rendu compte que tu m'attirais ? On aurait rien de tout ça. Car je fais jamais le premier pas. Merci de l'avoir fait, merci de m'avoir consolé et volé un baiser pendant que le vent séchait mes larmes. " justement Daemin, tu m'aides à aller mieux. mais je veux pas que tu te sentes utilisé ou quoi que ce soit. je veux être très prudent, j'veux pas te donner de fausses idées, tu comprends ? " c'est pour ça que je suis parfois en retrait. J'ai l'impression qu'il donne plus que ce que je lui donne. Et peut-être qu'il est comme ça avec tout le monde, attentionné, protecteur. Mais moi, je n'ai pas l'habitude qu'on s'occupe de moi comme ça. J'ai l'impression que tout ce qu'on me donne, je dois le rendre pour être équitable. " c'est pour ça que je te pousse à rencontrer d'autres personnes. j'ai peur de blesser, encore. " je déglutis et une petite mine triste s'affiche sur mon visage. Toi, comment tu te sens dans tout ça ? Dans cette relation qui commence à avoir un goût de complexité ? J'aime la personne qu'il est, mais si continuer à se voir que pour coucher ensemble lui fait du mal, je préfère qu'on arrête. Ses bras me serrent davantage et je me laisse bercer, appréciant ce contact tendre. Beauregard déballe ses pensées, et il parle beaucoup. Comme d'habitude, je bois ses paroles. J'aime l'entendre raconter ces récits. Je souris par moment, rigole, mais ne l'interrompt en aucun cas avant qu'il ait terminé ses explications. Puis y'a le sourire qui s'éteint quand il m'explique qu'il a eu mal par le passé. Il m'en a déjà vaguement parlé, d'où sa transformation massive musculaire. Il cache quelque chose, une blessure, et je suis persuadé qu'elle est toujours là, encrée en lui. " je suis désolé... pour ce qu'on t'a fait. " à mon tour de presser mon bras contre lui. T'es une belle personne, du peu que je te connais et clairement, c'est pas juste. Même si je connais pas le fond de son histoire. " je me sens bien avec toi, comme j'ai pas été depuis longtemps. et j'ai peur de perdre ça... peur à cause de moi. car j'ai l'impression que je pourrais pas donner ce que tu voudras. si un jour tu désires quelque chose de plus... sérieux ? " je fais une petite moue, tourne la tête pour regarder ses yeux, je veux voir son expression, être sûr que je ne lui fasse pas de mal en lui parlant. " j'étais déjà pas prêt à rencontrer d'autres personnes. mais t'es arrivé. " et crois-moi, tu commences à bien faire ta place. Si vite. " et je peux pas nier que tu me plais... mais aller plus loin, essayer quelque chose, se replonger dans une relation, j'ai pas envie de ça. " je dois être honnête. Je suis pas dans le mood pour m'investir à fond avec quelqu'un. Et puis, t'es le premier garçon. Je dois d'abord m'assumer avant d'assumer devant tout le monde. " en tout cas pour le moment. je ne dis pas que dans trois mois ça ne changera pas. et je te demanderais pas de m'attendre si tu me le proposes. " je soupire et me décale de lui. Plonge mes mains dans le sable pour jouer avec les grains. " on peut vivre notre vie comme maintenant ? sans réfléchir ? je suis fatigué de réfléchir. " je veux vivre l'instant présent. A tes côtés, forcément. Mais ne pas me précipiter dans quoi que ce soit, comme avec Alyssia. On s'est mis ensemble trop vite et au final, j'ai même pas réussi à tomber amoureux. La prochaine fois que je me mets avec quelqu'un, c'est parce que je l'aime. Pas pour essayer.
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