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i just want you to be happy (enola)

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LE 13 JUILLET • Moulée dans son maillot une pièce, Louison recouvrit ses hanches d’un paréo et s’aspergea de Monoï avant de rejoindre la piscine du paquebot. Lunettes de soleil sur le bout de son nez rougit par le soleil, elle attrapa son téléphone dans son sac en bandoulière et envoya un texto pour prévenir sa très chère Enola de sa présence sur la partie sud du bateau. La journée était libre, de quoi passer un moment avec celle qui ne la laissait pas insensible depuis maintenant deux ans. Son chapeau de paille fixé sur le sommet de son crâne blond, elle choisit deux transats côte à côte et posa son fessier sur l’un d’entre eux. À l’ombre d’un parasol, elle observait la piscine devant elle, un bassin impressionnant déjà peuplé d’étudiants en chaleur. Exténuée par la journée de la veille, elle soupira et fourra un bonbon à la menthe entre ses lèvres couleur framboise. Elle ignorait encore comment cette entrevue allait se passer, mais quelque part, elle avait hâte. Hâte de passer à autre chose et de se marrer avec celle qu’elle comptait parmi ses meilleurs amis. Cependant, elle était toujours anxieuse peu avant leur rencontre, c’était con, mais impossible de faire autrement. Finalement, après plusieurs minutes à peaufiner son bronzage, la créature de rêve fit son apparition. Divine, Louison souleva son bras et sa main pour l’avertir de sa position. Remarquée par Enola, la blonde fit retomber son membre et inspira profondément pour se préparer à leurs retrouvailles. @Enola Buffet

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Je suis dans ma cabine, j’essaie encore de me remettre du décalage horaire. Qu’est-ce qui m’avait prit de faire l’aller retour pour Boston. Je tentais de me remettre, parce que je n’avais pas beaucoup dormi depuis mon départ. Pourtant, j’aurais dû me souvenir que j’avais bloqué ma journée pour toi. Toi que je m’efforce de protéger comme je peux. De moi, de ma folie et de mon passé. Je me tourne vers mon téléphone et je le prends pour y lire ton message. Je me lève d’un coup sec et j’ai envie de me gifler de te faire attendre. Je cherche mon maillot de bain, pour l'enfiler rapidement. Je cherche mes affaires et je mets tout dans mon sac. Je file à toute vitesse pour rejoindre la piscine dans la partie sud. Je fini par arriver et je te cherche du regard. Je souris quand je vois ta main se lever. Je m’approche de toi et je prends le temps de regarder ton corps à travers mes lunettes de soleil. Salut beauté. Tu vas bien ? dis-je en venant prendre place sur le transat à côté de toi. Je suis un peu nerveuse, dernièrement on passe notre temps à nous disputer et je ne sais pas trop comment me comporter. Ça m’attriste parce que tu es précieuse pour moi.
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LE 13 JUILLET • Les tensions se sont éteintes sous un coup de vent. Louison attendait Enola avec impatience. Son amie lui manquait. Elle était celle qui allumait le plus souvent les étoiles dans ses yeux. Elle était celle qui l’amusait et la faisait rire comme une truie. Enola était bien plus qu’une amie. Elle réunissait bien des rôles, alors son absence était vécue comme un vrai crève-coeur. Heureusement, les deux jeunes femmes avaient décidé de se retrouver et de mettre derrière elle leur dernière dispute. Allongée sur son transat, la blonde alerta la brune d’un geste de la main et fut ainsi repérée. Quelques secondes plus tard, Enola était à ses côtés, dans un maillot de bain qui la sublimait davantage. « Ça va, heureuse de te revoir » Comme si la demoiselle avait disparu depuis des années et qu’elles se retrouvaient enfin. L’angoisse se dissipant, Louison reprenait comme si de rien n’était, parce que finalement, il ne s’agissait que de la énième dispute. « Alors ? T’as rien de croustillant à me raconter ? T’as bien chassé ces derniers jours ? » qu’elle lui demanda en tentant de rester la plus sereine possible. Quoi ? Elle avait le droit de savoir non ?

