Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHidden truths are unspoken lies || ft Edie
Le Deal du moment : -25%
-25% Samsung Odyssey G9 G95C – Ecran PC Gamer ...
Voir le deal
599 €


Hidden truths are unspoken lies || ft Edie

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Vendredi 4 Juin

J’avais longtemps repoussé ce moment. De longues semaines pendant lesquelles j’avais gardé ce secret pour moi, à l’exception d’une seule personne. Et aujourd’hui, il était temps de mettre une seconde personne dans la confidence. Elle aurait d’ailleurs du être la première, mais avant cela, j’avais eut besoin d’éclaircir des choses avec moi-même, dans ma tête, dans mon coeur. J’avais eut besoin de réfléchir par moi-même, à ce que j’avais fait, pourquoi, et comment je comptais vivre désormais, en ayant conscience du pêché que j’avais commis. Des questions auxquelles je n’avais pas toutes les réponses, mais qui sait, peut-être que Edie pourrait m’aider à les trouver. Elle avait toujours eut cette capacité à me montrer le chemin, et toujours avec cette douceur qui manquait un peu trop à ma vie. Un petit peu en retard - comme à ma grande habitude - je presse le pas pour la rejoindre le plus rapidement possible, le long des plages, comme prévu. J’avais tout simplement espoir que le paysage m’aiderait à m’apaiser au moment où certains mots devraient sortir. La seule femme dans mon champs de vision, je presse encore un peu le pas jusqu’à m’arrêter à sa hauteur et la prendre dans mes bras. « Merci d’être venue Edie ! » Bien sur, je n’avais jamais pensé qu’elle puisse ne pas venir, mais ça restait un plaisir pour moi que de la voir, qu’importe ce que je traversais.


@Edie Reuben Hidden truths are unspoken lies || ft Edie 2511619667  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Le trafic routier manquait toujours de fluidité, surtout entre midi et deux, mais tu avais l'habitude depuis que tu vivais dans cet arrondissement de Boston. Tu avais réussi à t'arranger pour laisser Louise en compagnie de ton frère afin qu'il puisse la ramener à l'école pour l'après-midi. Grâce à cela, tu pouvais te rendre directement rejoindre ton meilleur ami non loin des bords de plage où vous vous retrouviez souvent. Un lieu à la fois apaisant et dépaysant, agréable pour une discussion ou encore pour se restaurer au calme de la nature des bruissements marins de l'océan. Les deux mains sur le volant, tu passes la vitesse supérieure tout en étant prudente vis à vis de ta blessure a l'avant bras qui tiraillait encore un peu. Arrivé à destination, tu laisses ton véhicule sur le parking tout en enfilant ta veste en coton à capuche car tu frissonnes un peu alors qu'au dehors le soleil tape de bon cœur. Seulement, tu avais pris une douche au boulot car sentir les mammifères marins n'avait rien d'effluves agréables – quand bien même tu adorais tes loutres. Tout en marchant sur le lieu où tu devais rejoindre ton camarade, tu réajustes la fermeture de ta veste, puis la lanière de ton sac à bandoulière sur ton épule avant de t'asseoir sur l'un des bancs qui borde la rive de l’océan. A peine cinq minutes plus tard, tu te lèves en apercevant Gael juste à ta hauteur alors qu'il te serre dans ses bras tout en te remerciant d'être présente. Tu secoues la tête, lui rendant son étreinte puis tu recules quelques peu les deux mains sur ses épaules. « Tu as besoin de moi, je suis là. ». Tu le considères d'un franc sourire avant de croiser les bras contre ta poitrine et de poursuivre. « J'espère que tu as faim, parce que j'y ai pensé moi. ». Après tout tu étais gourmande, ton entourage le savait parfaitement.
@Gael J. Dinkley
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C’est un véritable plaisir que de voir Edie malgré les difficultés émotionnelles que je traverse ces derniers temps. J’étais perdu, inquiet de ce que j’éprouvais depuis désormais plusieurs semaines. J’avais pensé pouvoir gérer ça seul, par moi-même, en prenant le temps de la rélfexion, mais finalement, j’avais l’impression de m’être plus embrouillé qu’autre chose. J’avais besoin de démêler tout ça, en discutant avec quelqu’un de confiance, quelqu’un avec qui je me sentais à l’aise, qu’importe la gravité de ce que j’avais à dire. Le fait que ce quelqu’un doive être Edie avait été une évidence. Je ne savais pas si elle allait vraiment comprendre le pourquoi du comment, mais je savais qu’elle ne me rejetterait pas, et c’est ce dont j’avais besoin. De quelqu’un qui resterait près de moi, même en sachant l’horrible geste que j’avais commis.

