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Rescue me - Les K.

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29 Juin, Face au Sunrock

J’étais venu plein de détermination à me dire que quoiqu’il se passe je ne partirais pas sans t’avoir parler, mais je crois qu’en face j’aurais été incapable de te dire quoique ce soit comme à l’époque. Je t’ai aperçu et j’ai fuis et je me suis dit qu’après tout ce temps tu n’avais pas forcément envie de me voir en fait et je suis là face à ce qui semble être ton bar, je me dis que t’en as fait du chemin et que revenir dans ta vie avec toutes tes emmerdes ce n’est pas forcément une bonne idée. J’ai toujours pensé à vous, que ce soit toi, Clary ou même le grand frère, y’a pas un jour où vous n’étiez pas dans mon esprit pas une fois où je ne me suis pas demander pourquoi on était éclaté comme ça aux quatre coins du pays, je me suis toujours demander pourquoi nous ne sommes pas restés souder face au paternelle, pourquoi il a fallu que nous on se sépare ? Pourquoi j’en ai fait qu’à ma tête à disparaitre, alors que j’aurais dû vous cherchez du moment où j’ai quitté la maison familiale ? Je n’ai pas la réponse et je ne suis pas sûr de les avoir, peut être que j’avais besoin de vivre les choses de mon côté. Tu dois te demander pourquoi maintenant, pourquoi je reviens aujourd’hui en fait je n’ai pas vraiment de but, le vent m’a porté ici, parce que dernièrement je trouve plus ma place nulle part, je crois que je ne l’ai même jamais trouvé en fait ce besoin de liberté c’était cool un certain temps, mais aujourd’hui ? Aujourd’hui ça me bouffe. Ce que je vais te dire ne va pas te plaire et je t’entends déjà gueuler face à mes mots... J’en peu plus Lana. J'en peu plus de fuir, j’en peu plus de me battre, j’en peu plus de regarder tout le temps derrière moi pour surveiller si on ne me suit pas, d’avoir peur que le père me retrouve, d’avoir peur que ses mecs que j’ai fait chier me mette la main dessus. J’en peu plus de courir tout le temps pour fuir le malheur, tenter d’attraper un peu de bonheur. Je ne suis pas comme tout le monde, je crois qu’en fait je dérange le monde en général.

J’aurais peut-être voulu vous dire au revoir autrement. Je pars Lana, je quitte le pays, le continent je me dis qu’à des millions de kilomètre personne ne me retrouvera. J’ai toujours voulu visiter Rome c’est peut-être l’occasion. J’ai eu vent qu’à Portland certain bateau faisais passer les passagers clandestins, je vais tenter ma chance. C’est ma seule chance en fait, si je ne parviens pas à quitter le pays je n’ai pas d’autre solution, enfin si j’en ai une, mais je crois que je ne suis pas assez fort mentalement pour faire ça. J’ai trop merdé, beaucoup trop même...

Je ne sais pas si cette lettre et une bonne idée, je ne sais pas si toi et Clary vous allez avoir envie de la lire et si c’est la dernière fois que je m’adresse à vous il faut que les mots sortent... Je vous aime les filles, n’en doutez jamais. Je te vois déjà grimacer face à ses mots, je t’assure que c’est bizarre à écrire, mais je ne sais pas... ça fait du bien, c’est apaisant... comme si c’est la dernière chose que j’avais à faire pour partir serein.  

Prenez soin de vous

Vers l’infinis et au-delà ….

Jay

@Lana Killbane @Aaron Kaine
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12 juillet, Chicago.

Tout se passe relativement bien. Tu fais en sorte qu'Hayley soit heureuse malgré tout ce qu'elle a traversé, qu'elle passe du temps seule avec sa famille. Tu fais en sorte que rien ne vienne obscurcir le tableau de sa vie à nouveau. Tu ne parles pas de ton père, de ce que tu as fait pour la sortir de là. Tu ne parles pas de sa captivité. Ça fait une semaine que t'es loin de Boston physiquement, mais tu prends toujours un moment dans la journée pour demander à Lukas comment ça se passe au Sun Rock. Tu lui as proposé de venir ce week-end à Chicago pour le festival. Lui seul sait ce qu'il va s'y passer, tenant tout le monde à l'écart jusqu'au dernier moment. Tu en parleras jeudi à Hayley, pour être sûre qu'elle accepte de s'y rendre avec toi. Tu reprenais du poil de la bête, en ayant eu des nouvelles de Clary en Égypte. Loin de tout. Retrouver calme et sérénité. « t'as une lettre posée sur ton bureau depuis quelques jours. » Tu demandes à ton associé de te la lire, parce qu'avec tout ça, t'as clairement oublié. Jared. Il était là. Et toi, t'as même pas eu le temps de le voir. T'as la rage après toi.

