LA RUSSIE : Il faisait beau ce jour-là, il faisait encore chaud les oiseaux chanté, ma mère était en compagnie de mon père quand elle finit par perdre les eaux, ma mère m’avait tellement raconter cette histoire qu’à force je la connaissais par cœur, mon père était panique il ne savait pas quoi faire, et il finit par conduire ma mère à l’hôpital, d’ailleurs elle n’avait pas oublié de me préciser que mon père ce jour-là avait conduit comme un pied, et qu’elle avait même finit par lui foutre une gifle … enfin une parmi les tant d’autres qu’elle avait pu lui mettre pendant les longues heures de l’accouchement. Elle m’avait fait tellement rire en me racontant ça. Durant mon enfance, ce fut carrément le paradis quoi dire de plus, mon père était l’un des plus grands hommes de Russie, il avait du pouvoir, il était riche, ma mère elle était une parfaite femme d’affaire et elle savait y faire, elle dirigeait l’un des plus magazine de Russie, j’étais carrément comblé, même si par moment j’avais beaucoup de mal à comprendre pourquoi mes parents n’étaient pas forcément toujours présent. Je fis mes premiers pas er compagnie de ma nourrisse qui très vite devient comme une seconde mère pour moi, même si elle ne remplaçait la vrai elle m’était très importante, pratiquement plus importante que n’importe qui sur cette terre. A mes trois ans je finis par rentrer une école privé, ou je fis de très belle rencontre comme celui de mon meilleur ami. Je deviens aussi populaire, en même temps ce ne fut pas très difficile vu mes différentes relations. C’est à mes quatre ans que je vis arrivé dans ma vie une petite sœur, et même si elle semblait si mignonne il ne fallait pas se fier aux apparences elle allait bientôt devenir une petite peste ambulante, ce qui ne tarda pas à arriver. Tout semblait être pourtant merveilleux et je n’avais rien d’autre à dire. L’un des plus moments les plus douloureux de ma vie fut lors du divorce de mes parents, qui semblait pourtant une année en arrière si amoureux, je n’avais pas compris pourquoi tout ça. J’avais à ce moment-là douze ans, et ma sœur huit ans. Quand le divorce fut finit ma mère finit par déménager aussi loin qu’elle pouvait de mon tendre père, je ne pouvais me résoudre à abandonner ma vie ici, en Russie, n’y même mon meilleur ami Andrey. Ma mère et ma sœur finirent pas quitter la Russie à mon plus grand regret et c’est Andrey qui finit par me ramasser à la petite cuillère j’étais comme anéanti, moi qui avait toujours vécu comme une petite princesse avec ses proches à côté, mais aujourd’hui tout était fini même si mon père était toujours aussi fortuné.
Petit à petit les années passèrent et tout s’enchaina dans ma vie. Je finis par tomber amoureuse de mon meilleur ami, Andrey, à ce moment-là je devais avoir quinze ans. J’avais appris à vivre sans ma mère et sans ma petite sœur. On était heureux tous les deux, tout était simple avec Andrey, tout semblait aussi si magique. Tous les deux c’était peut-être trop idyllique après tout, et après deux ans de relations on a fini par se séparer en douceur pour pas trop ce faire du mal, pourtant je l’aimais toujours mais c’était trop puissant et je ne voulais pas qu’on se fasse encore plus du mal. Je me rappellerai toujours du moment où il est rentré dans ma chambre ce jour-là, il avait pourtant le sourire aux lèvres.
- Ma chérie, tu vas bien ?
J’avais presque les larmes aux yeux à ce moment-là, il était tellement beau, tellement parfait il méritait mieux j’en été sur.
- Andrey, je veux tout arrêter ! une larme finit par couler alors sur mon visage, j’avais mal.
- Quoi ? Qu’est-ce que tu me racontes la ?
- Je te dis que c’est fini ! J’ai plus envie.
- Tu te fous de ma gueule c’est ça ?
- Non pas du tout ! Je m’en veux, j’ai été heureuse vraiment et je ne veux pas te perdre, mais nous deux c’est plus possible …
- Mais pourquoi tu dis ça ? On s’aime nous deux.
- Je sais qu’on s’aime, je t’aime Andrey, mais c’est devenu trop simple, trop beau et c’est comme ça que mes parents ont fini par se séparer, je ne veux pas qu’on se fasse autant de mal tu comprends ?
- Non je comprends rien Vero ! Lui aussi était ému, je voyais bien que je lui faisais du mal, mais j’avais plus envie de me voiler la face, petit à petit j’arrivais plus à l’aimer comme avant, même si j’avais toujours des sentiments puissant pour lui, je savais très bien que j’en aurais toujours pour cet homme qui avait su être présent à chaque moment de ma vie. Il reprit la parole.
- Mais si tu veux qu’on arrête alors … je ne m’oppose pas. C’est fini.
- Oui.
Il finit par sortir sans bruit. A ce moment-là je m’effondrais qu’est-ce que j’avais fait ? Ma vie n’avait pas de sens sans lui … malheureusement tout avait une fin et celle-ci était la nôtre.
Je croyais qu’en tournant la page avec Andrey je pourrais être libre définitivement, et même si je l’aimais encore, même si j’avais tous ces sentiments en moi et bien il m’avait en quelques sorte dégoûté de l’amour, tout été trop plat, tout ce que je voulais c’était de l’action. Une nuit alors que je rentrais chez moi à pied, Andrey finit par me bloquer il avait beaucoup bu, trop même et j’avais peur de lui, il était différent. J’ai voulu lui échapper, mais je ne pouvais pas il avait bien trop de force, et la quelque chose d’horrible arriva, peut importe ce que je faisais pour me débattre il ne lâchait pas son emprise sur moi, j’étais en pleure, je n’arrivais pas à croire qu’il pouvait faire ça, j’avais mal, il m’embrasser, il était immonde. Quand tout fut fini il me lassa la, ici à moitié nu dans la rue. J’étais paralysé, je n’arrivais même plus à bouger, c’est un passant qui promené son chien qui finit par me retrouver, je finis par être emmener directement à l’hôpital. Mon père fit aussi vite qu’il pouvait pour me rejoindre. A ce moment-là, j’avais plus envie de rien j’étais vidé, et pendant quelques mois un psychologue me suivit avec attention. Une partie de moi était brisé. Plus tard j’appris qu’Andrey avait été emprisonné. Pour moi il pouvait crever, il n’était plus rien.
CAMBRIDGE : Je voulais changer de vie, la Russie ne me convenait plus, je pouvais plus rester ici, et c’est à mes dix-huit ans que je finis par quitter mon pays natale pour rejoindre ma mère en Amérique, j’avais même trouvé ma futur université. Harvard, l’université la plus prestigieuse du monde, elle me convenait parfaitement et très vite mon dossier de candidature fut accepter. Avec ma mère je réappris à vivre même si mon père me manquait, il fallait que passe à autre chose, c’était plus possible là-bas, j’allais finir par suffoquer, j'avais trop de mauvais souvenir en Russie.
Ma nouvelle vie était donc ici, et je comptais bien faire en sorte que cette nouvelle chance soit la bonne pour vivre comme je le voulais, même si tout était toujours compliqué dans un sens.
Bienvenue Harvard, et bienvenue cette nouvelle vie.