Je relache mon étreinte, la regarde affichée un franc sourire qui ravive mon coeur. Elle était un vrai soleil, en plus d’être la personne la plus attentionnée que je connaisse. « Tu penses toujours à tout, c’est incroyable. » Même si je n’étais pas certain de pouvoir avaler quoique ce soit au vue de la discussion que j’allais devoir mener, et qui risquait de me tordre un peu l’estomac. « Est ce que ça te dis qu’on s’installe dans le sable pour discuter ? Et puis comme ça, ça donnera presque un petit côté pique nique à notre rendez vous. » Et plus je serais près de l’eau, plus je me sentirais apaisé.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

tu esquisses un sourire amusé lorsque ton meilleur ami mentionne que tu penses à tout – toujours. Il faut dire que tu as le sens d'organisation de nature mais encore plus depuis la venue au monde ta petite fille de bientôt quatre années. « Tu oublies qu'il s'agit de nourriture, c'est important. ». Réponds-tu en redoublant d'un sourire massif et moqueur à la fois. Loin des régimes ou pas, la gourmandise est un pêché que tu revendiques sous bien des aspects, après il faut de tout pour faire un monde. Tu lui montres alors les deux sacs de menus asiatiques que tu étais passé chercher au centre-ville avant de lui en tendre un et de t’asseoir sur le banc qu'il occupé. Néanmoins, tu ne peux t'empêcher de remarquer le léger mal aise qui entoure Gael à ce moment là. Tu hoches vivement la tête à sa demande car c'était une excellente idée et le bruissement des vagues t'a toujours été apaisant. Tu te relèves tout en prenant les deux sacs puis vous vous installer dans le sable comme autrefois lorsque vous étiez des gamins. « Si tu commençais par me dire ce qui ne va pas ? ». lui dis-tu tout en remontant tes genoux contre ta poitrine, entièrement à son écoute.
@Gael J. Dinkley
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je ne peux m’empêcher de rire légèrement à sa remarque. La gourmandise de la londonienne n’avait rien d’une surprise, ni pour moi, ni pour personne, tant elle savait l’assumer. J’aurais dû m'en douter d’ailleurs, qu’elle ne serait pas venue les mains vides. Je jette un rapide coup d'œil à l’intérieur du sac qu’elle me tend, reconnaissant des emballages qui me laissent penser à de la cuisine asiatique. Je suis tenté de le vérifier en soulevant un couvercle, mais je ne veux pas paraître impoli, alors je me retiens, jusqu’à ce qu’on s’installe. Ce que je propose de faire, dans le sable, directement. Ce n’était peut-être pas la meilleure idée pour certains, mais j’en avais fais de nombreux, des pique-nique dans le sable, et si on faisait attention, alors on ne risquait pas d’en manger. Edie partante pour me suivre on part s’installer sur les bancs dorés, à une distance raisonnable de l’eau pour ne pas se faire surprendre par une vague plus importante que les autres ou l’écume. Les sacs entre nous, je croise les jambes en tailleur, alors que la jeune femme, elle les ramène près de son corps, ses yeux rivés sur moi, attendant des réponses que je pensais pas forcement abordé de suite. « Euh… Je. Euh. » Je bégaye un peu, l’angoisse me nouant la gorge, me tordant l’estomac. Je me sens mal, parce que je sais que j’ai fais une connerie. Et en même temps, je n’ai pas l’impression de suffisamment culpabiliser sur le sujet. « J’ai trompé Dahlia… » Je parle d’une toute petite voix, honteuse, parce que je sais que c’est mal, parce que j’ai peur que ça réveille de mauvais souvenirs chez mon amie. « … Avec un homme. » Ce qui, me donnait encore plus l’impression d’être un monstre, d’autant plus que je savais que ma religion n’approuvait pas ce genre de comportement. Ce que Dieu m’avait sûrement fait payer ces dernières semaines.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Les genoux relevés contre ta poitrine, les prunelles rivées sur le visage de ton meilleur ami, tu prends bien conscience que celui ci est quelque peu hésitant à l'idée de prendre la parole. Gael a toujours été particulièrement calme de nature, fidèle à son engagement et ses émotions intérieures. Le mal aise est cependant ce qui prédomine intérieurement chez lui, du moins à ce moment précis. Tu arques un sourcil lorsqu'il énonce qu'il a trompé Dahlia. Sa relation avec cette dernière était quelque peu nocive mais quoi qu'il arrive, tu as toujours soutenu ton meilleur ami – cela va de soit bien évidement. Néanmoins, tu avoues que tu ne t'attendais pas réellement à ce que ce soit lui-même qui trompe sa petite amie. Son timbre de voix se pare d'un voile de honte, d'une culpabilité qui semble le ronger alors qu'il poursuit en t'annonçant qu'il a commis sa tromperie avec un homme. En deux temps, Gael venait de t'exposer ce qui le travailler depuis quelques jours mais surtout une réalité qui allait à l'encontre de la personne qu'il était que cela soit par son humanité ou par sa confession religieuse. Le bruissement des vagues devient une mélodie d'ambiance une fraction de secondes alors que tu viens poser ta main sur celle de ton meilleur ami. « J'ai une petit déjà de ce qui te trotte en tête Gael, mais la première chose que je veux te dire c'est que suis là, okay ? ». Ta voix est douce, sereine. Tu tenais à lui rappeler que cela ne changeait strictement rien à votre amitié. « Ensuite je sais que tu te ronges les sangs pour avoir ce que tu as fait, mais ce qui est fait est fait, pas vrai ? ».
@Gael J. Dinkley
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Ca me déchire intérieurement de devoir prononcer ces mots, de devoir y faire face. Si certains pouvaient vivre la conscience tranquille en ayant commis les mêmes faits, c’était loin d’être mon cas. Je me sentais sale, monstrueux et coupable. Qu’importe les difficultés que l’on traversait Dahlia et moi, ça n’aurait pas dû arriver. Ce n’était pas ma vision de l’amour, ni du couple. Ce n’était pas une façon de résoudre les problèmes, et pourtant, j’y avais succombé. A cette insouciance, encouragée par des mots doux, de beaux sourires et quelques verres d'alcool. A ces contacts, délicats et chaleureux, loin très loin de ceux que l’on échangeait avec ma petite-amie. Cette soirée avait remis l’accent sur cette complicité que j’avais perdu avec celle qui partageait ma vie depuis des années, et sur l’absence de passion entre nous. En tout cas, dans mon cœur, il n’y avait aucun doute que le feu s’était éteint. Et c’était sûrement ce qui me rongeait le plus. D’avoir conscience que tout mon couple n’était désormais régi que par la routine et de vieilles habitudes, dont il était difficile de se séparer car elles me ramenaient à une époque plus douce, plus insouciante.

