Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitylaïwan + on tu iras, j'irais.
-30%
Le deal à ne pas rater :
LEGO Icons 10318 – Le Concorde à 139,99€
139.99 € 198.99 €
Voir le deal


laïwan + on tu iras, j'irais.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Je dois attendre à l’hôtel dans le bungalow que l’on m’a réservé. Je ne peux pas sortir pour le moment parce que je suis pas encore totalement remise de ma chute. Je fais les cent pas à l’intérieur parce que je sais que tu seras bientôt la. Mon regard à la fenêtre et toujours rien. J’en peux plus j’ai l’impression que je vais manquer d’air.  Il faut que je te vois, que je te retrouve. Y a trois jours, nous avons brutalement été séparé et depuis j’ai enchaîné les galères. Je suis pas super belle pour t’accueillir, j’ai un hématomes sur la joue du à une gifle que ma mère m’a mise quelques heures après mon arrivé. Puis y à les coupures sur mes bras, une sur mon front. Le bandage sur mon bras, cachant les points de sutures. Je suis fatiguée et en même temps j’ai toujours pas réalisé tout ce qui m’est arrivé. Je suis perdue et c’est à toi que je veux me raccrocher. Alors j’attends debout à faire les cent pas que tu me rejoignes.

@Iwan Lockhart
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@Laia Duque | téléphone en main, tel une diva, tu prends au moins une cinquantaine de selfie de toi dans le jet privé des duque. non parce que t'as beau être le fils d'un ancien policitien et d'un médecin, ton père a pas encore assez bossé pour s'offrir ce genre d'avion. tiens d'ailleurs, t'envoies quelques selfies de toi dans l'avion à ton père en prenant soin d'écrire ' ce qu'on aurait pu posséder si t'avais pas tout quitté pour la tv. mais tqt j'profite pour vous. la bise.' avec une coupe de champagne en main. tu l'envoies aussi à ta soeur histoire de la faire rager un peu. t'aimes le luxe, c'est pas nouveau. t'aimes te sentir privilégié. qu'on te traites comme un petit prince. être sur le devant de la scène. bref. t'es comme un roi là. appuis plusieurs fois sur la sonnette pour que l'homme s'occupant de ton service t'amènes plusieurs choses. de la bouffe évidemment, des livres, du champagne.. enfin un peu dans l'abus quoi. et t'as même mangé un peu de caviar vers quatre heures de l'après midi. c'était assez cool. mais définitivement pas ton truc le caviar. trop amère, oula. mais c'était cool pour la photo. tu descends enfin du jet, sac sur l'épaule et attends qu'on te conduise jusqu'à l'hôtel. c'est cool parce que t'auras pas à te taper les cabines de la croisière en jamaique. est ce que t'es un peu du genre à profiter de la situation ? ouais. bon biensur, t'es loin d'être un connard jusqu'au bout. tu sais aussi que ta copine est dans en mauvaise posture et ce dont t'as hâte surtout, c'est de la voir. t'assurer qu'elle va mieux que ce que tu penses. wow, l'hôtel de malade. vraiment le luxe. ça fait du bien de couper un peu, parce que les lit des cabines, c'est pas le top. tu frappes à la porte et rentres. tu la découvres dans le bungalow, faisant les cent pas c'est bon, tu peux arrêter de tourner dans tous le sens, j'suis là. sourire léger qui nait sur tes lèvres. rassuré quand même de la voir marcher. puis tu te retournes, et quand tu vois les deux gardes du corps encore derrière toi, tu fronces les sourcils vous pouvez disposer. et les deux hommes partent, en refermant la porte derrière eux. putain, trop de satisfaction. tu te retournes encore une fois vers laïa, l'air fier au visage j'ai toujours rêvé de dire ça. vraiment les deux toutous c'est plus possible là.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

