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Read & Calvin # Méfiance et rivalité ?

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Entre méfiance et rivalité ?


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La famille parfaite ! On se serait cru dans sept à la maison, sauf que là, ça serait douze à la maison. Je me contentais de lui sourire, bien que le fait d’avoir un père pasteur ait le don de m’intriguer. « Ce n’est pas trop dur d’avoir un père pasteur ? Il doit être apprécié de tous ? » En Russie, c’était complot, hypocrisie et parfois on se trouvait de vraies alliés. Il me demandait si trop de responsabilité ce n’était pas énervant. « C’est un peu comme avoir douze frère et sœurs sauf que là tu dirige plus d’une quarantaine d’employés. Ce n’est pas toujours facile et il faut savoir prendre les bonnes discisions pour ne pas nuire à l’entreprise. Il y en a chez qui c’est innée contrairement à d’autre, mais quand on aime ce que l’on fait on se passe des petits détails. » J’aimais sans vraiment aimer ce que je faisais. Puis, avoir ce travail me permettais de remplir mes obligations familiale et tout le monde était content. Autrement dit, mon métier de professeur était considéré comme un loisir comparer au vrai travail que je devais fournir. Il voulait ne voulait pas de mon aide et très franchement cela m’arrangeait. Je n’avais pas envie de nettoyer le sang qui se trouvait dans l’ambulance comme il me le faisait remarquer. « Un patient gravement blessé à ce que je vois. Il s’en est sortie ? » Puis, il se livrait à moi et me disait pourquoi il aimait se métier et ce qu’il me disait était touchant. Read avait raison. « C’est vrai. Chaque instant compte, mais trop de personnes oublient ce détail si important. » J’avais du mal à le cerner. Dans ma vision des choses je le voyais comme quelqu’un d’énervant. Allez savoir pourquoi ! La vérité était encore plus énervante, car c’était un bon gas. J’étais rassuré que Viky soit avec un homme comme lui, mais j’aurais préféré qu’il soit mauvais. Pourquoi ? Je ne sais pas.
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Parler de sa famille, Read n'aurait jamais cru le faire avec un inconnu. Mais bon, si Viki faisait confiance à ce type, c'est bien qu'il devait y avoir une bonne raison. Même si pour le moment, Read n'était pas non plus enclin à trop l'apprécier... mais notre jeune secouriste aimait tout le monde à l'origine, et ce n'était que les événements qui pouvaient le faire changer d'avis. Et il fallait vraiment se lever tôt pour devenir un ennemi à ses yeux. On ne lui avait jamais vraiment appris à détester. C'était peut-être un défaut de sa personnalité d'ailleurs.
« Oh oui, tout le monde l'aime, c'est un homme sage. Je suis très fier d'avoir un père comme lui. J'aurais pu suivre sa trace en fait, et entrer au séminaire. » répondit Read à la question du professeur de russe. En effet, il avait toujours été fier de sa famille, quoi qui se soit passé. Il écouta ensuite attentivement la réponse qu'on lui donnait, hochant la tête. « Certainement. Et vous aimez ce que vous faites alors ? » demanda-t-il. De plus en plus curieux, voilà comment on pouvait le définir en ce moment. En même temps, les deux hommes ne se connaissaient pas le moins du monde, alors il fallait commencer par les bases. Read avait de plus l'impression que Calvin avait des suspicions à son sujet, ce qui le gênait un peu à vrai dire.
Enfin l'ambulancier s'attela à la tâche en commençant par nettoyer le sang présent dans son véhicule. « Ca devrait aller, ce n'était rien de si grave. Y en a qui ont moins de chance. » dit-il en réponse à la question d Calvin à propos du dernier patient ramené aux urgences. « Et oui, les gens oublient trop souvent que le bonheur est à leur portée. » Il sourit encore une fois à l'attention de l'homme au dehors, avant de changer de lavette et de poursuivre son travail dans le silence. Lorsqu'il eut terminé, il s'adressa de nouveau au professeur. « Si vous voulez, on peut aller prendre un verre... Ce sera plus sympa que de rester sur le parking des ambulances de l'hôpital... » formula-t-il. Une gentil invitation, polie. Il aurait le loisir de repasser à la caserne ôter son uniforme de secouriste plus tard.
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