Ma main serre celle de la jeune anglaise sans lui faire mal. « Je sais… » Les émotions se mélangent et j’ai peur du dénouement de cette conversation alors qu’elle n’a même pas encore réellement débuté. Mais je ne pouvais plus garder ça pour moi, je ne pouvais plus le ruminer à longueur de journée, et faire comme si tout allait bien alors que je me sentais au plus mal. « Oui mais… Je n’arrive pas à vivre avec ça. Je ne sais pas mentir et… Je ne veux pas mentir…. » Ca peut paraître difficile à croire alors que cela faisait des mois que je masquais les violences de mon quotidien de façon plus ou moins réussi, mais caché une vérité et mentir, ce n’était pas la même chose. Pas pour moi. « Et puis, j’ai peur que ça commence à trop se voir, la façon dont… Dont je regarde les hommes… » C’était l’autre partie du problème, ce plaisir nouveau que j’avais découvert et apprécié, et qui avait attisé ma curiosité bien plus que de raison.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Sa main qui serre la tienne, te rappelle ces nombreuses fois où vous vous êtes mutuellement soutenus. Une amitié qui n'a jamais cessé d'être hier et encore aujourd'hui. Tu exerces une petite pression pour lui dire silencieusement encore une fois que tout va bien. La surprise est de mise car tu sais combien ton meilleur ami est quelqu'un d'entier et de fidèle en amour – il suffit de voir sa relation avec Dahlia. Pour cette dernière, il était prêt à faire de nombreuses concessions qui à la faire passer en premier elle et ce à son propre détriment personnel. Le jugement n'a jamais été dans tes cordes, tu essaies d'être ce mouvement de tolérance qui tend à disparaître. Tu entends ses mots qui ne sont que le reflet propre de ses maux intérieurs. Sensation de mal être et d'être un monstre – même si tu trouves que le mot est lourd. « Te connaissant je m'en doute bien … mais Gael, tu en parles et c'est déjà un pas de fait et peut être que la prochaine étape c'est de lui dire ... a moins que tu aspires à poursuivre votre histoire ? ». Et oui la demeurait la complexité des sentiments de cœur. Et c'est pour cela que depuis ton histoire avec Elias, tu préférais resté maman célibataire. Tu étais heureuse de le voir en couple avec Poppy mais quand bien même une amertume persiste malgré tout mais tu le gardes pour toi, comme toujours. « Tu sais, ton regard ne change pas tant que cela. Bien évidement c'est tout nouveau pour toi mais tu apprivoiseras cela avec le temps. Ne te mets pas la pression, c'est comme ça que l'on fait fausse route bien souvent. ». Lui dis-tu tout en le considérant d'un clin d’œil complice.
@Gael J. Dinkley
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le coeur au bord des lèvres, j’ai honte d’évoquer cette erreur. Mon erreur. Et plus encore, j’ai peur de devoir y faire face. Alors que pourtant, en discuter avec Edie est loin d’être la partie la plus difficile. Elle avait toujours été d’un soutien sans faille avec moi, toujours bienveillante. Elle était de ces personnes qui vous tire vers le haut, même quand tout allait mal. Et à son contact, j’ai envie d’être cette personne meilleure que celle que je suis aujourd’hui. Mais je ne sais pas comment vivre sans culpabilité et sans peur depuis que j’ai commis l’irréparable. Les options ne sont pourtant pas nombreuses, limitées. Seulement, elles m’effrayaient toutes. Celle évoquée par mon amie me fait relever la tête, les larmes aux yeux. « Mais ça voudrait dire… R..Rompre ? » Le mot me serre la gorge. Si je lui disais la vérité, elle ne me le pardonnerait jamais. Je le savais, il y avait déjà tant de choses pour lesquelles elle me tenait pour responsable, et cette fois, je n’avais aucune excuse. Aucune autre que de me sentir mal dans notre couple. Et ne rien dire continuerait d’accentuer ce mal être qui me rongeait déjà tant. Je passe mes mains sur mon visage avant de repousser mes cheveux en arrière alors que je baisse la tête, laissant tomber quelques larmes sur mes cuisses. Je me sentais piégé, sachant pertinemment qu’un drame finirait par faire son apparition dans un cas comme dans l’autre. « Je… J’ai peur Edie… » De Dahlia, de me retrouver seul, de prendre la mauvaise décision. Que ce soit concernant mon couple, ou ces nouvelles choses que je ressens et que je ne sais pas comment apprivoiser. « Je ne sais pas comment… Comment faire les choses… Je ne veux pas la blesser. Mais… Mais je crois que ce n’est plus de l’amour que je ressens pour elle. » De l’attachement, certainement pour toujours après tout ce qu’on avait partagé ensemble. Mais la passion, elle, avait disparu.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