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Toi, cette fille qui me rend différente. Celle qui me fait perdre mes moyens. Celle qui m’oblige à ressentir des choses alors que je ne veux pas. Celle qui a le don de me mettre hors de moi en une fraction de seconde. Celle pour qui je quitterais toute activité rien que pour ses beaux yeux. Tu es tout ça à la fois et s’en est frustrant. Alors oui, parfois j’essaie de te tenir à distance, mais parfois je suis faible. Là, je me dépêche de te rejoindre et des que je te vois y a une vague de sentiments contradictoire qui me bouleversent. L’envie de t’embrasser, te serrer contre moi et celle de partir le plus loin possible. Je ne fais d’ailleurs, ni l’un ni l’autre. Je me contente de regarder ta beauté à travers mes lunettes de soleil. C’est partagé. D’ailleurs tu sais que tu as le droit de m’en vouloir. Je suis horrible avec toi j’en ai conscience tu sais. dis-je en reconnaissant mes tords. Je suis un coup distance et puis ensuite je ne le suis plus. Je crois que j’ai peur de ne plus être capable de me contenir et de te sauter dessus à un moment donné. Je me passe une main dans les cheveux et je regarde le monde qui arrive autour de nous et finalement c’est peut-être mieux qu’on ne soir pas seule, ça m’aide. Je me mords la lèvre à ta question, je ne suis pas sûre que aborder ce sujet nous soit bénéfique. Tu es sûre de vouloir parler de ça ? que je te demande un peu surprise.


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LE 13 JUILLET • Louison avait le coeur sur la main et surtout le coeur qui battait plus vite lorsqu’Enola était près d’elle. Cette fille avait un pouvoir particulier sur la blonde, celle de l’abrutir et de la rendre plus doux que le miel. Si bien qu’elle ne lui en voulait vraiment jamais de ses allers et venues. Elle était libre. Quelque part, si Louison n’avait pas fermé les frontières, c’est qu’elle y trouvait sûrement quelque chose dans cette relation si unique. Elle y retrouvait de l’amitié, de l’attirance et une dose d’amour. Elle avait là tous les ingrédients qu’un couple devait disposer, mais sans y coller l’étiquette, ce qui rendait les choses davantage piquantes. « T’es pas horrible, juste indécise » Louison n’avait trouvé aucun autre mot pour la qualifier. De toute façon, elle aussi était hésitante sur ses désirs. Elle craignait l’engagement et tout ce que cela entraînait. Elle en avait assez bavé, elle laissait désormais son tour aux autres. « Je vois pas pourquoi on n’en parlerait pas ? C’est ce que tu fais en mon absence alors je veux savoir » Légèrement hautaine, -par protection-, Louison s’était contractée, prête à entendre les prouesses de la belle et splendide Mme Buffet. Parfois, l’entendre lui conter ses péripéties cochonnes l’aidait à remettre de l’ordre dans son esprit brumeux. C’était l’occasion de se souvenir à quel point l’autre pouvait la faire souffrir et qu’il était donc dangereux de vouloir s’en rapprocher. « Pourquoi tu me cacherais la vérité ? De toute manière, j’ai aussi mes aventures, ça ne sert à rien de s’aveugler » La franco-américaine prenait elle aussi du bon temps, histoire de débrancher du quotidien si chiant. C’était humain. Des pulsions à soulager, le temps d’une nuit ou d’une fin de matinée. Tout dépendait de ses humeurs et des proies qu’elles trouvaient. « Sinon il fait super beau. Pas trop de nuages .. Une belle journée qui se profile. » Et ça c’était mieux peut-être ?