J’ai la sensation que le temps se moque de moi. Une minutes c’est devenue cinq minutes. Je ne sais plus quoi faire pour m’occuper. Je crois que ça fait trois jours que je ne pense qu’a ce moment où l’on pourra se retrouver. J’aurais voulu être plus jolie, mais on fera avec. Je sais que toi, tu n’en feras pas de cas. Ces quelques jours loin de toi et l’état dans lequel çà m’a mise m'ont conforté dans l’idée que je voulais être avec toi. Cette soirée a Cuba était parfaite, dommage qu’elle est si mal tourné. Je continue de faire les cent pas dans la pièce lorsque la porte fini par s’ouvrir, un large sourire sur les lèvres à présent : J’ai cru que tu n’arriverais jamais dis-je en me pinçant la lèvre doucement. Bien sûr je suis encore face à ses deux armoires à glace qui ne m’ont pas quitté depuis mon départ. Je suis amusée de te voire les chasser gentiment. Il faut qu’on s’en débarrasse très vite. Je fini par m’approche de toi et je viens déposer ma main sur ta joue pour glisser mes lèvres sur les tiennes tendrement. Ça m’a tellement manqué. Je savoure quelques instants avant de me séparer de tes lèvres. Je suis contente de te voire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@Laia Duque | t'es quand même pas mal rassuré de la voir comme ça. çane fait que quelques semaines que vous êtes ensemble et pourtant t'es déjà attaché à elle. aucunement envie qu'il lui arrive du mal. mais qu'elle s'inquiète pas, tant que sa mère restera loin d'elle et que toi, tu seras à ses côtés, il lui arriva plus rien. elle a beau être blessée, fatiguée, un peu cernée, elle n'en reste pas moins belle. vraiment, elle est toujours aussi magnifique. tu t'avances vers elle et une fois à quelques centimètres de son visage, tu baisses le regard, regardant son corps en grimaçant un peu j'ai trop envie de te prendre dans mes bras, mais j'ai pas envie de te faire mal. ses lèvres qui se déposent sur les tiennes, doucement et ta main qui vient se poser derrière sa nuque, toujours en évitant que vos corps se touchent. pourtant c'est pas l'envie qui t'en manques tu t'sens comment ? que tu dis tout en lâchant ton sac à terre pour passer ta deuxième main sur une des mèches qui pendouille devant son visage pour la remettre en place.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Je suis enfin avec toi, tu as fais le voyage pour me rejoindre et tu ne peux pas savoir combien ça me touche. Ce que j'ai éprouvé loin de toi, je n'aurais pas cru ça possible et pourtant. Ce vide qui vient d'être comblé par ta seule présence. Quand tu es auprès de moi, je me sens en sécurité. Plus rien ne peut m'arriver. Je m'approche de toi et je ressens ce besoin de t'embrasser. Baiser très tendre. Je souris à tes mots et je viens glisser mes bras autours de ton cou pour me coller à toi. Le besoin de te sentir contre moi, est bien plus fort que la douleur. Je suis bien amochée, mais ça aurait pu être pire. La douleur la plus vivace, c'est celle des événements de ces derniers jours. Je suis restée forte et je n'ai jamais craqué. Je viens coller mon front contre le tien en me pinçant les lèvres. Je tiens le coup,  mais ça va aller maintenant que tu es là. Je me suis passée en boucle nos moments passés ensemble pour tenir le coup. Je suis bien trop attachée à toi désormais.


@Iwan Lockhart
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@Laia Duque | c'est pas compliqué. depuis que t'as su pour sa mère, t'as eu ce besoin de la protéger. tu sais tellement ce que c'est d'être dans son cas puisse que toi aussi tu l'as vécu des années, avant que tu prennes la décision de ne plus être celui qui prend les coups sans les redonner. ce n'est pas son cas à elle et rien que pour ça, tu te dois de l'épauler et d'être là pour elle. si seulement elle serait prête à prendre la même décision que tu as prise il y a des années en arrière, tu serais beaucoup plus serein à la laisser seule avec sa famille. sa mère du moins. là c'est pas le cas. pourtant, malgré l'envie de la protéger, entre vous c'est tout récent. t'as pas envie de trop t'imposer, de brûler les étapes. pour l'instant, c'est à son frère ou son père de s'occuper de sa protection là bas. hors, apparemment aucun des deux n'a été capable de ça. c'est donc une laïa toute cabossée que tu retrouves en Jamaïque. bref. t'évites de trop te torturer l'esprit. maintenant, tu es là et tu la protégera autant que tu peux. tu viens placer tes mains sur ses bras, les caressant tendrement pour éviter d'appuyer sur ses blessures. venant enrouler ses bras autour de ton cou, elle vient se blottir un peu plus contre toi. tu prends toujours soin de ne pas lui faire mal. ses blessures sont encore bien trop récentes. vraiment, qu'on te mette pas sa mère devant toi, tu serais vraiment capable de la coller contre le mur et de lui faire passer l'envie de recommencer. son front qui vient se coller au tien, tu fronces les sourcils, l'air inquiet puis soupires en reculant vraiment tu devrais éviter de revoir ta mère d'acc ? même porter plainte, j'sais pas.. mais elle peut pas s'en sortir comme ça. t'aurais pu avoir un bout verre mal placé.. ça aurait pu être pire. tu trouves qu'elle prend ça trop à la légère pour le coup.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Je crois que ça fait trop longtemps que je fais comme si c’était pas important. Je crois même que j’ai fini par trouver ça normal. Une habitude dans une famille bancale. Ça fait partie de mon quotidien et je me suis fermée. Ce sont mes amis qui m’ont appris à ressentir à nouveau des choses. Seulement ça, c’est trop difficile. Tu t’éloignes de moi, tu recules et je vois sur ton visage que tu ne me comprends pas. Je suppose que c’est parce que toi tu as réussi à te défendre et à reprendre le dessus. Moi, j’ai choisi de fermer les yeux et de laisser faire et me voilà dans cet état. Seulement, si je m’autorise une seule seconde à penser à tout ce qui vient de se passer, ça deviendra réel. Je ne suis pas sûre de pouvoir le supporter. Je ne vais pas rentrer avant un long moment rassure toi. Ma mère est la dernière personne que je veux voire. Je baisse la tête quelques instants. J’ai pas envie de craquer maintenant, le pire je ne veux pas y penser. Je sais que tu as eu peur et en même temps ça me pousse à réaliser l’impact de ce qu’elle a fait. Je me mord fortement la lèvre pour retenir le flot de larmes qui me menacent. Je suis plus forte que ça, j’ai toujours su encaisser alors pourquoi arrêter maintenant ? Je suis désolé que tu ais dû vivre ça, Iwan. que je lâche la voix tremblante. On a vu mieux comme début de romance.