13 juillet, Chicago.

Un message. Numéro inconnu. Tu l'ouvres et découvre une photo qui fait bouillir ton sang. Jared, ligoté. Amoché. Journal du jour. Portland. Le sang ne fait qu'un tour. Capture d'écran au cas où. Coup de téléphone à Aaron. « prends ta malette, on va à Portland. » Fin de l'appel. T'as deux jours à compter de maintenant pour retrouver Jay, en finir avec toutes ces merdes, et revenir à Chicago pour le festival. Les merdes sont jamais terminées. Pas dans la vie des Killbane-Kaine. Tu préviens Hayley que tu seras absente deux jours, affaire familiale que tu dis. Et tu prends un sac, quelques affaires avant de quitter précipitamment le lieu de vie de sa mère, te confondant en excuses auprès d'elle.

14 juillet, Portland.

Visage fermé, tu arpentes les rues de la ville côtière. Des hangars abandonnés, il y en a des tas. Tu marches d'un pas doux, à l'affût du moindre bruit qui trahirait une présence. À tes côtés, le gardien, l'aîné, toujours sur tes pas. Bruit de barre de fer qui tombe au sol dans le hangar d'en face. Ton regard croise le sien. C'est bien là qu'ils ont donné rendez-vous, ces chiens. Sac rempli de fric sur l'épaule. Tu donnes un coup de pied pour manifester ta présence. Cette histoire pue la merde à plein nez. Souvenirs du mois dernier en tête. La mort ne t'effraie même plus.

@Aaron Kaine @Jared A. Killbane
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Il y a des jours où j’ai envie de faire une annonce générale dans le monde de la criminalité, pour qu’on cesse d’emmerder mon entourage. Quitte à prendre la tete du gang. Ce que mon pere voudrait au fond. Est-ce que cela faciliterait les choses ? J’ai envie d’y croire. En attendant, le dernier K. est en danger. Je l’avais apercu en debur d’annee. Et il avait detalé à grimper partout. Avait-il pensé que j’etais un de ses bourreaux ? Possible. A present, j’allais devenir le leur. Mais ce qui détonait, c’etait la détermination de la frangine. Je crois que buter des gens, elle y prenait gout. Loin de me deranger. Ca va finir en gang familial a Boston. Les Degoulinants en sueur. J’avais prevenu Eros, doublé sa securite. Etre serein, quand je suis loin de lui.  On ne negocie jamais Sha. les mots traversent l’esprit. J’etais d’accord avec le paternel mais c’etait bien un sac de frics qu’on allait donné. On annonce notre presence. Vêtu de noir, deux shuriken et deux flingues contre le corps. Attendre prudemment. Je regarde autour de nous. Le traquenard. Joker qui n’est pas si loin. A observer. A attendre. Puis ils apparaissent. « L’argent. » Impolis en plus. Quatre face a nous mais combien nous observait aussi ? Dans ce genre de situation, j’aurais été euphorique. Tuer tout le monde. Se delecter du bain de sang. Mais les adelphes presents, je ne pouvais pas les mettre plus en danger. Je regarde la frangine, la laisser mener l’echange.
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La lionne que tu es ne rugit plus avant d'attaquer. Désormais, tu envoies directement les crocs, sans prévenir. Être doux dans le domaine privé, bête assoiffée de vengeance quand on s'attaque aux tiens. D'abord le paternel, maintenant, t'es prête à retourner toute une organisation pour sauver le cul du cadet. Le gamin que t'as laissé il y a sept ans entre les griffes du bourreau. Le gosse que tu pensais avoir perdu à jamais, sous l'égide religieuse du paternel. Il était venu à toi et s'était ravisé, laissant une lettre que tu n'as jamais vue. Que Lukas t'a lue. Ca augmente ta rage. Parce que t'attendais que ça, de le revoir. T'attendais que ça et il a fallut que ce soit une putain de lettre et une fichue photo qui te rappellent à l'ordre. T'as merdé, Maze. T'aurais pu le sortir de là bien avant maintenant. Et t'as rien branlé. T'as vécu ta vie égoïstement.
Présence manifestée, plusieurs gars se présentent. Pas un bonjour, rien. Juste la réclamation financière qu'ils attendent de toi. Tu ris, tu te fous presque de leurs gueules. « Comme si j'allais vous filer un paquet de pognon sans voir mon frère. J'suis pas débile, les connards. Ramenez sa tronche ici et on parle de fric. » Incapable de fermer ta gueule. Incapable de ne pas être désinvolte. Tu cherches une clope dans tes poches et tu l'allumes. « Ca m'ferait chier que vous l'ayez trop amoché, j'dois le rapatrier juste après. J'ai pas envie que les flics m'collent au cul pour vos conneries. » T'en rajoutes une couche. Aaron doit se demander ce que tu branles à parler comme ça, trop fière, trop sûre de toi. Même toi tu sais pas ce que tu fous. C'est un coup à te bouffer une balle dans le buffet si tu continues.
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3 Juillet 23h45