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Toi, ma douce Louison. Celle qui fait battre mon cœur un peu plus fort. La seule femme pour qui je serais prête à retourner en Enfer. Toi, qui me laisse libre de mes vas et vient. Toi, qui accepte tout de moi avec une facilité qui me dérange. Toi, que j’aimerais pouvoir comblée et à qui j’aimerais donner ce que tu désires. Seulement, je suis brisée suite à ce qui m’est arrivé. J’ai vu et vécue tellement de choses que je ne suis pas sûre d’en guérir. Je me sens défaillante et je ne comprends toujours pas ce que tu peux me trouver. Je ne suis pas ce qu'il te faut et en même temps je ne t’imagine pas ailleurs qu’avec moi. Égoïste assumée. Je laisse ma main venir replacée l’une de tes mèches de cheveux. Je ne suis pas indécise, j’ai pas envie de te faire du mal, nuances. dis-je en essayant d’être la plus honnête possible. Parce que te sentir contre moi, t’embrasser et t’emmener dans ma chambre c’était assez clair pour moi. J’avais juste peur des conséquences. Et voilà que tu veux aborder le sujet qui fâche directement. Je te fais comprendre que ce n’est pas une bonne idée, mais je n’ai pas vraiment mon mot à dire. Comme d’habitude tu es têtue. Tu veux savoir et comme pour en rajouter une couche tu me dis que tu vois des gens de ton côtés. Ça a le don de me mettre les nerfs à vif, j’aurais préféré ignorer ce détail. Je soupire et lâche agacée. Et bien j’ai enchaîné les conquêtes depuis que je suis arrivée et je prends sacrément bien mon pied. C’est ça que tu voulais entendre. Je me lève  de mon transat et je fais des pas pour tenter de me sortir de la tête ces pensées qui surgissent. Savoir que d’autres t’ont caressé
et fait jouir me donne la nausée. Puis toi tu me parles météo. Je me fiche de la météo,  Lou, combien y en à eu ? Combien je dois en étriper ?
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LE 13 JUILLET • Tu as compris. Elle aimerait être avec toi, être ta reine, la seule et l’unique, mais elle se craint. Elle craint tout le mal qu’elle pourrait te faire en une fraction de seconde. Elle est vénéneuse la belle Enola. Un poison mortel bouillonne en elle. Et pour le voir, pour qu’elle te jette un peu de cette substance brûlante et acide, tu la cherches. Tu cherches ses limites et vlan, ça arrache. Blessure nette et précise. Elle mord de toutes ses dents et tu acceptes. Tant qu’elle prend son pied, tant qu’un peu de bonheur sort de ses conquêtes, tu ne dis rien. Peut-être que vous ne méritez que ça au fond, de vous tourner autour sans réellement vous trouver. Oui, mais un jour, il sera trop tard. Un jour, quelqu’un d’autre viendra dérober un de vos coeurs si passionné. « Ça se compte sur les doigts d’une main, j’ai mis un frein sur les relations qui se terminent au petit matin, je mûris » Tu n’y vois surtout aucun apport, excepté un soulagement rapide de tes pulsions sexuelles les plus primaires. Après ça, tu te retrouves seule comme une conne et ce n’est pas de ça que tu as envie, c’est de quelque chose que tu avais touché du doigt un jour et que l’on t’a sauvagement retiré. Ainsi soit-il. Secrètement, tu croyais encore à l’histoire d’amour qu’on t’avait conté plus jeune. Le prince et la princesse ou bien la princesse et la princesse. Suivant Enola de ton regard glacial, tu fronças tes sourcils et la rejoins pour .. la pousser dans la piscine juste devant vous. Plongeon maladroit exécuté, tu posas fièrement tes mains sur tes hanches « Ça devrait t’aider à y voir plus clair non ? » que tu lanças toute mesquine et fière de ton coup. Quoi ? Tu détestais les discussions sérieuses qui s’éternisaient, ça te mettait mal à l’aise. Terriblement mal à l’aise. « Elle est bonne ? »