@Iwan Lockhart
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@Laia Duque | t'es inquiet pour elle. inquiet que sa mère puisse à nouveau s'approcher d'elle et la traiter, encore une fois, comme une sous merde heureusement que c'est la dernière personne que t'as envie de voir. que tu lâches en arquant un sourcil. pourtant, cette fois, t'es très mal placé pour lui faire la morale ou quoi. parce que toi, ton père, malgré les coups, t'es toujours retourné vers lui. incapable de vraiment lui tourner le dos. même si en ce moment, moins tu le vois mieux tu te portes à cause de son changement de profession; le fait qu'il fasse n'importe quoi avec son physique, bref, au delà de ça, il reste celui que t'admires le plus. et rien que ça c'est tellement malsain. mais au fond, tu te dis que c'est pas pareil. t'es un mec, c'est une fille et pourtant ça semble être équitable puisse qu'elle reçoit des coups venant d'une femme et non d'un homme. heureusement d'ailleurs. son état physique ne serait surement pas pareil. puis, voyant qu'elle est à deux doigts de pleurer, tu plisses le regard en te rapprochant d'elle, un peu plus jusqu'à venir prendre son visage entre tes paumes, le regard plus doux et rassurant hey, t'as le droit de craquer. te retiens pas, si t'en ressens le besoin. t'es avec moi là, donc rien ne t'en empêches. captant son regard, voix douce et apaisante. vraiment, qu'elle ne se retienne pas devant toi. d'ailleurs, elle ne devrait se retenir devant personne. elle a le droit de craquer, ça ne peut que lui faire du bien.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Peut-être que ça aurait été différent, si il n’avait pas été question de ma mère. Dure de réaliser que la personne qui vous hait le plus dans ce monde est celle qui vous a donné la vie. Je me suis longtemps dit qu’elle devait avoir ce droit de souffrance sur moi, après tout elle m’a élevé, mise au monde alors elle a tout les droits. Faux. Je l’ai compris bien plus tard. Je sais que tu connais ma souffrance, la douleur des coups et ce vide qu’on ressent juste après. Je crois que c’est ce qui nous a sans doute liés plus vite que les autres. Aujourd’hui, tu me demandes de réaliser la gravité de ces actes et y a une prise de conscience qui se fait. Je regarde mes bras, je sens les larmes qui embrument ma vision. Puis, tu fais tomber le dernier bouclier de protection. Mes yeux ancré dans les tiens, tes mains sur mes joues et ces mots que tu prononces suffisent. Soudain, je sens un poids me quitter. Je pleure, je laisse sortir la peur de ces derniers jours et la colère de voire ma propre mère me faire du mal. J’ai eu tellement peur. Je viens me blottir contre toi, mes bras qui s’enroulent autour de ta taille. Je m’accroche à toi, je me fiche de la douleur j’ai juste besoin de toi.

@Iwan Lockhart
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@Laia Duque | t'es pas le genre à craquer. encore moins te mettre à nu devant les gens. exprimer tes sentiments, quels qu'ils soient, c'est compliqué pour toi. c'est pas du tout dans ton caractère, alors évidemment, tu peux comprendre qu'elle ait du mal à se laisser aller. mais si elle ne le fait pas avec toi, avec qui est ce qu'elle pourrait le faire ? on a tous une personne qui nous aide à extérioriser. toi, la seule personne qui t'as vu craquer c'est ta soeur. alors ouais, t'es un dramaking, toujours à en faire des caisses, mais évidemment, tu te plains jamais sur les sujets qui te touchent réellement. les sujets les plus importants. parfois, c'est dur. t'aimerais craquer plus souvent. parce que ça fait du bien et c'est pour cette raison que t'as envie qu'elle lâche prise. tout ce qui se passe ici, restera ici. et plus tu lui parles, plus tu lui montres qu'elle peut te faire confiance en tout point, plus elle dépose les armes. peu à peu, elle laisse la pression s'échapper et fond en larmes. tu viens l'étreindre doucement, évitant de lui faire mal. étreinte qui dure quelques instants. tu te décolles doucement d'elle, prends son visage entre tes mains et viens l'embrasser j'comprends. mais t'inquiètes. t'es là et elle pourra plus s'approcher de toi. évidemment tu sais qu'il n'y a pas que ça. il y a aussi les problèmes avec son père tu veux te reposer un peu ? que tu dis tout en retirant ton tee-shirt et ton pantalon en lui montrant le lit derrière vous je reste avec toi, t'inquiètes. tu t'approches d'elle de nouveau, puis essuies sa joue pour effacer ses larmes.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)