Trois jours à Boston, deux jours à faire le pieds de grue devant le Sun Rock à attendre hésiter et finalement simplement donner une lettre à son collègue, je n’attendais pas de réponse, enfin j’espérais qu’elle allait au moins se pointer à Portland, peut être me convaincre de rester au moins me dire au revoir. Je suis monté sur ce bateau, sac sur le dos et j’ai regardé sur le port, attendant une silhouette connue, j’ai regardé autours de moi et j’ai compris à ce moment-là, que je ne voulais pas être seul, je suis descendue de ce bateau, je l’ai regardé s’éloigner et j’ai baissé ma garde. D’un coup je ne voyais plus rien, une douleur qui s’abat violemment sur ma tête et le trou noir.

Des jours ont passé, des heures à me faire tabasser, à me recroqueviller sur moi-même, à tenter d’oublier la faim qui me tiraille le ventre, la gorge sèche. Je pensais que la nuit ils me laisseraient tranquille et pour autant, des réveils toutes les deux heures, la lumière grande allumé ou de la musique criarde qui tournais en boucle. Tout était fait en sorte pour que je perde la notion du temps, pour que je craque mentalement, jusqu’à ce que je craque. Trop faible j’ai fini par craquer et donner à contre cœur le nom de Lana.

14 Juillet

Ça s’agite, je ne comprends pas les yeux toujours cachés avec ce truc sur ma tête. J’entends la porte de la pièce s’ouvrir et on vient me saisir par le bras “T’a de la visite !” Le canon froid sur ma tempe et la main qui me serre le bras pour me maintenir debout. On vient retirer brutalement le tissu sur ma tête, j’ai du mal à ouvrir les yeux, je clignote, distingue des silhouettes je mets quelques minutes à fixer mon regard. Baillons dans la bouche, visage tuméfié par tous les coups, cerne sous les yeux, ce n’est pas comme ça que je voulais qu’elle me revoie. Je secoue la tête, tente de me débattre, j’essaie de hurler, je ne voulais pas qu’elle soit là et le grand tatoué je le connais … qu’est-ce qu’il fait là ? Je ne comprends rien, j’essaie de foutre des coups de pied à la masse qui me tient fermement les bras, celui-ci s’agace et en quelques gestes me déboite l’épaule, gémissement de douleur, larme qui coule avec. Pourquoi j’ai parlé ?
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Un homme part seul, revient après quelques minutes accompagné. Visage d'abord caché, puis sa crinière brune et ses yeux bleus, le visage éclaté. Tu fulmines, tu serres le poing de le voir comme ça. Tu te demandes ce qu'il a foutu pour se foutre dans une merde pareille. T'as plus vraiment la lettre en tête, peut-être qu'il a parlé de ses problèmes, mais là, tu veux juste le régler, te barrer de là avec le cadet et le foutre en sécurité. Tu retires tes lunettes teintées avec un sourire que tu n'as eu que rarement. Le sourire qui montre que t'es en train de péter les plombs. « Putain, vous l'avez bien amoché les gars. C'était jouissif de tabasser un gamin qui peut pas s'défendre ? Ca vous a donné la trique ? » Bordel, à quoi il joue, Jared, à donner des coups à un gars qui peut le tordre en deux avec trois doigts ? Il se retrouve encore plus dans la merde, c'était obligé. La masse lui déboîte le bras, et là tu commences à changer de visage. Là, tu laisses apparaitre ta part sombre, celle que t'as contenue tant que t'as pu. « Si vous voulez votre fric, votre salope de gros bras a intérêt à lui remettre l'épaule en place. Parce que j'en ai clairement rien à battre de l'envoyer à la flotte, votre précieux pognon. » Tu remets tes lunettes de soleil, signe discret à Aaron. T'as juste envie que ça parte, là, tout de suite. D'abord le golgoth, les autres ensuite. Et que RedVelvet se tienne prêt. Toi, tu veux juste récupérer ton petit frère. Peu importe la manière, peu importe combien ça va te coûter, peu importe si tu prends des coups dans la bataille. Tu regardes Jared. Murmures. Baisse ta tête.. Que le spectacle commence.
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TW VIOLENCE