L'idée de la rupture est un point de non retour pour Gael. Ce dernier a toujours été on ne peut plus entier dans ses relations qu'elles soient amicales, familiales ou encore amoureuses. Sa relation avec Dahlia s'est toujours dépeinte autour de hauts et de bas, comme toute relation, mais tu as été témoin de nombreuses injustices venant de la part de la jeune femme. L'idée de rompre bouleverse ses repaires, ses constantes de sécurité si on peut le dire ainsi. Son regard est perdu, à l'aube des larmes qui ne demandent qu'à couler le long de ses joues. Au bout de quelques minutes, tu vois déjà que son esprit est emplit d'un flot continue de pensées qui l'assaillent de toute part. Les larmes qu'il contenait jusque là finissent pas couler et ses paroles te chamboulent de l'intérieur quand bien même tu n'en montres rien car tu te dois d'être forte pour lui. Tu passes une main dans son dos pour tenter de l'apaiser. « Tu n'as pas à avoir peur Gael. ». Lui dis-tu tout en tentant de capter son regard qui semble vagabonder sous l'éloge de la culpabilité. « Tu ne seras pas tout seul, ça je peux te le promettre et c'est normal que tu es du doute, de la crainte face à ce que tu as découvert mais avec le temps ça finira par passer. Je crois que pour avoir davantage confiance en toi, tu dois accepter à ton rythme ce que tu éprouves. ». Ton intonation de voix est tempéré de tolérance et de confiance parce que tu connais  assez ton meilleur ami pour savoir qu'il a la force en lui pour surmonter cette épreuve. Il se sous-estime souvent mais il est en demeure capable. Sa dernière réplique quand à elle énonce une véracité dont il prend la mesure des mots au fur et à mesure. Tu sais que ce n'est pas facile pour lui de les dires à haute voix, lui qui s'est tant démené pour renforcer son couple avec sa petite amie. « Ouais ça je sais très bien que tu ne veux pas la blesser mais ne rien lui dire c'est pas une solution non plus, tu ne crois pas ? ». Tu es mal placée pour donner des conseils en matière de cœur mais tu sais avec certitude que tu aurais préféré que Elias te dise la vérité à l'époque lorsqu'il te trompait plutôt que de te mentir.
@Gael J. Dinkley
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)