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Jelena (4)
Last weekend you stayed at home, alone and lonely
, couldn't find your man, he was chillin' with his homies, this weekend you goin' out...
, couldn't find your man, he was chillin' with his homies, this weekend you goin' out...
Il avait l’air fatigué et ça te fondait le cœur de le voir dans un sale état…Moi oui…mais toi ... t'as oublié ton costume d'infirmière ! Tu rigolais, ton rire donnait une toute autre ambiance dans cette chambre morose, ton rire lui donnait presque des couleurs et elle se mouvementait à cause de toute ta petite énergie…Hm,…mais je portes le costume d’une sdf …disais-tu en faisant référence à ta chemise, tu remarquais qu’il y avait une tâche dessus, mais tu n’allais pas faire ta chochotte n’en plus….Ca te va ? Il est vrai que la plupart des habits que tu portais étaient très chère, oui tellement qu’il avait fallu quelques secondes à ton agresseur pour détacher tes bretelles. J’espère que cette tâche bizarre n'est pas …argh, c'est QUOI CA ! disais tu en désignant la chose bizarre que tu n’avais pas remarqué,…j’espère que cela m’empêchera pas de jouer l’infirmière…Il aura plus une grande chance de se faire infecté par on-ne-sait-quel-bactérie.
...Avoue que c'est tentant, disais-tu en te mettant au-dessus de lui, tes deux mains contre son oreiller, ...je pourrais jouer à l'infirmière sdf et toi...au patient malade sans papier...même si t'en ai un peu obligé, tu rigolais de plus belle.
Tu descendis du lit pour enlever la chemise en question, c’était un pur tue-l’amour. Et tu regarda autour de toi pour trouver quelque chose à mettre, enfila par-dessus ses sous-vêtements une énorme serviette qui était déposé sur une petite étagère. Et tu vins te coucher à côté de lui, tu te sentais mieux comme ça à ses côtés…C’est dommage, disais-tu en tournant ton regard en sa direction parce que si tu n’avais pas mal…tu fis marcher deux doigts sur son torse…on aurait pu vraiment y jouer...lui chuchotais-tu tout doucement en l’embrassant la joue. Tu avais l’impression que tu te sentirais prête à sauter le pas, c’est idiot. Peut-être parce que tu avais l’impression que tes sentiments s’affirmaient, mais te connaissant le lendemain tu l’aurais peut-être regretter, en fait, tu attendais encore et encore parce que tu voulais t’assurer qu’il s’agissait du ‘bon’ et que tu n’étais pas qu’un coup qu’il oublierait des semaines plus tard. Mais, cette peur que tu avais eu, c’est parce que tu te rendais compte combien de fois, tu voulais que ça soit lui et pas un autre. En y pensant tu le regardais un peu perdue tandis qu’il te caressait la main avec son pouce. Sérieusement, ça va. C'est juste les médocs ... Tu te recouchais, cette fois en regardant le plafond…Comment tu te sens toi ?...Bien…disais-tu comme pour éviter la conversation… Il s'est passé ... un truc ? Tu le regardais encore une fois. Non, il ne s’est rien passé, t’es arrivé à temps disais-tu en riant,…personne ne s’était jamais inquiéter pour toi mis-à-part Marshall, personne d’autre sauf lui. Un mather qui se souciait de la p’tit gosse de riche que t’étais, ça te faisait mal…et ça te faisait du bien…
En faite, si tu te retrouvais toujours dans ce genre de situation, c’était plus pour attirer l’attention de ton père. Lui dire que ‘ouai’ t’étais là, que t’étais malheureuse avec les choix qu’il t’imposait…merci disais-tu les larmes aux yeux, …c’est-c’est que pour la première fois de ma vie, j’me rend compte que j’peux me faire du mal, me détruire…si je continues à faire des conneries…Mais, tout ça s’était à cause de ton père, tu essuyais tes larmes, tu faisais cela parce que tu n’avais plus peur de rien, tu avais tellement été dégouttée par la vie, alors pour toi c’était amusant de croire aux choses romantiques, comme l’amour. Tu n’avais plus peur de rien, alors aller toute seule en discothèque, ça ne te faisait plus rien, t’étais mineur, et alors ?...Tu n’avais plus trop la notion du temps, surtout depuis la mort de Sol, depuis le presque suicide de Lara. Fallait que tu souffles…si j’me mets dans des embrouilles, c’est plus pour que mon père comprenne qu’il doit me laisser respirer et que…Fin, c’est idiot je sais pas pourquoi je te dis ça...ta voix tremblait, tu étais là pour Jeno, pas pour ton cas. Alors, tu fermais tes yeux tout doucement.
credit to Kaiji on I love Harvard™
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