Nez qui se fronce quand le craquement se fait entendre. Le gosse serre les dents. Et vu son visage, il en bave. La soeur se fait pousser des grosses couilles. Et j’eclate de rire. « Pardon. Pardon. La misere de vos gueules qui me rend comme ca. » Rajouter une couche. Commencer a les enerver. Les emotions dereglent la raison. Et nous sommes entraînés pour demeurer stoïque ou feindre la comedie. Puis minu blonde en colere continue son pitch, gagner du temps. Et elle leur presente un magnifique majeur en l’air. E N F I N. « Je commencais a m’endormir. » Je siffle pour que Red s’éveille aussi. Lui qui, entre temps, s’est aventuré en terrain ennemi. Je m’approche de Lana pour lui enfiler un masque des que le premier fumigène est lâché. Je fais pivoter son corps, me servant du mien comme bouclier et la proteger. Bras gauche qui presente l’arme et tire. Un bras gauche. Un pied droit. Oups, une tete. Red fait son menage également avant de chopper le Gosse. Ca aurait pas s’arreter là mais troisième groupe qui sort de son trou. J’attrape Lana. « T’as vraiment une sale gueule avec ca » Detendre l’atmosphère quand je me delecte de ce genre de situation. Ca me manque toujours. Drogué des tueries. On rejoint Red et Jared. Cachés derriere un contener. « Bon, ceux la, on les avait pas vu venir. Parfait » Je donne mon arme a Lana. « Je l’aime. Tu fais gaffe ou je te rase la tete. Tes deux bras bien tendus. Tu retiens ta respiration. Tu tires. » Je lui montre comment on recharge. « Si tu as des questions, on s’en branle. » Je sors celle que m’a offert Côme et l’embrasse. «  Lana, et Red vous allez a la voiture avec le gosse et moi .. Faire la catin. » Hauts de tete embrasses de tout le monde et je grimpe sur le contener. Je tire en l’air. Red lance une explosive. Et je saute de conteners en conteners pour espérer en éloigner quelques uns.
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TW : VIOLENCE