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Je suis pas du tout logique lorsqu’il s’agit de toi et j’ai cette peur de te faire souffrir. Je voudrais qu’on soit plus proches l’une de l'autre, mais si ça compliquait tout ? Je déteste me sentir aussi incertaine. Je te retrouve aujourd’hui et au bout de dix minutes je me mets déjà en colère. Je suis insupportable, je ne homogènes même pas pourquoi tu es toujours là. La jalousie m’agace et me terrasse. Je ne sais pas quoi faire d'autres à part écouter en me disant que c’est déjà beaucoup trop. Moi, je ne peux même pas poser la main sur toi. Je le voudrais tant et eux te donne du plaisir. Tu arrives près de moi et je fini dans la piscine. Je ressors ma tête de l’eau et toi tu me fais face fièrement. Je râle parce que tu sais que ça me met en colère de savoir tout ça. Seulement t’as plus envie d’en parler. Je te regarde attentivement, tu es belle. Tu as raison. Je m’approche de toi, tellement proche que nos corps se touchent. Je te regarde dans les yeux, un léger sourire sur les lèvres. La température de l’eau, je m’en fiche royalement Lou.. Je te regarde dans les yeux et j’ai juste envie de goûter à tes lèvres parce que normalement c’est à moi de te donner du plaisir pas a eux.


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Toutes ces histoires t’avaient fait péter un boulon. Enola poussée, tu te fendis la poire sur les margelles et la rejoignis plus gracieusement pour la taquiner. Vos corps à quelques centimètres, tu glissas tes doigts à travers ceux de la blonde et la regardas fixement. Elle était magnifique, mais si complexe. Une énigme bien cryptée. « Alors c’est quoi qui t’intéresse ? » que tu la cherchas pour qu’elle puisse enfin un peu se livrer. En réalité, t’avais pas besoin de ses mots ou de dessin, tu savais très bien qu’une attirance profonde vous reliait. Quelque chose d’indescriptible et de presque impossible. Une malédiction. « Arrête de te prendre la tête » Baissant tes épaules tendues, tu l’encerclas de tes bras et la plaquas tout contre toi. Son corps que tu connaissais que trop bien se moulait à la perfection contre tes formes. Même gabarit, même couleur de cheveux. Deux filles sensiblement similaires et qui donnerait leur vie pour chacune d’elle. Terminant par t’écarter, tu plias tes genoux et disparus sous l’eau pour te rafraîchir intégralement. Fuyant tel un prédateur marin, tu lorgnais ses jambes et la contournas pour mordre dans sa cuisse. Tu sortis ensuite des abysses et sautas dans son dos pour te pendre à elle tel un koala. « Fais moi faire une promenade dans ce magnifique petit lac super chloré »

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J’aime tout chez toi, ta beauté naturelle, ton sourire contagieux,  ta folie et cette manière que tu as de me rendre vivante. On se tourne autours depuis deux ans et je passe encore la plupart de mon temps à réfléchir à la meilleure manière d’être avec toi. Avec les autres, je ne réfléchis pas, je fais et j’improvise. Peut-être que tu as raison, il est sans doute temps pour moi de lâcher prise. Alors, je m’approche de toi et je me pince les lèvres. T’emmener loin d’ici et te donner du plaisir. Je regarde tes prunelles qui m’envoutent encore un peu plus et je te souris. Tu me connais par cœur, lisant en moi comme dans un livre ouvert. Quand tu viens te coller à moi, je sens une douleur monter dans mon bas ventre. Je te désire tant. Je presse ta taille contre moi et louche sur tes lèvres. Finissant à nouveau par fuir ce moment d’intimité naissant, tu choisis l’humour comme moyen de défense. Je lève les yeux aux ciel alors que tu me mords la cuisse. Et si on allait ailleurs plutôt ? Je marche dans l’eau, toi sur mon dos et je m’approche de l’échelle pour quitter la piscine. Sauf si tu ne le souhaites pas.
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