Les gars en face de toi commencent à s'énerver, à manquer de contrôle sur la situation. C'est pire quand Aaron se fout à rire. Ils perdent patience, les cons. Et c'est là que le majeur majestueux se dresse, signal qu'il est temps de passer à la phase d'action. Sifflement, masque sur la tronche et l'armure fraternelle qui se place sur toi. Les premières détonations fusent. L'adrénaline pulse dans tes veines. Les hommes ne sont plus, mais une nouvelle vague arrive, imprévu qui annonce encore de l'action. L'aîné te vanne. « J't'emmerde, t'as vu ta tronche ? » Il t'entraîne avec Red et le cadet. Un conteneur comme protection. Aaron place le flingue entre tes mains novices. Oh putain, tu l'as clairement pas vue venir, celle-là. Il t'explique comment t'en servir. Tu le regardes incrédule. Autant dans Call Of Duty tu gères grave, mais t'as jamais tenu un flingue avant aujourd'hui en dehors des trucs qui tirent du plomb dans une fête foraine et dont la visée est totalement foirée. « T'es en train de me dire que si on m'court après pour m'tirer dans le cul, j'dois m'arrêter, viser et tirer ? T'es malade ou quoi ? J'veux pas m'faire trouer pour ça ! » Tu vas faire la meuf comme dans les films d'action, il a cru que la vie c'était un kebab ou quoi ? Il embrasse vos crânes et se tire comme un bienheureux. La tête se lève. « On bouge ! » Red récupère Jared et toi, t'assures les arrières des deux jusqu'à la bagnole. T'en as un qui sort de nulle part et qui te tire une bastos dans le bras droit. Tu lui en colles une dans le buffet. « Fils de pute. » Tu craches par terre et tu reprends ta course, les yeux partout, canon prêt à cracher à nouveau. Tu sens pas encore la douleur à cause de l'adrénaline, mais tu sens le sang qui coule le long de ton bras. Regard sur Red Velvet. « J'suis touchée, mec. Aaron va m'gueuler dessus. » Rire nerveux en poussant Jared dans la caisse. Allez le Géant, bouge ton cul qu'on s'tire de là.
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Et tout se passe très vite, la douleurs vives de mon épaule déboitée, le cries que je ne retiens pas, je serre les dents, vacille légèrement, mais la voix de Lana et du grand tatoué me maintienne plus ou moins éveillé. Je supporte la douleur, l’habitude d’être un casse-cou et d’avoir les articulations mal foutues. Je suis perdue, je ne comprends pas tout, depuis quand Lana elle est bad ass comme ça ? Signe de tête à Lana, je ne fais pas que baisser la tête, j’arrive à me baisser, la masse surpris perd légèrement sa prise sur moi et j’arrive à passer entre ses jambes. Fumigène, détonation et je ne sais plus où je me trouve, c’est le troisième type qui m’entraine à l’extérieur et je perds Lana du regard. Panique derrière le conteneur, l’esprit calme me rassure en me disant qu’elle ne craint rien et bien vite elle nous rejoint avec le grand tatoué. Quelqu’un peut me dire qui il est ? Pas le temps de poser des questions, mais à son geste je comprends que c’est quelqu’un d’important. Je le regarde s’envoler, je suis Lana qui se prend une balle et cette dernière me pousse dans la voiture. Je vois la silhouette au loin qui élimine les ennemies les uns après les autres, mais une silhouette sur le toit du bâtiment qu’il ne semble pas avoir vu. Je regarde Lana et l’esprit calme à côté, épaule que je coince contre la portière et je donne un grand coup pour me replacer l’épaule. Rapidement je sors de la voiture, difficilement je grimpe sur le bâtiment, plus compliqué tel un ninja je me faufile derrière le tireur, je grimpe sur son dos au même moment que le coup part, heureusement le coup ne touche pas le grand du bas qui remarque la scène. Je saute du malfrat, fou un coup de pied dans son arme qui atterrit en bas du bâtiment et je joue avec le malfrat, au bord du toit je le laisse s’approcher, le provoquant et quand il est à deux doigt de m’attraper je saute sur le bâtiment d’à côté, il tente de faire de même, se loupe et s’accroche avec ses mains au bord du toit, je m’approche, debout devant lui “Dommage” et lui écrase les doigts avec mon pied, le malfrat vient s’aplatir au sol, marre de sang qui sort de sa tête. Je prends escaliers de service et vint m’écrouler au sol contre le mur, adrénaline envolée, douleur trop vive et tout est noir autours de moi …
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Redescente d'adrénaline quand tu colles Jared dans la bagnole, ça commence à piquer. Tu grimaces et Red relève ta manche pour voir la blessure. La balle est toujours logée dans ta chair, et il te dit qu'il va la retirer quand vous serez partis d'ici. Tu tiens ton bras quand tu vois ton petit frère grimper sur le bâtiment comme un ninja. « Putain il fout quoi ce crétin ? » Il se prend pour Jackie Chan ou une connerie dans le genre ou quoi ? Il saute d'un bâtiment à l'autre, comme si c'était une putain de haie. Contrairement au gars qui s'est foiré et qui s'est écrasé en bas. Gamin qui revient sain et sauf et que t'as envie de pourrir. Tu marches rapidement vers lui. « La prochaine fois que tu tapes une action comme ça, je t'arrache les yeux. » Tu finis par sourire légèrement. « Faut croire que la fratrie Killbane est enfin complète, maintenant. Allez, lève toi, on attend Aaron et on s'tire. J'ai une balle à le faire enlever askip. » Et un tas de choses à lui dire, si bien que tu saurais même pas par quoi commencer.
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